Rencontre à l'aéroport pour la première fois. Avec une grande excitation au bar...
Proposée le 8/02/2017 par quality_n1
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
AIRPORT LOUNGE 15h44
Il l'a rencontrée au bar.
Les avions allaient et venaient. Le salon était assez miteux, avec des cabines vert olive, tapis sombre, et mauvais papier peint argenté. Il aurait pu être un salon des années 60. Mis à part le jeune, à temps partiel barman acteur, vérifier son téléphone cellulaire et la serveuse d'âge moyen regarder le t.v. Monté au-dessus du bar, la chambre était vide. Le jazz brésilien était sur le système sonore. Un scotch chaud remplissait ses sens, le verre chaud pressé entre ses palmiers chauffés. Il attendait depuis plus d'une heure, anticipant.
Il savait qu'elle était entrée avant qu'il ne se retournât, le cœur battant. Elle savait que c'était lui, son sac de vol à ses pieds. Était-ce ce qu'elle attendait? Pas assez? Une déception? Il ne pouvait pas dire alors qu'il la regardait dans la lumière à demi éclairée. Était-elle plus grande ou plus courte que prévu? Qu'avait-il attendu, il ne l'avait connue que par des mots et des photos silencieuses. Mais le moment est passé. Elle sourit, mais juste à peine et il remarqua ses jambes dans la jupe noire, les talons hauts, et son chemisier, ouvert au troisième bouton. Il se demanda ce qu'elle portait en dessous. Comment elle a senti à toucher. Le sang s'écoula en lui et il refusa un rougissement.
Il se tenait. Sans hésitation, elle se rendit à un kiosque et s'assit en traversant ses jambes. Il prit son verre et s'assit à côté d'elle. Ils avaient tous deux vu assez de films de maison d'art pour savoir ne pas parler, pas encore. Il savait déjà tout ce qu'il devait savoir sur elle.
Il ne sourit pas bien qu'elle sût qu'il était heureux. Elle était heureuse aussi.
La serveuse est venue et est partie, est revenue avec la boisson de son compagnon et les a laissés seuls; La serveuse savait les laisser seuls.
Il a pris son doigt et l'a touché à sa boisson, puis à sa lèvre inférieure, sa bouche s'ouvrant légèrement, la pointe de sa langue dégustation. Il pouvait sentir sa chaleur s'échapper d'elle, son parfum, son parfum remplissant ses sens. Elle décroisait ses jambes lentement et il pouvait entendre le brossage en nylon. Elle a gardé ses jambes écartées, sous le kiosque. Elle buvait son verre. Elle ne le regarda pas alors que la serveuse leur jetait un coup d'œil et leur tournait le dos.
Sa main était sur sa jupe, sentant la cuisse ferme en dessous. Elle ne bougea pas. Elle but de nouveau et, la main libre sous la table, elle souleva le bord de sa jupe, exposant le haut modelé de bas de nylon noir. Il se rapprocha, ses lèvres sur son cou et elle attira son corps en lui dans un accord tacite. Il sentait ses cheveux comme il lui chuchotait dans l'oreille, sa main sur la sienne sous la table, sa main poussant sa main vers le bas, puis libérant. Elle se tourna vers lui, ses lèvres à son oreille: «oui», murmura-t-elle.
Sa main se souleva au-delà du nylon pour se réchauffer, douce, la peau lisse, ses jambes se séparant plus; À la soie déjà mouillée d'excitation. Ses doigts glissaient doucement sous et vers le haut, vers des cheveux fins et humides et des lèvres vaginales serrées, son doigt les séparant et glissant lentement à l'intérieur. Une telle chaleur. Un tel tremblement. Elle soupira contre son oreille, tenant son épaule, sa bouche au cou, le bout de sa langue sur sa peau. En elle, ses doigts trouvaient le clitoris droit, dur, gonflé, palpitant. Le toucher était de toucher l'éclair. Le caresser, le caresser, l'aimer avec ses doigts mouillés, c'était l'extase.
Elle serrait ses jambes, lui emprisonnant la main. Elle serra encore plus fermement sa peau dans la peau de son cou, sa main sous la table, sur son entrejambe, serrant fort, dans son pantalon, son érection palpitait d'un plaisir explosif. Encore et encore et encore et encore elle pressa, mordant puis embrassant son cou, son doigt sonde et trouver et glisser dedans et dehors, aller et retour, aller et retour, doucement, profondément, fermement. Puis son corps se serra dans un spasme. Le petit souffle de son oreille, sa main serrée contre son gland douloureux. Ses muscles vaginaux se compriment. Le déluge de chaleur humide sous la soie trempée.
«Mon dieu,» murmura-t-elle à personne, ses jambes toujours serrées contre sa main. Elle leva les yeux vers lui, la main doucement sur son pantalon, et il vint dans une imprévue imprévue d'émotion aveuglante, son cœur battant avec le sien, le sang battant ensemble, les corps embrassés.
Elle posa sa tête contre son épaule. Ses jambes se détachèrent lentement.
Sa main se retire à sa jambe, sous sa jupe. Ils étaient assis en silence, les yeux fermés, les cœurs calmants, les corps appuyés l'un contre l'autre.
Le monde n'existait pas.
Ils n'existaient pas.
Le temps s'était arrêté.
Il oublie presque son nom.
Presque.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Est-ce un logiciel qui a fait une traduction ?? Le texte original était peut-être agréable, mais cela n'a plus aucun sens ainsi traduit mot à mot. Il vaudrait mieux donner la version d'origine, et demander à quelqu'un qui sait écrire en français de traduire...
Posté le 9/02/2017
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