Cinéma de quartier.

Paul, voyeur affirmé, demande à sa femme Rose qui ne rechigne pas devant une bonne queue. Ordinairement, il invitait des potes à la maison pour baiser sa femme. Mais là, il passe au degré supérieur. Il demande à sa femme de se donner à d'autres dans un lieu public.

Proposée le 11/04/2022 par amandine1

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Cinéma
Type: Fantasme

Paul, voyeur affirmé, regarde sa femme Rose, elle qui n'a jamais rechignée à une bonne queue, lorsque son mari invitait des potes pour la sauter. Là, ça demande, monte d'un degré, il lui propose de la faire baiser par d'autres, pas à la maison mais, dans un lieu public. L'idée émoustille Rose qui accepte immédiatement. Il lui propose le cinéma porno du quartier, qui à juste titre à la réputation de lupanar.

Rose s'habile comme une pute, elle omet de mettre une culotte sous sa courte jupe ni de soutien-gorges sous son top moulant. Paul achète deux billets, les deux entrent dans la salle obscure, petit à petit les yeux s'habituent à l'obscurité. Le couple remarque un petit attroupement au troisième rang, Paul et Rose approchent, ils aperçoivent une femme faire l'ascenseur sur la queue d'un type, son corps monte et descend sur la verge tendue. Deux hommes se masturbent en regardant la femme, prendre du plaisir. Juste à côté, une vieille de soixante-dix, soixante-quinze ans, habituée à ce lieu de débauche, geint en regardant le couple baiser. Un troisième homme lui relève la robe, étrangement, elle n'a pas de culotte. Il constate que la vieille a les cuisses dégoulinantes de cyprine. Il voit aussi un petit cordon qui lui sort de la chatte.

Il tire dessus, la vieille gémit, l'homme tire plus fort, contre toutes attentent, apparait une paire de boule de geisha. L'homme l'extrait de la chatte baveuse de la vieille, il entraine avec les boules, un flot de cyprine. La femme, pousse d'innombrables, soupirs puis, se laisse tomber sur un siège, elle sort de son sac à main un gode de fort diamètre et le tend à l'homme qui, s'en saisit et lui plante dans la chatte jusqu'à la garde. La femme pousse un cri rauque, elle agite son bassin en grommelant à l'homme :

-Ramone-moi la chagasse salaud !

Paul et Rose prennent place dans la rangée qui précède la femme qui ne cesse de monter et descendre sur la queue plantée en elle. Deux autres personnes entrent dans le cinéma, ils s'approchent de Rose, Paul se décale de plusieurs sièges. Les hommes prennent place de chaque côté de Rose, Ils regardent quelques minutes le film, puis sortent leurs queues et se branlent en ne perdant pas une image. Une main se glisse sous la jupe de Rose et la remonte un maximum, elle lui écarte les jambes et se plaque contre sa chatte humide. Une main de l'autre homme lui remonte sur les seins, le top et libère les lobes charnus. Rose s'avance un peu sur le siège, les doigts de l'inconnu lui triture le clito, Rose jette sa tête en arrière, en soufflant comme une bête. La faible lumière qui éclaire les allées permet de quand même de voir ce qui se passe dans les rangées. Paul a sorti sa queue, il regarde sa femme gémir sous les doigts des deux hommes. Ses mamelons sont étirés, sa chatte fouillée profondément, Rose s'agite, elle souffle en serrant les dents. Soudain on délaisse sa chatte. Déçue elle redresse la tête, elle n'a pas le temps de dire un mot qu'elle pousse un cri. L'homme vient de lui planter dans la chatte un objet, Rose se cabre. Paul s'approche pour voir ce qui se passe.

L'homme fouille sa femme avec une matraque, il sait la manier le bougre, se n'est sûrement pas sa première baise qu'il, fait avec engin de gros diamètre. Rose se met à couiner et à râler de plaisir. L'homme accélère, il ressort la matraque et la replonge violemment dans les entrailles dilatées de Rose, qui grogne à chaque mouvement de l'engin en elle. Le ramonage est terrible, Rose se mord la main, elle ne vaut pas hurler de plaisir devant tous ses inconnus. Elle se bloque en cambrant les reins et explose de jouissance, sa cyprine gicle, l'homme continu de la ramoner un bon moment avant de ranger la matraque de la jouissance. L'homme ordonne à Rose de s'empaler sur sa queue, elle enjambe le demandeur, saisit sa queue raide et la dirige vers sa chatte détrempée.

Elle s'empale en poussant un long râle. Dans la rangée de devant ce n'est que gémissements et couinements, la vieille jouit plusieurs fois, son corps et tremblant, elle supplie l'homme de continuer de lui ravager la chatte. Une mare de jus féminin s'étend sous elle. La cavalière, à chaque descente de son corps sur la verge qui la transperce, reçoit par un homme une claque sur les fesses, cela la stimule encore plus, elle s'agite comme une forcenée et explose de jouissance, en hurlant.

Rose s'accroche au cou de son baiseur, elle sent contre son anus le gland de l'autre homme, elle se cambre un peu plus, pour offrir son anneau à l'étranger. L'homme s'agrippe à ses hanches et pousse fortement, Rose ne peut s'empêcher de pousser un cri, bien qu'habituée à la sodomie, le gredin est bien monté, il lui distend le canal pendant la forte poussée. Prise comme elle aime l'être, elle se met à gémir de plus en plus fort sous les assauts interminables des deux baiseurs. Tout en la baisant, l'homme lui suce les mamelons. La tension monte de plus en plus, Rose serre les dents, Paul l'encourage :

-Vas-y ma chérie, donne-toi à font, ne te retiens pas, jouis, jouis !

Les deux hommes la démontent comme des sauvages, les queues entrent et ressortent comme des pistons dans leurs cylindres. Rose ne se retiens plus, elle hurle si fort de jouissance, que tout le monde la regarde et s'approche pour voir la jouisseuse. Les deux hommes finissent par déverser leurs semences, dans les orifices en feux de Rose qui geint toujours. Paul lui offre sa queue, Rose se régale, elle suce, te tète comme une affamée, Paul lui remplit la bouche de sperme en grognant comme un fauve. Rose avale le nectar qu'elle adore.

Elle se fait défoncer, par toutes les personnes qui le souhaitent, son cul et sa chatte sont dilatés, à l'extrême par, les nombreuses jouissances et aussi les nombreuses pénétrations. Gavée et épuisée, elle s'affale sur le siège, certaines personnes la félicitent pour sa performance. La vieille se fait toujours éclater, maintenant ils s'y mettent à plusieurs pour la faire délirer.












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