Iris a à présent retrouvé Loïc. Ils passent leur nuit ensemble puisque le chalet ne possède qu'une seule chambre. Elle essaie de résister toute la nuit à ses envies, mais ça sera plus compliqué que prévu.
Proposée le 17/08/2018 par Iris
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Tu as fait bon voyage ?
- Oui c'était rapide j'étais perdue dans mes pensées je n'ai pas vu le temps passer ...
- Tant mieux alors, j'étais en train de nous faire à manger , dit-il en se dirigeant vers la porte du chalet, entre je t'en prie.
- Merci. Qu'est-ce que tu nous as préparé de bon ?"
Nous discutons quelques temps, le temps qu'il termine la cuisson de ses lasagnes et qu'il mette la table. Une fois le repas expédié nous allons vers la chambre (le chalet ne possédais pas de salon mais une grande chambre). Je contaste alors qu'il n'y a qu'un seul grand lit... Je vais devoir dormir avec lui... Je ne veux vraiment pas faire de conneries, c'est mon ex, nous avons rompu, je suis amoureuse de Dylan et c'est tout ... Mais Loïc m'attire toujours énormément... Ce n'est pas grave je prendrai sur moi, et puis lui aussi de toutes façons, il ne tentera rien.
"Ferme les yeux je vais me changer, dis-je en me mettant dos à lui
- Oui madame, ils sont fermés."
Je sentais toujours le poids de son regard sur mon dos mais j'enlevais tout de même mon t-shirt.
J'aurais tout simplement pu aller dans la salle de bains pour me changer tranquillement, mais c'est vrai que j'aime aguicher, flirter.. mais quand je le fais en général c'est sans arrière pensée et juste pour le plaisir de savoir que je plais... Là c'est un peu dangereux.
Je détache mon soutien gorge (et je n'y arrive pas du premier coup, ni du deuxième, et pas du troisième non plus)
J'enfile mon débardeur, puis j'enlève lentement mon jean, le faisant passer sensuellement sous mes fesses, m'asseyant sur le bord du lit avec les fesses légèrement cambrées et fais glisser le jean sur mes cuisses pour m'en débarrasser. J'enfile ensuite mon (tout) petit short de coton, je m'attache les cheveux et je me retourne.
Je le vois, regard rivé sur moi, un grand sourire aux lèvres : "la prochaine fois tu peux me demander de l'aide pour détacher ton soutien gorge
- Et puis quoi encore ?
- Quoi ? Je te connais par coeur nue de toutes façons, c'est pas détacher ton soutien gorge qui y changera quelque chose. Allez viens, dit-il en levant le drap pour que je vienne y prendre place. Il était en caleçon / t-shirt.
- Tu me connais peut être par cœur, dis-je en prenant place à ses côtés, mais c'est une question de respect pour mon copain...
- Allez parlons d'autre chose, dit-il en me prenant dans ses bras en cuillère. Ça me fait du bien de te retrouver, je veux juste de la tendresse."
Je me laisse donc aller dans ses bras. S'ensuit un grand moment de silence agréable. Je sens peu à peu son sexe durcir contre mes fesses, et j'apprécie le fait de toujours l'exciter. Je le sens très gros mais je sais qu'il bande à peine, il a juste une énorme bite, même sans bander.
Il me demande des papouilles sur le ventre, je me tourne et je m'exécute. Je le sens frissonner à chaque fois que je caresse la bordure de son caleçon. Je m'amuse à passer mes doigts en dessous juste sur le début de son pubis et il enfonce directement ses ongles dans ma peau. Je vois son sexe grossir de plus en plus dans son caleçon, et jai du mal à l'éviter lorsque je passe mes doigts. Il devient tellement dur que sa bite se met à dépasser de son caleçon toute seule sur quelques centimètres. Gêné il essaie de la remettre dans le caleçon mais elle refuse de rentrer. Ça m'amuse, et j'en fais les contours sans la toucher une seule fois. Je le sens gémir et se mordre les lèvres. J'arrête avant qu'il n'en puisse plus et qu'il me saute dessus. Je me retourne comme tout à l'heure, mon cul contre sa bite dure, et lui demande des caresses.
Il se met à me faire des papouilles sur le ventre et les côtes, s'arrêtant à la limite de mes seins lorsqu'il monte, et à la limite de ma culotte lorsqu'il descends. Je me mets à mouiller très rapidement mais j'essaie de ne rien laisser transparaître.
Loïc m'attrape par la taille et me colle un peu plus à lui, j'en profite pour écraser mes fesses sur sa bite, en faisant passer ce geste pour une conséquence du mouvement qu'il a fait. Il s'en est cependant rendu compte puisqu'il presse lui aussi un peu plus sa bite contre moi. Sentir cette bite à travers son caleçon me rend complètement folle... Si ça ne tenait qu'à moi je la sortirais de son carcan et l'enfournerais dans ma bouche ... Ou ailleurs
Trop concentrée sur ces parties là de nos corps, je ne remarque pas ce qu'il se passe un peu plus haut, jusqu'à ce que je sente mon téton sollicité. Ça m'excite encore plus, mais je prends sa main et la remet sur mon ventre. Un câlin ça va, mais s'il me touche ici et que je le laisse faire, autant qu'on baise carrément puisque dans tous les cas j'aurais été infidèle. J'essaie de me convaincre que le fait de me frotter contre lui n'est pas de l'infidélité mais que ça pourrait ne pas être fait exprès.
La main que j'ai repositionnée sur mon ventre se met à glisser sur ma cuisse et il continue à m'y faire des papouilles, et je sens en même temps son souffle se rapprocher de mon oreille. Il m'attrape le lobe de l'oreille avec sa bouche et le mordille délicatement, puis descends dans mon cou avec sa langue. L'effet est immédiat, je me mets à onduler et à me frotter contre sa bite tout en mouillant de plus en plus.
"Je suis sûr que tu mouilles comme une folle
- Non pas du tout
- Tu me laisses aller vérifier ?
- Non Loïc, on ne doit pas
N'écoutant pas, il glisse un doigt dans la culotte, le passe sur mon clitoris trempé, et le ressort aussi vite
- C'était juste pour vérifier, s'excusa-t-il, un sourire dans la voix, je ne me trompais pas tu es complètement trempée"
Et il remet sa main sur ma cuisse. Je n'ai pas réagi, mais son doigt sur mon clitoris "juste pour vérifier" m'a tellement excitée que j'aurais pu attraper sa bite et me l'enfoncer dans la chatte sur le moment si je ne m'étais pas retenue.
Je me mis donc à me frotter de plus belle à son énorme bite, et je sentais son bassin répondre à mon mouvement. Il attrape mes fesses à pleines mains mais je me dérobe, toujours dos à lui.
Il m'attrape alors les cuisses, juste en dessous des fesses, et il me les écarte. Ce qui m'écarte également les lèvres de la chatte, ayant pour effet de m'exciter encore plus (si c'est toutefois possible).
Il attrape mon oreille doucement avec ses dents et pendant que je réagis à cela il se colle entre mes cuisses écartées. Pour être plus précise, il y glisse sa bite, qui s'est libérée entièrement de son caleçon comme par magie.
Je me retrouve donc dos à lui, dans ses bras, avec sa bite entre mes cuisses juste en dessous de ma chatte (si je n'avais pas mon short je sentirais sa bite sur mes lèvres et sur mon clitoris).
Je ne bouge plus, essayant de me calmer face à cette vague d'excitation, mais le voilà qui entame des mouvements de va et vient lent mais appuyés, frottant contre ma culotte. Mes yeux se révulsent et je me laisse aller dans ses bras.
Pendant qu'il se branle entre mes cuisses (ce geste me masturbe également à travers mon short), il attrape le haut de ma culotte qui est au niveau de mon pubis, et il la tire vers le haut, me faisant un espèce de string au niveau de la chatte. Il l'attrape de l'autre côté également, au niveau des fesses, et la tire dans l'autre sens. Il fait ainsi des mouvements de va et vient avec ma culotte, me masturbant avec ma culotte d'une part, et sa bite de l'autre entre mes cuisses.
J'ai les yeux révulsés, j'essaie de trouver la force de le repousser mais c'est tellement bon que je n'arrive pas à sortir de cette sorte de transe sexuelle.
J'ai envie qu'il me retourne et qu'il m'empale sur sa bite. Je me mets à gémir et je m'approche de l'orgasme.
Tout à coup, il s'arrête, et range sa bite dans son caleçon.
Je me retourne vers lui, un peu troublée et frustrée par l'orgasme qu'il m'avait refusé et il me dit :
"Déjà à l'époque tu étais mon jouet sexuel, tu as beau essayer de te convaincre que tu es amoureuse de ton homme, c'est à moi que tu restes fidèle, je peux faire ce que je veux de toi. Tu veux jouir ?"
Ces mots me chamboulent, et mes dernières barrières tombent. Il a raison. Mon cœur appartient peut être à Dylan, mais mon cul est toujours à Loïc.
"Oui ! Je veux jouir
- Oui qui ?
- Oui maître.
- Allez tiens régale toi avec ça"
Il sort un petit gode du placard et me l'enfonce dans la chatte jusqu'à la garde, puis il se recule et me regarde.
J'attrape le gode et le fait aller et venir dans ma chatte, m'empalant avec, dégoulinant de mouille. Je me mets à hurler de plaisir, tout en m'activant à m'enfoncer l'objet de plaisir de plus en plus fort.
Je sens l'orgasme approcher, je me laisse aller et jouis d'une rare intensité.
Il récupère le gode, le pose par terre et me serre dans ses bras en me faisant un bisou sur le front.
"Tu m'avais manqué princesse.
- Toi aussi Loïc, dis-je en m'endormant dans ses bras"
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