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Un itinéraire candauliste 2

Confondue par des preuves irrécusable, mon épouse infidèle et joueuse ne peut plus déguiser les jeux obscènes et les relations sexuelles qu'elle entretient avec un de ses collègues de travail. En bon mari candauliste, j'exige un récit détaillé de leurs turpitudes.

Proposée le 2/09/2018 par SirStephen2

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


A ce stade des confidences de Sonia, j’en arrivai vraiment à me demander si ces jeux pervers d’exhibition plus ou moins « forcée » avec Marco n’étaient pas simplement la pointe de l’iceberg. En d’autres termes, n’auraient-ils pas eu de véritables rapports sexuels ? Cette période d’incertitude fut de courte durée, car je reçus brutalement des éclaircissements qui balayèrent toute ambiguïté.

Une collègue de Sonia, visiblement très envieuse de l’aura érotique de mon épouse et des attentions constantes qu’elle suscitait auprès de la gent masculine, avait tenu à « m’avertir de certaines choses ». Après avoir fait un peu mine de tergiverser, cette bonne âme finit par cracher le morceau : Marco se tapait Sonia à coup sûr au vu de certains signes évidents. J’apprenais ainsi qu’ils s’étaient roulé des pelles devant tout le monde en dansant un slow lors de la soirée de fin d’année du cercle hippique ; au cours de cette même soirée, très arrosée, Marco avait même mimé une cavalcade obscène en saisissant Sonia par les hanches ; ils avaient aussi disparu un assez long moment, avant de revenir dans un drôle d’état, mi-hilares, mi- essoufflés. Enfin, Marco ne se gênait pas pour mettre des mains au cul à mon épouse en toute occasion, ce dont Sonia avait l’air de bien s’accommoder. Et ça ne s’arrêtait pas là… Sonia la joueuse s’amusait à allumer les autres mecs du manège. Elle avait coutume, par exemple, de remplacer la traditionnelle bise par un petit smack sur les lèvres. Toujours pétillante, elle virevoltait autour des garçons en riant, en les laissant bien mater son décolleté. On imagine à quoi pouvaient bien penser les gars en voyant ma femme, d’autant plus que Marco n’arrêtait pas de les abreuver de récits salaces sur les cochonneries qu’il faisait avec Sonia.

La collègue bien intentionnée s’était senti d’autant plus libre de charger Sonia qu’elle venait tout juste de quitter le cercle hippique et ne risquait donc plus de rencontrer mon épouse. Ses confidences m’avait laissé vraiment abasourdi, mais aussi passablement excité. Plus que jamais, j’avais besoin d’explications. Celles que j’obtins le soir même furent particulièrement tendues. Sonia avait commencé par tout nier en bloc, mais devant la précision des faits que je lui rapportais, elle avait bien été obligé d’admettre. Simplement, après avoir cherché à tout nier, elle s’employait à minimiser la portée de chaque épisode. Le smack sur les lèvres à tout le monde ? c’est une coutume du manège, il n’y avait pas qu’elle qui faisait ça. Rouler des pelles à Marco en pleine soirée ? elle ne savait plus trop, car ils étaient passablement éméchés. Et les mains au cul ? C’était pour rire. Excédé par tant de mauvaise foi, je changeai de ton et la sommai en hurlant d’arrêter de me prendre pour un imbécile et de me dire très précisément tout ce qu’elle avait fait avec Marco. Sonia fondit alors en larme comme une petite fille et me dit qu’elle regrettait, qu’elle me demandait pardon. Regrets, pardon, oui, mais de quoi ? « Raconte-moi tout et qu’on en finisse ! ».

Sonia passait donc aux confidences. Après avoir cherché à nier tout en bloc ou à minimiser, elle se jetait à corps perdu dans les aveux les plus complets, pour se soulager, pour afficher son « entière coopération », comme on dit dans les affaires judiciaires. A la question « Est-ce qu’il t’a pénétrée ? », un « oui » sincère et immédiat était sorti de ses lèvres. Combien de fois ? Souvent. C’est-à-dire ? Presque tous les jours ? Mais vous faisiez ça où ? A la sellerie du manège, ou des fois chez Marco. Donc mon épouse allait se faire sauter comme ça tranquillement quand je la quittais après le petit-déjeuner ; ça faisait partie du programme de sa journée. Une sorte de vertige me saisit en découvrant l’étendue des faits. J’avais l’impression que mon sang n’irriguait plus mon cerveau, mais ce qui est sûr aussi c’est qu’il avait afflué dans ma verge, car j’avais une très forte érection. Mû par le désir bien légitime de faire toute la lumière sur les agissements de ma femme et certainement aussi par l’excitation de plus en plus intense, qui le disputait avec la colère, je poussais Sonia dans ses derniers retranchements et exigeait qu’elle me détaille chacune de leurs pratiques. Chaque révélation me traversait comme un éclair. Elle suçait Marco assidument, notamment en voiture, quand ils allaient chez lui. C’était pour le mettre en forme, me disait-elle. Elle le suçait aussi au manège, et une fois, quelque instants après avoir tout avalé, elle avait croisé Gianni, à qui elle avait donné un petit smack sur les lèvres, riant intérieurement en pensant à la forte odeur de pipe qu’il n’avait sans doute pas manqué de percevoir. Partie sur sa lancée, Sonia avait progressivement changé de ton ; celle qui s’exprimait n’était plus l’épouse honteuse et repentante face à son confesseur, mais une joyeuse polissonne débitant ses gaudrioles. Parfois, elle hésitait quand même un peu, prenait quelques précautions, tout de même. Elle me dit ainsi que cette crème apaisante pour le mains que j’avais cherchée partout (je travaillait alors le ciment, ce qui dessèche beaucoup la peau), c’est elle qui l’avait prise. Pourquoi ? Tout simplement pour se lubrifier. Explications : Marco avait essayé de la sodomiser en la préparant avec ses doigts. Mais la salive ne suffisant pas à faire glisser sa grosse queue dans le cul de mon épouse, Sonia, avait pensé à ma crème pour les mains. Et la fois d’après, tout s’était bien passé. Il avait pu l’enculer à souhait en lui claquant les fesses et lui tirant les cheveux. Elle s’était sentie très femme, très femelle.

N’y tenant plus, je me saisis de ma salope de femme la retournai et lui administrai une magistrale fessée. Claquer le postérieur de mon épouse, investi le matin même par la queue de son amant, m’excitait au plus haut point.
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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
une histoire passionnante, pour un mari candauliste,et la suite?
Posté le 16/09/2018

cocuforever
vivement une suite de ce qui devrait être un commencement
Posté le 10/09/2018

cocuforever
très bon récit candauliste, à suivre/
Posté le 10/09/2018


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