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Jeux d'exhib - Douceurs et gourmandises - épisode 4

Sonia a déjà grandement ouvert son horizon érotique et même orgasmique... Voilà que pour prendre l'air, elle est enlevé, le temps d'un week end par son homme... et que leur séjour débute par une rencontre fort émoustillante...

Proposée le 24/02/2019 par Sweet64

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: 2CPL
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


Une nouvelle complicité s’installait, mêlant insouciance adolescente et démons de midi. Une forme finalement assez plaisante de crise de la quarantaine.
Pierre n’en revenait de la légèreté qui s’était désormais emparée de Sonia. Mais cela ne le dérangeait aucunement, tant ce qu’il avait pressenti et espéré était enfin là, en train de lui rendre sa moitié encore plus proche et désirable. Elle vivait ! Pleinement.

Finies pour Sonia les prises de têtes incessantes pour un cartable d’enfant qui traînait avec des devoirs encore à faire. Oubliés les inquiétudes pécuniaires qui rendaient parfois son quotidien étriqué et toujours très mesuré.
Sans être devenu totalement insensible à l’ordre et à la sagesse, elle cultivait désormais un savant équilibre entre le nécessaire et l’agréable.

Elle avait aussi su tirer profit d’un certain rapprochement avec des loisirs simples, comme les balades en vélo, les randonnées ou même les courses pédestres en montagne dont Pierre avait su peu à peu lui donner le goût.

Toute sa vie s’en trouvait pour le coup retournée. Ses relations avec ses proches, ses amies, ses enfants bien sûr, et inévitablement son mari qu’elle avait enfin retrouvé également comme amant.
Elle se remémorait maintenant leurs premiers émois cachés sur une plage au pied des falaises.
Ces premières caresses plutôt coquines qu’ils échangèrent. Et son appétit pour la découverte de l’autre ; découverte pas toujours très sage.

Pourquoi, comment s’était-elle perdue durant tant d’années ?
Elle ne saurait l’expliquer.
Lorsqu’elle en discutait avec Pierre, il lui rappelait souvent que tout avait commencé à changer dès lors qu’elle était entrée dans la vie active, à la sortie de ses sérieuses études.
Ce jour-là, elle était devenue adulte. Il n’y avait plus de place pour la légèreté. Elle allait travailler, toucher un salaire, payer des impôts, acheter un appartement, payer des taxes, faires des courses, faire le ménage, puis certainement se marier, avoir des enfants, choisir une nounou puis une école, faire faire les devoirs, faire à manger, faire la vaisselle, refaire des courses, changer de boulot, programmer des vacances, payer ces vacances, espérer les vacances suivantes, … Comment avoir le temps de vivre ? Comment se libérer ?
Et même en partageant tout cela à deux, d’autres contraintes viennent combler le temps : conduire les enfants au sport, aller encourager ses enfants, ranger les affaires des enfants, téléphoner à maman, faire changer une ampoule par son mari, choisir une nouvelle voiture, prendre rendez-vous avec la banque… Etre débordée !

Elle avait bien conscience de tout cela. Elle savait qu’elle se faisait manger. Elle savait aussi qu’elle n’était pas la seule dans ce cas, qu’elle était quand même bien secondée par l’homme qui partageait sa vie et de fait ses tracasseries.
Simplement, Pierre en était revenu de toutes ces contraintes. Sans les esquiver, elles ne l’empêchaient plus de consacrer du temps à ce qui rend la vie plus légère, plus grisante, plus vivante.
Il avait compris le confort qui était le leur et la chance qu’ils avaient, comme il pouvait l’entendre régulièrement, de payer des impôts.
Dès lors, il essayait de croquer dans le quotidien pour éviter que celui-ci ne le mange.
Si seulement il parvenait à embarquer sa moitié sur ce chemin !

Ce temps semblait être enfin arrivé. Ou en bonne voie de se réaliser.
Sonia paraissait être habitée par ce même désir de vie.
Vivre pour ne plus se laisser vivre.

Les beaux jours approchant, Pierre eut l’idée de profiter d’un week-end long pour enlever sa belle et lui faire découvrir les charmes des calanques du sud-est de la France.
Elle ne fit pas prier pour préparer son sac et s’installer dans le coupé sport que son homme s’était offert. Un bolide dégoté d’occasion qui collait bien à sa philosophie renouvelée de profiter de l’instant.
Pas d’enfants, pas de boulot, pas de contraintes. Juste elle et lui.
Une escapade en amoureux comme il n’en faisait plus depuis bien longtemps.
Le voyage promettait d’être un peu long à l’aller.
Mais ils étaient partis enjoués comme du temps de leur adolescence.

Pierre avait organisé un séjour plein de charme dans le sud-est de la France.
De belles chambres d’hôtes, souvent agrémentées de services telles qu’un spa, une baignoire à remous, une piscine attenante.
Des paysages de rêve, inondés de soleil, des gorges du Gard, aux calanques des rivages entre Cassis et Marseille.
Sonia ne cessait de s’émerveiller de ces beautés, du climat méditerranéen, du climat amoureux, de la complicité enfantine qui embaumait le séjour.

Elle apprécia particulièrement la découverte de ces fameuses calanques.
Une découverte qui se mérite, dès lors qu’on décide de les arpenter et les parcourir à pied.
Avec Pierre, ils avaient entrepris de les parcourir de criques en criques. Profitant de chacune d’elles pour s’offrir un bain rafraîchissant dans des eaux cristallines, comme protégées par une barrière de corail virtuelle.

Arrivés à l’extrémité sud de leur randonnée, Pierre proposa de se poser pour grignoter un peu et s’autoriser une séance de bronzage relaxante.
Tout en suggérant l’audace toute neuve pour eux de s’exposer les fesses à l’air.
Après tout, Sonia ne cessait de le surprendre depuis des semaines. Peut-être ne sera-t-elle pas gênée par une séance naturiste.

Ils faisaient plaisir à voir ces deux-là. Deux jeunes tourtereaux en goguette qui se badent, se taquinent, s’embrassent, s’enlacent.
Avec la belle chaleur du soleil du midi, eux qui étaient consumés par le démon de midi, le repas fut plutôt léger. Presque à la mode tapas espagnoles.
Ils avaient trouvé un coin quelque peu isolé, le haut de la plage de galets, une sorte de crique bordée d’herbes hautes jaillissant autour d’eux et dessinant un nid en forme de coquillage.
Pierre ne dit mot et se déshabilla avec un détachement des plus naturels jusqu’à s’étendre totalement nu sur le drap qu’il avait étalé à même le sable.
Après un instant d’interrogation toute intérieure, Sonia fit preuve du même culot assumé et s’allongea fesses face au soleil à côté de son homme qui ne boudait pas son plaisir devant cette nouvelle audace.

Il proposa à sa belle sirène de l’enduire de crème solaire pour éviter qu’elle ne rosisse telle une écrevisse.
Et de lui étaler délicatement ce voile protecteur sur tout ce corps si délicat et appétissant allongé de toute sa splendeur, offrant un fessier encore un peu pâle au regard complice de l’astre solaire.

Alors qu’il se tartinait lui-même du soin protecteur, Sonia lui tapa doucement sur le bras, avant de lui indiquer, bras tendu, un petit espace dans les herbes d’où elle percevait un autre couple qui en était également à l’étape « on se protège des morsures du soleil ».

La dame du couple en question était étendue sur son dos, et le monsieur semblait vouloir surtout soigner ses deux ananas et son abricot.
C’est que madame n’était visiblement pas en reste, puisqu’elle gardait bien en main, de ce que Sonia et Pierre en voyait, la fière banane de monsieur.
Une belle salade de fruit que tout cela.

Cela ne manqua de susciter un émoi certain chez Sonia, qui, tout en se délectant du spectacle, saisit le membre de son homme étendu contre son flanc.

Les deux amants cachés ou pensant l’être derrière les hautes herbes échangeaient de longues caresses huilées sur tout le corps. Tout en veillant à garder un contact permanent, de la main, du bout des doigts, de l’avant-bras, … avec les zones sensibles du partenaire.
Etait-ce d’ailleurs le léger vent du sud-est ou la douceur des caresses qui faisait dresser les tétons plutôt imposants de la dame ? Toujours est-il qu’elle paraissait se régaler de la situation.
Les yeux fermés, elle s’abandonnait à cette séance de jeu de main pas trop vilain. Elle y participait même avec délectation, faisant glisser délicatement sa main de bas en haut de la hampe érigée de son homme.
Celui-ci était tourné vers elle, une main délicatement posée sur le sein gauche, le côté du cœur, l’autre s’attardant sur la bosse légèrement poilue du mont de Vénus.
Il jouait d’ailleurs avec la toison, du bout des doigts, descendant tout le long de la commissure des cuisses, et remontant droit sur la fente déjà toute enduite d’huile protectrice, jusqu’au bouquet de duvet.

Sonia n’en perdait pas une miette…
Son petit côté espiègle, un peu voyeur, trouvait dans cette situation une occasion de se délecter d’un spectacle à la fois imprévu et pour autant plein de sel.
Elle aimait tant ces images sensuelles qui avaient le don de lui échauffer les sens, bien plus que des visions trop crues qui pourraient parfois la rebuter.
Nonchalamment, elle caressait tout doucement le sexe et les deux olives de son homme.
Comme un lent préliminaire non prémédité.
Son émoi monta d’un cran quand l’homme approcha sa bouche d’un téton pour y déposer un long baiser. Comme s’il avait voulu le faire fondre délicatement entre ses dents.
Au même moment, il saisissait l’autre sein pour le malaxer et faire saillir la pointe.

De plus en plus émoustillée par ce spectacle, Sonia se coucha sur le flanc, de sorte à offrir sa poitrine aux éventuels bons soins de Pierre.
Ses deux petits seins qui étaient peut être sa zone la plus érogène était déjà fièrement dressés.
Il ne faisait évidemment plus aucun doute que le tableau érotique qu’elle observait discrètement avait plus qu’échauffé son désir.
Pierre ne tarda pas à satisfaire les attentes de sa dulcinée, et approcha ses lèvres de ses mamelons, pour leur offrir quelques petits baisers et de lents coups de langues.
Dans le même temps, il approcha une main de l’intimité de Sonia pour lui dispenser quelques caresses fort appréciables.

Sonia branlait lentement le sexe tendu de Pierre, tout en se gavant des caresses, des morsures légères, des pétrissages dont il la couvrait.

Régulièrement, elle jetait un œil vers la cachette improvisée des deux coquins.
La dame avait pris les choses en main. A vrai dire même, elle avait pris les choses en bouche, puisque maintenant, elle dégustait avec de longues absorptions gourmandes le dard de son amant.
Tout en lui pétrissant les couilles, elle avalait intégralement sa queue, la gardait quelques secondes au fond de sa gorge avant de la ressortir délicatement.
Tout en continuant à se faire masser allègrement ses deux mamelles bien rondes.

Inspirée par ce tableau, Sonia descendit sa bouche pour embrasser le gland tout rose de Pierre… et le gober doucement.
Elle voulait essayer, comme elle le voyait faire, cette pratique dite de la « gorge profonde ». Mais le membre de son homme lui paraissait bien trop imposant pour être absorbé intégralement dans sa petite bouche.
Pourtant, s’inspirant de son modèle exhibitionniste, et avec une douce progression, elle parvint à faire disparaitre le sexe de son homme.
Toute surprise et excitée par sa propre audace, elle prit le temps d’honorer longuement son homme de cette pratique gourmande.
Tout à son bonheur d’être ainsi dévoré, Pierre cessa un moment les caresses sur sa belle.
Ce qui eut pour effet positif de la laisser respirer et retrouver un second souffle.

Derrières les hautes herbes, les deux coquins étaient maintenant tête-bêche, emportés dans un soixante-neuf des plus frugaux.
Chacun mangeait le fruit de l’autre tout en caressant qui les fesses, qui la poitrine.
Madame était étendue sur monsieur, appuyée sur ses genoux et offrant un abricot béant en dégustation.
Le sexe de monsieur était, lui, toujours tendu vers la bouche affamée de madame.
Les seins de la dame pendaient sur le ventre de monsieur qui en profitait pour les saisir à pleine main, les pétrir, les caresses, les titiller, les pincer…

De l’autre côté, Pierre avait réussi à écarter un peu les cuisses de Sonia pour mieux accéder à son coquillage.
Il lustrait du bout des doigts sa fente déjà bien humide, avec l’huile protectrice étalée sur le mont de Vénus.
Jusqu’à glisser deux doigts à la fois dans cette chatte si accueillante.
Une visite toute en lenteur et langueur. Des mouvements délicieusement ralentis pour mieux ressentir toutes les contractions de la dame.
Sonia s’abandonnait à son plaisir, caressant elle-même ses tétons avec le sexe tendu de Pierre.
Ses mouvements de bassin accompagnaient le rythme des caresses de son homme et attestaient de son plaisir grandissant.
Sa bouche alternait baisers et gobages du membre fier de son homme. Avant de s’en servir comme outil de massage de ses seins.

Elle se gavait tout autant de ces caresses que de la vision du couple coquin caché derrière les hautes herbes.
Elle prenait un plaisir nouveau et exaltant à les imiter, en venant offrir son abricot tout humide aux attouchements buccaux de Pierre. Un « cunni » ! Elle qui prétendait toujours ne pas trop aimer cette pratique.
Peut-être tout simplement parce qu’elle mettait son ventre en ébullition, en flamme.
Son bouton était déjà sur le point d’exploser, et voilà que Pierre le titillait du bout de sa langue, l’absorbait entre ses lèvres affamées.
Il osait en plus enfoncer tout doucement un doigt dans chacun de ces deux orifices qu’il avait sous le nez.
Quel délice pour Sonia qui ne se posait plus de question, ne cherchait plus à savoir si ces manières étaient bonnes ou mauvaises, si elle était toujours une mère respectable ou dépravée.
Elle jouissait de la vie, de l’amour. Elle consentait enfin à s’épanouir, à se rassasier de plaisir et de bonheur.

N’y tenant plus, elle copia à nouveau son modèle libertin qui, se mettant à quatre pattes, se faisait prendre plutôt sauvagement par son mâle de compagnon.
Elle intima l’ordre à Pierre d’en faire de même !
De la prendre ainsi en levrette.
Elle qui avait toujours trouvé cette position trop avilissante pour la femme, elle voulait presque se sentir dominée, soumise, chienne.
Mais avec classe, honorée, adulée, comblée.

Voilà le seul contraste entre les deux couples qui s’ébattaient sur le sable : d’un côté une femme culbutée farouchement, les cheveux en bataille, rudoyée à grand coup de rein, par un étalon rugueux, rustre, sauvage. Et de l’autre, une muse, et son fier popotin tout heureux de sentir un appendice masculin tout aussi fier lui fouiller le bas ventre, et une douce paire d’olives lui fouetter la fente.

Les deux hommes battaient la mesure à l’unisson.
Sonia en était toute chavirée et laissa échapper quelques soupirs bruyants qui ne manquèrent pas d’alerter les deux autres amants cachés.
Tout en se faisant culbuter, les deux femmes se titillaient de concert leurs clitoris respectifs.
Pierre avait tendu un bras pour tripoter un sein de Sonia.
Il faisait rouler son téton entre ses doigts, avant de pétrir le mamelon dans sa paume.

Tandis que l’autre femme se retourna pour achever son homme avec sa bouche, Sonia demanda à son galant de continuer, d’accélérer. Cherchant à saisir une des cuisses de Pierre, elle le tirait vers elle, puis le repousser, comme pour imprimer de grands mouvements qui lui faisaient ressentir de délicieux va et vient au plus profond de son intimité.
Elle était au bord de l’orgasme, toute tendue vers le plaisir, quand Pierre ressorti son sexe pour inonder les fesses de Sonia de sa semence toute brulante et abondante.
Dans le même temps, il prit soin d’accentuer ses pétrissages sur la poitrine de sa coquine.
Elle s’était redressée, et il pouvait désormais s’occuper des deux seins, les malaxer, les titiller, les exciter.
Et contournant légèrement la belle, il les acheva en les dévorant goulument.

De l’autre côté des hautes herbes, madame se gargarisait de la sève de son homme, tout en se caressant avec le sexe luisant qui venait de cracher sa jouissance.

L’extase des deux couples fut quasi simultanée.
Mais aucun mot ne fut échangé.
Chacun s’étendit sur sa serviette ou son plaid, tout étourdi par le plaisir, par la jouissance, tout heureux de s’abandonner à une complicité passionnelle.

Sonia et Pierre laissèrent le soleil lécher leurs corps repus de tendresse et d’amour.
Et c’est une nouvelle fois plein d’amour qu’ils regagnèrent leur chambre d’hôte pour une nuit pleine de doux rêves.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Judith
Mmmm ! J’y étais, vous m’avez littéralement embarquée !
Posté le 30/03/2019


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