Mon initiation aux plaisirs mâles 2

Comment après un premier weekend de découvertes, je retrouve mon cousin pour une suite attendue avec impatience.

Proposée le 23/07/2017 par jpbe01

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Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Voici la suite de mon parcours initiatique, je vous ai laissé alors que je quittais mon cousin après ce premier weekend fabuleux, et qu’il m’avait promis de venir chez moi (et chez sa tante et son oncle) le weekend suivant.
La semaine ne semblait ne devoir jamais finir, je pensais sans arrêt à lui, j’étais toujours très excité en me remémorant nos ébats passés, mais je m’étais fait la promesse de ne pas me masturber durant la semaine, pour être hyper chaud pour lui et lui réserver ma semence.
Plus les jours passaient et plus j’étais nerveux, bouillant, je ne débandais presque pas j’en attrapais mal à la queue, ma bourse me semblait prêt à éclater, je mouillais de plus en plus si bien que les deux derniers jours je dus me changer deux fois sous peine de tacher mon pantalon.
Enfin samedi arriva, il vint en compagnie de ses parents qui venaient rendre visite aux miens (ma tante est la sœur de ma mère) moi je n’avais d’yeux que pour lui, il me sourit comme toujours avec beaucoup de tendresse, mais cette fois je vis son regard pétiller de joie, il m’embrassa sur la joue ce qui déclencha en moi une énorme érection, je ne savais plus ou me mettre, je sortis donc sur la terrasse, afin de me calmer.
Peu après leur arrivée, il alla chercher son sac dans la voiture, j’étais soulagé il allait bien rester tout le weekend ici.
Je rentrai dans le salon, les adultes discutaient entre eux, lui était appuyé nonchalamment sur le dos d’un divan, il dit soudain « bon il fait beau nous allons un peu nous balader Pierre et moi »

Mon cœur bondit et ma queue avec, ne pensez pas que je sois un obsédé sexuel, mais ce que m’avait fait vivre André était trop génial et nouveau pour moi j’en voulais encore et encore.

Il y a derrière chez moi un bois tranquille ou presque jamais personne ne va, dès que nous fumes hors de portée de vue il me prit par la main et m’attira vers lui, il m’embrasa avec fougue et je le sentais éprouver beaucoup de plaisir, moi je gémissais, des larmes de joie coulaient sur ma figure, il le vit et me dit « je te fais peur maintenant ? » « Ho que non » lui dis-je « je suis tellement heureux » « tu m’as manqué cette semaine » me dit’ il et nous entrâmes dans le bois suffisamment loin pour que personne ne puisse nous voir et nous déranger.

Il se colla à moi sa bosse était aussi grosse que la mienne, je le sentais très chaud, « tu sais je me suis réservé pour toi toute cette semaine « dit’ il « moi aussi » répondis je « alors cela va être un feu d’artifice, un geyser de foutre » nous sommes partis d’un grand éclat de rire.

Nous étions à genoux l’un en face de l’autre, nous nous déboutonnâmes nos chemises et je pus à nouveau admirer son superbe torse, je le caressai doucement, lui se pencha vers moi et lécha mes tetons je fus parcourus de décharges électriques je poussai un petit cri, « désolé si je t’ai fait mal » « non c’est trop bon continue » je le caressais toujours sur le torse retardant le moment génial ou j’allais enfin avoir à nouveau son sexe en main.

Il me fit me relever, déboucla ma ceinture et fit tomber mon pantalon que j’enlevai aussi tôt, mon boxer était trempé « bin mon cochon » dit ‘il en riant « je crois que je te fais de l’effet « je voyais une énorme bosse déformer son jeans, il me lécha au travers de mon boxer suçant les endroits de mouille c’était divin, je ne savais plus ou j’étais, il n’avait plus que lui et moi sur terre.

Il fit glisser mon boxer mon sexe lui arriva raide et dur sous le nez, il s’appliqua à lécher mon gland ou le pré cum coulait toujours, il soufflait de plaisir, il se mit debout et enleva le reste de ses vêtements, il était là à nouveau nu devant moi, merveilleux jeune homme, lui aussi mouillait très fort » t’as rien à m’envier cousin » dis je et de nouveau nous sommes partis à rire, je me mis à genoux n’y tenant plus, je voulais se sexe dans ma bouche, en moi, sentir son jus chaud à nouveau me remplir, je léchais doucement, le gland ; donnais des petits coups de langue, parfois je quittais ce gland pour, lécher toute sa tige, sa bourse.

Il tremblait d’excitation, « tu as bien retenu la leçon bravo » parvint-il à dire entre deux râles, il me fit arrêter, car sa jouissance approchait, il me fit me relever à nouveau et c’est lui qui était à genoux maintenant, lui aussi me suça, me caressa, mais après à peine deux minutes j’explosai dans sa bouche, la pression et le reste étaient trop forts, il jouit lui aussi spontanément sans se branler, ni rien, toujours ses superbes jets, il avalait ma semence goulument, je me suis remis à genoux face à lui nus tous les deux nous nous sommes étreints avec passion, nous embrassant, j’avais les genoux dans son sperme je regrettais de ne pas l’avoir eu en moi.

« Rentrons dit ‘il, il ne faut pas que les parents s’inquiètent » il vit mon air un peu désolé « je suis là pour deux nuits, ne l’oublie pas, ce soir c’est toi qui sera le privilégié, je veux que tu jouisses encore plus fort, plus intensément et le deuxième soir ce sera mon tour ok ? » « Je n’attends que ça depuis une semaine, et cet avant-gout m’excita encore plus ».

La soirée se passa calmement, je regardais sans arrêt la pendule, ma mère s’en aperçu « tu regardes sans arrêt l’heure tu es si fatigué que ça ? Ce n’est pas gentil pour André » Sil elle avait deviné pourquoi je regardais l’heures sans arrêt……

« Il n’y a pas de problèmes tante, j’ai moi-même eu une semaine fatigante et je ne tarderais pas à aller au lit, si Pierre vient bin on discutera un peu entre homme haha haha »

Sur ce dix minutes après nous étions au lit, tous feux éteints, et, et, surprise nus tous les deux, mais le pantalon de pyjama à portée de main.
Le scénario de la main qui glisse se répétât, j’étais comme sous hypnose, je réalisais à peine ce qui m’arrivait, nous chassâmes draps et couvertures (j’avais pris soins de fermer ma porte à clé) pour être tout à fait libre de nos mouvements, il se mit à genoux au-dessus de moi je tentai de saisir son sexe « pas questions me dit-il aujourd’hui c’est moi qui dirige, demain ce sera toi » il se pencha et m’embrassa sa langue fouillant ma bouche dans tous les sens, je bandais à mort, j’avais l’impression que j’allais mourir, je sentais son sexe dur sur mon ventre, son jus coulant déjà, cela me faisait un effet incroyable, il descendit et à nouveau lécha et mordillât mes tetons je fus parcourus de spasmes violents, tant cela était délicieux et presque nouveau pour moi, il descendit encore, lécha mon ventre, fourra son nez dans ma petite toison et pris mon sexe en bouche, je voulais tant le saisir lui, mais rien à faire il se dérobait chaque fois, je pris la décision de me laisser faire et d’être tout à lui.

Il sentait mon sexe se cabrer dans sa bouche près de la jouissance, mais chaque fois il arrêtait à temps, sauf une fois de trop, ou je poussai un grand cri, de puissants râles et mon foutre coulât dans sa bouche.
« T’as aimé » « oui dis-je tu es génial » « arrête je ne suis pas le roi de la bite » « non pas le roi un Dieu » il rit
Je me suis excusé d’avoir jouis si vite, « pas du tout je t’ai dirigé à mon rythme et en plus j’adore le gout de ton sperme, alors on continue ? T’as récupéré ? » et comment que j’avais récupérer.« Alors met toi sur le ventre je vais te pénétrer comme l’autre jour, mais en douceur, et si tu as mal dit le j’arrête de suite » ma réponse fut « vas-y ».

Il me lubrifia bien et lui aussi, il me prépara aux doigts et enfin me pénétra « ça va ? « « Hoooo oui vas-y »
Je n’avais plus du tout mal au contraire c’était délicieux, je serais parfois mon anus autour de son sexe, il allait et venait franchement maintenant, chaque fois que je resserrais mon anus il gémissait, chaque fois je sentais un spasme dans son sexe, peu avant de jouir il prit ma queue et me branla, nous jouîmes ensemble lui dans mon cul moi dans sa main.

Nous nous sommes à nouveau écroulé, morts mais ivres de plaisir, de jouissances, et disons-le d’amour….
Cette nuit nous avons dormis dans les bras l’un de l’autre comme des bébés.

La journée et la nuit du dimanche dans un autre épisode.

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