Margot progresse dans l’éducation du jeune marquis de Marmaing. Elle lui fera découvrir toutes choses que doit connaître un bon fouteur. La comtesse Catherine vérifiera si l’enseignement de Margot donne les résultats escomptés. Le jeune Hector de Marmaing pourra ensuite démontrer à tous et à toutes ses qualités de fouteur.
Proposée le 28/02/2019 par Marc Paul
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Margot faisait un rapport quotidien à la Comtesse des progrès de son élève.
• Alors, ma bonne Margot, comment se comporte Hector ?
• Je le suce chaque soir depuis bientôt une semaine. Il se laisse faire et se vide les génitoires dans ma bouche.
• Tu crois qu’il se branle toujours ?
• Oui, mais moins qu’auparavant. Mais par deux fois cette semaine, j’ai trouvé son mouchoir taché de semence et trois fois la semaine passée.
• Est-il prompt à se vider les génitoires ?
• Au début, oui très prompt mais maintenant je peux le sucer de longs moments avant que sa semence ne gicle dans ma bouche.
• Parfait. Peut-être faudrait-il maintenant qu’il devienne plus actif.
• C’est aussi mon avis. Je voulais avoir votre sentiment et je vais m’y employer dès ce soir avec l’aide de Ninon.
• Parfait. J’ai eu raison de te faire confiance, ma bonne Margot. Ce soir, tu viendras me rejoindre dans ma chambre une fois ton ouvrage terminé.
• Bien, Madame.
Hector ouvrit des yeux ronds quand il aperçut Ninon rentrer dans sa chambre à la suite de Margot. Il avait pris l’habitude de se dévêtir, et d’attendre Margot allongé sur son lit en caressant son vit, qui se tendait rien qu’à l’évocation de ce que Margot allait faire dès qu’elle serait là.
Sans lui donner plus d’explication, Ninon et Margot se déshabillèrent et prirent place de chaque côté du petit Marquis. Margot lui donna enfin l’explication :
• Mon cher petit Monsieur, je vous ai montré comment une femme peut faire grand plaisir et bonne jouissance à un homme. Il serait un juste retour que vous appreniez comment un homme peut faire de même à une femme. Ninon est ici avec moi pour m’aider dans cette tâche. Donnez-moi votre main !
Margot saisit la main qu’Hector lui tendait et elle la posa sur un sein de Ninon. Elle lui enseigna comment le pétrir, comment le caresser. Elle lui montra combien les tétons se dressaient et lui ordonna de les téter. Puis elle guida sa main entre les cuisses grandes ouvertes, lui désigna le con, le lui fit toucher, poussa ses doigts profondément dans le fourreau gluant. Puis elle lui enseigna comment caresser une chatte de femme.
Hector s’appliquait, suivait les conseils de Margot. Ninon commençait à gémir son plaisir. Margot demanda à Hector de sucer cette fente juteuse, lui indiquant les endroits particuliers qui donnent belle jouissance. Hector était bon élève, bon sang ne saurait mentir, et Ninon ne tarda pas longtemps à jouir de ses caresses. Elle cria, exprima son plaisir en forçant, tout de même, un peu le trait. Dès que Ninon fut revenue de son plaisir, les deux commères sucèrent ensemble le jeune marquis Hector qui se vida dans la bouche de Ninon.
Les jours suivants, Margot se laissa caresser par Hector de Marmaing. Le jeune homme apprenait vite. Il était studieux et réceptif à ces leçons. Margot prenait beaucoup de plaisir à son activité de préceptrice. Elle n’avait pas besoin de forcer ses gémissements de plaisir. Le jeune marquis la faisait jouir de belle façon.
Puis elle revint un soir avec Ninon. Les deux filles se firent caresser et branlèrent le petit marquis avant que Margot ne lui dise :
• Monsieur se souvient-il de l’étalon et de la jument qu’il vit le lendemain de son arrivée ici.
• Parfaitement, Mademoiselle Marguerite. Cela m’avait impressionné.
• Aimerait-t-il jouer le rôle de l’étalon et Ninon ferait la jument ?
• Quel jeu vas-tu encore inventer là, ma bonne Marguerite ?
• Ce n’est pas un jeu, mon bon Monsieur. Ou plutôt si, c’est le jeu de l’amour et du plaisir à laquelle s’adonnent tous les hommes et toutes les femmes.
Pendant cet échange, Ninon s’était dévêtue. Margot expliqua à Hector de Marmaing quelques rudiments de l’anatomie féminine. Mais elle lui expliqua surtout longuement qu’il ne devrait jamais se vider les génitoires dans le con d’une femme au risque de l’engrosser, sauf si celle-ci le lui autorisait.
Ninon était en levrette sur le lit, le cul abondamment graissé de beurre. Margot guida le vit vers sa rosette et le poussa en avant d’une main sur ses reins, reproduisant en cela le geste des palefreniers.
Le jeune Hector apprit vite à saisir les hanches de Ninon et les coups de reins lui vinrent naturellement. Margot le guida, soucieuse de calmer ses ardeurs afin qu’il ne se vide pas trop vite dans le cul accueillant de Ninon. Elle lui conseilla de ralentir sa cadence, de profiter de ses mains pour caresser les seins et le con de sa partenaire. Plusieurs jours passèrent au cours desquels le cul de Margot et de Ninon servirent de réceptacle à la semence du jeune Marquis.
Quelques jours plus tard, alors qu’Hector attendait l’une ou l’autre des deux filles, il eut la surprise de voir entrer la comtesse Catherine dans sa chambre. Il tira précipitamment la couverture pour cacher son vit prêt à accueillir comme il se doit la servante qui viendrait. Margot entra à la suite Catherine de Rochefeuille.
• Le bonsoir, mon jeune ami. Dit la Comtesse.
• Le bonsoir, Madame.
• Je viens céans pour m’assurer de l’enseignement que vous donne Marguerite depuis quelques semaines. Dit la Comtesse d’un ton sévère.
• Que puis-je faire pour vous être agréable, Madame ? Demanda le jeune Hector.
• Vous allez me montrer ce que vous faites avec ma bonne Marguerite. Déclara Catherine puis ajoutant pour Margot. Marguerite veuillez commencer par me montrer ce beau jouvenceau.
Margot s’assit sur le lit, repoussa les couvertures et remonta la chemise d’Hector. Elle se saisit du vit du jeune homme et le branla. Hector banda malgré l’embarras d’être ainsi offert aux yeux de la Comtesse. Catherine de Rochefeuille s’exclama :
• Par le diable, que voilà un joli vit. Gros et long comme je les aime. Marguerite, est-il bien résistant et patient dans l’action.
• Oh oui, Madame, dernièrement Monsieur le Marquis m’a fourrée par deux fois, me donnant grand plaisir à chaque fois, avant de se vider dans mon cul.
• Tout cela est parfait et je ne résiste pas au plaisir d’y goûter à mon tour.
La Comtesse prit la place de Margot et suça le Marquis pendant que Margot quittait sa jupe et son corset. Elle délaça ensuite la robe de la Comtesse Catherine qui se retrouva elle aussi en chemise.
Catherine s’allongea à côté d’Hector et l’attira sur elle entre ses cuisses largement ouvertes et Margot s’allongea aussi et conseilla à Hector de sucer le con de la Comtesse. Ce qu’il fit avec empressement pendant que Margot embrassait sa maîtresse, lui ouvrant la fente de ses deux doigts.
Catherine de Rochefeuille émit de longs soupirs puis des gémissements à mesure que la langue d’Hector faisait monter son plaisir. Elle fut prise par les spasmes de l’orgasme et soupira d’aise. En reprenant ses esprits, elle s’adressa à Hector d’une voix rauque encore plus cassée que de coutume. :
• Viens ici, mon mignon, viens me fourrer le con, je t’y autorise.
Et elle attira le jeune marquis sur elle, pendant que Margot guidait le vit du jeune Marquis dans le con ruisselant de la Comtesse. Hector besogna la Comtesse comme Margot lui avait appris, lentement, avec de grands coups de reins amples et puissants. Catherine de Rochefeuille repartit dans la jouissance qui ne l’avait pas vraiment quittée et noua ses longues jambes maigres sur les reins de son fouteur. Il se vida en elle dans un grognement de bête.
Sylvère, qui attendait patiemment dans le couloir, vit la porte s’ouvrir et Margot l’entraina vers le lit où la Comtesse et son jeune amant, dont le vit se racornissait dans le ventre de Catherine, revenaient de leur extase en s’embrassant tendrement. Catherine de Rochefeuille prit conscience de la présence de l’écuyer lui demanda :
• Venez, mon bon Sylvère, je pense que ce jeune homme est maintenant près à s’adonner aussi aux plaisirs de la bougrerie.
Obéissant aux ordres de sa maîtresse, l’écuyer entreprit de redonner de la vigueur au vit du jeune Marquis en alternant une masturbation vigoureuse et une fellation à pleine bouche. Quand le vit du jeune Marquis reprit une rigidité de bon aloi, Sylvère se fait graisser le cul par Margot en se mettant en levrette. La Comtesse dit alors au Marquis Hector :
• Approchez, mon ami, vous allez constater vous-même qu’un cul de giton vaut bien celui d’une donzelle.
Le jeune Hector s’agenouilla derrière Sylvère pendant que la Comtesse dirigeait son vit vers la rosette de l’écuyer. Elle demanda à Margot :
• Ma fille, venez m’aider à pousser ce jeune homme.
Margot obéit à l’ordre en se mettant à côté du jeune Marquis et joignit sa main à celle de la Comtesse sur les reins d’Hector. Elles poussèrent alors le jeune Marquis et son vit guidé par la main de Catherine de Rochefeuille s’enfonça dans le cul de Sylvère. Hector de Marmaing prit alors les hanches de celui-ci est le défonça comme il avait appris à le faire avec Margot et Ninon.
La comtesse n’ayant plus besoin d’agir se coucha sous le ventre de Sylvère et prit son vit dans sa bouche. Sylvère se vida en grognant dans la bouche de sa maitresse rapidement, embrassé par Margot, sucé par la Comtesse et enculé par Hector, sa résistance fut de courte durée.
Hector de Marmaing semblait ravi de cette nouvelle expérience. Il défonça encore quelques instants l’écuyer avant de se vider les génitoires.
Sitôt après avoir quitté la chambre du jeune Marquis, Catherine, suivie de Margot, se rendit dans la chambre du Comte.
• Voilà une bien agréable surprise, ma chère et lascive épouse accompagnée de sa non moins sensuelle dame de chambre. M’apportez-vous de bonnes nouvelles, Mon amie ? Demanda le Comte.
• Très bonnes, mon cher. Je viens de passer un très agréable moment en compagnie de votre filleul. Et Margot m’est témoin que ce garçon possède maintenant toute la science pour être un fouteur digne de son père et de son parrain.
• A la bonne heure ! Je vois que Margot à une fois de plus fait des merveilles. Non point que j’eusse douté un seul instant de ses talents mais convertir au libertinage ce jeune garçon élevé par des calotins, voilà bien un exploit qui mérite qu’on la félicite. Margot, tu penses donc qu’Hector peut maintenant se passer de tes précieux conseils.
• Je le crois, Monsieur. Il sait être un bon fouteur, il est habile et patient. Il sait dompter la fougue de sa jeunesse. Répondit Margot rougissante de plaisir.
• Et de surcroit, il est curieux, sans préjugés et sans aucune pudeur. Il m’a foutu sans aucune difficulté tout comme il a foutu Sylvère sous nos yeux.
• Tout cela et bel est bon. Je crois que nos amis Marmaing seront pleinement satisfaits de l’enseignement qu’Hector a reçu. Je pense qu’il est maintenant temps d’organiser une petite fête pour nos voisins. Qu’en pensez-vous, ma chère ?
• Je suis bien d’accord avec vous et je vais m’employer à cela avec ma bonne Margot. Conclut la Comtesse.
Alors que Margot s’apprêtait à quitter la chambre du Comte, elle se ravisa alors que sa main tenait déjà la poignée de la porte.
• Si je puis me permettre, mes bons maitres, j’aurai une suggestion à vous faire pour la fête que nous aurons bientôt avec vos amis les seigneurs de Marmaing. Demanda Margot.
• Mais faites donc, ma fille. Déclara le Comte, les idées sont comme les femmes toutes bonnes à prendre. Ah,Ah,Ah. Dit le Comte en riant de sa plaisanterie grivoise.
• Dit-nous, ma bonne Margot, qu’elle est cette idée. Ajouta la Comtesse.
• Eh bien, voilà, je pensais que nous pourrions profiter de cette fête pour que Suzon perde son pucelage comme cela avait été pour Ninon et moi lors des fiançailles d’Hortense et de Louis.
• C’est une bonne idée mais te semble-t-elle disposée à cela. Demanda La Comtesse.
• A mon avis, totalement. Elle ouvre volontiers ses cuisses quand je vérifie chaque mois qu’elle s’est gardée pucelle et si mon doigt s’attarde dans son fourreau, cette petite vicieuse se prend à mouiller et à pousser de petits gémissements.
• Voilà qui est du meilleur augure et quoi d’autre. Demanda le Comte l’œil brillant.
• Pour ma part, c’est tout mais Ninon qui ne me cache rien m’a dit qu’elle l’avait vue plusieurs fois, sans que la donzelle n’en sache rien, à se faire elle-même un bon plaisir.
• C’est parfait et sais-tu quand la donzelle se branle, a-t-elle des habitudes ? Demanda la Comtesse.
• De ce que je sais de la bouche de Ninon, c’est qu’à chaque fois qu’elle la vue, c’était dans le fenil aux dessus de l’écurie et toujours au moment de l’angélus du soir, c’est-à-dire juste avant de reprendre son service aux cuisines.
• Voilà qui est bel et bon. Dit la Comtesse. Cela vous convient-il, Mon ami ? En questionnant le Comte Hector.
• On ne peut mieux, ma chère. Vous savez que je ne résiste jamais au plaisir de fourrer un con de jouvencelle. Approuva le Comte.
• Humm, sauf votre respect, Monsieur, je ne vous ai pas encore tout dévoilé de mon idée. Dit Margot timidement.
• Ah parce qu’il y a autre chose. Cette jeune fille est pleine de ressources. Dit-nous tout, ma belle.
• J’ignore si Monsieur sera d’accord mais j’avais pensé que Monsieur Hector, votre filleul pourrait être celui qui prendrait le pucelage de Ninon.
• Par ma foi, pourquoi pas ! Approuva le Comte même s’il était un peu déçu de ne pas pouvoir dépuceler Suzon. Mais en retour, et si mon épouse est d’accord je te demande comme une faveur de passer cette soirée avec moi en sa compagnie.
• Si Madame est d’accord, ce sera avec grand plaisir, Monsieur. Répondit Margot.
La Comtesse accepta avec le même empressement que Margot. Elle aimait beaucoup se faire foutre par son mari et la présence de Margot a ses cotés donnerait encore plus d’entrain à son fouteur et plus d’intensité à son plaisir.
Comme elle et Ninon avaient été surprises dans le parc par Hortense, Margot s’employa à surprendre Suzon pendant une de ses séances de masturbation quasi- quotidienne. Elle entraina aussitôt la jeune fille en larmes, des brins de foin plein les cheveux dans les appartements de la Comtesse. Selon le scénario habituel, la Comtesse garda la jeune Suzon près d’elle le soir-même et confia ensuite à Ninon la charge de parfaire son éducation.
Margot s’affaira de son côté pour préparer la fête en l’honneur du jeune Marquis Hector et du dépucelage de Suzon. Elle avait fort à faire et dormait peu. L’éducation du jeune Hector ne lui prenait plus beaucoup de temps mais il lui demandait souvent de le rejoindre dans sa chambre après le diner. Et Margot passait aussi beaucoup de temps avec Sylvère, qui lui comblait les sens.
Les Marmaing arrivèrent en fin d’après-midi et Hortense et Louis étaient aussi du voyage. Margot comme Ninon étaient ravies de revoir l’ancienne première dame de chambre de la Comtesse. Le Marquis Pierre s’entretint longuement avec son fils. Il ressortit de cette conversation de fort belle humeur et alla immédiatement féliciter la Comtesse Catherine pour l’éducation de son fils.
La fête eut lieu de lendemain de leur arrivée. Léon avait été chercher une charretée de musiciens et de ribaudes à Bourges comme il le faisait chaque fois.
Le soir venu, on ripailla autour d’une grande table. Le jeune Hector trônait à la place d’honneur au centre de la table, sa mère à sa droite et la Comtesse à sa gauche. En face de lui, le curé se tenait raide comme un piquet. Puis venait le Marquis Pierre à la gauche de Catherine de Rochefeuille et le Comte Hector à la droite de Françoise de Marmaing. Hortense et Louis, Margot et Sylvère, Ninon et Aloïs occupaient les autres places de la table.
Le repas fut joyeux et bruyant, servit par des ribaudes en chemises que les hommes ne se dispensaient pas de relever pour glisser leurs mains fureteuses sur les fesses de ces gueuses. Les plaisanteries grivoises fusaient, les récits de fornications arrachaient des « Oh » admiratifs où même des applaudissements qui couvraient la musique de M. Lully et de Marin Marais que les musiciens massacraient avec beaucoup d’entrain.
Suzon attendait depuis une bonne demi-heure dans cette petite pièce. Ninon était venue la chercher dans sa chambre où elle avait été enfermée depuis le matin et dont elle n’était sortie qu’en fin d’après-midi pour prendre un bain et s’épiler sous le regard de Mademoiselle Marguerite. La première dame de chambre avait ensuite vérifié si elle s’était gardée pucelle. Ninon, avant de l’entrainer dans cette pièce, avait d’abord oint son corps d’un onguent parfumé et l’avait fait s’habiller d’une courte chemise, d’une petite coiffe en dentelle et de bas tenus par des rubans l’un bleu, l’autre rouge.
Suzon attendait debout, prise parfois d’un frémissement de crainte. Quand quelques semaines auparavant, Mademoiselle Marguerite l’avait surprise au bord de l’orgasme dans le fenil, alors qu’elle se branlait le con comme elle le faisait souvent. Quand elle l’avait entrainée d’un air sévère chez la Comtesse, Suzon avait cru sa dernière heure venue. Mais la Comtesse, après avoir écouté le récit de sa première dame de chambre, lui avait ordonné de refaire ce qu’elle faisait couchée sur le foin odorant, et ne l’avait pas arrêtée, Suzon s’était fait jouir malgré son angoisse. Puis la Comtesse lui avait fait lécher son con et enfin elle avait congédié Mademoiselle Marguerite. Catherine de Rochefeuille avait gardé Suzon près d’elle toute la nuit. Et cette nuit-là, et les autres qui avaient suivies, Suzon avait découvert le plaisir intense avec sa maitresse et aussi avec Ninon.
Une forte sonnerie de cuivres précéda de peu l’ouverture de la porte derrière laquelle se tenait Margot. Suzon fut si effrayée par le bruit et la lumière qui régnait dans la grande salle qu’elle ne remarqua pas immédiatement la robe de Margot, cette robe qu’elle portait le jour du mariage d’Hortense et de Louis. Cette robe comme celle de toutes les autres femmes, découvrait largement son ventre et ses fesses ainsi que ses seins.
Margot entraina Suzon vers le Comte Hector qui commença comme de coutume son petit discours en se raclant la gorge.
« Mes chers amis Marmaing, il y a quelques semaines vous avez demandé à ma chère épouse Catherine de parfaire l’éducation de mon bien-aimé filleul Hector. Celle-ci a confié cette tâche à Marguerite qui, si j’en crois ce qui m’a été rapporté, s’en est acquitté avec la science que nous lui connaissons tous.
Selon ce que j’ai entendu, mon filleul est devenu, au contact de cette coquine, un fouteur émérite, habile à donner bon plaisir aux femmes comme aux hommes mais tardif à se vider les génitoires. Ma chère Catherine a d’ailleurs eu l’occasion de vérifier par elle-même les talents de son élève.
Comme récompense de son zèle, je lui accorde de bonne grâce un privilège qui, habituellement, me revient : Le plaisir de dépuceler cette jeune donzelle que Margot vient de nous présenter et que Ninon a instruite à la fornication. »
Un tonnerre d’applaudissement salua ce discours. Puis la Marquise Françoise prit la parole :
• Mon cher ami, j’aurai une faveur à vous demander.
• Et quelle est donc cette faveur, ma belle et douce amie ? Demanda le Comte.
• Puisque cette jouvencelle est destinée à être foutue par mon fils, je vous prie de bien vouloir m’accorder le privilège de la préparer moi-même à recevoir le vit d’Hector dans son con. Et puisque j’avais chargé ma très chère amie Catherine de son éducation, je lui demande également de m’assister dans cette œuvre.
• Voilà un privilège que je vous accorde avec grand plaisir et si ma douce épouse y consent, je ne vois pas d’obstacle à ce que vous soyez l’une et l’autre les boute-en-train de cette pouliche. Répondit le Comte.
Françoise et Catherine s’approchèrent alors de Suzon. Pendant que Catherine enlevait la chemise de sa servante, Françoise l’embrassa à pleine bouche. Toutes les deux la conduisirent vers une table recouverte d’un fin édredon et la firent s’allonger. La Marquise s’inclina entre les cuisses de Suzon maintenues grandes ouvertes par la Comtesse et commença à la sucer. Suzon manifesta rapidement par des gémissements, le plaisir de se faire sucer par une aussi habile suceuse et comme elle ne pensait pas à refermer le compas de ses jambes, Catherine de Rochefeuille profita de la liberté de ses mains pour malaxer les gros seins de sa servante, pour en tordre les tétons durcis et les pincer entre ses dents. La Marquise et la Comtesse échangèrent plusieurs fois leurs rôles, en s’embrassant à pleine bouche à chaque fois. En femmes d’expérience, elles s’appliquaient l’une comme l’autre à ne pas faire jouir Suzon, gardant cela pour le jeune Hector que Margot avait dévêtu et branlait doucement dans l’attente de la copulation.
Avant que le plaisir de Suzon ne devienne incontrôlable, Françoise de Marmaing fit signe à Hector de s’approcher. La Comtesse Catherine suça son vit tendu pour bien le mouiller et les deux commères poussèrent en avant le jeune Marquis, le vit dirigé vers le fourreau de Suzon par les soins de sa mère.
Hector pénétra cette terre vierge d’un seul coup de reins, poussé par sa mère et l’épouse de son parrain. Suzon poussa un long cri qui n’était pas celui de la douleur mais du plaisir de se faire remplir.
Hector de Marmaing défonça lentement la donzelle haletante et frémissante, les mains soudées à ses hanches rondes et douces.
Soudainement Suzon fut prise de convulsions intenses, son corps se tendit comme un arc, ses cuisses s’ouvrirent à l’extrême et elle hurla de plaisir quand les vagues de volupté l’emportèrent. Le jeune Marquis se retira, Suzon fut aussitôt soulevée, retournée sur le ventre par Sylvère et Aloïs. Le Comte Hector la sodomisa brutalement, rageusement car sa frustration était grande d’avoir laissé son filleul déflorer Suzon a sa place. Le vit du jeune Hector s’enfonça dans la bouche grande ouverte de Suzon et il se vida dans sa gorge en quelques secondes pendant que son parrain défonçait le cul de la servante. Suzon partit de nouveau vers les sommets de l’extase et le Comte se vida les génitoires dans son cul martyrisé.
Le curé bénit ensuite l’ancienne pucelle de cette bénédiction si particulière que Margot et Ninon avait connue quelques mois auparavant, et, branlé par Hortense, il l’aspergea de sa semence en marmonnant.
L’orgie coutumière de ces fêtes put alors commencer après que le Comte Hector et le Marquis Pierre eurent félicité Margot pour l’éducation qu’elle avait donnée au jeune Marquis. Ils le firent en la prenant en double, le Marquis, allongé sur la table, se faisait chevaucher par Margot et la prenait au con pendant que le Comte lui défonçait le cul. Margot cria son plaisir de se faire prendre ainsi par ces deux habiles fornicateurs.
La fête se poursuivit jusqu’au matin, jusqu’à ce que les corps repus de jouissance demandent grâce. Quand le jour se leva, la grande salle à manger était remplie des odeurs de sueur, de foutre, de mouille, de tabac et de la fumée des chandelles. Les corps alanguis en tas des protagonistes épuisés de luxure, la plupart endormis par trop de jouissance ne bougeaient plus, quelques gémissements se faisaient encore entendre au travers des ronflements des dormeurs.
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