Plus d’un an s’est écoulé depuis le mariage d’Hortense. Margot est maintenant totalement à l’aise dans son rôle de première dame de chambre de la Comtesse. Celle-ci va lui confier une mission de la plus haute importance à la demande de la Marquise de Marmaing…
Proposée le 28/02/2019 par Marc Paul
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Margot frappa deux coups légers à la porte de la chambre de la Comtesse et entra.
Catherine de Rochefeuille était toujours dans son lit. Margot ouvrit les volets pour faire entrer la lumière. En ce mois de septembre, la lumière était belle et le soleil inonda la chambre.
• Bonjour Madame, avez-vous bien dormi ? Demanda Margot comme chaque matin.
• Merveilleusement bien, ma fille. Tu as encore fait des prouesses hier soir. Tu m’as fait jouir d’une façon délicieuse. Répondit la Comtesse en s’étirant.
Fréquemment, Catherine de Rochefeuille passait la soirée avec sa première dame de chambre. Selon ses envies, elle demandait parfois à Ninon, Sylvère ou Aloïs de se joindre à elles. La veille, elle n’avait retenu que Margot et les deux femmes avaient baisé ensemble longuement avant que la Comtesse ne sombre dans le sommeil et que Margot retourne dans sa chambre.
• Madame la Comtesse m’a aussi fait bien du plaisir. Elle fait des merveilles avec son vit d’argent. Dit Margot lui renvoyant le compliment.
• Quelles sont les nouvelles, ce matin. Demanda la Comtesse en se levant, coupant court à ces effusions.
• Un cavalier du château de Marmaing a apporté un courrier de Madame la Marquise Françoise. Il est ici sur votre coiffeuse, Madame pourra en prendre connaissance pendant que je la coiffe.
Margot brossa les longs cheveux noirs de la Comtesse et les coiffa en chignon avant d’ajuster sa coiffe avec des épingles. La Comtesse lut le message de son amie et quand elle eut terminé sa lecture, elle s’adressa à Margot :
• Ma fille, je crois que je vais vous confier un ouvrage.
• Je suis au service de Madame. Répondit Margot. Et quel est cet ouvrage ?
• Connais-tu le jeune Marquis de Marmaing ?
• Non, Madame.
• Mes amis Marmaing ont un fils Hector, qui est le filleul de Monsieur le Comte. Il a quinze ans passés maintenant et mon amie Françoise me demande de lui rendre un service. Je pense que tu pourras m’aider pour lui être agréable.
• Et quel est ce service ?
• Lis toi-même et tu comprendras. Lui dit la Comtesse en lui tendant la feuille de papier.
Margot lut avec un peu de difficulté l’écriture fine et penchée de la Marquise. Elle comprit que celle-ci demandait à son amie de faire l’éducation sexuelle de son fils. Après les introductions d’usage, la Marquise écrivait :
« Ma très chère amie, je m’adresse à vous à propos de mon fils Hector, le filleul de votre époux bien-aimé. Hector va sur ses seize ans, c’est un jeune bien fait de sa personne, fort instruit et d’une intelligence vive. Je voudrais, avant qu’il vienne seconder son père au domaine de Marmaing, lui faire apprendre comment se comporter dans des situations que nous avons eu l’une et l’autre maintes fois l’occasion de connaitre avec nos chers époux et aussi quelques un de nos gens. Des situations dont nous avons tous retirés grand plaisir. Vous comprendrez que je veux que mon fils devienne un habile fouteur prompt à donner grand plaisir et bonne jouissance à ses partenaires, qu’il prenne le gout de la fornication comme l’ont son père et son parrain. Je vous demande donc comme un service de bien vouloir prendre à votre charge cette partie de son éducation, ne pouvant demander à Hortense de le faire car sa petite Margot et la tenue de ma maison l’occupent du lever au coucher. »
• J’ai d’abord pensé, m’occuper de cela moi-même. Mais je crains que le jeune Marquis soit impressionné par mon âge et ma position. C’est pour cela que je te demande de la faire à ma place. T’en sens-tu capable ? Dit la Comtesse quand Margot eut terminé sa lecture.
• Je le crois, Madame. Mais peut-être aurais-je besoin d’un peu d’aide. Répondit Margot.
• Tu penses à Ninon ?
• A Ninon, oui bien sûr, mais aussi Silvère et Aloïs. Si vous voulez faire découvrir la bougrerie au jeune Marquis, j’aurais besoin d’eux aussi. Et peut-être aussi la jeune Suzon que Madame a pris, il y a peu, pour son service. Ce joli tendron me semble avoir toutes les dispositions nécessaires pour cela. Mais elle est toujours pucelle…
• Cela peut s’arranger. En ce qui concerne l’éducation d’Hector à la bougrerie, j’ignore si mon amie Françoise l’inclus dans l’éducation que tu donneras à son fils. Je vais lui répondre sur le champ et tu feras porter le courrier à Marmaing par Silvère. De toute façon, je vais lui dire ma décision de te confier le jeune Marquis Hector et les inviter pour la semaine prochaine. Conclut la Comtesse en se dirigeant vers son écritoire.
Quand les Marmaing emmenèrent Hector, il n’y eut pas l’orgie coutumière après le diner. Aucun ne voulait prendre le risque que le jeune Marquis découvre les turpitudes de ses parents et des Rochefeuille avant d’y avoir été préparé par les bons soins de Margot.
Néanmoins, on se réunit dans le salon après le souper, après que le jeune Marquis se soit retiré dans sa chambre. Françoise de Marmaing confirma le choix de la Comtesse :
• Ma chère amie, je comprends et partage votre réticence à ne pas faire vous-même l’éducation d’Hector et j’approuve votre idée de confier cette tâche à Margot. Votre première dame de chambre est une habile coquine, ardente au lit et prompte à ouvrir son cul au vit de nos hommes. Elle sera une préceptrice parfaite.
• Et je précise qu’il faudrait faire connaitre les plaisirs de la bougrerie à mon petit Hector. A défaut de cul de donzelle, un cul de mignon fait parfaitement l’affaire pour bien se vider les génitoires. Ajouta Pierre de Marmaing.
Après cela, tout le monde se retira dans ses appartements, ce qui n’empêcha nullement quelques mouvements à pas feutrés dans les couloirs.
Françoise de Marmaing alla retrouver la Comtesse Catherine dans ses appartements. Silvère et Aloïs l’accompagnait et ils restèrent avec les deux femmes.
Pierre de Marmaing se fit accompagner de Ninon. Un an plus tôt, il avait été impressionné par le vice de la servante de Catherine de Rochefeuille qui s’était si bien occupée, quatre jours durant, de son régisseur avant le mariage de celui-ci avec Hortense. Et s’il l’avait maintes fois foutue, à chaque fois qu’il rendait visite à ses amis, jamais il n’avait eu l’occasion de profiter de son vice en privé.
Il ne fut pas déçu car Ninon se déchaina une fois de plus. Dès qu’elle arriva dans la chambre du Marquis, elle se dévêtit prestement et lui ôta ses habits. Le marquis la jeta sur le lit mais Ninon se libéra de son emprise et debout au milieu de la chambre sous les yeux ébahis du Marquis, elle se branla debout, se fit jouir elle-même de ses propres caresses sur sa chatte et sa jolie poitrine.
A peine son plaisir retombé, elle rejoignit le Marquis sur le lit et le suça habilement. Sa main coulissait sur le dard dont elle léchait la pointe du bout de sa langue. Parfois elle le prenait dans sa bouche, enfonçant le pieu au plus profond de sa gorge en faisant rouler entre ses doigts les génitoires durcis par le désir. Elle faisait monter le plaisir du Marquis Pierre doucement, habilement. Elle sentait son vit palpiter dans sa main, dans sa bouche. Elle mouilla son doigt à son con et sans cesser de le sucer, elle enfonça son majeur dans le cul du Marquis.
Pierre de Marmaing poussa un long râle, un brame de cerf en rut quand sa semence brulante, sa sève en fusion monta le long de sa tige et fusa dans la bouche de Ninon.
• Monsieur le Marquis veut-il un peu de vin ? Demanda Ninon.
• Oh que oui, ma coquine et tu en prendras toi aussi. Répondit le Marquis dans un soupir d’aise.
Ninon remplit deux gobelets d’argent et ils trinquèrent à l’amour et à ses plaisirs.
Pendant que le Marquis savourait son nectar, Ninon qui avait vidé son gobelet d’un trait, s’occupa à redonner vigueur à son vit. Elle le branla un peu, le suça si bien que son dard quitta bientôt l’appui de son ventre pour reprendre une direction plus verticale.
Ninon chevaucha le Marquis, guida son chibre vers sa rosette qu’elle avait pris soin de mouiller de sa propre mouille et s’empala elle-même sur le vit du Marquis. Elle commença une danse faite de mouvements de bas en haut et de haut en bas combinée à un balancier de son bassin. Ninon se branlait en même temps que le Marquis s’enfonçait en elle. Elle jouit en criant, la tête basculée en arrière, le corps entier pris de convulsions violentes. Pierre de Marmaing saisit la jeune soubrette aux hanches pour être sûr qu’elle ne se dérobe pas et il lui défonça le fondement jusqu’à ce qu’il se vide dans son cul palpitant.
• Par les cornes du diable, tu m’as vidé les génitoires, ma commère. Donne-moi ma bourse qui est là sur la table. Pour m’avoir si bien baisé, tu mérites salaire. S’exclama le Marquis.
• Mais Monsieur, sauf votre respect, je ne suis pas une ribaude. J’ai trouvé mon compte et ait prit grand plaisir d’avoir été foutue par Monsieur. Cela vaut toutes les pièces d’or. Répliqua Ninon.
• Foutredieu, que te voilà soudain fière et farouche. Ne te cabre pas ainsi telle une pouliche rétive. Je ne voulais point t’offenser, ma douce coquine. Mais simplement pour te remercier pour ce que tu viens de faire et surtout pour payer la dette que j’ai avec toi. S’esclaffa le Marquis.
• Une dette ! Quelle dette ?
• Celle que j’ai contractée avec toi quand tu as si bien préparé mon bon Louis à devenir père. Il a engrossé Hortense le jour même de leurs noces et c’est grâce à toi. Pour cela et le reste, voilà deux écus d’or. Dit le Marquis en lui tendant les deux pièces.
Un peu plus loin, Margot étaient entrée dans la chambre du Comte. Il était assis sur un fauteuil et fumait du tabac dans une pipe de porcelaine à long tuyau.
• Entre, ma bonne Margot. J’aimerais t’avoir près de moi quelques instants. Lui dit le Comte.
• Tout le plaisir sera pour moi, Monsieur. Que puis-je faire pour vous être agréable ? Demanda Margot.
• Pose tes hardes et viens ici.
Margot se déshabilla, ne gardant que ses bas et sa coiffe. Le Comte lui donna l’ordre de s’assoir sur ses genoux et l’embrassa. Il parla un peu, en la caressant, lui demanda comment elle envisageait d’éduquer son filleul. Margot répondait à ses questions, retenait ses conseils, ouvrant ses cuisses à la main baladeuse du Comte qui la caressait. Parfois il lui tendait sa pipe pour qu’elle goute au tabac qui s’y consumait.
Les caresses du Comte menèrent doucement Margot au bord de l’orgasme. Elle posa sa tête sur l’épaule de son maitre et laissa échapper une série de petit cri quand les premières vagues de l’orgasme montèrent de son ventre. Hector de Rochefeuille la caressa de façon plus insistante. Il conduisit Margot jusqu’au plaisir en appliquant des caresses circulaires sur son petit bouton de plaisir.
Il se leva, porta Margot alanguie dans ses bras jusqu’à son lit et il lui prit le con en levrette. Margot ne se soucia pas de se faire prendre de la sorte. Suivant les conseils de la Marquise, elle refusait l’entrée de son con à tous les mâles mais elle faisait deux exceptions. Silvère parce que les sentiments réciproques qui les unissaient maintenant, méritaient ce cadeau et le Comte car elle savait que ce fouteur savait prendre soin de n’engrosser aucune des servantes du château.
Hector défonçait le con de Margot, lui caressait les seins, les hanches, le ventre et la chatte de ses deux mains libérées car Margot s’embrochait elle-même sur son vit. Elle ressentit son orgasme repartir et jouit de nouveau en criant, le pouce du Comte enfoncé profondément dans son cul.
Hector se retira pour lui foutre le cul. Il délaissa ses caresses pour saisir les hanches de la première dame de chambre et pour l’enculer profondément jusqu’à ce qu’il se vide dans ses entrailles.
• Il te faut aller dormir, ma bonne Margot. Demain tu dois t’occuper de faire de mon filleul le plus grand des libertins. Lui dit le Comte en lui envoyant une petite claque sur les fesses.
• Je m’y emploierais, Monsieur, j’essayerais que le jeune Marquis Hector devienne aussi habile fouteur que son parrain. Monsieur le Comte m’a fait un grand plaisir. Le bonsoir Monsieur. Dit Margot en se rhabillant.
En passant devant la porte de la chambre de la Comtesse, Margot perçu des gémissements d’aise, des cris de plaisir, des râles de male en rut. Ne résistant pas à la curiosité, elle entrebâilla la porte pour voir quelle saynète s’y jouait.
La Marquise Françoise était allongée sur le côté, la tête posée sur la cuisse de la Comtesse dont elle léchait la fente avec gloutonnerie. Avidité d’autant plus grande que la Marquise se faisait foutre par les deux écuyers du Comte, Silvère au cul et Aloïs au con. Tout ce beau monde manifestait son plaisir par des cris, des râles, des gémissements. Si l’heure n’avait pas été aussi avancée, si elle n’était pas épuisée d’avoir été foutue par le Comte, Margot aurait sans doute été joindre ses cris de plaisirs au leurs. Mais elle préféra aller dormir seule et prendre un repos bien mérité.
Le lendemain matin, la Comtesse convoqua le jeune Marquis dans sa chambre. En présence de Margot, elle lui expliqua que celle-ci lui ferait découvrir « une foule de choses belles et bonnes » selon ses propres termes. Elle précisa au jeune homme que celui-ci devait prendre soin d’écouter tout ce que lui dirait Margot comme si c’était elle-même qui parlait. Elle s’enquit de ce que Margot avait prévu pour ce jour.
Margot conduisit le jeune Marquis aux écuries pour que Silvère lui trouve une monture. Alors qu’ils approchaient, Aloïs conduisait un étalon vers l’écurie. L’alezan, les naseaux fumants, envoyait des ruades, tentait de se cabrer malgré la prise ferme d’Aloïs.
Margot et le jeune Hector suivirent Aloïs et son cheval fougueux à l’intérieur. Une jument hennit dès que l’étalon s’approcha et Margot comprit qu’elle allait se faire saillir.
• Voilà une belle occasion et un parfait exemple pour commencer. Pensa-t-elle.
Les deux écuyers aidés d’un palefrenier dirigèrent l’alezan vers la jument. Le vit du cheval se développa sous son ventre, devint rigide tel une épée. La taille du membre de l’animal impressionna Hector qui demanda à Margot :
• Que se passe-t-il ? Quelle maladie à ce cheval ?
• Ce n’est pas une maladie, mon petit Monsieur, ou plutôt si s’en est une. La maladie de l’amour et de la fornication. Répondit Margot en riant de l’ingénuité du jeune Marquis.
• La maladie de l’amour ? Répéta le jeune Hector.
• Oui, c’est cela. Vous voyez cette jument, elle est en chaleur. Vous l’avez entendu hennir, appeler à elle ce bel étalon. Elle veut qu’il la foute. Et l’étalon, s’il est si furieux, si sanguin, c’est qu’il a envie de foutre celle qui l’appelle ainsi. C’est cela la maladie de l’amour.
• Et pour les hommes et les femmes, cela se produit-il ?
• Pareillement. Répondit Margot toujours amusée par les questions d’Hector.
Pendant ce temps, Silvère, Aloïs et le valet avait fait mettre l’étalon en position. Le valet tenait fermement le vit de l’animal en direction du vagin de la jument. Silvère et Aloïs le firent avancer.
La jument hennit encore. Le jeune Hector s’inquiéta :
• Elle a mal de ce faire ainsi malmener.
• Non, Monsieur n’a rien à craindre pour cette belle jument. Au contraire je crois qu’elle hennit parce que cela lui fait du plaisir.
• Fort bien. Dit Hector, peu convaincu.
Après cette leçon de choses, Silvère emmena le jeune Marquis faire une promenade à cheval à travers le domaine. Il voulut faire cela pour jauger son aptitude à conduire une monture pour lui confier ensuite celle qui conviendrait le mieux à sa connaissance de l’équitation.
En fin de cette première journée, le jeune Marquis demanda à prendre un bain. Margot organisa tout cela et s’occupa elle-même de remplir le cuvier avec de l’eau à bonne température. Elle assista aux ablutions du jeune Hector et lui présenta un drap de lin pour qu’il se sèche. Elle le frictionna tant et si bien, insista peut-être trop sur son bas-ventre que le vit du jeune homme se gonfla, s’étira et sa calotte se prit à regarder la voute. Margot, pointant son index vers ce fier bâton, s’exclama :
• Et bien, que voilà un bien joli vit. Comme il est fier et hautain, le coquin ! Mais que faites-vous là, Monsieur….Car elle venait de remarquer que Hector se signait et marmonnait ce qui devait ressembler à un Pater.
Hector, honteux, lui expliqua qu’il avait depuis quelques temps ce genre de manifestation physique et que même un matin, il s’était trouvé avec le ventre couverte d’une humeur gluante. Il en avait alors parlé à son confesseur qui lui avait ordonné de lire un passage de l’évangile à genoux sur les dalles de la chapelle et de se signer et de dire 5 paters à chaque fois que cela se reproduisait.
Margot éclata de rire :
• Voilà une bien curieuse façon de faire passer cela. Je connais une bien meilleure manière et si Monsieur le Marquis veut bien, je vais lui enseigner.
Sans attendre la réponse, elle se saisit de la main du jeune homme, et la guidant de sa main entrelacée à la sienne, elle le fit saisir son vit. Margot lui montra comment se caresser, comment mouiller ses doigts de salive pour que le contact avec le gland décalotté soit plus doux. Elle l’aida à se branler jusqu’à ce que sa semence jaillisse de son vit à deux pieds de distance.
Margot lui demanda alors :
• Est-ce meilleur que les prières ?
• Oh, oui, Mademoiselle. Je me sens faible comme un nourrisson mais j’ai trouvé cela bel et bon.
• Très bien, Monsieur le Marquis devra faire cela chaque soir après le coucher. Je lui ferais porter un mouchoir pour recueillir son foutre et je vérifierai chaque matin.
• Très bien, Mademoiselle Marguerite, je ferai ce que vous demandez.
Pendant une bonne semaine, Margot apportait chaque soir le fameux mouchoir et vérifia chaque matin que celui-ci portait bien les traces révélatrices de la masturbation du jeune Marquis.
Elle entra dans la chambre du jeune Marquis. Ce soir-là, elle n’emportait pas le mouchoir quotidien.
• Bonsoir, Mademoiselle, vous n’apportez pas de mouchoir ce soir ? S’étonna Hector en la voyant entrer les mains vides.
• Non, pas ce soir. Répondit Margot.
Elle aida le jeune Marquis à se dévêtir et à se coucher sur son lit. Mais au lieu de rabattre les couvertures sur son corps, elle glissa ses mains sous sa chemise.
• Mais que faites-vous, mademoiselle ? Demanda Hector surprit de ce changement soudain de programme.
• Si Monsieur le permet, je vais moi-même le soulager. Lui dit Margot en empoignant son vit déjà gonflé.
Elle le branla un peu, doucement puis ayant retroussé sa chemise sa main s’agitât de plus en plus rapidement. Le jeune homme ne fût pas long à se raidir et à envoyer sur son ventre une jolie quantité de foutre que Margot se dépêcha de lécher et d’avaler. Hector déclara que cette façon était encore plus agréable et attendait chaque soir Margot pour sa masturbation quotidienne. Elle lui fit même gouter son propre sperme quand il s’étonna de la voir avaler cela avec gourmandise.
Le jour où Margot prit son vit dans sa bouche, Hector fût surpris une fois de plus mais ne posa pas de questions. Cette belle servante lui faisait découvrir presque chaque jour un univers qu’il ignorait et qui l’enchantait. Et puis cela semblait être les ordres de la Comtesse Catherine, la chère épouse de son parrain. Enfin les lèvres chaudes et humides de Margot étaient beaucoup plus douces à son vit que les mains de son éducatrice et sa langue combien plus agile que ses doigts.
Une fois pourtant il se confia à son parrain. Celui-ci le questionnait pour savoir s’il appréciait son séjour à Rochefeuille. Hector lui avoua :
• Monsieur mon parrain, je sais bien que cela sont les ordres que votre épouse Catherine a donnés à sa première dame de chambre, mais celle-ci m’apprends des pratiques étonnantes.
• Des pratiques étonnantes…Hum…hum…et lesquelles. Répondit le Comte.
• Elle m’a d’abord appris à caresser mon vit, puis c’est elle-même qui la caressé et maintenant elle le suce chaque soir depuis quelques jours. Je suis surpris parce que ce n’est pas ce que m’avaient enseigné les bons pères qui m’ont pourtant appris tant de choses. Je m’étonne qu’une servante en sache plus qu’eux.
• Je ne connais personne disant qu’il connait tout de la magie des femmes qui ne soit un fieffé menteur. Et les bons pères qui t’ont éduqué ne connaissent rien aux femmes puisqu’ils n’en voient jamais, AH, AH, AH. Ce que tu apprends avec Margot te convient-il ?
• Oh, oui, mon parrain. C’est même très agréable.
• A la bonne heure. Eh bien, mon garçon, continue ! Margot ne t’a certainement pas encore tout révélé de ces mystères. Soit un élève studieux, tu as ma bénédiction.
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