Lucie est employée dans un salon de coiffure où j'ai mes habitudes. Or, celle-ci a démissionné pour devenir auto-entrepreneuse. Je l’accueille pour la première fois à mon domicile.
Proposée le 26/02/2017 par sorggulp
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Décidément, ces cheveux sont trop longs !
Sorti de la douche, je me regardais dans le miroir. Impossible de me coiffer comme je le souhaitais.
Heureusement, j'avais pris rendez-vous ce samedi à 15 heures avec ma coiffeuse habituelle.
J'avais fait connaissance avec Lucie quelques années auparavant lorsqu'elle était employée dans le salon voisin de mon domicile.
A l'époque, j'appréciais cette jeune femme pour sa fraîcheur et son professionnalisme. Nous avions rapidement sympathisé, me faisant exclusivement coiffer par Lucie.
Quelques mois plus tard, nous nous embrassions comme de vieilles connaissances.
A chaque fois que je me rendais au salon, je retrouvais avec plaisir Lucie avec qui je conversais à bâtons rompus de tout et de rien.
Je dois aussi reconnaître que son physique ne ma laissait pas indifférent. Lucie était une jeune femme élancée aux cheveux longs bruns. Son regard était très sensuel alors que ses lèvres étaient à elles seules une tentation. Sa poitrine était petite mais ferme. J'étais surtout admiratif de sa chute de reins. A chaque fois qu'elle se retournait, je ne pouvais m'empêcher de l'observer discrètement et l'imaginer nue.
Lucie était parfaitement consciente de ses atouts et les mettaient en valeurs en portant, lorsque la météo le permettait, des robes qui étaient du plus bel effet sur elle.
Dès que l'occasion se présentait, je ne manquais pas de laisser mon regard glisser le long de ses formes. Je pouvais deviner un corps parfaitement proportionné. Elle avait plusieurs fois surpris mon regard comment dire....intéressé mais ne semblait pas vexée mais au contraire semblait flattée de mon comportement.
Etant plus âgé d'une bonne quinzaine d'années, je ne me faisais aucune illusion mais je me plaisais à imaginer Lucie dans un autre contexte que le salon de coiffure..
Lorsqu'elle me coupait les cheveux, son visage se rapprochait du mien et j'avais déjà eu l'occasion de fixer mon regard dans le sien. Cela durait une fraction de seconde et pourtant je ressentais alors une intensité troublante. Il arrivait aussi que sa robe effleure mon avant-bras lorsqu'elle se déplaçait autour du fauteuil où je me trouvais. Le simple frôlement du tissus éveillait tous mes sens.
Lucie ne cherchait absolument pas à dissimuler son décolleté lorsqu'elle se penchait pour prendre un ustensile. Je pouvais apercevoir le galbe parfait des seins maintenus par un soutien-gorge de fine dentelle.
Comme vous pouvez l'imaginer, j'étais à chaque fois heureux de passer un moment avec Lucie.
Les années passèrent ainsi au salon de coiffure. Entre-temps, Lucie s'était mise en couple et avait donné naissance à un petit garçon. Elle me raconta la joie qu'elle éprouvait d'être maman. Je ne pouvais qu'acquiescer, savourant des yeux sa poitrine devenue généreuse. Ses hanches s'étaient arrondies et augmentait d'autant son capital charme.
Je jalousais secrètement son compagnon.
Un jour, tandis que Lucie s'affairait sur mes cheveux, elle m'apprit qu'elle quittait son poste à la fin du mois. A la vue de ma mine déconfite, elle me rassura en me murmurant à l'oreille qu'elle se mettait à son compte. Elle avait choisi de se lancer dans la coiffure à domicile. Si je le souhaitais, elle me donnerait sa carte de visite et je pourrais ainsi continuer à me faire coiffer par Lucie.
Ayant la carte en poche, je prenais congé de Lucie tout en croisant le regard sévère de la patronne qui devait se douter qu'il se tramait quelque chose.
Un mois passa sans que je n'ai aucune nouvelle de Lucie. C'est la longueur de mes cheveux qui me rappelèrent au bon souvenir de celle-ci. Ayant retrouvé la carte de visite dans mon portefeuille, je composais le numéro de téléphone portable.
"Bonjour Lucie, c'est Patrice à l'appareil ! Tu te souviens de moi ? Je suis un de tes anciens clients du salon !"
"Oui, bien sûr Patrice que je me souviens ! Comment va-tu ? Cela me fait plaisir d'avoir de tes nouvelles !"
"Je vais très bien, merci. J'ai besoin de tes doigts magiques pour redonner un semblant de tenue à ma coiffure. Quand pourrais-tu venir ?"
"Je te propose samedi prochain,15 heures. Cela te convient ?"
"Avec plaisir, je note le rendez-vous !" répondis-je en lui donnant dans la foulée mon adresse.
"Parfait, à samedi Patrice. Je t'embrasse"
Je raccrochais, satisfait d'avoir entendu la voix Lucie mais surtout impatient de la revoir.
Revenons au fameux samedi
Lucie n'allait pas tarder à arriver. 14 heures 45, il était temps de m'habiller.
Je regardais une dernière fois mon corps entièrement nu dans le miroir. J'avais beau avoir 45 ans mais j'étais satisfait de l'image que me renvoyait le miroir. Pratiquant une activité physique régulière, j'étais plutôt à mon avantage. De plus, mes cheveux poivres et sels me donnait un air d'homme mûr qui plaisait beaucoup aux femmes. Je posais les yeux sur mon sexe. Je m'épilais entièrement le bas ventre excepté un petit buisson que je laissais au dessus du pénis. Je me caressais quelques instants en pensant à Lucie. Je bandais rapidement, admirant ma queue dressée dans la main. Décalottant entièrement le gland, je desserrais l'étreinte de ma main et laissait l'excitation retomber. La nature m'avait plutôt gâté.
L'avantage d'être coiffé à domicile est que l'on n'a pas besoin de porter de vêtements épais. Un simple T-shirt et un survêtement feraient l'affaire. J'omettais volontairement de mettre un sous-vêtement afin d'être plus à l'aise mais aussi ajouter un peu de piment à mon rendez-vous.
Ding Dong !
La sonnette retentit. Je sortais précipitamment de la salle de bains et ouvrais la porte d'entrée. Un grand sourire illuminait le visage de Lucie. Je m'effaçais pour la laisser entrer.
Celle-ci tirait une valise à roulette qu'elle plaça à côté de la table de séjour.
"Bonjour Patrice !" me dit-elle en se dressant sur la pointe des pieds pour m'embrasser.
Ses cheveux frôlèrent mes joues tandis que je respirais son parfum. Elle s'accroupit pour ouvrir la valise et en sortir tous les ustensiles nécessaires.
Me déplaçant de sorte que je puisse la voir de face, je pouvais ainsi la détailler à loisir.
ayant ôté son manteau, Lucie portait une robe de tissus léger à volant qui lui seyait à merveille. Celle-ci mettait parfaitement en valeur sa poitrine ainsi que ses jambes. Lucie ne pouvait pas voir mon regard du fait que ses cheveux masquaient entièrement son visage.
Elle se releva et me demanda de m'asseoir sur la chaise qu'elle me désignait.
Elle me tendit alors une blouse que j'enfilais docilement.
Une serviette posée sur les épaules, j'étais prêt.
Lucie s'arma d'une paire de ciseaux et d'un peigne puis commença à couper. Elle me parla alors de son fils, de son compagnon, de sa nouvelle carrière et des changements que cela avait entraîné dans sa vie de couple. Celle-ci semblait monotone, sans saveur. Je sentais de la mélancolie dans le ton de Lucie.
Pour couronner le tout, elle me demandait si j'étais en couple. Ayant répondu de façon négative mis à part quelques aventures, j'attendais d'entendre la suite. Elle fit alors l'inventaire des avantages et inconvénients de la vie de célibataire. J'étais de plus en plus intrigué par ses propos.
Tout en discutant, Lucie tournoyait autour de la chaise, me frôlant de sa robe, me passant la main dans les cheveux afin de mesurer la longueur, se penchant afin de vérifier l'équilibre des pattes et m'offrant une vue imprenable sur son décolleté. Tout ceci ne me laissait pas insensible. Je sentais l'excitation grandir et ne pouvait refréner l'érection que je sentais se former dans mon survêtement !
Problème : comme je ne portais pas de sous-vêtement, une bosse de plus en plus visible se dessinait sur mon entrejambe !
Je feignais alors l'indifférence, croissant les jambes.
Cela eu pour effet de me faire encore plus bander.
Comme par hasard, Lucie me demandait de me déplacer sur une chaise qu'elle avait placée devant le lavabo de la cuisine pour me rincer les cheveux !
Je m'exécutais tant bien que mal, me maudissant d'avoir eu l'idée lumineuse de ne pas mettre de sous-vêtement. Voilà où cela mène quand on se fait des scénarios inconcevables !
Evidemment, j'avais l'air ridicule avec ma queue dressé à l'horizontale dans le survêtement.
Je devais passer pour le pervers de service.
Pourtant, je ne pouvais pas ignorer le coup d'oeil appuyé qu'elle jetait sur mon entrejambe lorsque je me levais.
Je m'installais lamentablement sur la chaise tandis que Lucie me posait une nouvelle serviette autour du cou.
Elle me demanda de me positionner un peu plus en arrière afin de pouvoir me mouiller les cheveux. J'étais obligé d'allonger les jambes ce qui eu pour effet de mettre encore plus en évidence mon état d'excitation.
Je fermais les yeux de dépit.
Les mains de Lucie caressaient lentement mon cuir chevelu. L'eau parfaitement à température s'écoulait sur mon crâne me procurant une sensation de bien-être infini.
Les yeux toujours fermés, je sentais la présence féminine de Lucie. Je pouvais sentir la chaleur de son corps sur mon visage lorsqu'elle s'approchait pour me laver les cheveux. Ouvrant légèrement les yeux, je surprenais de nouveau son regard posé sur mon entrejambe. Elle vit mon regard posé sur elle et détourna instantanément les yeux. Je voyait ses joues devenir écarlates.
"Tout va bien ?" demandais-je hypocritement en ouvrant complètement les yeux.
"Oui, oui" bredouilla Lucie avec un sourire gêné.
"Ce shampoing me fait un bien fou !"
"Je vois ça" me répondit Lucie avec un regard qui en disant long sur ses pensées.
"Que vois-tu ?" hasardais-je
"Je vois que mon shampoing a des effets inattendu !" me répondit-elle en me souriant tendrement.
Je la fixais alors intensément.
Nos lèvres se rejoignirent. Nos langues s'emmêlèrent alors tandis que Lucie partait à la découverte de la fameuse bosse. Dès que sa main se posa sur celle-ci, je soupirais de plaisir.
Elle flatta toute la longueur de ma queue à travers le survêtement en continuant de m'embrasser à pleine bouche. Je devinais que Lucie était en manque de sexe à la façon dont elle me caressait. Il ne fallait surtout pas laisser passer une occasion pareille !
De mon côté, j'avais entrepris d'explorer l'intimité de Lucie.
J'avais glissé une main sous la robe pour remonter entre les cuisses. Je ne tardais pas à sentir la douceur de la soie sous mes doigts. Lucie portait un string qui était déjà trempé de désir.
Écartant le tissus, je découvrais un mont de Venus parfaitement épilé et glissait l'index entre les lèvres gonflées.
Je n'eu aucune difficulté à trouver le clitoris durci de plaisir. Lucie étouffa un petit cri de plaisir dans ma bouche.
Sa main se glissa alors sous le survêtement pour saisir à pleine main ma queue douloureuse. Quelle délivrance d'être enfin caressé ! Je n'en pouvais plus de bander ainsi sans être cajolé !
Je fouillais à présent la chatte de Lucie sans ménagement. Elle mouillait abondamment, se trémoussant de plus en plus rapidement sur mes doigts.
Soudain, Lucie baissa mon survêtement pour littéralement se jeter sur ma queue qu'elle tenait dressée dans la main. Je sentais la chaleur de sa bouche se répandre tout le long de ma bite. Réclamant plus de liberté de mouvement, je saisissais le string et le tirais vers le bas. Lucie m'aidait en remuant les jambes. Le morceau de dentelle ne tardait pas à rejoindre le sol et je pouvais ainsi profiter pleinement de l'intimité offerte. Lucie posait alors la jambe droite sur le rebord du lavabo, m'offrant ainsi sa chatte complètement ouverte. J'entrais deux doigts entièrement dans celle-ci. La pénétrant le plus profondément possible, je les ressortais complètement poisseux de mouille. J'étais terriblement excité d'autant plus que Lucie me suçait divinement bien. Me penchant légèrement en avant, je pouvais voir sa bouche coulisser le long de ma queue qu'elle branlait d'une main. Elle me maintenait complètement décalotté et jouait avec sa langue à faire le tour du gland tuméfié.
Lucie haletait en me suçant. Elle était méconnaissable.
Libérant ma queue de sa bouche, elle se plaça à califourchon sur moi et s'empala brutalement sur ma queue.
De concert, nous poussâmes un cri de plaisir.
"Hummmm, c'est si bon !" souffla Lucie entre deux baisers.
Elle resta ainsi un long moment sans bouger, m'embrassant fougueusement puis commença à onduler le bassin sans se retirer. Son vagin me massait toute la queue, me faisant perdre la raison. Je soulevais sa robe, la prenant par les hanches.
Je voulais sentir ma queue coulisser en elle mais Lucie me tenait le visage des deux mains et m'embrassait à pleine bouche, refusant de me laisser faire.
Au contraire, elle ondulait de plus belle sur ma bite prisonnière de son fourreau soyeux.
Vaincu, je me jetais alors sur sa robe, la soulevant des deux mains. Lucie leva alors les bras pour me faciliter la tâche. Le vêtement vola dans le salon.
Je découvrais alors la poitrine de Lucie, enfermée pour un court moment encore dans un soutien-gorge du plus bel effet.
Glissant les mains dans son dos, je dégrafais celui-ci, libérant une paire de seins semblant heureux de pouvoir bouger librement. Saisissant l'un deux, je le guidais entre mes lèvres pour mordiller le téton offert. Celui-ci durcit instantanément, arrachant de petits cris à Lucie.
Je passais ensuite de l'un à l'autre tout en massant à pleines mains les deux offrandes.
Pendant ce temps, Lucie maintenait ma queue au plus profond de sa chatte, en faisant des ronds avec son bassin.
Je ne voulais pas en rester là.
Maintenant Lucie par les hanches, je la maintins empalée sur ma bite et la souleva pour la déposer, cuisses écartées, sur la table.
J'étais à présent debout entre ses jambes tandis qu'elle était allongée sur la table de séjour, complètement offerte.
Je ne me privais pas. Remontant ses chevilles sur mes épaules, je la pénétrais sans précaution. A chaque coup de queue, je voyais ses seins se balancer d'avant en arrière ce qui avait pour effet de m'exciter encore plus.
Sa chatte accueillait ma queue comme un écrin de soie. Je regardais celle-ci coulisser entre les lèvres luisantes de cyprine. Lucie gémissait les yeux fermés.
"Continue, Patrice. C'est tellement bon !"
Je me retirais alors soudainement et décidait de goûter Lucie. Tirant vers moi une chaise, je m'asseyais entre ses jambes, admirant l'origine du monde.
Dans un premier temps, je glissais un doigt sur la fente mouillée pour ensuite introduire celui-ci dans la grotte d'amour.
Je revenais ensuite jouer avec le bout de chair rose niché au creux des lèvres boursouflées.
Le ventre de Lucie ondulait de plaisir.
Puis, je posais les lèvres sur l'objet de mes investigations. Ecartant légèrement avec les doigts les grosses lèvres, je léchais tout du long la fente pour m'attarder sur le bouton rose.
Je jouais alors longuement avec celui-ci tandis que je fouillais sa chatte avec les doigts.
Lucie marmonnait maintenant des paroles inaudibles. Elle tenait mon visages des deux mains plaqué contre sa chatte, écartant au maximum les cuisses.
Secouant la tête en tous sens, elle criait à présent.
"Oh oui, va-y ! Continue comme ça ! Ne t'arrête pas ! Ouiiiiiii !!!"
Sentant qu'elle allait jouir, je prenais le clito entre les dents et le mordillait tout en la doigtant de plus belle. Lucie se branlait littéralement avec mes doigts, ondulant le bassin d'avant en arrière.
Soudain, elle me tira les cheveux en poussant un long cri.
Je sentais les contractions de son vagin sur mes doigts tandis qu'un goût salé emplissait ma bouche. Mes lèvres étaient gluantes de plaisir.
Je patientais quelques instants puis me redressait.
La tenant par les chevilles, je pénétrais d'un seul coup Lucie complètement groggy.
Son visage était détendu, les paupières mi-closes, un sourire béat.
J'étais comme saisi par une sorte de torpeur tandis que j'allais et venais dans sa chatte.
Je savais déjà que je n'allais pas tenir longtemps mais je ne cherchais absolument pas à retarder l'échéance.
D'ailleurs, je sentais déjà les prémisses de la jouissance.
Ma queue était de plus en plus sensible au va-et-vient tandis que j'étais parcouru de spasmes incontrôlables dans tout le corps. Pour couronner le tout, Lucie avait glissé une main sous ses fesses et me massait à présent les boules tout en donnant le rythme.
Lâchant ses chevilles, je plaquais les mains de chaque coté de son corps tandis que j'explosais en elle. Je la clouais contre la table.
J'étais parcouru de soubresauts, déversant ma semence au plus profond de sa chatte.
Foudroyé par la jouissance, je m'affalais sur Lucie.
Nous étions hors d'haleine, luisants de sueur. ivres de plaisirs.
Le temps reprenait lentement son cours normal.
Nous étions tous les deux comateux, revenant lentement à la réalité.
Ouvrant les yeux, nous nous embrassâmes longuement sans prononcer un mot.
Lucie avait vraiment bien fait de se mettre à son compte !
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Commentaires de l'histoire :
Ingrid
très bien! belle histoire agréable à lire. Continuez ....
Posté le 27/02/2017
Anonyme
Magnifique récit ! Très excitant et bien écrit. Continuez comme ça !
Posté le 27/02/2017
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