Train de nuit

Voyage de nuit d’un jeune couple. Histoire courte.

Proposée le 19/11/2017 par Bouhya

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie

Jeunes, pleins d’hormones et séparés l’un de l’autre pendant une semaine, se retrouver à la Gare de Lyon pour un train de nuit vers les Alpes et une semaine de vacances chez mes parents semblait de la torture. Être allongés si près l’un de l’autre sans pouvoir se toucher, partager ce lieu fermé avec quartes autres personnes n’était pas du tout pour nous plaire, mais ainsi va la vie d’étudiants provinciaux fin décembre.

Elle arrive enfin, légèrement essoufflée, les joues roussies par la froideur de décembre. Petite, hanches larges et taille de guêpe, les yeux pétillants, Fabienne m’avait attiré dès le premier regard, et à la première occasion je tentais ma chance sans grand succès. C’est après quelques mois de cours partagés, de soirées studieuses ou alcoolisées qu’elle montra enfin de l’intérêt pour ce garçon naïf que j’étais. Elle était déjà une femme d’expérience, et elle accéléra mon éducation jusqu’à faire de moi un amant qu’elle aimait.

Notre embrassade fut courte tant le temps pressait, mais chaleureuse. Fabienne était un peu distante, ce qui me mettait mal à l’aise alors qu’elle se joignait à moi pour ma visite familiale pour la première fois. C’est avec une certaine mauvaise humeur que nous trouvons notre compartiment, et constatons qu’un seul voyageur devait nous rejoindre dès Paris.

Nous préparons nos lits sur les couchettes les plus élevées et nous discutons de la semaine écoulée sur un ton badin et maintenant plus décontracté. Le contrôleur se présente quelques minutes avant le départ et nous annonce avec un sourire en coin que notre compagnon de voyage dormirait dans la couchette voisine et de nous saluer d’un bonne nuit les amoureux, soyez sages!

Fabienne me regarde dans les yeux, annonce qu’elle va se brosser les dents, et tu devrais y aller à ton tour - on éteint dès le départ puisque nos billets sont déjà vérifiés. Elle se change dans un T-shirt très long, et se glisse dans les draps non sans m’avoir donner un baisser que je ressens aussi à l’entre-jambe.

Le train s’ébranle et le toucoum toucoum berce mes pensées érotiques et notre conversation de jeunes couples. Alors que nous avons passé en revue nos semaines respectives, Fabienne se lève et sans prévenir monte sur ma couchette et déclare qu’on peut bien partager une couchette avant de dormir puisque nous sommes seuls dans le compartiment. J’en suis bien aise, mais la toux voisine et les pas dans le couloir me rappellent que nous sommes loin d’être seule. Elle m’embrasse à pleine bouche et nos langues se mélanges avec la passion exacerbée par la séparation.

Mes mains caressent ses cheveux soyeux, et descendent maintenant le long de cette taille que j’aime tant. Elle s’arrêtent un instant sur la courbe rebondie qui mène à ses hanches. Le matheux en moi aime les courbes et je me dis que celle-ci oit avoir une équation transcendantale. Alors que mes mains continue leur exploration et atteignent le bout du t-shirt de ma campagne, elle glisse la sienne dans mon caleçon pour y trouver mon sex fièrement dresser de ces retrouvailles charnelles.

Je remonte le long de ces jambes et ses fesses pour la trouver nue - alors qu’elle me branle avec envie. Ma doigts explorent sa fente qu’ils trouve déjà humide, nous gémissons tous les deux quand je la pénètre d’un doigt. Ma compagne lève son corps et guide mon pieux vers son sexe sans autres préparations et s’empale d’un coup en poussant un petit cri étouffé.

Le bassin de Fabienne s’active et impose à nos sexes un va et vient délicieux au rythme de rails toucoum toucoum. Je me souviens de son goût pour les plaisirs anaux et je lui caresse la rondelle jusqu’à le pénétrer de mon index droit. Elle s’électrise et se cambre de plaisir, les vibrassions de son orgasme appelle le mien et notre voisin n’a certainement plus de doute sur nos activités.

Nous restons allongés, repus et heureux pendant de longues minutes avant de nous séparer à regret pour la nuit. Vivement demain et un vrai lit!

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