Remy inséminateur a enfin l'occasion de se faire la grosse Michèle qu'il convoite depuis longtemps.
Proposée le 16/07/2017 par rana
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
L’INSÉMINATEUR
Rémy roulait doucement. La journée n’avait pas été trop chargée avec une quinzaine d’inséminations ; c’est vrai que l’été est toujours calme mais ces temps-ci ça devenait presque du mi-temps. Il était content de son boulot, il y était venu sur le tard car il avait été ouvrier d’usine pendant 10 ans et puis, d’un coup : ras le bol ! Et il avait vu un inséminateur officier dans une ferme d’un cousin, ça lui avait plu et il s’était reconverti avec succès car il avait déjà, au bout de trois ans, obtenu de l’avancement. C’est ce qui le mettait en joie notre vaillant inséminateur et là, en plus, il terminait sa journée dans la ferme des « Guillot ». Il allait pouvoir encore mater les nichons de la grosse Michèle. C’était la maîtresse de maison mais de maîtresse elle n’en avait pas que le nom car il filait doux son Mathieu de mari. La Michèle était grosse, certes, mais assez jolie ; son visage rond s’éclairait toujours d’un rire tonitruant et magnétique. Elle respirait la joie de vivre. Manifestement, elle ignorait l’existence du soutien-gorge car on devinait, plus ou moins aisément selon la saison, le ballottement de ses grosses mamelles libres sous les habits. Et en ce moment, avec la grosse chaleur, Rémy était prêt à parier qu’il n’y aurait pas beaucoup de tissu pour s’interposer entre son regard et l’objet de toutes ses convoitises. Déjà la dernière fois il s’était retrouvé à vingt centimètres de la tentation et était resté scotché bêtement à les regarder. Cela n’avait pas échappé à la belle qui avait eu un sourire non dissimulé. Manifestement, elle savait que ça faisait de l’effet, la matrone ! Il faut dire que les deux formes laissaient deviner des seins toujours fermes malgré la quarantaine avec encore du volume. C’est ce qui était excitant. Justement, cette fois là il avait très bien deviné leurs pointes qui boursouflaient le T-shirt et ils avaient encore fière allure !
La camionnette de Rémy entra dans la cour de ferme accompagnée de l’éternel corniaud qui aboyait tout en mordant les pneus. La Michèle trônait devant sa porte en jean surmonté d’un T-shirt pas très net sur lequel on lisait « I am a women » ce dont on ne pouvait pas douter avec les formes que l’on devinait dessous ! On ne pouvait pas rater les deux « pastèques » car la dame avait choisi un T-shirt assez moulant, du moins disons un peu juste en taille et, en dessous, un large bourrelet de chair nue débordait par dessus le jean.
— Bigre, se dit Rémy, là, j’ai droit à la « totale »
— Salut Rémy, entama Michèle tout en lui écrasant les doigts dans une ferme poignée de main.
— On est donc d’accord, c’est bien pour la « Roseline » aujourd’hui, hein ?
Chez les Guillot on baptisait les vaches avec des noms de personnalités politiques ce qui permettait de se défouler allégrement :
« La Ségolène s’est encore fait remarquer aujourd’hui, elle a sauté les clôtures. »
Ou bien :
« S. de Rachida, elle s’est sauvé pour rejoindre le taureau. »
Rémy sorti le registre pour vérifier les données de la vache, il enfila sa combinaison plastique stérile et prépara la paillette qu’il plaça dans la seringue à insémination. Michèle l’emmena vers l’étable ; la vache était déjà entravée. Rémy mit du gel lubrifiant sur son gant de fouille et s’introduisit dans la vulve, il plaça habilement l’embout de la seringue à travers le col de l’utérus et injecta la semence ; 5 minutes montre en main !
— Voilà, c’est fait
— Et ben t’es un expert mon gars !
— Quand même, maintenant j’ai l’habitude.
Il prit du recul pour regarder la vache et continua :
— Ce doit être une bonne laitière, elle un beau pi, bien équilibré.
— Et ces mamelles là t’en penses quoi ? dit Michèle
Rémy surpris se retourna et eu une vison d’apocalypse ; la Michèle avait retroussé son T-shirt ce qui faisait jaillir ses deux seins comme des obus. Oblongs et fermes, ils se terminaient par deux aréoles très larges et turgescentes. Tels qu’il se les était imaginés. Il resta muet, bouche ouverte sans bouger et, visiblement, Michèle se dit qu’il allait falloir prendre l’initiative.
— Continue ton inspection et tâte pour voir si je suis une bonne laitière, couina-t-elle.
Rémy se ressaisit comprenant enfin qu’une occasion comme ça ne se loupe pas. Il enleva son gant et approcha fébrilement des deux masses tentatrices. Il commença par toucher les pointes doucement - c’était chaud - une main, puis les deux, il caressait maintenant les deux en même temps.
- Bon sang ils sont vraiment fermes, se dit-il.
La Michèle commençait à glousser manifestement ravie de cette exploration ; Rémy s’enhardit et commença à téter un des mamelons, mordillant, léchant, avalant, il sentait déjà de l’effet dans son pantalon. Il malaxait maintenant à pleine main les deux pastèques profitant de cette aubaine qui ne se représenterait peut-être pas.
— Et là ! doucement mon gars, ahana Michèle, prend ton temps et t’a pas fait encore le tour de la bête, « qu’éque » tu penses de ma « fleurette » dit-elle en enfournant une main de Rémy au fond de son pantalon qu’elle avait déboutonné sans qu’il ne s’en aperçoive.
Il constata vite fait qu’elle n’avait pas de culotte
– C’était donc prémédité, se dit-il et puis il senti une brousse épaisse, chaude et vraiment très humide ; ça la travaillait dur la grosse ; en, manque ? Il chercha le sillon qu’il trouva dégoulinant et délicieusement poisseux ; bon D.! maintenant il bandait tellement qu’il en avait mal, sa queue étant coincée dans le pantalon.
— Attends, viens, on va s’mettre à l’aise, dit Michèle qui semblait deviner l’inconfort de son amant improvisé.
Elle le prit par la main et l’emmena vers la maison. En passant devant sa voiture, Rémy se débarrassa de son matériel et de sa combinaison.
— Mais le Mathieu… ? commença-t-il
— T’inquiète ! il est parti faucher à la fosse, reviendra pas avant la nuit.
Ils entrèrent dans la maison et, avant que Rémy n’ait eu le temps de dire ouf, Michèle le tirait déjà dans l’escalier pour entrer dans la chambre. Elle lui arracha littéralement ses vêtements et se déshabilla elle aussi avec une dextérité surprenante pour une femme de sa corpulence. Et Rémy se retrouva face à une montagne de chair. Ils étaient assis au bord du lit qui avait sérieusement accusé le coup avec une plainte de ressorts assez inquiétante. Le temps suspendit son vol et Rémy en profita pour contempler l’objet de tous ses fantasmes. Finalement elle n’était pas si mal la Michèle : des seins énormes mais fermes et bien rebondis, surmontés par un cou de taureau. Un ventre rebondi lui aussi qui cachait un peu le sexe sous un pli délicdieux. On voyait, par contre, une généreuse bordure de poils noirs. Les cuisses étaient plus grosses que le thorax de Rémy, mais il faut dire, qu’à l’inverse, il était vraiment gringalet avec ses cuisses de mouche et son corps sec comme une trique. Seul son sexe, maintenant ramolli, pendait tout à fait honorablement entre ses cuisses. Ce n’était pas du goût de Michèle qui se pencha et l’engloutit tout en lui malaxant les testicules. Il voyait sa queue disparaître totalement dans la bouche et se demandait si elle n’allait lui avaler pour de vrai. Mais le travail de succion fit rapidement effet et c’était maintenant un beau sucre d’orge que Michèle travaillait. Elle mordillait le frein et le gland et puis elle avalait ensuite toute la hampe avec de grands bruits de succion râpant bien consciencieusement le tout avec la langue.
Rémy senti très vite les effets de ce travail consciencieux et stoppa Michèle avant l’irréparable. A son tour il se coucha sur elle et téta avec délectation et gourmandise les deux énormes melons, mordillant les tétons jusqu’à ce que Michèle fisse « aie ».
Ensuite il la repoussa doucement et Michèle comprenant très vite, se coucha sur le dos et écarta les deux colonnes énormes qui bordaient les portes du bonheur. Rémy marqua un temps d’arrêt en contemplant une chatte velue à souhait et d’un noir de jais. Il fouailla largement pour dégager le sillon et lécha et mordillât les deux grandes lèvres avec un réel plaisir. Ensuite sa langue s’insinua plus profond pour trouver le petit trésor bien caché et il suça tellement vaillamment le bouton que Michèle commença à glousser avec des soubresauts de tout son corps accompagnés d’autant de plaintes du sommier qui n’en pouvait plus. Sous l’excitation, elle rapprocha les deux cuisses et le pauvre Rémy eu l’impression d’étouffer. Il se sentait tel un explorateur avançant vaillamment dans une gorge profonde et inconnue encombrées d’une jungle impénétrable et humide. Il releva la tête et vit la lumière, il entreprit alors une courageuse remontée en s’agrippant aux plis offerts et se retrouva le nez encadré par les deux tétons. Il profita de ce que la Michèle venait d’ouvrir largement les cuisses pour, d’un bon coup de boutoir, la pénétrer jusqu’au fond.
— Vas-y mon cochon donnes du groin ! cria Michèle visiblement déjà ailleurs.
Et le Rémy s’attela à la besogne avec courage, il se cramponna aux énormes citrouilles et donna de la queue vaillamment haletant et ahanant sous l’effort, alternant les va et vient avec des mouvements de rotation, tantôt accélérant tantôt s’arrêtant presque. Mais ça, ça ne convenait pas à la grosse qui, dès que Rémy semblait baisser de rythme, lui agrippait les deux fesses et accentuait le mouvement. Au bout d’un moment, elle profita d’avoir les deux fesses petites et fermes de Rémy bien en main, pour les écarter et lui agacer le trou du cul. Elle finit par y rentrer un doigt ce qui fit redoubler d’ardeur le prétendant. La scène était dantesque avec Rémy, tout petit, accroché à la grosse Michèle tels ces mâles d’araignée tellement frêles à côté des énormes femelles gorgées d’œufs, de désir et d’appétit pour le courtisant !
Depuis combien de temps travaillait-il ainsi, il ne savait pas mais la sève commençait à monter sérieusement et il essaya de se contrôler car la Micheline ne semblait pas encore suivre le même chemin.
— Donnes, donnes ! défonces moi le fion, éructa la grosse.
— Oui mon gars t’y es, nom de Dieu qu’c’est bon
Maintenant elle hurlait, preuve que c’était bon, encore un effort se dit Rémy le visage cramoisi et les deux mains agrippées aux énormes mamelles ; il passa le point de non retour, deux grosses mains travaillaient ferme ses deux fesse et son cul, l’écrasant complètement contre le con comme si Michèle voulait le rentrer tout entier dans sa fente. Elle hurla et se cabra provoquant un séisme dont, décidément, ne se remettra jamais le sommier ; Rémy renforça sa prise pour ne pas être désarçonné et redoubla d’effort ; il éjacula enfin à moitié à côté à cause des mouvements convulsifs de sa partenaire, les mains enfoncées dans la chair tendre des mamelles.
Le calme après la tempête ! Le pauvre Rémy se retrouva à genoux par terre, le corps reposant ainsi sur le bord du lit, alors que la Michèle était totalement avachie, écartelée offrant un tableau de chair étalée rougie et humide agitée d’une respiration sifflante. C’est le tableau dantesque qui s’offrit à Rémy lorsqu’il se releva. Il resta captivé par la vue du con broussailleux englué de sperme et autres sécrétions. Les poils s’étalaient largement sur tout le bas-ventre et même le bord des cuisses. Ça lui rappelait cette photo de tableau qu’il avait vu sur internet.
- Mais là c’est mieux, se dit-il.
— Bons la mère Michèle, je m’en vais ;
Il ne reçu qu’un vague borborygme pour toute réponse. Et bien voilà se dit-il comment j’te l’ai ramonée la grosse ! Il se rhabilla avec une certaine autosatisfaction.
— T‘es vraiment un bon inséminateur lui dit enfin Michèle lorsqu’il passa la porte de la chambre.
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