La nouvelle Sonia a découvert tant de choses, tant de fantaisies sexuelles, qu'elle se sent enfin libre, femme, maîtresse. Elle va goûter le plaisir de partager cela avec son homme et le couple de son amie Mélanie, pour une première aventure à 4.
Proposée le 6/03/2019 par Sweet64
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Sonia ne put cacher bien longtemps à Pierre qu’elle avait vécu une aventure fort exaltante à la salle de sport.
Mais ne craignant plus le courroux de son homme, et le devinant même plutôt ouvert, voire même un brin candauliste, elle n’hésita pas à lui raconter sa dernière leçon d’épanouissement physique.
Ce soir-là, à l’évocation plutôt détaillée de ce cours, les deux amoureux passèrent une soirée plus que débridée. Torride et franchement complice.
Constatant combien sa moitié avait enfin trouvé de nouvelles clefs pour libérer et assumer sa libido, Pierre se sentait encore plus amoureux et attaché à Sonia. Qui le lui rendait fort bien.
Le couple vivait une nouvelle jeunesse, un retour de passion amoureuse, faite de liberté partagée, d’échanges libérés, de confiance assumée.
Cette complicité restaurée avait apporté un nouvel élan dans une vie amoureuse déjà bien ancienne et qui aurait pu virer dans des abîmes de reproches, de rancœurs, d’isolement amoureux de part et d’autres.
Il n’est pas aisé, après plus de vingt-cinq ans de relations de trouver chaque matin de nouveaux ressorts qui viennent alimenter la flamme.
La facilité veut même que chacun s’installe dans son quotidien, se laisse vivre, sans même vouloir déranger ou ennuyer l’autre. Les jours, les semaines, les mois et même les années s’enchainent, et insidieusement les habitudes prennent le pas.
Les jeunes amants deviennent des parents, puis des colocataires qui gèrent une tribu en même temps qu’une copropriété.
Sonia et Pierre n’avaient pas échappé à ce parcours.
Seulement, du fait de leur rencontre plutôt précoce – ils n’avaient que quinze et seize ans – les affres du temps qui file les avaient affectés également bien jeunes.
Mais comme en sport certains évoquent un second souffle, depuis quelque temps, ensemble, ils semblaient repartis pour un tour !
Un rebond d’énergie qui irriguait leurs vies depuis quelques mois. Depuis que Sonia avait entamé sa seconde vie ; celle qui ne commence que lorsqu’on ne comprend que l’on n’en a qu’une.
Elle pouvait compter sur l’approbation la plus conciliante qu’il soit de la part de son mari, qui n’avait de cesse de rappeler combien il était précieux de profiter de la vie.
Pierre lui avait peu à peu proposé divers jeux, défis, lui avait offert des jouets à expérimenter, des dessous coquins, voire même émoustillants.
Elle se découvrait peu à peu, osant parfois provoquer son homme par un selfie sexy.
Leur vie de couple était entrée dans une nouvelle dimension faite de complicité, de connivence, de partage, de folie amoureuse.
Et ce retour de passion amoureuse les rendait encore plus vivants au quotidien.
Désormais, ils profitaient de la vie, à chaque instant, ne laissant plus le quotidien prendre le pas sur les humeurs.
Cela pouvait aller du plaisir de partager une balade ou une séance de sport à celui de s’offrir une escapade gourmande dans une table plus ou moins renommée ; d’une simple discussion, dans les bras l’un de l’autre, sur le canapé, à une bonne soirée à recevoir des copains ou des amis plus proches.
D’ailleurs, ils prenaient de plus en plus plaisir à recevoir, à inviter, pour un apéritif ou un diner.
Ce soir-là, ils avaient proposé à leurs plus proches amis Mélanie et Hervé, de passer la soirée à la maison, autour de quelques mojitos et tapas dinatoires.
Mélanie, la complice de Sonia, avec qui elle partageait déjà bien des secrets.
Hervé, le compagnon de route dans les défis sportifs de Pierre.
Ils se retrouvaient les quatre, pour une fois sans leurs progénitures respectives. D’où le thème des mojitos, plus acceptable entre adultes que lors d’un goûter d’anniversaire pour le neuf de la petite dernière.
Sonia avait fait montre de beaucoup d’imagination pour préparer force de tapas variées, des tortillas, quelques verrines colorées, des gourmandises sucrées. De quoi ravir les papilles et combler les ventres.
Pierre avait choisi le meilleur rhum possible pour les cocktails promis aux invités.
Sonia n’avait pas développé auprès de Pierre les émotions vécues à l’occasion du trek qu’elle avait partagé avec Mélanie… et l’âne Pompon.
Mais elle avait instillé suffisamment d’indices au point que son homme se doutait bien qu’il y avait eu opération séduction et probablement découverte de nouveaux vertiges entre les deux femmes.
Est-ce que Hervé avait eu vent des mêmes indices ? Ils n’en avaient jamais parlé.
Est-ce le rhum, la chaleur du poêle, l’ambiance détendue, qui allaient insuffler quelques lapsus ou confidences ?
Toujours est-il que plus la soirée avançait, plus les convives semblaient se libérer.
Pierre sentit bien que chacun était d’humeur joyeuse, voire assez vite badine et même coquine.
S’absentant quelques instants, il revint auprès des trois autres convives avec une boite sous le bras.
Et lâcha un tout simple : « et si on jouait ? », en posant sur la table ce qui était de toute évidence un jeu coquin pour adultes consentants.
Il proposa à ses compères de découvrir ce jeu qu’ils n’avaient à ce jour jamais exploré.
En leur expliquant qu’il y avait a priori trois niveaux de jeux, du soft au torride, qui pouvaient se jouer séparément ou en les mélangeant.
Dans quelques sourires complices et clins d’œil coquins, il fut décidé collégialement de jouer franchement le jeu. Au diable la varice, et go pour le niveau « hot ».
Le jeu consistait en une sorte de jeu de l’oie.
Mais à chaque case correspondait soit une question coquine, soit un défi coquin.
Et les premiers avaient été fort bien pensés par les créateurs de cette boite magique…
En quelques coups de dés, les participants se retrouvaient assez vite en tenue d’Adam et Eve. Sans la feuille de vigne.
Les défis allaient se corser.
Mélanie eu l’honneur d’ouvrir le bal des missions coquines.
La petite carte « défi » lui imposait de déguster les seins de sa première voisine de droite, durant trois minutes.
Cette première et unique voisine se trouvait être Sonia. Que Pierre savait particulièrement sensible sur cette zone érogène.
Mélanie devait également bien le savoir.
Après avoir échangé un regard avec son homme, elle se pencha sur son amie pour déposer un premier baiser gourmand sur un des deux pomelos.
Assez vite, la bouche glissa sur le second fruit et le baiser se fit plus gourmand. Comme si Mélanie savait exactement ce que pouvait apprécier la douce Sonia.
Elle joua ainsi durant les trois minutes de son gage à faire frétiller les tétons de la belle qui se retenait d’exprimer trop fortement son plaisir.
Les deux hommes appréciaient visiblement le spectacle, à la fois cocasse pour eux, mais d’une immense sensualité.
Le jeu pu reprendre son cours, et les esprits quelque peu se poser. Plusieurs cartes « vérités » vinrent en effet ralentir les débats, et apaiser les envies.
Jusqu’au moment où Sonia tira une nouvelle carte défi.
La voilà contrainte de déguster le sexe de son premier voisin de gauche. Et ce, sans s’aider de ses mains.
Le jeu montant en tension, la durée du gage était passée à cinq minutes.
Tournant sa tête sur la gauche, elle croisa le regard de Hervé qui ne paraissait pas contrarié par le gage.
Elle crut bon de demander une approbation à son homme, qui ne lui laissa même pas le temps d’achever sa question. C’était le jeu. Sonia n’avait pas d’autre choix que d’assumer. Sans quoi, elle perdrait la face et briserait une ambiance très frivole qui régalait tout le monde.
Hervé se laissa faire sans montrer la moindre résistance.
Sonia approcha sa bouche de son sexe pas encore totalement dressé.
Elle le lécha délicatement sur toute sa longueur, ce qui eut pour effet de lui fouetter le sang et de le rendre très fier.
Devant ce dard tendu, elle n’eut d’autre solution que d’ouvrir ses lèvres pour le happer et le glisser dans sa bouche.
Pierre prenait un plaisir certain à voir sa douce déguster ainsi un autre sexe masculin.
Et Sonia s’appliquait particulièrement à émouvoir le membre qu’elle avait en bouche.
Elle le suçait avec délicatesse, le gobant tout doucement, avant de le laisser ressortir lentement.
Puis le reprenait presque goulument. Sous le regard gourmand de Mélanie.
A savoir si cette dernière avait envie d’être à la place de Sonia, ou si elle rêvait de reprendre les jeux saphiques entamés quelques moments auparavant.
Les cinq minutes tardaient à s’écouler.
L’excitation de tous gravissait les échelons à chaque seconde qui s’écoulait.
Pierre ne résista pas longtemps au plaisir de caressait les fesses de Sonia. Celle-ci s’étant mise quatre pattes pour manger la queue de Hervé, elle offrait une vue imprenable sur sa vulve aux deux autres joueurs spectateurs.
Tandis qu’il effleurait le postérieur de sa belle, Pierre chercha de l’autre main un des fruits de Mélanie qu’il se mit à caresser du bout des doigts.
Soupesant ce sein, il titilla le téton qui pointait déjà. Le fit rouler entre ses doigts.
Puis avant d’entreprendre d’autres caresses plus appuyées, attrapa la main de Mélanie pour la poser sur le sexe de Sonia.
Entre temps, Hervé avait pris en main les deux jolis petits seins de cette gourmande qui le dégustait. Il les pétrissait avec fermeté, jouant avec les pointes qu’il sentait toutes dures dans ses paumes.
Mélanie faisait courir sa main sur toute la fente de Sonia ; Une fente lisse et déjà humide, qui ne cessait de s’ouvrir au passage enjôleur des doigts de Mélanie.
Bientôt, ce sexe brulant était la proie des assauts de son amie qui commençait à fouiller son intimité, délicatement, avec un doigt explorateur.
S’étant approchée de son amie, elle avait pris la place de son homme sur un des seins de la belle.
Et se faisant caresser ses mamelons par Pierre, elle put offrir son sexe en dégustation à son chéri.
Ce tableau donna l’idée à Pierre d’en faire de même sur l’abricot de Sonia que Mélanie venait de chauffer avec enthousiasme et savoir-faire.
Il se mit à la bouffer littéralement. De l’abricot au petit trou. Une dégustation gourmande, du bout de la langue, avec envie, passion, désir et appétit.
Sonia tenait toujours son gage, et continuait à manger le sexe de Hervé, sans s’aider des mains…
Des mains qu’elle utilisait désormais pour pétrir les seins de Mélanie.
Et c’est là, sentant ces deux fruits plein d’envie, qu’elle abandonna la queue de Hervé pour aller goûter la poitrine de Mélanie.
Deux jolis seins blancs, surmontés de non moins délicieux tétons très orgueilleux. Fiers comme Artaban. Qui tenaient tête au jeu de langue de Sonia, aux mordillements et autres papouilles que pouvait distiller la belle.
Les deux filles s’embrassèrent, tandis que les deux hommes s’approchèrent d’elles.
Ou plutôt approchèrent leurs sexes des visages des deux coquines.
Dans l’esprit du jeu, Sonia choisit de reprendre le sexe de Hervé en bouche.
Mélanie n’eut d’autre choix que de manger celui de Pierre.
Elle déposa un petit baiser sur le gland. Comme si elle voulait faire la timide.
Puis ouvrant un peu la bouche, elle commença à l’absorber. Très lentement. Tout en caressant avec une infinie douceur les testicules du monsieur.
Pierre se souvenait pourtant d’une discussion pas si ancienne où Mélanie confiait ne pas être pratiquante d’une telle flatterie. Il semblait bien que sa position avait évolué tant elle savait bien y faire.
De temps en temps, les deux filles choisissaient d’abandonner leur friandise pour échanger un baiser. Puis reprenaient chacune leur sucette.
Sans cesser pour autant de se tripoter mutuellement les seins, s’exciter les tétons, s’affoler les mamelons.
D’un regard complice, Hervé sollicita l’approbation de Pierre pour aller s’occuper de l’intimité de S.
Accord qu’il obtint sans aucune réserve et dont il usa aussitôt, en tendant le bras pour aller fesser en douceur le postérieur de Sonia.
Il glissa assez vite sur le minou de celle-ci, et entrepris de l’honorer de quelques savantes caresses.
Sonia abandonna les seins de Mélanie pour saisir les couilles de Hervé. Elle adorait ça, caresser le « cerveau » d’un homme.
Elle savait y faire pour échauffer les sens d’un homme par de savant « grabouillots », des doigts qui titillent les bourses, les font rouler avec un délicieux savoir-faire.
Et lorsqu’en complément, elle déguste le sexe de l’homme en question, la jouissance est souvent sur le point de jaillir.
Mais là, elle en voulait plus.
Elle maîtrisait son action pour ne pas faire exploser Hervé, et pour profiter des caresses qu’il prodiguait à son abricot et sur un de ses seins.
Elle avait envie de se sentir emplie par ce sexe tendu dans sa bouche.
De son côté, Pierre avait privé M de la dégustation de son éperon, pour aller lui dévorer sa jolie forêt depuis bien longtemps plus du tout vierge.
Lui qui appréciait particulièrement les sexes tout lisses, il découvrait avec plaisir un mont de Vénus surmonté d’une douce toison joliment taillée. Qui luisait déjà d’un désir bien grand.
Tout en pétrissant les beaux fruits de sa partenaire de jeu, il avait fait glisser sa bouche sur cette aire de jeu toute avide de mille douceurs à recevoir.
Il y plongea le nez pour léchouiller les grandes lèvres, pour en faire jaillir le bouton et le titiller.
Il joua un moment avec ce petit organe si sensible, avant d’aller fouiller plus intimement le sexe de Mélanie avec sa langue fouineuse.
Elle se cambrait sous les titillements qui faisaient frémir son abricot et qui remontaient exciter son clitoris.
En face d’eux, Hervé avait pris position derrière Sonia, et après avoir une dernière fois lécher sa fente, alla y planter son sexe d’un coup à la fois franc mais doux.
Il entreprit quelques va-et-vient en tenant sa proie par les hanches, avant de venir saisir ses petites mamelles friandes de pétrissages.
Sonia s’excitait elle-même le clitoris pour décupler don plaisir, et se penchant en avant, allait déguster la bouche de Mélanie.
Pierre était remonté sur le buste de Mélanie ; et tout en s’occupant de l’excitation clitoridienne de la dame avec la pulpe de ses doigts, il déployait tout son savoir-faire en dégustation de tétons pour ravir la dame.
Il alternait caresses, mordillements, petits coups de langue, au rythme des soubresauts de Mélanie.
Et la sentant proche de défaillir, il approcha son membre de l’entrée humide se son sexe.
Bientôt les deux dames étaient emplies de deux sexes vaillants qui les fouillaient avec vigueur et passion.
Elles s’embrassaient, se caressaient pendant que leurs sexes subissaient de délicieux outrages.
Leurs baisers s’entrecoupaient de quelques soupirs, puis reprenaient. Elles se dévoraient et jouissaient à la fois !
Jusqu’à l’extase de sentir une semence chaude couler sur leur peau. Sur les fesses tendues de Sonia ou sur le ventre brulant de Mélanie.
Dans un grand soupir, elles continuèrent à s’embrasser un long moment tandis que leurs hommes se retiraient délicatement du quatuor, les laissant profiter pleinement de leur complicité de femmes libérées, épanouies, presque épuisées de plaisir…
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