Nadine et son époux vont devenir tellement complices qu'ils vont découvrir un plaisir extrême...
Proposée le 24/04/2017 par ellie
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Je m’appelle Nadine, j’ai 46 ans, je suis mariée et maman de 3 adorables enfants. Nous habitons à Bordeaux et depuis que nos enfants sont devenus plus autonomes, mon mari et moi, sommes passés par plusieurs phases. Nous nous sommes éloignés physiquement, surtout que nous sommes professionnellement très occupés et impliqués. Je ne souhaite pas trop rentrer dans le détail de nos professions respectives, certes épanouissantes mais elles nous consomment beaucoup de temps. Pour essayer de nous rapprocher, Frédérique, mon époux a pris la bonne initiative d’instaurer des voyages réguliers, en couple, pendant lesquels nous avions l’opportunité de renouer et de passer plus de temps ensemble, sans être dérangés par les enfants, qui nous suivaient par téléphone, mais qui, à un moment, ont compris que ses déplacements étaient des moments à nous et qu’ils pouvaient en profiter, eux aussi, pour faire la fête dans être dérangés par leur parent.
Nous avons développé lors de ces voyages, une nouvelle forme de complicité, nous parlions librement de nos fantasmes, de nos désirs et donnions libre cours à notre imagination. Cela nous avait entrainé dans quelques clubs libertins de la région et ensuite dans d’autres villes mais nous étions plutôt passifs, nous étions des voyeurs, à la recherche d’excitations, d’inspirations pour nos ébats de l’after swinger club. Nous parlions beaucoup de ce que l’on aimerait faire, pourrions faire, de jalousie, de générosité, d’amour et de liberté. Nous nous sommes donc retrouvés un soir entre couples dans une petite pièce privative et avons franchi le pas. Ils étaient plus jeunes que nous, ne devaient pas dépasser la trentaine et prenaient apparemment bien soin de leur corps. L’autre femme et moi, avions commencé par nous toucher, par nous dévêtir et nous embrasser pendant que nos époux nous regardaient. J’ai ensuite commencé par déshabiller mon mari et à l’embrasser. Je me suis penchée pour embrasser son torse, son ventre, son entre jambe et j’ai commencé à le sucer. Ma partenaire faisait presque la même chose à son partenaire. J’ai su après, qu’ils n’avaient, eux aussi, jamais franchi le pas et que c’était leur première fois. Ils attendaient à ce qu’on les guide et copiaient nos faits et gestes. Ils ne savaient pas que c’était, pour nous aussi, la première. Cela a contribué à faire de cette première expérience un moment de douceur et de délicatesse, rien n’était précipité. A un moment et d’un regard complice avec l’autre femme, nous avons échangé nos conjoints.
Cela était un peu dérangeant, mais intéressant en même temps. J’ai beaucoup apprécié le fait d’être embrassée et ensuite léchée par une autre personne que mon mari, j’ai aimé aussi essayer une autre verge, cela était très excitant de découvrir intimement un autre corps, son odeur, son toucher, ses formes, tout était différents : des fois plus, des fois moins à mon gout, mais le charme et la beauté sont dans les imperfections. Mon mari était plutôt mince et cet homme que je découvrais était sportif mais devait aimer la bonne cuisine, on sentait les muscles mais ils étaient un peu enveloppés. Au début, cela m’a dérangé un peu, mais j’ai ensuite beaucoup apprécié la douceur de sa peau, l’agrément lorsqu’il s’est allongé sur moi, on aurait dit qu’il m’enveloppait d’une bonne et douce couette de plumes.
J’ai aimé le moment où il m’a pénétré avec délicatesse, comme si on lui avait prêté un beau service de porcelaine et qu’il avait le droit de s’en servir mais sans l’abimer ! Je regardais aussi mon mari toucher timidement cette femme, la découvrir et plonger en elle. Cela m’a donné le courage à murmurer dans l’oreille de mon amant, directement et ouvertement, que ma chatte n’était pas en verre et qu’il pouvait se laisser aller. Il a souri, m’a attrapé plus fermement et m’a pénétré avec plus d’assurance. J’aurais souhaité qu’il le fasse encore plus fortement pour le sentir encore plus en moi, mais c’était quand même agréable. Tel un bon verre de vin, j’essayais de bien savourer chaque instant, chaque sensation de ce dernier, néanmoins je n’ai nullement apprécié le fait d’avoir à sentir un préservatif entre nous. Cela était quand même, un mal nécessaire. Nous sommes revenus chacune, vers la fin de nos ébats, vers nos époux pour jouir entre leur bras. Mon mari m’a confié qu’il avait amplement profité de ce moment, qu’il a été très excité de savourer les parties les plus intimes de cette inconnue et de lui procurer du plaisir. Il se sentait l’obligation d’être aussi attentionné que mon partenaire, qui prenait soin de moi, et de lui procurer un maximum de plaisir.
Cette première expérience, a réactivé beaucoup de choses dans notre vie de couple. Mon mari a eu besoin d’un peu plus de temps pour accepter ce qui c’était passé et le fait de franchir le pas et de se donner complètement à des inconnus. J’ai su, beaucoup plus tard, qu’il avait suivi la scène pendant laquelle j’ai chuchoté à l’oreille de mon amant et que celui-ci, avait juste après, commencé à me pénétrer plus vigoureusement. Il s’était fait pleins d’idées et n’avait pas apprécié mes explications car il trouvait que je m’étais laissé aller trop vite. N’était-ce pas l’objectif ? se laisser aller, profiter pleinement d’un moment d’évasion. Cela l’avait beaucoup intrigué, il voulait comprendre pourquoi vouloir qu’un inconnu me prenne plus méchamment, me pénètre plus fermement, bref me « baise » plus violemment. Nous avons donc commencé à parler plus souvent de nos fantasmes pour essayer de comprendre nos désirs les plus enfouis et les plus secrets et les partager entre nous.
Au regard de mes propos, de mes dires, fantasmes et de son imagination, Frédérique m’annonça qu’il me préparait une formidable surprise et que nous partirions à Nice pour vivre une belle aventure. Il me demanda si je lui faisais confiance et si j’acceptais de lui donner carte blanche pour préparer cette escapade et sa mise en scène. Je savais que Frédérique avait deux amis d’enfance qui vivait dans la région et qu’il ne les avait pas rencontré depuis longtemps, c’était tout. J’ai essayé d’avoir plus d’informations, surtout au moment où il ne restait plus que trois semaines, mais en vain.
Le jour J, nous avons pris l’avion et j’ai été agréablement surprise de découvrir que Frédérique avait loué une belle petite maison sur une coline, avec vue sur mer et avec des baies vitrées immenses sur les deux étages. Il savait que j’adorais les baies vitrées et d’ailleurs la chambre à coucher et sa salle de bain étaient magnifiques, car elles avaient deux façades vitrées orientées vers la mer. Il y avait aussi une belle piscine au milieu du jardin. Tout était parfait, et nous avons passé une première soirée avec un bon diner aux chandelles sur la terrasse et un bon vin de Bellet. Après avoir pris une bonne douche, j’ai mis une robe de chambre très légère et je suis parti à la conquête de Frédérique, qui m’a gentiment embrassé mais informé que je devais encore être patiente. J’en avais un peu marre, cela faisait plusieurs semaines que je devais attendre. C’est avec un drôle de pincement au bas ventre, que j’accepta et nous nous sommes endormis l’un dans les bras de l’autre. Je dois avouer que je ne savais vraiment pas ce qui m’attendait ni quand je pourrais enfin le découvrir. J’ai passé le lendemain à nager mais surtout à bronzer et à penser à ma surprise. Je me suis dite qu’il avait éventuellement contacté le couple que nous avions rencontré à Bordeaux ou que l’un de ses amis nous rejoindrait avec son épouse, bref, je ne savais pas vraiment ce qui m’attendait mais mon excitation s’amplifiait. Frédérique, quant à lui, avait passé la journée à l’extérieur et m’avait demandé de me préparer pour aller diner dans un beau restaurant de poisson, non loin de la maison.
Le restaurant était effectivement exquis et la soirée commença avec des huitres, du champagne, les coquilles de Saint-Jacques, ... des fraises et de la chantilly. En prenant la voiture pour revenir à la maison, Frédérique sortit un foulard de la boite à gant et me banda les yeux. Je m’exécutais et jouais le jeu. A notre arrivée et en descendant de la voiture, je reconnu l’odeur du jardin et en m’aidant à monter les cinq marches, j’étais sûr que nous avions, bel et bien, rejoint notre maison de location. Par contre, la porte était apparemment ouverte, et j’entendis une douce musique de fond et un parfum d’homme. J’ai réalisé à ce moment-là, que nous n’étions pas seuls, et d’un coup, j’ai senti une bouffée de chaleur traverser mon corps.
Nous nous dirigeâmes vers la chambre à coucher et j’entendais mon mari dire « Voilà, c’est Nadine, c’est une très bonne amie à moi, qui a divorcé il y ‘a plus de deux ans et qui n’a depuis pas eu de rapports ». J’étais étonné par ces propos et je ne comprenais pas leur motivation mais je jouais le jeu ». J’ai alors senti des mains se poser sur mes épaules et faire tomber délicatement les bretelles de ma robe. Ces dernières continuaient à faire glisser ma robe vers le bas, tout en caressant ma poitrine, cela était agréable et je sentais Frédérique m’ouvrir mon soutien-gorge, mais à ce moment-là, je fus prise de panique, car j’ai senti d’autres mains sur mes hanches! J’ai réalisé qu’il y avait deux autres hommes dans la pièce et qu’ils étaient en train de me déshabiller. Je décidai de les ausculter aussi de mes mains et je découvris un premier corps athlétique et, à ma surprise, un deuxième corps, doté d’une musculature ahurissante. Frédérique savait que j’étais fasciné par les corps des « Chipel dance » et là, j’étais bien servie, il s’agissait d’un très beau spécimen, à en juger la musculature et la taille de son torse. Ces deux messieurs ont commencé à me masser ma poitrine, à englober mes tétons de leurs lèvres et à caresser tout mon corps. Je sentais que Frédérique, quand à lui, s’occuper de mon dos, je sentais son sexe contre mes fesses jusqu’au moment où je me suis senti être portée par mes prétendants et déposée délicatement sur le lit. J’ai senti des pétales de rose et de jasmin touchant mon corps et puis des mains qui écartaient subtilement mes jambes. Une première langue commença à effleurer mes parties les plus intimes et essayait d’écarter mes lèvres d’amour. Elle s’arrêta et repris plus énergiquement la découverte, je réalisai, qu’il s’agissait de la deuxième personne et qu’elle entourait ma vulve de ses babines. Cette dernière me retourna légèrement vers le coté et je sentis l’autre langue s’occuper de ma fleur arrière. Quant aux lèvres qui m’embrassaient le visage, je reconnus l’odeur de Frédérique et je profitais de cet immense plaisir, d’être goutée de partout et surtout en même temps.
J’étais tellement en extase, que je voulais leur rendre la pareille, j’étais impatiente de les toucher avec ma langue, d’englober leur sexe de ma petite bouche et de les engloutir. C’est comme s’ils avaient lu dans mes pensées, car au moment où je j’y réfléchissais très fort, je sentis la première verge se placer au-dessus de ma bouche. Je n’ai pas hésité et je l’ai englouti d’un coup, je voulais la faire fondre dans ma bouche et je reconnu le manche de Frédérique qui était plus dur que d’habitude. Je l’ai entendu dire ensuite, « Alex c’est à toi mon ami » et avant même de réagir, je sentis un plus grand dard s’enfoncer dans ma bouche. Il la remplissait pleinement, je fus étonné mais en même temps ravi de cette intrusion. Après quelques va et vient, j’ai entendu cet Alex dire à son tour : « Essi, je t’en prie, c’est ton tour cher ami ». Et là, je senti un énorme zob se placer contre ma bouche et pousser pour s’y introduire. L’engin était immense et je n’arrivais, qu’avec difficulté, à le prendre sur toute sa largeur entre mes lèvres. Je me décidai de l’attraper aussi avec mes mains, et là, j’ai été prise de panique car j’avais une partie dans ma bouche, mes deux mains enveloppaient la verge mais je sentais qu’il en restait encore. Je me suis mise à paniquer et à me demander si cette magnifique bite allait pouvoir rentrer en moi, quelle sensation allais je avoir s’il l’introduisit totalement en moi,.. Au moment ou je cogitais, je senti le premier piquet se planter en moi. La cadence était bonne et je sentais qu’il plongeait bien en moi et se frayait un chemin dans mes parties intimes, il s’agissait de Frédérique. « A toi l’honneur Alex » entendis je, et je sentis la deuxième verge m’ensemencer, elle était plus grande, plus large et m’écartait bien. Pendant que je profitais de chaque va et vient, Frédérique m’introduisit la sienne dans la bouche et me procurait énormément de plaisir, surtout que je sentais mes deux orifices du nord et du sud, remplis en même temps. Il en profita aussi pour me retirer le foulard et je découvris mes deux aspirants. Même si l’éclairage était tamisé et qu’il n’y avait que quelques bougies qui illuminaient la chambre, je reconnus deux beaux étalons, Alex était blond et charmant et Essi était un bel africain, doté d’une musculature extraordinaire mais surtout mère nature lui avait fait cadeau d’un incroyable canon entre les jambes. Son gourdin devait mesurer au moins 25 ou 26 centimètres et était surtout aussi large et aussi long qu’un spray de laque d’Elnett de 500ml !! je n’y croyais pas mes yeux et pendant que j’étais prises par en bas et en haut, je me mis à le masturber, il était réel et il s’agissait bel et bien d’une vraie verge d’une taille surhumaine.
Alex me surpris lorsqu’il s’arrêta soudainement, m’attrapa les hanches, les retournait et les offrait à ce surhomme, tout en lui disant « Essi, je pense qu’on la bien préparé, elle est prête à t’accueillir ». Je pris peur et mon corps se crispa, et à cet instant, ce beau français d’origine africaine m’a dit à l’oreille « ne t’en fait pas, cela fait plus de quarante ans que je l’utilise et j’ai appris à bien la manier, détends-toi et profites en ». Je fermis les yeux et ouvrit grand les jambes, tout en attendant cet invité de marque. C’est vrai que mes deux premiers amants avaient fait du bon travail et qu’ils avaient bien préparé le terrain, j’étais vraiment bien ouverte et bien humidifié. Mais cet engin était vraiment géant, lorsqu’il se mis à me pénétrer, je senti chaque centimètre de sa virilité, qui m’élargissait les parois et les lèvres, j’avais l’impression qu’il déplaçait mes entrailles pour trouver sa place, il poussait et je commençais aussi progressivement et spontanément, à le tirer vers moi, au début en attrapant la base de son gourdin et ensuite en tirant ses hanches vers moi jusqu’à l’avoir tout en moi. J’étais fière d’avoir été capable de tout engloutir, cette poutre c’était placé en moi et m’avait totalement rempli comme jamais au paravent. Mais au moment où je me pensais être victorieuse, il me lança « alors ma belle, c’est bon, on peut commencer ! ». Oh mon Dieu, il va à peine commencer, c’est vrai, il ne venait que de me pénétrer, il ne voulait pas s’arrêter à cela. Mes deux amants me tenaient chacun une jambe, me caressaient la poitrine et encourageaient leur compagnon « Vas-y Essi, offres lui du plaisir, fais-la voyager ». J’étais étonnée par cette complicité, pour ne pas dire choquée mais ce que j’avais au fond de moi m’a fait tout oublié. Essi commença à aller et venir en moi, au début tout doucement. La sensation était indescriptible, il était tellement grand qu’en se retirant, je sentais que mes entrailles étaient fortement aspirées. Essi était conscient de ses atouts et il savait vraiment utiliser son engin. Lorsqu’il se retirait, il attendait que je m’impatiente, je sentais effectivement le vide total, je voulais que cette poutre reprenne sa place en moi, qu’elle revienne se fourrer en moi et je commençais à gémir et à lui demander, à lui demander de la enfoncer en moi « vas y Essi, mets la en moi, vas y Essi baises moi, encore, encore plus fort,… » et sans le sentir, j’ai commencé à lui demander « défonces moi Essi, défonces ma chatte , défoncez moi les gars,.. J’aime , j’adore ». Essi s’exécutait et ses « va et vient » devenaient plus rapides et plus intenses. Ce bazooka me défonçait la chatte et les entrailles et me faisait sentir ce que je n’avais jamais rêvé vivre. J’avais l’impression, à chaque fois, qu’il rentrait plus loin, qu’il m’écartait encore plus, j’étais entièrement embroché par lui, J’étais une femme remplie, une femme bien comblée, bref totalement bien baisée ! Essi se retourna et je me suis mise sur lui pour chevaucher sa magnifique queue. Mon bas ventre était enflammé mais j’en voulais encore, à chaque fois qu’il se retirait, je voulais qu’il revienne vite se planter en moi. J’entendis Alex dire à Frédérique « Je pense qu’on devrait venir soutenir Essi, cela fait deux ans qu’elle n’a pas eu de relations sexuelles, c’est le moment de lui faire découvrir le plaisir extrême ». De quel plaisir parlaient ils, j’attendais qu’ils viennent me présenter leurs bites pour que je les suce pendant qu’Essi me ramonait encore la chatte mais je n’ai pas compris ce code, qu’au moment ou je senti qu’un des deux, m’écartait bien les fesses et que l’autre c’était placé derrière moi et cherchait l’entrée de ma grotte arrière. Avant que je puisse réagir, Alex avait commencé à introduire sa bite, doucement mais incontestablement dans mon orifice. J’étais étonné que cela marche, c’était serré mais je senti pour la première fois de ma vie deux bites en moi ! Je ne savais pas quoi en penser, cependant lorsqu’il se mire à bouger délicatement, je ne pouvais plus retenir mon excitation, je gémissais de toute mes forces et cela déclencha en ces messieurs un instinct animal, ils se sentaient majestueux, encore plus viriles et mes gémissements les motivaient à me prendre encore plus fort. C’était vraiment incroyable, j’étais prise par deux hommes, qui me baisaient mes orifices sans sommation, qui étais-je, devais-je avoir honte, devais-je être dégoutée, suis-je une mauvaise mère, épouse ?,.. un seul sentiment a pris la place : j’étais heureuse, j’étais une femme comblée, qui avait la chance de gouter à un plaisir extrême, extrêmement épanouissant, extrêmement délicieux,.. J’étais une femme convoitée, courtisée, adorée, une femme fatale. Mon plaisir s’arrêtait un instant, lorsque j’entendais Alex dire à Frédérique « vas y Frédérique, à ton tour de l’enculer, encules la bien, elle le mérite, elle est vraiment bonne, elle est délicieuse, son cul est divin ». J’étais ensorcelé par le fait qu’ils me passaient l’un à l’autre, qu’ils me partageaient entre eux avec autant de générosité, de passion et d’extase. Cela devait aussi fortement exciter Frédérique, car je ne l’ai jamais vu aussi charnel, aussi dévoué, aussi comblé. Il voulait donner de son meilleur, me défoncer encore plus, me faire atteindre le septième ciel et je suis sûr, que pendant nos 20 ans de mariage, il ne m’avait jamais baisé aussi fort. On aurait dit un chevalier se transformer en gladiateur. Mes prétendants échangeaient de place, d’orifice, de position,.. Ils étaient beaux et vaillants et je me suis senti être la princesse de leur désir.
Cela faisait des heures que l’on baisait, je n’en pouvais plus mais je ne pouvais plus comprendre. J’étais à leur merci, j’avais la chatte et le cul en flamme, mais j’en voulais encore et j’en demandais encore plus. Je ne savais pas du tout, comment tout cela aller se terminer jusqu’au moment où Essi gémit, et se mis à me gicler au fin fond de mes entrailles. Je ne sais pas comment, mais j’ai senti son sperme se déverser en moi, j’ai été impressionné par la quantité de sa semence, on aurait dit qu’il y avait un litre de son liquide en moi. Au même moment, Alex se mis à aussi gémir, il était en train de se vider charnellement dans mon cul. Frédérique, quant à lui, avait rejoint ma bouche et ne pouvait plus se retenir. Il se mis à gicler dans ma bouche et j’ai avalé tout ce que je pouvais, jusqu’à la dernière goute de son nectar. Leurs lances et leurs liqueurs, dans tous mes orifices, avaient calmé mes ardeurs et apaisé la flamme.. Je sentais une quantité abondante de leur liquide couler de mon intimité, de tous mes orifices. Je sentais ces derniers entrouverts, cette séance d’amour charnel avait eu de l’effet sur mon corps. J’étais allongé sur le ventre et même si de nature timide, j’aurais eu tendance à cacher mes parties intimes, j’étais fière qu’ils les regardent. Je leur offrais le plaisir de contempler ces trophées, pour lesquels ils s’étaient tellement bien battus ! Je me touchais l’entre jambe et léchait mes doigts, tout en me demandant si je goutais le nectar d’Alex ou d’Essi ou des deux en même temps.
Je ne regrettais vraiment pas cette décision, car un peu plus tard, je rejoignais la salle de bain, dans laquelle mes trois amants s’étaient retrouvés et avaient entamé une discussion sur cette soirée de jambe en l’air. J’ai toujours été curieuse et aurait donné tout au monde pour écouter une discussion de mecs sur les femmes et là, j’en avais l’opportunité, d’autant plsu qu’ils parlaient de moi ! Je suis resté derrière la porte et ai écouté leur discussion. Alex et Essi racontaient à Frédérique qu’il ne regrettait pas du tout le fait de ne pas avoir pénétré leur femme pendant trois mois, d’avoir souffert toute cette période avec toute sorte d’excuse, de s’être fait dépisté la veille,... « Frédérique, ton idée était folle mais tu as tenu ta promesse, cette expérience a vraiment été inoubliable et plus fascinante que celle qu’on a eu au lycée ». Cela m’a rassuré, quant aux préparatifs de Frédérique et fait comprendre beaucoup de décisions étranges des derniers mois, mais je lui faisais confiance à 100 % et je savais qu’il ne prenait pas de risque. J’ai également compris que mes trois amants avaient déjà partagé une expérience similaire plus de 20 ans au paravent. Essi racontait fièrement à ses deux compagnons « elle était vraiment serré les gars, j’ai dû bien pousser mais je n’ai jamais eu de femme qui me tirait de la sorte pour l’introduire tout au fond d’elle, elle est incroyable. Je suis devenu dingue, lorsque j’ai vu l’état de sa chatte en me retirant, je pense que la dernière fois qu’elle s’est senti ausi ouverte c’était après son accouchement ! ». Alex renchérit « Je lui ai bien dilaté le cul aussi, je n’ai jamais enculé un cul aussi longtemps, c’est quand même, une grande cochonne, je n’ai jamais eu de femme, qui avec une bite de calibre dans la chatte et après plus d’une heure de baise, me demande de l’enculer, encore et encore. J’ai vraiment pris plaisir à vider mes couilles en elle». Frédérique, quant à lui, rétorqua « vous savez les gars, c’est une très bonne amie, j’ai eu l’occasion de lui faire l’amour, de la baiser de temps en temps, mais je n’aurais jamais cru qu’elle était aussi sexuelle, avide et insatiable, j’ai été heureux de partager ce bijou de femme avec vous mais je ne sais finalement pas si nous étions en nombre suffisant ».
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
texte excellemment écrit bravo, cette petite épouse délicate méritait bien d’être prise de partout. Son immense jouissance n'était pas volé M.A.M
Posté le 23/05/2023
rom
Combien de femmes voudraient vraiment vivre l'expérience??
Posté le 27/04/2017
Nathan
Histoire tres excitante...a lire absolument
Posté le 25/04/2017
corinne
magnifique
Posté le 25/04/2017
malin chasseur
histoire (vraie) très exitante pleine de mes fanstasmes, bravo
Posté le 25/04/2017
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