Mériem fait bien la différence entre l'amour et le sexe. D'un côté, il y a les sentiments, la fidélité et la pudeur. De l'autre, il y a les désirs et ce talent incroyable, transmis de mère en fille....
Proposée le 25/06/2018 par 102beurettes
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
2 mois d'abstinence, un record personnel.
Je traîne comme à mon habitude sur adopte et tinder, je ne cherche pas l'amour loin de là, juste de quoi faire redescendre la pression, les relations sérieuses j'ai assez donné et je ne veux pas remettre ça pour le moment. Tiens, j'ai reçu un charme qui attise ma curiosité.
32 ans, prof de fac, son profil m'interpelle et je décide de lui laisser une chance. Je suis animatrice de centre de loisir et le monde des profs est à la fois proche et si éloigné. J'ai jamais tenté les hommes 10 ans plus vieux que moi, mais je me dis qu'il doit avoir de l’expérience et qu'il me fera grimper au rideau.
On échange quelques mots, je le flique pour être sûr de pas être tomber encore sur un fake : écris mon prénom sur ta main et envoie-moi une photo ! C'est bien lui ! Il a des mains larges... J'ose pas lui demander une photo de sa queue...
On est vendredi, nous avons convenu de nous voir samedi malgré le fait que je suis encore un peu malade, la toux est anti glamour mais ça ne l'a pas freiné sur l'envie de me voir. Seulement une journée pour le connaître c'est court, mais j'en ai marre de toujours douter ou me poser des questions alors je me lance.
Nous avons peu échangé durant ce laps de temps, mais il était à la fois charmant, drôle et cru, un délicieux mélange plein de promesses.
Samedi, 18h30, un dernier coup d’œil au miroir avant de partir, je suis contente de mon apparence. Après 30 minutes de voiture en écoutant la musique à fond et en chantant comme une folle pour me détendre, j'arrive devant sa maison. A peine garée, il toque à la fenêtre de ma voiture. Pas le temps de me préparer mentalement que le voilà déjà, charmant, souriant et exactement pareil que sur sa photo.
Je lui souris et sors de la voiture. Nous nous faisons la bise puis nous nous installons dans son salon avec du thé pour discuter un peu. Il a un beau regard, un joli sourire et il me met tout de suite à l'aise.
Après quelques minutes à discuter, il me propose de me faire visiter la maison et nous terminons par le dernier étage qui fait office de studio. Un babyfoot trône au milieu de la pièce, je lui fais la remarque que j'adore y jouer.
Il me propose de m'assoir sur une chaise le temps qu'il fasse le lit, j'en profite pour le regarder sans qu'il s'en aperçoive et j'apprécie ce que je vois.
Il me propose ensuite un massage du corps... Évidemment j'ai dit oui, il faudrait être folle pour lui refuser. On s'assoit sur le lit, j'attends qu'il me dise ce qu'il veut que je fasse mais au lieu de ça il m'embrasse. Des fourmillements dans mon bas ventre se font sentir et je lui rends avec ferveur. Je sens sa barbe me picoter le visage contrastant avec la douceur de ses lèvres et de sa langue. Je lui agrippe les cheveux et il me fait tomber sur le lit tout en continuant à m'embrasser. Au bout d'un moment, il arrête, me regarde avec désir.
"On devrait peut-être arrêter pour l'instant sinon tu n'auras jamais ton massage"
Je rigole à sa remarque et l'embrasse encore une fois avant de me lever et de retirer mes vêtements. Je n'ai gardé que mon soutien gorge blanc et mon shorty en dentelle. Il évite de me regarder car il essaye de se concentrer sur la couette qu'il essaye de rentrer dans le drap. C'est vrai qu'il fait super froid malgré mon corps qui brûle de l'intérieur.
Je me jette sur le lit allongée sur le dos et j'attends qu'il termine avec la couette. Une fois fait, il me recouvre avec pour me tenir chaud. Il est trop mignon. Je retire mon soutien gorge et me met sur le ventre en attendant le massage qu'il m'avait promis. Ses mains brûlantes et pleines de crèmes commencent à glisser sur mon dos, ces mains sont douces et larges. C'est tellement agréable que j'en gémis. 2 mois d'abstinence, c'est beaucoup trop long. Il continue son ascension jusqu'à mes fesses tout en me parsemant de baisers sur le corps. Je soupire de plaisir, mon corps se réchauffe et se détend petit à petit, je suis complétement à l'aise...
Il finit par me masser les jambes tout en frôlant mon sexe à chaque fois que ses mains remontent sur mes cuisses. C'est le feu dans mon entre jambe. J'ai honte de tremper mon shorty comme ça, j'ai l'impression de couler... Le massage s'écourte, je crois qu'il n'en peut plus lui aussi. Il retire mon shorty puis me demande de me mettre sur le dos. Il est déjà en boxer, quand est-ce qu'il a fait ça?
Il me rejoint et commence par me lécher les seins, j'halète. Il remonte avec sa bouche jusqu'à mon cou puis ma bouche. Il redescend ensuite petit à petit jusqu'à mon entrejambe puis sa tête disparaît sous la couette et là je vais commencer à perdre pieds...
Une vague de plaisir me submerge tout à coup et je devine que sa langue est en train de me lécher le clito. Je gémis, fort, et un brouillard s'élève dans ma tête. Je ne suis qu'une boule de désir, ondulant mon bassin sur sa bouche et sur ses doigts qui rejoignent sa langue. J'ai l'impression d'être dans un tunnel, j'oublie tout : mon ex, ma famille et tous mes soucis, je suis devenue qu'une chatte en chaleur qui cherche à se faire achever... D'un coup, le plaisir est encore plus puissant que j'en deviens dingue ! Putain mais je ne sais pas ce qu'il est en train de faire en dessous le drap mais jamais je n'ai ressenti un truc pareil, je sens tout et ne contrôle rien... je vais me pisser dessus de plaisir ou quoi !
"Putain c'est tellement bon !" Je ne peux empêcher ses mots de sortir de ma bouche putain : je jouis dans un long gémissement agrippe ses cheveux et perds toute force... Mon coeur bat à 100...
J'avais raison, l’expérience fait grimper au rideau...
"Tu es vraiment délicieuse..."
Son commentaire me flatte et m'excite à nouveau. Après s'être délecter, il se relève, retire son boxer et se dirige vers sa table de chevet pour récupérer une capote. Au moment où il allait me demander de lui sucer la queue, je le fais sans me faire prier. Elle est grande, très large et douce. Je la déguste avec ma langue, j'aime les nervure et les veines, j'imagine que cette queue crache puissamment son jus... je la fais rencontrer le fond de ma gorge, c'est ma spécialité... les mecs adorent, lui aussi. Il se met à gémir.
"Putain..."
J'aime l'entendre jurer. Une bite de turc comme ça, j'aurais pu la sucer plus longtemps et je comptais même le faire jouir dans mon œsophage mais visiblement il a d'autres projets.
Il met sa capote et il se place entre mes jambes. Malgré le fait que je sois trempée, sa queue a du mal à rentrer. Je suis étroite comme une adolescente. Il la fit rentrer d'un coup et il poussa un long gémissement à l'unisson du mien. Il me demande si ça va et je lui répond oui. Il est tellement attentionné que je me sens fondre sous lui. Il commence à me donner des coups de reins lents et profonds qui me fond frémir et gémir, je repense à tous les mecs qui n'ont pas su me baiser.
"Tu te rend pas compte toi ce que c'est d'être un homme, de voir ça et de devoir tenir"
Je lui souris rougissante, heureusement qu'il fait sombre, il n'a pas du voir l'effet que m'a fait sa remarque. Il me baise lentement, je sens le sang qui afflue dans sa verge... Si ce mec n'était pas un salo, je lui demanderai de juter dans ma petite chatte...
Au bout d'un moment, je n'en peux plus de me faire dilater comme ça. Je suis tellement excitée que j'ai envie de plus, qu'il me pilonne sauvagement. Je pense qu'il s'en rend compte car il me soulève m'amène vers le babyfoot il me penche en avant, il fait ce qu'il veut de moi pourvu qu'il me baise. J'ai les fesses en arrière.
"Tiens, puisque tu aimes tant le babyfoot"
A ces mots, il me prend sauvagement tout en me tenant par les hanches. Ses reins claquent sur mes fesses et je crie de plaisir. Un prof est en train de me baiser sur un babyfoot. Je m'imagine au temps du lycée, quand je fantasmais sur M. Debreuil. Si les profs baisaient tous comme ça on serait polytechnichiennes. Je sens l'orgasme arriver à nouveau, pas le même, celui là provient de mon point G qu'il a si bien pilonné. Il me baise comme une vulgaire animatrice... Il me parle, je me sens toute petite, j'ai presque les larmes qui montent... Mes jambes se mettent à trembler à nouveau et je sens que je perd toute force dans les jambes, heureusement il me tient fermement. Son orgasme arrive juste après qu'il manifeste par un long gémissement je sens ses saillies !! La capote doit déborder... je suis à genoux avec des spasme... j'en peux plus de lui !
"Ça y est, tu m'as eu !"
Sa phrase me fait sourire puis nous allons nous allonger sur le lit, je me blottis contre lui sous la couette. Il est brulant alors que moi ma peau est glacée malgré le feu qui me consumait il y a quelques instant. Nous discutons un peu. Mon cerveau est tellement embrumé que je ne parle presque pas ce qui ne me ressemble pas du tout. Je vais ensuite fumer à la fenêtre. La clope d'après baise est la meilleure.
Il m'attend dans le lit. Je le rejoins après avoir fini et je me recolle à lui. Il me sert dans ses bras et me recouvre avec la couette pour me réchauffer puis il se met à me caresser les cheveux. Adorable, je l'ai déjà dit?
Il s'endort quelques minutes et moi malgré la fatigue je ne ferme pas les yeux. Je contemple ce que je peux voir de son visage et je profite de la chaleur que son corps m'apporte. Il se réveille et prend ma main pour la mettre sur son sexe.
"C'est aussi une bonne technique pour réchauffer tes mains froides"
Je rigole mais intérieurement je suis contente, j'avais déjà envie de recommencer moi aussi. Je commence alors à le branler, il gémit.
"Monte-moi dessus"
Je m’exécute sans rechigner et l'embrasse. Je fais ensuite descendre ma langue le long de son coup puis de sa clavicule. Je descend petit à petit vers sa queue tout en le parsemant de baisers sur mon chemin.
Arrivée enfin vers son sexe, je le prend dans ma main et le lèche sur toute sa longueur. Il gémit tout en faisant tomber sa tête en arrière. Je continue un peu pour le faire languir puis je prend sa queue à pleine bouche jusqu'au fond de ma gorge. Il gémit depuis belle tout en marmonnant quelque chose.
"Putain mais c'est pas possible"
Je crois que c'est ce qu'il a dit mais j'en suis pas sûr.
Je continue encore et encore sans lui laisser de répit tandis qu'il essaye tant bien que mal d'attraper une nouvelle capote dans le tiroir. Il finit par y arriver puis l'enfile.
"Vas y, empale-toi sur moi !"
Rapidement, je m'exécute avide de sa queue dans ma chatte encore trempée et je m'empale dessus.
Je commence alors à remuer sur lui gémissant des supplications. Je l'embrasse par moment allongée sur lui, et d'autre je suis assise lui offrant une vue sur mon corps.
"Ton corps est magnifique"
Sa remarque me fait frissonner de plaisir, c'est toujours flatteur venant d'un homme qui a eu déjà tant de femmes nues devant lui à gémir sur sa queue qui vous remplit le corps et le coeur...
Il se redresse, rapproche sa bouche de la mienne... Nous sommes assis lui et moi, sexes et bouches entremêlés...
"Allonge-toi"
J'obéis et me laisse aller en arrière... Il est encore assis, je suis allongé... et il me prend sauvagement mes jambes posées sur les siennes et mes fesses en l'air. La sensation est dingue et je perds vite pied, sa queue tape contre la paroi supérieur de mon vagin, je gueule d'une voix qui n'est pas la mienne.. Encore quelques secondes et j'avais 3 orgasmes en une heure, mais il craque jouit pour la deuxième fois.
Encore essoufflés, on se rallonge sur le lit.
"Putain, ça fais tellement du bien." dit-je
"C'est vrai. Ton sexe est incroyable, il est tellement doux à l’extérieur comme à l’intérieur, même avec la capote je le ressens."
Son compliment me fait sourire mais je ne répond pas. Je crois que mon cerveau est en mode off. A la place je met ma tête dans son cou et je l'embrasse. C'est ma façon de lui dire merci.
Nous restons quelques temps encore dans le lit.
"tu sens tellement bon"
"Merci" Dis-je dans un soupir, je ne sais même pas si il l'a entendu.
Il est l'heure pour moi de partir, la tête encore dans le gaz dû à mes 5h de sommeil de la veille et ces orgasmes qu'il m'a offerts. Je me rhabille, roule ma clope pour le trajet de retour, il m'accompagne à la porte.
"Est ce que je pourrais te contacter si je reviens en région parisienne?"
"Avec plaisir, je garde ton adresse précieusement" je lui répond.
On s'embrasse pour se dire au revoir et je monte dans ma voiture pour partir. Sur le trajet de retour, je me rend compte que j'ai presque pas décrocher un mot durant ce moment avec lui et j'espère ne pas être passer pour une fille bizarre.
En arrivant, je lis un message de sa part "Merci de ce moment, c'était top! Bonne soirée dodo.." Je souris et lui répond à peu près la même chose.
Je ne passerai plus jamais deux mois sans baiser.
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Commentaires de l'histoire :
Pongo21
Merci pour cette histoire très plaisante. Par ailleurs j'apprécie énormément que vous pensiez au préservatif qui préserve de tout y compris du ridicule. Bravo les autres auteurs feraient bien de s'en inspirer.
Posté le 26/06/2018
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