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Bon anniversaire

Pour l'anniversaire d'Arnaud, son père lui offre sa belle-mère pour qu'à son insu, les yeux bandés elle suce son beau-fils.

Proposée le 24/12/2018 par Margot45

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Enfin un week-end bien à eux, sans enfants, Margot et Mathieu allaient en profiter. Chloé qui était en troisième année de médecine avait préféré rester à la fac pour réviser ses prochaines partielles, elle était la fierté de sa mère. Margot jubilait à l'avance de pouvoir dire à ses relations que dans quatre ans, Sa Chloé serait médecin alors qu'elle-même n'aurait que quarante-six ans !

Quant à Arnaud, le fils de Mathieu qui devait fêter sa majorité, était pour ce week-end avec sa mère, qui se plaignait sans cesse à son ex, du genre foutisme de sa progéniture. Mathieu se disait qu'il n'était nul besoin de faire des études pour réussir, que lui-même y était parvenu sans bousculer ses méninges, et que Chloé en ce moment, vu son physique, devait servir de cobaye dans une salle de cours pour de futurs internes es gynécologie.

Mathieu était très porté sur le sexe, c'en était le bonheur de Margot qui aimait la luxure tout en étant guidée par son mari qui jouissait de la voir perdre contrôle dans l'acte, que ce soit dans l'onanisme, où lors de cette fois où ils étaient allés dans un club. Il était candauliste ! Quel plaisir de voir un homme se retourner sur sa femme !

Ce samedi aux alentours de dix-neuf heures, il prépara l'apéritif, de quoi grignoter en savourant un verre de vin blanc. Comme toujours, il s'installa dans le fauteuil du salon et Margot vint le rejoindre en calant ses jambes sous elle sur le canapé. Une musique de jazz rendait l'atmosphère sereine.
- À la tienne mon amour, annonça Margot en levant son verre en direction de son mari.
- À la tienne ma chérie.
- Ça a été ta semaine ?
- Comme toujours, avec des hauts et avec des bas. Mais je ne vais pas me plaindre, l'argent rentre et c'est l'essentiel. Et toi ?
- Rien de spécial, la routine, comme d’habitude.
- C’est-à-dire quelques mains aux fesses dans le métro et des propositions indécentes à ton boulot ? Ajouta Mathieu d’un ton persifleur.
- Si tu aimes à le penser, quoique pas totalement faux ça me gêne pas. Pour changer de sujet, ce soir je nous ai préparé des coquilles saint Jacques, ça te fait plaisir ?
- Hmmm, oui j’adore ! Mais sais-tu ce qui me ferait plaisir avant ?
- Non, quoi ? Demanda-t-elle d’une moue dubitative.
- Une petite mise en bouche, enfin pour toi, et disons une gâterie pour moi.
- T’es sérieux ?
- Pourquoi, tu n’as pas envie ? Après le repas j’aurais repris des forces et on pourra remettre le couvert, non ?
- Une petite gâterie ? Renchérit Margot en se levant nonchalamment tout en arborant un sourire qui laissait paraître une inclination non dissimulée à cette proposition.
S’approchant de son mari, elle lui prit son verre de vin qu’elle reposa sur la table basse et s’agenouilla entre les jambes écartées. Tout en le toisant d’un regard de défi elle déboutonna le pantalon et le tira à sa ceinture tandis qu’il se soulevait pour faciliter son enlèvement. Margot commença à caresser le sexe par-dessus le slip.
- L’envie de monsieur ne demande qu’à se révéler on dirait, non ?
- Oui, c’est pour cela que je demande à une experte d’officier, plaisanta-t-il.
Margot tira sur le slip, le faisant glisser à mi-cuisse. Elle écarquilla les sourcils en découvrant que son mari s’était entièrement rasé.
- Ça te plaît ?
- Non, j’adore ! Puis elle se saisit du membre amorphe qu’elle commença d’aduler de ses doigts jusqu’à ce qu’il prenne corps. Elle se pencha au-dessus du gland et y fit couler un trait de salive pour en maculer la hampe qui commençait à se gorger de plaisir.
- On va pimenter la chose ma chérie, dit Mathieu avant que sa bouche n’œuvre sur son intimité. Il s’appuya sur les accoudoirs pour se lever. Je vais chercher un foulard, je veux que tu me suces sans me voir, pour que tu ne puisses anticiper mes réactions.
- Si tu veux, pourquoi pas ?

Mathieu sortit du salon. Margot en attendant son retour, heureuse de la tournure de la soirée, but une gorgée de vin, et en profita pour ôter sa culotte de dessous sa jupe, devançant la suite de l’épisode. Mathieu revint avec un foulard qu’il prit soin de nouer sur la nuque de sa femme, puis il s’assura qu’elle ne vit rien. Posant son index sur sa bouche, il fit signe à son fils Arnaud caché depuis le début de la soirée, de le rejoindre sans faire de bruit. Le gamin nu comme un ver se vautra dans le fauteuil, tandis que son père déboutonnait le chemisier de sa belle mère avant de tirer sur les balconnets qui décalottèrent les seins lourds de leur carcan.
- Tu es très désirable ainsi, lui dit-il.
Mathieu l’entraîna vers le fauteuil et la fit s’agenouiller entre les jambes de son fils tout en contournant le siège, et plaça son visage contre celui d’Arnaud.
- Vas-y ma chérie, montre-moi que tu es une suceuse émérite.
Margot refit la même chose que précédemment et s’étonna que le sexe fut déjà érigé.
- C’est de voir tes mamelles balloter sous toi ma chérie qui me rend dans cet état. Allez commence.
La verge d’Arnaud disparut entre les lèvres avides. Margot menait la cadence, goutant le plaisir de faire coulisser cette peau fine dans sa bouche tout en jouant de temps à autre de sa langue sur le bourrelet du gland. Très vite une de ses mains se réfugia sous sa jupe à la quête d’une seconde délectation qu’elle se revendiquerait de ses doigts inquisiteurs. Mathieu se forçait à gémir alors que son fils s’en retenait. Le bras tendu il immortalisait la scène de son Smartphone, Arnaud levant le pouce en signe de satisfaction, autant celle de se faire sucer que de l’être par sa belle-mère.
Elle aspirait le gland à la recherche du liquide âcre, prémices de l’éjaculation, allant jusqu’à essayer d’introduire le bout de sa langue dans le méat, pratique que son mari appréciait.
- Tu aimes ? L’interrogea-t-elle dans ses gémissements.
- Continue ma chérie, vas-y, branles-toi bien.
- Tu veux ? Demanda Margot qui tendait ses doigts gluants de son essence féminine vers la bouche d’Arnaud.
- Non, non, se défendit-il de peur qu’en se délectant de cette jute, sa femme se rendit compte de la supercherie puisqu’Arnaud portait une prothèse dentaire. Je veux plutôt que tu te goûtes, suces tes doigts ma chérie.
Margot s’exécuta assez rapidement, trop impatiente à donner et recevoir le plaisir de son mari. Comme une goinfre elle se précipita sur la verge pour s’en repaître de sa bouche avide, tandis que ses doigts insinués dans sa vulve lui apportaient un autre bien-être.

Voyant que son fils était au bord de l’extase, Mathieu se mit à émettre des borborygmes de griserie salace. Arnaud ne se retint pas et se mit à éjaculer par saccade dans la gorge de sa belle-mère. Margot poursuivit de se contenter entre ses cuisses humides avec plus de frénésie pour rejoindre la jouissance de son homme qui continuait de se répandre en elle. Arnaud s’était légèrement courber pour pouvoir caresser la poitrine laiteuse, pinçant au détour les tétons qu’il faisait rouler sous ses doigts.

La pression retombait, les respirations se faisaient plus amples, Margot semblait déguster le liquide visqueux qui coulait dans sa gorge. Toujours agenouillée, elle s’était redressée entre les jambes de son beau-fils. A ce moment Mathieu lui dit :
- On dit quoi ma chérie ?
- On dit quoi, quoi ? Retourna-t-elle la question. Que c’était bon et que j’ai hâte d’être après le repas pour la suite, c’est ça ?
- Non chérie. On dit, bon anniversaire Arnaud !
Arnaud n’avait cessé de malaxer la poitrine et c’est son regard fixer dans ceux de sa belle-mère lorsque Mathieu dénoua le foulard qu’il lui rétorqua :
- Merci belle-maman, celui-là je ne risque pas de l’oublier.
Comme réveillée d’un cauchemar, le regard de Margot allait de Mathieu à Arnaud, essayant de comprendre la supercherie dont elle venait d’être victime.
- Maintenant je veux bien gouter tes doigts, le défia-t-elle.
Ces paroles, sans doute de trop, la firent réagir. Elle se leva d’un bond et s’éclipsa vers la salle de bain en leur faisant un doigt d’honneur rageur.

Arnaud rentra chez sa mère, les coquilles saint Jacques restèrent au congélateur, et deux heures plus tard, et deux autres bouteilles de vin blanc après, Mathieu faisait l’amour à sa femme, riant tous deux de cet apéritif, quoique Margot ne savait comment aborder son beau-fils la prochaine fois.

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Commentaires de l'histoire :

Antigonos
Un beau texte. Mais la fin était à prévoir.
Posté le 4/10/2020


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