Le dimanche du deuxième weekend, surtout la nuit. Mais il y aura une suite promis.
Proposée le 20/08/2017 par jpbe01
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Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Nous nous sommes levé tard le dimanche matin et pour causes, la nuit fut courte mais délicieuse, nous avons juste échangé un baiser pourtant nous avions la trique lui et moi, mais il fallait se refaire des « forces » et la nuit suivante serait encore agitée.
Après un solide petit déjeuner nous sommes partis nous balader histoire de discuter et de faire le point, nous sentions l’un et l’autre que nos sentiments dépassaient le cadre de la relation familiale, nous étions devenus plus que ça, des amants.
Tu comptes faire quoi après tes études ?
Je ne sais pas sans doute informaticien, j’ai pas encore fait de choix.
Tu sais que moi je suis en dernière année et qu’après avoir défendu mon mémoire je serai ingénieur civil.
Oui je sais et je sais aussi que ton rêve est de partir à l’étranger, André ce qui nous arrives est fou, je ne veux pas te perdre comme ça.
Rassure-toi je ne veux pas te perdre non plus j’ai une idée là-dessus.
Nous avons continué notre balade, la journée était radieuse et nous étions à son image.
Le déjeuner se passa dans la bonne humeur tante et oncle étaient ravis de me voir d’aussi joyeuse humeur, moi qui d’habitude était très renfermé et discret, ils me félicitèrent pour cette évolution, je mis cela sur le compte du verre de vin que j’avais pris pendant le repas, mais je jetai un bref coup d’œil à André qui me fit un clin d’œil complice, lui et moi savions la vraie raison qui m’avait fait sortir de ma coquille.
L’après-midi se passa aussi calmement André et moi avons regardé une vidéo, mais plus l’heure passait, plus je sentais la tension monter en moi, car j’étais un peu paniqué à l’idée que c’est moi qui dirigerait les choses, mon cousin serait entièrement passif (ou presque).
Enfin l’heure de se coucher arriva je saluai oncle et tante en tremblant déjà.
J’espère que tu n’as pas attraper le rhume
Non, non rassures toi je vais très, très bien (et comment)
Nous voici lui et moi à nouveau ensemble dans mon grand lit, nus et bandant déjà très fort, je n’étais pas très à l’aise, il le remarqua.
Ça va pas, t’es sûr que tu n’es pas malade ?
Non je suis sûr, j’ai le trac, c’est moi qui même le bal ce soir et j’ai peur de te rater
N’aie pas peur, même si ce n’est pas parfait, je sais que tu vas faire tout ton possible pour me donner un maximum de plaisir, j’ai confiance en toi mon chéri.
Ce ‘Mon chéri’ me fit l’effet d’une bombe lui si beau ; si jeune, avec l’avenir devant lui, m’appelait mon chéri, cela signifiait beaucoup pour moi et pour lui aussi je le savais.
Je plongeai sur lui et l’embrassai comme un fou, la salive dégoulinait sur nos mentons impossibles de nous décrocher.
Nos glands se touchaient mélangeant ainsi nos pré cum, c’était doux, chaud, délicieux sentir nos jus se mélanger, nos glands palpitants se frotter l’un contre l’autre.
Je l’allongeai sur le dos me mettant dans la posture du 69, il voulut prendre mon sexe en bouche, je lui fit comprendre que non, juste me caresser les couilles, moi je le léchais, sucais, gobais ses boules si belles, je le sentais déjà loin dans la montée du plaisir, j’arrêtai donc un moment léchant juste sa tige comme si c’était une crème à la glace, il gémissait levait la tête comme pour voir ce que je faisais, essayait encore de prendre mon sexe, mais même si j’en crevais d’envie je ne le voulais pas, alors il retombait sur l’oreiller les yeux fermés en gémissant doucement de bonheur.
Même sans qu’il ne la touche ma queue se cabrait, je ressentais des spasmes et le jus monter lentement mais surement le long de ma tige, j’allais jouir sans être touché, ni branlé, le pied.
Je sentais sa queue frémir et se tendre dans ma bouche, ma langue était sur son gland le léchant, mais sans le sortir de ma cachette, soudain, un spasme plus fort, un pré cum qui devenait du sperme, un cri qui en disait long et voilà toute sa purée dans ma bouche, aussi vite je jouis moi aussi sur sa figure, ses yeux, sa bouche, j’avalais son précieux liquide très vite ne voulant pas en perdre une goutte il était si bon.
Quand je fus sûr que plus rien ne s’écoulait de sa verge je le libérai lui récupérait déjà ma semence avec sa langue, avec ses doigts là où il en restait je le léchai et j’embrassai mon cousin pour le lui transmettre dans sa bouche il gémit à nouveau heureux de mon geste, moi perso j’aime pas mon sperme.
Nous essayâmes de récupérer au plus vite, car le lendemain c’était lundi et nous devions aller en cours tous les deux, pourtant chacun voulait prolonger cette nuit aussi loin que possible.
Mais je voulais un peu de changement dans nos pratiques, je le fis se coucher sur le dos, ses jambes sur mes épaules, et au lieu de mettre de la crème j’ai utilisé le reste de sperme qui coulait de mon sexe, je pris ensuite l’initiative de ne pas le doigter, mais d’y aller franco, de le défoncer direct, on verrait sa réaction.
J’y allai donc directement il poussa un petit cri, et me regarda étonné.
Hé oui c’est comme ça aujourd’hui, c’est moi le boss donc on innove.
Il sourit l’air comblé, je le laminais à fond, sortant parfois pour mieux rentrer, ses mains agrippaient les draps comme pour les déchirer, sa tête roulait de tous côtés sur l’oreiller, il avait le souffle court, comme si il courait un 100 mètres, moi j’étais sur un nuage son cul était accueillant et je ne m’en privait pas, mais à ce jeu la jouissance arrive vite, et vu mon manque d’expériences je ne savais pas me controler, j’éclatai rapidement dans son cul, mon foutre glissait le long de ses cuisses, lui n’avait pas jouis je m’en redis compte, je voulus me retirer, mais non.
Reste continue de me limer, mais vas-y encore plus fort, plus loin et branle-moi.
Ce que je fis mon chibre redurcit aussitôt, j’y allais comme un fou, le branlant à fond mes vas et vient de plus en plus rapide, lui gémissait, criait de plus en plus fort, son sexe fut parcouru d’un spasme terrible et son sperme jailli, il atteignit la tête du lit et puis sa figure, sa poitrine, son orgasme était profond, puissant long comme si jamais il ne devait s’arrêter, sur ce et voyant ça j’éjaculai une deuxième fois en lui quelle partie, quelle jouissance.
Il reprit ses esprits et moi aussi après 5 minutes, aussitôt je me mis à le lécher, voulant ne rien perdre de son délicieux jus, un peu sucré, je n’en laissai pas une goutte.
Tu as été génial, l’élève dépasse le maitre.
Arrête-je suis petit à coté des plaisirs que tu me procures.
Je n’ai jamais été aussi bien baisé, et pourtant j’ai déjà connu pas mal de mecs. (Cela me rendit jaloux)
Tu as vraiment aimé ?
Aimé ? Tu rigoles, adoré n’est pas assez fort, je te sens encore en moi et je sens que je rebande, je voulus me saisir de son sexe mais il arrêta mon geste.
Non je sais c’est dommage moi aussi j’ai envie, mais il faut être raisonnable, demain nous devons être frais pour les cours.
Mais la nuit nous réservait encore des surprises.
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Commentaires de l'histoire :
Cher tamis
J'aurai bien aimé vivre la même chose !
Posté le 24/09/2023
Slyette
Chaud bouillant, comme les 2 parties précédentes.
Posté le 8/06/2023
Pascal
Bonjour, J'ai passé un agréable moment à vous lire,merci.
Posté le 29/08/2017
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