Tu auras le plaisir de découvrir des plaisirs d'hiver, dans un institut de beauté puis dans une boutique, en toute impudeur.
Proposée le 7/12/2016 par Anna
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Masturbation
Personnages: Solo
Lieu: Essayage
Type: Histoire vraie
Bonsoir mon cher lecteur, ma chère lectrice,
Je suis bien contente de te retrouver. J'ai vu aux commentaires laissés lors de ma première publication que mon récit d'"un après-midi chaud" avait été apprécié. Merci à toi d'avoir voté et commenté. J'adore savoir l'effet que mon histoire a suscité sur mes lecteurs.
Aujourd'hui c'est un après-midi froid. Pour ne pas dire glacial. Mais depuis ce matin tôt, je m'emploie à réchauffer l'ambiance hivernale qui s'installe. Tout a commencé par une séance d'épilation du maillot, intégral bien sûr. J'ai affronté le givre à 9 heures du matin pour retrouver mon esthéticienne, une petite bombe blonde d' 1m60 aux traits fins. Je m'installe sur sa table, la minette à l'air, encore gelée de la température extérieure mais pas pour longtemps...
Elle est adorable. Elle me fait gentiment la conversation. Ses mains sont chaudes et ce contraste sur ma peau me fait frissonner. Elle ne semble rien remarquer. La cire me réchauffe les lèvres. Pendant qu'elle continue de travailler, je la dévore du regard. Ses petits seins fermes, ses mains blanches et son visage de poupée. J'adorerais pouvoir me relever, m'approcher et l'embrasser. Je la serrerais contre moi, je passerais une main curieuse sous sa blouse pour lui caresser les fesses avant de la coucher sur sa table. Je dégraferais son soutien gorge, je croquerais ses tétons histoire de la faire soupirer un peu avant de descendre sur son ventre. Tout en l'embrassant j'enlèverais son petit string tout mouillé, j'ouvrirais ses jambes pour mieux goûter à son puits d'amour. Je laisserais ma langue se promener, de haut en bas, plus profondément puis je me concentrerais sur son petit bouton que je sucerais jusqu'à la faire se tortiller. Sentant ses mains agripper mes cheveux, je la pénétrerais d'un doigt, puis de deux, tout en continuant mes jeux de langue sur son clitoris pour la conduire à l'orgasme... Stop. J'arrête là d'imaginer tout ça. Je sens mon sexe chauffer et gonfler. La situation serait assez gênante si elle s'en apercevait. Je la laisse donc finir de travailler tranquille et je rentre chez moi. Mais, le mal est fait. Ma minette toute lisse et la magicienne qui l'a rendue ainsi me hante. Trop tard. Je suis vraiment excitée.
Cependant, j'ai pas mal de choses à faire aujourd'hui alors je tâche de rester concentrée. Je m'installe à mon bureau avec un café, histoire de réchauffer mon corps refroidi par l'extérieur. Je travaille ainsi une heure, puis deux, puis trois. Je décide de faire une pause méritée en ville. Mais avant de partir, par pure provocation à mon égard, je décide de "sexualiser" mes courses. J'opte donc encore pour mon plug anal geisha. J'attrape le flacon de lubrifiant, je l'en badigeonne et le fait pénétrer doucement mais sûrement dans mon petit trou qui l'attendait visiblement. Il rentre quasiment tout seul et mon anus se referme assez violemment sur la tige. J'ai un peu mal mais la sensation passe vite et je sens mon petit cul chauffer. Je m'interdis la moindre caresse cependant. Je veux que ce soit la marche qui me rende folle d'excitation. Vite, mon jean noir moulant et c'est parti.
Je dois refaire le plein de maquillage. Habituée au noir sexy pour les yeux et au rouge à lèvres intense, j'ai envie d'une touche de couleur et de douceur pour cet hiver. Je sors de mon appartement et préfère les escaliers à l'ascenseur, histoire de me mettre en conditions. La bille roule dans mes fesses et tape contre mon anus à chaque marche. Mon sexe gonfle déjà et, moulé par mon jean, augmente rapidement mon excitation. J'arrive en bas des marches, j'ouvre la porte. Le froid est polaire. J'enfile mes gants de cuir et je remonte la rue. Le vent passe à travers mes vêtements, plus glacial encore que ce matin. Je sens mes seins durcir et mes tétons pointer à l'extrême. Les hommes que je croise me dévisagent. Est-ce que ça se voit à ce point? A priori non, mon manteau doit me cacher un peu. Mais je sens des regards insistants sur mes fesses. Ma chatte est trempée. Je me sens à la fois prude d'être emmitouflée et salope de marcher en pleine rue ainsi pénétrée.
J'arrive enfin à la boutique de produits de beauté. Je cherche mes articles. Je prends mon temps. Une vendeuse s'approche et me propose son aide. Je lui bredouille que je vais me débrouiller. Mais je bloque sur ses lèvres rouges. Je les voudrais dans mon cou, sur mes seins tendus, serrant mes tétons, et dans ma chatte... Soudain j'aperçois les petits pinceaux à maquillage tout en bas du rayon. Je me baisse et pour se faire, j'ouvre mes jambes pour les plier. Je sens mon cul s'ouvrir aussi, ce qui me procure une vague de chaleur. Mon plug, poussé par les coutures du jean, s'est bien enfoncé en moi... Je me sens rougir. J'ai envie de me caresser, c'est terrible. Mais ici c'est impossible. Alors je me relève, je règle mes achats et je sors.
De nouveau, vague de froid. Seins qui durcissent à mort. Excitation totale. J'ai le sentiment que je tiendrai pas jusqu'à chez moi. En longeant les vitrines de la rue principale, mon regard est attiré par un pull. C'est le déclic. Je rentre, je salue la vendeuse pour ralentir mon imagination. Je trouve le pull en question, et je rentre dans la cabine d'essayage la plus éloignée de la boutique. Je tire le rideau. Je retire mon pull : mes seins sont très apparents. Je les pince à travers le tissu de mon débardeur pour les punir de m'exciter à ce point. Réaction immédiate. Ma chatte dégouline. Je me débarrasse alors de mon jean qui me comprime pour enfin accéder à cette minette indisciplinée qui me fait délirer depuis ce matin. Je me regarde dans le miroir. Mes seins lourds transpercent les tissus. Je décide de poursuivre l'effet chaud/froid. Je les plaque contre le miroir gelé. Ils durcissent encore. Cette position me fait me cambrer, les fesses tendues. Je sens mon anus serrer le plug qui le défonce. J'approche enfin une main vers ma chatte. Je glisse le majeur entre mes deux lèvres toutes douces. Je fais des aller retour, de haut en bas, j'insiste un peu en passant sur mon clitoris. Je suis trempée comme rarement. De l'autre main j'attrape le diamant qui dépasse de mes fesses et je le tourne doucement. L'association des deux gestes plus le froid du miroir sur mes seins me fait rapidement grimper. La pression est extrême.
Je décide de prolonger le plaisir donc je m'interromps pour m'asseoir sur le petit banc. Je relève une jambe, face au rideau, en toute impudeur, et je glisse un doigt au plus profond de ma chatte qui n'en demandait pas tant. Au passage sur mon point G, je soupire, de plus en plus fort. Au moment de glisser un second doigt j'entends des pas arriver. Je me tais. "Tout va bien mademoiselle ? La taille est bonne?", "Oui oui merci!". Quelle ironie! La taille de mes doigts qui s'éclatent dans mon sexe et celle de mon plug qui me dévaste le cul est parfaite. Merci ! Je souris de mon jeu de mots intérieur et je poursuis mes caresses.
Je repense aux hommes que j'ai croisés. L'un était très grand, châtain, avec une barbe de trois jours. J'adorerais l'avoir là, dans cette cabine. Je l'embrasserais avec fougue et quand je sentirais sa queue durcir contre mon ventre, je le caresserais du bout des doigts, du bout de la langue avant de réchauffer son sexe au fond de ma bouche. Je le sucerais savoureusement, passionnément. Il me relèverait ensuite pour me retourner face au miroir et me prendrait ainsi, debout, comme une traînée dans une cabine d'essayage. Sa queue serait enserrée par mon plug. Son excitation n'en serait que plus intense et il me défoncerait littéralement. Je sens l'orgasme venir. J'imagine toujours mon bel inconnu exploser en moi, sa jouissance coulant sur mes cuisses. Je me retournerais pour l'embrasser et nettoyer sa queue au goût de sperme mêlé de cyprine. J'intensifie mes caresses. Le banc appuie sur le plug et mon cul se serre. Mes doigts vont et viennent dans une sorte de transe. Je ne contrôle plus rien. Sous l'effet des mouvements, la bille du sextoy bouge et me rend dingue. Un dernier passage insistant sur mon point G me fait jouir. Je suis secouée, je respire fort, les spasmes durent longtemps. Je m'accroche pour ne pas tomber...
Quelques secondes plus tard, je réalise ce que je viens de faire. Le rouge de mes joues trahit mon plaisir, mais je n'ai pas honte. Je me rhabille rapidement et je sors. Mon corps brûlant se retrouve de nouveau saisi par le froid. Mon plug toujours en moi, je sens que le feu n'est pas tout à fait éteint. Je rentre cependant chez moi. Mince, je n'ai pas pris le pull finalement ! Ca ne fait rien. Je m'asseois devant mon ordinateur, je sais comment me réchauffer de nouveau...
Et me voilà chère lectrice, cher lecteur, toujours pénétrée par derrière, les tétons durs d'un plaisir passé et à venir, la chatte toute mouillée de te raconter mes expériences entre chaud et froid...
J'espère que tu ne m'en voudras pas de t'abandonner là, mais je ne vais pas tenir longtemps...
A bientôt peut-être, si mon récit t'a plu.
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Commentaires de l'histoire :
rvd 1967
belle histoire on en redemande
Posté le 9/07/2018
Steve39
avec grand plaisir de vous relire
Posté le 27/03/2018
tafan21
Merci çà me donne bien envie de t'imiter...
Posté le 14/01/2018
Anonyme
J'ai adoré votre récit. Au grand plaisir de vous lire à nouveau. Merci
Posté le 12/07/2017
pat
Super histoire j'aurais bien aimée être avec vous dans la cabine je suis toute excitée
Posté le 7/06/2017
BBLOVA
Salut Anna, J'adore ton récit, qui donne envie d'y être. J'aurais bien aimé être dans la cabine d'essayage aussi. Bises et bon weekend, Alex
Posté le 10/12/2016
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