Les aventures de Sophie et James sont entrées dans un phase libertaire! Wendy se livre à des jeux, dont on se demande jusqu'où on osera s'aventurer.
Proposée le 5/06/2017 par maximilien7
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Elle laisse en même temps glisser ses mains entre ses cuisses dans une caresse érotique qui vous immobilise. L’image des ses masturbations nocturne s’impose et l’envie de la voir faire devient obsédante.
Son regard vert me persécute, et la question est posée, sans gêne si je m’adonnais à ces jeux de mains, et ce je ressens à ce moment là ? Je rougis, James savoure l’instant et Wendy ne me lâche pas.
Je bégaie, je me perds dans mes propos, mais elle ne me laisse pas le choix. Je me jette à l’eau pétrie de honte, oui, je me satisfais de temps en temps et j’y trouve un plaisir depuis ma plus tendre enfance.
Son regard est une caresse, puis elle se tourne vers James qui soudain est moins emballé et la question est la même pour lui !
« Alors James et vous, vous faite cela aussi, ne mentez pas, je le verrai aussitôt, alors..? »
Mon mari bousculé et poussé dans ses réserves, préfère faire preuve de franchise et contre-attaque !
« Oui, Wendy je me masturbe aussi, et deux fois plus depuis que vous êtes là ! »
James à touché, elle le regarde d’un air affable, sa langue fait un voyage remarqué entre ses lèvres elle accuse le coup. Moi je me dis qu’elle l’a cherché et James est fier de sa réponse, la balle est dans son camp.
« Ah ! Oui, James vous faîte ça pour, moi que feriez vous donc encore pour moi hm ? »
Je me demande comment on sortira de cet engrenage verbal, les enjeux sont intéressants, et je sens qu’on se dirige vers un jeu de massacre. Qui osera aller plus loin dans l’invective, qui gagnera la partie. C’est très excitant de voir mon mari et cette fille se provoquer !
« Pour vous, ce que vous voudriez bien que je vous fasse, avec l’autorisation de Sophie, bien sûr ! »
L’autorisation de Sophie, n’est plus nécessaire, je suis dans un état de dépendance que je ne maîtrise plus, mon slip peut en témoigner, et James est entré dans un jeu érotique torride.
On ne fera plus marche arrière, qu’elle que soit la façon dont les dès sont jetés.
Wendy, aussi, est passée à l’étape suivante, elle laisse ses mains faire des navettes sur ses cuisses, elle cherche une sortie, elle veut faire durer le suspense.
James s’est levé, ses yeux dénonce son état avancé de stress sexuel, quand il en est arrivé là, il passe aux actes je le connais ! Wendy recule, lentement, elle prend ses distances, il est trop tard James va passer à l’attaque, il va la saisir et c’est torride ce qui se passe, on est à la limite du jeu et de la réalité !
Moi, je n’attends que ça, la déshabiller, la croquer, la fouiller. Des obsessions perverses me traversent l’esprit, mais je m’en fous, je veux voir la fée des îles se lober sous mes mains, se tordre nue, sous des orgasmes percutants !
Elle, elle tente une échappée, elle joue la prude, elle contourne le canapé en longeant le mur, une chaise au bout lui barre la route, James s’avance tel un prédateur, elle saute la chaise perd ses escarpins. Je n’en peux plus je vais participer à la chasse à l’ingénue qui fuit dans le couloir, à gauche l’escalier descend au sous sol, elle disparaît !
Ça colle entre mes jambes ont descend pieds nus, elle est bien cachée quelque part et quand on la trouvera, ce sera la curée !
On passe au garage, la porte restée ouverte attire notre attention, on contourne la voiture, Wendy s’enfuit derrière nous et traverse en courant le jardin.
Elle n’ira pas loin, au fond du jardin la cabane en bois est petite et elle peuplée d’outils divers, de la tondeuse, aux échelles accrochées au mur. « Non, elle n’ira pas loin » dit James et s’approche de la porte qu’il ouvre d’un coup sec.
Elle est là, dans son ensemble jaune, magnifique, érotique, belle dans cette attente. Telle une gazelle face aux prédateurs, elle nous fixe, les jambes serrées appuyée contre l’échelle. Sa respiration haletante simule la peur, ses lèvres humides brillent à la lumière blafarde de la remise. Puis elle s’élance pour forcer le passage, elle est ceinturée, James la plaque contre l’échelle, elle se débat sans cris, sauvage, insoumise.
Tout mon corps vibre d’une incitation sans bornes, l’envie de la contraindre, de la dominer nous submerge tous les deux. Nous agissons de concert, la ligoter à l’échelle par les bras, attacher ses chevilles, pendant qu’elle mugit, se révolte. Puis enfin, je dégrafe sa blouse et goûte à pleine bouche ses seins, la peau dorée une douce volupté que je triture et masse pour enfin recueillir un gémissement !
James à un regard de tueur, un couteau à la main, il s’avance dans une espèce de transe, il me fait peur je ne le connais pas comme ça !
Wendy tressaille elle doit se dire à cet instant qu’elle à poussé le bouchon trop loin, ses yeux expriment plus que de la peur. Le couteau se plaque sur son ventre, sa tête s’agite en négation, le lame est froide, elle descend en dessous du nombril, s’infiltre entre la peau et le short.
Un cou sec et le vêtement tombe sur ses chevilles, ma main à désormais accès à l’entrecuisse, et j’y trouve le résultat délirant d’un sexe qui sécrète son âme.
La lame repart a son point de départ et coupe lentement la culotte, vers le bas.
Wendy souffle et son bassin tremble quand elle sent le métal froid suivre la fente humide, le tangua découpé tombe, elle est nue offerte, si belle dans cette position de soumission. Je me rassasie de ses formes je joue des mes doigts aux plis le plus sensuels, j’attends sa reddition, je veux la voir dans ses yeux.
James joue de ses seins avec avidité, et moi j’introduis mes doigts dans cette caverne coulante, sans lâcher des yeux ses expressions, sa bouche grande ouverte, elle jouit, sans arrêt, elle dance sous mes caresses. James à pris position derrière moi, je sens le pic s’ajuster entres mes lèvres, je le désire, j’attends la prise en m’accrochant au bassin de Wendy qui suit du regard cette mise ne scène.
James est virulent, il est ferme, je suis assommée par sa prise de pouvoir, il n’en faut pas plus pour me mettre a genoux. La tête entre les jambes de notre prisonnière je piaille, je gémis et les gouttes de cyprine de Wendy s’étalent devant mon nez.
Elle à une telle maîtrise de son corps qu’elle orgasme debout, une longue inspiration puis des ponctuations saccadées et ses petits cris me projettent au sommet.
Ça n’arrête pas, je n’en peux plus de cette attaque, au fond de mes entrailles ça bouillonne, je m’étale dans la poussière en hurlant comme une écervelée ! James à une forme de titan, son sexe ne faiblit pas, il s’en prend à notre victime qui ne semble pas souffrir de devenir sa proie.
Une jambe détachée, dépasse sous le coude de mon homme déguisé en pervers, le bassin de Wendy accuse les coups de boutoir. Elle se laisse aller au délire, elle coule, se libère des ses pulsions le regard avide de sexe. Je m’immisce dans le combat, cherche a l’entrée de la fente le déclencheur, que je trouve très enflé, quelques savantes manipulations, et Wendy bondit, se débat, refuse, ses yeux verts me fixe, puis le cri est fort, enfin je l’ai vaincue, soumise à ma volonté.
Quand on enfin on la libère, elle se lobe dans mes bras, sa bouche cherche la mienne et nos salives se mélangent. Elle est si douce et sur ma poitrine des seins exercent une légère pression chaude. Un genou entres mes cuisses force le passage et se glisse comme un serpent jusqu’à atteindre mon sexe. Je ne suis pas encore remise de mes émotions passées, James nous regarde et se repose il joue le voyeur et çà me grise.
Cet exhibitionnisme improvisé, dorlote mes pensées, Wendy à trouvée le chemin et nous nous frottons, mutuellement aux endroits les plus sensibles. Je ne résiste pas longtemps, elle me chevauche sans brutalité, mais avec un savoir faire endiablé. Nos corps en sueur se couvrent de poussière ce qui rajoute à la sauvagerie de cette mêlée. Le rythme est soutenu et bientôt nous explosons de concert, elle ne s’arrête pas, je n’en peux plus de haleter, de gémir mais je me laisse contraindre dans une volupté sans pareil.
James s’amuse avec son pénis qui reprend du volume, il le masse. Son regard nous fixe, fait la navette entre nos sexes et les fesses de Wendy, offertes à la possession. Puis il se rapproche et joue de son doigt au petit trou, il tente avec finesse de l’engager et ma partenaire s’offre en couinant. Elle se laisse faire, elle en a envie, le pic déjà se dresse je le vois s’ajusté entres les fesses avec douceur.
Quand ses mains apparaissent de part et d’autre du bassin je sais ce qu’elle va prendre, son sexe se contracte sur mes doigts, elle cesse de respirer et elle est enfilée comme une perle sur l’aiguille. Puis commence le long mouvement tout en accélération de plus en plus contraignant.
Elle crie et sur mes doigts ça coule chaud par petit jets successifs, contractions après contractions, James éjacule violemment puis lâche sa proie qui s’étale de tous son long sur moi !
Wendy repose sur mon corps, nue, si douce avec cette saveur florale qui se dégage de cette belle femme. Je la lèche, la mord, la caresse et m’abreuve de ses sucs qui coulent hors de ses orifices. De mes doigts je joue avec elle, passant dans ses cheveux bouclés, mordillant ses joues, ses lèvres. Je m’enivre d’elle, goûte à la sueur de ses seins, la chaleur de son ventre, et encore la tête plongée entre ses cuisses, je manche ce vagin en écoutant la mélodie qu’elle nous chante. C’est une friandise que je déguste et je sens que ne pourrais plus m’en passer !
Nous retraversons le jardin, avec l’impression d’être au jardin d’Éden, puis nous soignons nos corps de quelques meurtrissures, laisser pas les empoignades.
Cette soirée à été un enchantement, une ouverture sur un monde de liberté et de pulsions inavouées.
Wendy se joint à moi et nous nous livrons sans détour aux sentiments laissés par cette expérience. James est un peu honteux de s’être comporté en pervers, et s’en excuse auprès de notre invité, qui elle est fières d’avoir jouée la provocation.
Finalement on en tire la conclusion que rien ne se serait passé si nous n’avions pas délibérément joué au jeu des agresseurs et accepté d’en être les victimes !
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