Iris 1

J'ai le cœur brisé et une jolie blonde me propose de venir chez elle. Je ne suis pas de ce bord, mais je crois que j'ai besoin de nouveauté et surprendre Iris en train de se masturber dans son lit ne fit qu'eveiller le désir en moi.

Proposée le 4/11/2022 par Lolita

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Thème: Masturbation
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Ce soir, j'ai le cœur brisé. Mon petit ami vient de me larguer et je suis seule dans un bar. A côté de moi, une jolie blonde, mince, vêtue d'un manteau de cuir. Elle me lance des regards en coin depuis tout à l'heure en me souriant. Je ne sais pas ce qu'elle attend pour venir me parler. Je vois qu'elle n'attend que ça.
Alors je m'approche, et lance la conversation :
— Je t'offre quelque chose ? Proposais-je
— Ici ou chez toi ?
Elle est direct au moins.
— Je ne fais pas dans ce genre de choses, dis poliment.
— Dans les femmes tu veux dire ? Reprend-t-elle.
Je hoche la tête en guise de réponse.
— Autant pour moi.
Je rétorque que ce n'est pas grave et que je suis plutôt flattée de me faire draguer et que j'en ai besoin, surtout ce soir.
— Je connais cette mine, une peine de cœur ?
— Touché, dis-je en terminant mon verre.
La blonde s'approche de moi et pose sa main sur la mienne.
— Ça me rend triste de voir les femmes perdre leurs temps avec des hommes qui ne les mérite pas, j'aurais pu être un meilleur petit ami que lui.
Elle me tire un rire.
— La seule solution, c'est de se faire du bien. Alors, bois, danse et trouve un homme à ramener dans ton lit ce soir.
Je secoue la tête, je n'ai aucune envie de coucher avec un inconnu ce soir.
— J'ai plutôt envie de me rouler en boule dans mon lit.
La blonde, dont je ne connais toujours pas le prénom soupire.
— Viens chez moi, je vais te changer les idées. J'ai un super canapé, une chambre d'amie, une grande télé, mes placards sont remplies de conneries à manger le cœur brisé.
Je me laisse tenter, après tout, pourquoi pas.
Je suis la blonde jusqu'à sa voiture, je remarque ses bottes en cuir assorties à sa veste, elles monte jusqu'à mi-cuisse. Sa jupe est courte assez pour voir un petit bout de ses fesses rondes. Je détourne les yeux rapidement.
— Je m'appelle Iris, souffla-t-elle soudain.

Iris n'avait pas mentie, sa maison était incroyable. Et je ne regrettait pas d'être venue. Nous avons regardé un film en mangeant tout un tas de connerie. Iris se mit à bayer.
— Je te laisse un pyjama propre sur le canapé, je vais prendre une douche et dormir. Sers toi dans les placards si besoin, souffla-t-elle.
Je la remercie et attendit qu'elle parte pour prendre le pyjama et rejoindre la chambre d'amis. Je me déshabilla et décida de l'enfiler. Mais rien à faire, mes seins ne passait pas dans Le minuscule t-shirt qu'Iris m'avait donné. Je pris le pyjama entre mes mains et rejoins alors sa chambre, la porte étant entre-ouverte, une lumière tamisée en sortait. Je mapprochais doucement de peur de la réveiller. Mais elle ne dormait pas, les bruits m'interloquèrent avant de réaliser ce qu'il se passait. Iris était assise sur son lit, nue, les jambes écartées. Elle tenait un petit objet noir entre ses mais qu'elle avait placé sur son entre-jambe, des petits gémissements qui semblaient être un mélange entre du plaisir et de la douleur sortaient de sa bouche. Iris se masturbait. Je voulus faire demi-tour mais j'en étais incapable. Mes jambes ne voulaient plus bouger. L'objet noir frottait ses lèvres et son clitoris de haut en bas sous de doux vibrements. Je déglutis. Iris grimaçait de plaisir en posant sa main libre sur sa bouche pour faire moins de bruit. Ce que je faisais était mal. Mais le pire c'est ma sensation que j'éprouvais, l'humidité que je commençais à ressentir dans ma culotte. Les tétons d'iris pointaient vers le ciel et ses orteils se recroquevillaient. Plus elle gémissait, plus mon clitoris pulsait. Quand vient son orgasme, je sentis tous mes muscles se tendre en la regardant se contracter et tenir un oreiller sur son visage. Ses soupires se calmèrent et je meloignais avant qu'elle remarque ma présence.

De retour dans la chambre, je n'avais qu'une envie, jouir. Je retirais ma culotte et sentie immédiatement l'odeur de ma mouille se répandre dans la chambre. Je voulais me masturber. Mais mes doigts ne me suffiraient pas. Alors je marchais, nue, jusqu'à la salle de bain juste en face de ma chambre. Je fermais à clé et fouilla dans les placards, à la recherche de quelque chose qui aurait pu me satisfaire. Mais rien. Iris cachait tous ses jouets dans sa chambre. J'aurais pu utiliser le pommeau de douche mais j'étais supposée dormir et le bruit de l'eau aurait attirée l'attention d'iris. Mon regard derivà sur deux objets.
— Non, tu ne peux pas faire ça... me dis-je.
Mais ma chatte degoulinait et plus aucune pensées cohérentes ne me vinrent. Je pris les deux objets et massied par terre, sur le tapis, dans la même position qu'Iris il y a quelques minutes. Jappuyais sur le bouton et alluma ma brossé à dent électrique de mon hôte. Je posa la tête de celle ci sur mon clitoris et l'effet fut immédiat, c'est exactement ce que je voulais. Mais ça ne me suffisait pas. Alors je crachais sur le manche de sa brosse à cheveu et le fait glisser en moi. J'étais tellement mouillée qu'il entra sans aucune résistance. C'était divin et je ne regrettait pas une seconde mon idée. Je me sentais remplie tandis que mon clitoris vibrait encore et encore. Les larmes me montèrent aux yeux tant c'était bon. Et heureusement pour moi, le plaisir était si intense que je n'arrivais plus à faire un bruit. Mes jambes tremblaient et ma mouille coulait sans s'arrêter. Mon ex ne m'avait pas touché depuis des mois, et je n'avais pas eu de libido depuis bien trop longtemps pour que je m'en souvienne. Mais mon corps me dit merci, et mon orgasme monta en moi. Je ne pu retenir un cri de bonheur quand j'explosais.
Iris m'avait forcement entendue.

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