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Un itinéraire candauliste 1

Description des différentes étapes grâce auxquelles ma jeune épouse m'a fait découuvrir les joies du candaulisme. Le premier récit sera consacré aux débuts de l'aventure: du soupçon d'infidélité à sa découverte

Proposée le 19/08/2018 par SirStephen2

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Le candaulisme est une étrange passion, aussi dévorante qu'incompréhensible. Elle commence souvent, si j'en crois les témoignages que j'ai pu lire, par la découverte d'une infidélité féminine.

C'est en tout cas, de cette façon qu'elle s'est introduite en moi.
Tout remonte au milieu des années 2000. Nous vivions alors en Italie et mon épouse, Sonia (qui correspond en tout point aux canons de la beauté romaine: gros seins, cheveux bouclés, lèvres charnues, visage magnifique de madone sensuelle), travaillait dans un centre hippique où elle donnait quelques cours à des enfants. Elle avait fait la connaissance de Marco, un maître de manège assez autoritaire, mais "marrant quand même", selon ses termes. Marrant en quoi? Eh bien par exemple pour ses plaisanteries salaces sur le sexe des chevaux. Lorsqu'ils se trouvait seul avec elle dans les écuries, Marco ne manquait jamais de lui dire de s'approcher, d'établir des comparaisons, de lui demander de s'imaginer un peu... Sonia riait de bon coeur et me racontait ça le soir quand nous nous retrouvions, ce qui ne manquait pas de m'intriguer et de susciter en moi des sentiments partagés, faits de perplexité, d'inquiétude et de vague plaisir. Un jour, Sonia me dit, comme ça en passant, que Marco, avait en quelque sorte joint le geste à la parole: à la faveur d'une de ses comparaisons salaces, il avait tout simplement sorti sa bite. Il s'était mis à côté du cheval, exhibant une belle érection et avait demandé à Sonia de se dégarnir un sein, histoire de l'encourager. Ma belle s'était exécutée, se prêtant au jeu sur le ton de la plaisanterie. Pour le coup, cette confidence m'avait ébranlé et suscité ma colère. Pourquoi s'énerver? me demandait Sonia; c'était juste pour rigoler. Il ne s'était rien passé, il ne l'avait pas touchée. J'avoue que je ne savais pas comment prendre ça; je m'apercevais que je ne connaissais peut-être pas très bien Sonia avec qui je ne vivais que depuis quelques mois. Toujours est-il que Sonia avait le don de calmer ma colère au cours des rapports sexuels débridés et quasi constants que nous avions alors. Je finissais donc par admettre comme "normale" une situation qu'un de mes meilleurs amis, que j'avais mis dans la confidence, trouvait complètement surréaliste. "Quoi? elle accepte de le regarder se branler et de se mettre les seins à l'air?! Mais c'est dingue, c'est vraie salope". Mais ces amicales mises en garde n'avaient pas vraiment de prise sur moi. Je reconnaissais le bien fondé de l'indignation de mon ami, mais Sonia la rieuse m'ensorcelait.

Je pris donc l'habitude de recevoir sans me fâcher ces confidences concernant leurs rencontres dans les écuries. Marco avait recommencé ses exhibitions. Sonia me décrivait son sexe, très "arqué" et veineux. Elle me décrivit aussi un soir la quantité de sperme qu'il avait déchargé. Donc il ne s'agissait pas d'une simple exhibe ludique. Il jouissait purement et simplement avec sa complicité! Le problème était de comprendre les termes exacts de cette complicité...

Comment se comportait-elle au juste, quelle part de responsabilité avait-elle dans tout cela ? Aucune, à l’en croire. C’était Marco qui l’appelait, Marco qui l’entraînait, qui l’obligeait à participer à ces jeux. « Comment ça qui t’oblige ? ne manquais-je pas de lui dire. Si tu n’avais pas envie de le voir se branler, tu n’aurais qu’à partir ». A ces questions précises et bien légitimes, Sonia répondait toujours par de mauvaises raisons, du style « je ne pouvais pas sortir parce qu’il s’était mis juste devant la porte », ce qui avait le don de m’agacer. Mais je devais me contenir, faute de quoi Sonia se fermait complètement et prenait un air sombre, m’accusant d’être un vrai rabat-joie. Craignant plus que tout de rompre la communication et d’être tenu à l’écart de leurs jeux, je me résignais donc à accepter sans sourciller les justifications de ma chère et tendre, si peu plausibles fussent-elles. Entrant dans son jeu pour chercher à en savoir plus, je feignais donc de prendre à la plaisanterie tout ce qu’elle m’avait raconté. « Et au fait, tu ne lui as montré que tes seins ou quelque autre partie de ton anatomie ? » « Quoi ? » avait-elle répliqué bêtement, visiblement pour gagner quelques secondes de réflexion. « Non, non. Enfin, juste une fois ». « Juste une fois quoi ? », répliquai-je l’air faussement détaché alors que je venais de prendre un gros coup au cœur. La fois en question, la discussion avait porté sur les différents types de coupe de toison pubienne et Marco avait marqué sa préférence pour les tickets de métro. A cette époque, Sonia ne portait pas exactement ce type de coupe, mais quelque chose d’approchant : un très mince ruban de poils vertical, le reste étant méticuleusement épilé. Marco, qui ne se représentait pas assez clairement la chose avait demandé à voir. Il avait tellement insisté, m’avait-elle dit, qu’elle avait fini par lui montrer ce que ça donnait. Sinon, il ne l’aurait pas laissée partir. Soit… « Bon, et alors, ça s’est passé comment ? Tu as soulevé ta robe et baissé ton slip ? » Oui, c’était à peu près ça. Piqué au vif par cet « à peu près », je lui demandais des explications plus circonstanciées. En fait, quand elle s’était reculottée, Marco n’était pas pleinement satisfait. Il voulait savoir si elle était vraiment lisse de partout, si la moindre petite pilosité n’avait pas été oubliée. Il lui avait donc demandé de retirer son slip, de soulever sa jupe et de bien se pencher en avant. Visiblement amusée par cette chasse au poil, Sonia avait une nouvelle fois satisfait aux exigences du maître de manège. Une image absolument ahurissante s’imposait à moi : mon épouse déculottée, pratiquement à quatre pattes se faisant inspecter les parties intimes par son collègue de travail. Contenant à grand peine le flot de mes émotions, je lui ai demandé s’ils en étaient restés là. Oui, sauf que Marco s’était emparé de son slip, sur lequel il avait trouvé une belle tache de mouille… Il l’avait alors humé en intimant l’ordre à mon épouse de ne pas bouger de sa position. Il s’était ensuite branlé dans la mince étoffe, la traitant de « troia », de « puttana » et, après joui, avait tenu à conserver l’objet de son larcin. Mon épouse en avait donc été quitte pour revenir du travail sans culotte…

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Commentaires de l'histoire :

Komlan
Édifiant récit. Je suis tout simplement en train de me révéler à moi même grâce à ce récit. J'y reconnais presque à 100% ma compagne qui se donné de temps à autre à des jeux très semblables. Moi aussi, je suis partage entre vives excitations et colère, par exemple lorsqu'elle me raconté qu'elle à été obligée de le voir se branler jusqu'au sperme devant elle ! Merci !
Posté le 13/11/2018


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