Vivre avec un handicap c'est grave ? On est d'accord. Mais lorsque handicap vous oblige à jouir en quasi-permanence, ça devient très vite moins grave…
Proposée le 15/11/2016 par TysonWarren
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Roman
C'est sur, il y a des vies bien pire que la mienne, et je remercie chaque jour le ciel de me l'avoir donner, alors pourquoi ne pas vous la racontez. Tout d'abord laissez-moi me présenté, j'm'appelle Lorenzo Garcia mais tout le monde m'appel Enzo et j'ai vingt deux ans. Je suis français mais ma mère est italienne et mon père est espagnol, j'ai grandi dans le luxe à Paris dans l'appartement familial en plein cœur de la capitale, c'est bien simple de ma chambre je voyais la Tour Eiffel. J'ai vite voulut prendre mon indépendance, par rapport à mes parents car je suis un gros quetard. Se qui n'aller pas du tout avec la vie de mes parents des vrais grenouilles de bénitier exagérément strictes, vous les verriez, si je n'étais pas la preuve vivante qu'ils ont déjà tiré un coup je le croirais pas. Attention ! Je suis aussi croyant, je vais à l'église tout les dimanches et je donne pendant la quête. Heureusement qu'ils n'ont jamais connu mon style de vie, je crois bien qu'ils en tomberaient dans les pommes. Enfin bref assez parlé d'eux, aujourd'hui je suis adulte (ou presque) et surtout indépendant. Je vis dans un bel appartement, dans le troisième arrondissement de Paris, avec mon colocataire et meilleur ami Idriss. Idriss est un pur mâle noir de deux mètres pour cent dix kilos de muscle, avec des putain de pectoraux et des abdos impressionnant complètement imberbe, une crête sur le crâne avec des petits sculptures tribales, et une petite barbe de trois jours bien taillée. Je l'adore tellement ce mec, surtout parce qu'on se ressemble énormément, on deux fêtard invétérés, on adore le sexe, on fait tout les deux beaucoup de sport et surtout on est pas du tout pudique. En ce qui concerne le taff, avec Idriss nous avons quelques petits jobs comme testeur de capote pour Manix ou encore acteur dans des filmes pornos à petit budget. Oh là ! J'allais presque oublié de me décrire, moi je suis un beau latino d'un mètre quatre-vingt quinze, pour quatre-vingt dix kilos de muscles, j'ai des puissants pecs épais dont je suis fier et de bons abdominaux que j'ai souffert à sculpté, tous ça avec quelques poils noir bien réparti sur mes pecs et une ligne fine de poils sur mes abdos, très mate de peau dut à mes origines andalouse et rital les dames disent souvent que ça fait ressortir mes yeux bleus océaniques d'européens. Mes cheveux sont châtains dorés, coiffé comme la mode l'oblige en dégradé, avec une barbe suffisamment longue pour la voir mais pas trop courte afin de ne pas gratter. On peut dire que je suis beau gosse, j'adore prendre soin de mon apparence et surtout excité les femmes avec mon physique que je me suis forgé avec de longues heures à souffrir sur des machine de musculation. Maintenant que vous me visualisez, retour à la vie…
La soirée était particulièrement réussite, j'ai raccompagné une magnifique jeune femme chez moi et les draps moites de nos exercices jouissifs d'il y a une heure me colle encore à la peau, dans la lumière rouge de mon réveil je l'a vois, la tête délicatement posée sur mon pec un joli sourire dessiné sur son visage et ses seins parfait dépassés de la fine couverture. La faible lueur m'indique qu'il est déjà cinq heures, il est impossible que je me rendorme. J'essaye scrupuleusement de m'extraire du lit sans troubler le sommeil de ma dame d'une nuit, j'enfile rapidement un short en jogging, des chaussettes blanche de sport et mes baskets Adidas montantes préférées. Je sors de ma chambre, en prenant soin de laisser un mot et sans oublier mon téléphone, j'arrive au frigo et descends une bouteille d'eau en moins d'une minute. Puis en silence, je sors de l'appartement, j'emprunte l'escalier en les descendant quatre à quatre pour m'échauffer un peu. Une fois dehors, une bouffée d'air frais me fouette le visage et le torse, me voilà parti pour un petit footing matinal. J'aime courir très tôt le matin, surtout voir la belle ville de Paris s'éveiller d'une nuit mouvementée pour certains ou tranquilles pour d'autres, le vent frais me sèche la sueur de mon torse et mon paquet de balançant à chaque pas, se mélange me procure une sensation très agréable. Enchaînant des Champs Élysées jusqu'au Bois de Boulogne, ma course me ramène au Marrais, derrière mon immeuble dans un petit parc entouré d'arbre épais. Je sens ma bite reprendre de l'ampleur dans mon short sans sous-vêtements, je m'y arrête donc quelques minutes pour reprendre mon souffle, je connais bien cet endroit j'y chasse souvent, il est bourré de minet ou même de trans près à se faire bourrer l'arrière pour le fun. Le soleil se lève au dessus des immeubles, en regardant sur mon téléphone je vois qu'il est déjà dix heures, ça m'étonnerai que je trouve un petit trou pour me vidé à cette heure. En m'asseyant sur un banc les jambes croisé en traînant sur Facebook et en me caressant le torse, rapidement mon regard croise celui d'un jeune mec qui arrive et s'assois sur le banc en face de moi. Même si je ne détourne pas les yeux du téléphone, je vois son regard insister sur mon corps, on dirait qu'il me mate le petit vicelard. Lorsque je range mon téléphone, il me regarde droit dans les yeux sans aucune gêne avec un petit sourire de gamin fier de lui. Il est pas mal pour un ado, un petit mec d'environ seize ans, très fin, des yeux bleus et des cheveux bruns coupés court, le genre petite chienne prête à tout pour se faire mettre. Je décroise les jambes nonchalamment, et commence à me caresser de plus en plus bas jusqu'à me malaxé le paquet, il fait de même en me regardant dans les yeux. Il perd pas de temps le petit, je me lève et passe à côté de lui pour m'enfoncer dans les arbres derrière lui. En regardant derrière mon épaule, je le vois qu'il me suit de très près, je me retourne violemment et le plaque sur un arbre en lui mettant ma main sur la bouche. J'ai cru voir l'espace d'un instant de la crainte dans ces yeux bleus perçant, il y a de quoi en même temps. Je le force à descendre vers mon entrejambe, mais il ne semble pas du tout résister. Il vient me masser l'endroit concerner avec poigne, je commence déjà à râlé sans retenu, mon zob prend de plus en plus de place dans sa petite main de gamin. Plus ma queue prend sa taille original, plus les yeux du gamin s'ouvre et un sourire étonner se forme sur son visage enfantin. Sans attendre, je lui plaque sa gueule sur mon short qu'il sente bien mon odeur de mâle en rut, et il kiffe l'enfoiré, il a déjà sorti sa petite bite pré-pubère et se branle très vite. Je lui sors ma matraque de mon short et la petite salope me gobe mes couilles tellement grosse qu'elle tienne à peine dans sa bouche, tout en me branlant intensément. Lâchant mes couilles, le petit attrape mon manche et se le carre dans la bouche jusqu'à la garde, mon coeur s'emballe et mon souffle accélère trop vite. Mes rugissements commence vraiment à être remarquable pour les passants et se faire prendre en attentat à là pudeurs c'est pas génial. Lorsqu'il recule c'est une délivrance, mais sa prison buccale me reprend aussitôt, ces va et vient me chauffe à une vitesse inimaginable, ça va trop vite pour moi. Je lui attrape les cheveux pour le stoppé immédiatement.
—C'est moi qui décide petite pute, grogné-je en lui maintenant la tête contre l'arbre.
Sans qu'il me voit venir, je lui renfonce jusqu'aux couilles sans ménagement provoquant des haut-le-coeur à ma petite pute. Pris de frénésie, je me mets à lui baisé la bouche, le bifflant le temps qu'il ne tombe pas dans les pommes. Mon petit manage dure dans les dix minutes je lui ai bien ouvert la gorge, et le plus surprenant c'est qu'il se doigtait pendant que je lui baisais la bouche. Il est près à me recevoir, avec ma force je lui attrape la gorge et le remonte sur ses jambes puis le retourne. Je lui plaque la gueule conte l'écorce se l'arbre et lui malaxe son cul bien rond, tout en lui chuchotant à l'oreille:
—Putain, tu vas prendre tellement chère, susurré-je à son oreille en lui claquant le cul.
Le temps de mettre une capote, je me recule un peu et enfile celle qui traîne dans ma poche, putain il a vraiment pas de chance, c'est une capote avec des ondulations, il va vraiment dégusté ! Revenant à mon affaire, je le force à se cambré pour qu'il me tende son cul, en insérant un doigt je m'aperçois que je dois être son dernier de la nuit, son trou déborde de foutre encore chaud. Pas besoin de préparation, je dirige mon gland luisant sur sa rondelle, je place ma main sur sa bouche et lui rentre l'intégralité de mon long morceau dans le cul, à mon avis il a bien senti les rainures de la capote. Si je n'avais pas mit ma main, ce petit con aurait alerté tout le quartier, en restant bien à l'intérieur je m'approche et lui dit:
—Si t'essaye encore de gueuler comme ça, je te jure que tu repartiras sans couille, t'as compris ? le menacé-je en votant une petite larme coulant le long de sa joue.
En guise de réponse j'ai droit à un simple couinement, sans autre sommation je me mets à lui explosé le cul sans retenu. De puissant grognement émane de ma bouche, le sperme contenu dans son cul est chaud c'est trop bon ! Lui aussi il kiffe, malgré ces pleures de gamin, je le vois se branler devant l'arbre. Pour faire mon enfoiré, j'attrape ses deux mains et les bloquent contre l'arbre, plus question de branlette en douce. Comme punition, je redouble de coup de butoir, je le bourrine si fort que ses pieds ne touche plus le sol. Je n'ai pas de mérite, il doit peser cinquante kilos avec sa gourmette. Malgré mon souffle de marathonien, je commence à manquer d'endurance et je sens la sauce monter très vite. Mais pas le temps de dire ouf, la salope joui avant moi sans se toucher droit sur l'arbre, la contraction de son anus déclenche ma jouissance contre mon gré mais c'est exaltant ! Dans mes cris de bête en rut et ces couinements de salope, je n'avais pas remarquer deux policiers menant leur ronde habituel pour arrêter les putes. L'un d'eux avance dans notre direction, quel con ! Ils ont dut nous entendre ! Je bouche très vite la bouche du gamin, et me colle à lui contre l'arbre. Vite réfléchi ! Bingo ! Un chat passe tranquillement à côté de nous, je lui donne un coup de botte au cul et le balance vers le flic. Yes, ils ont mordus à l'hameçon ! Croyant que c'est le chat qui a fait de bruit, les deux poulets reprennent leur ronde sans s'occuper de nous. Soufflant un bon coup, je me retire d'un coup de son cul boursouffler et le laisse tomber comme une merde devant moi. Je le retourne, retire la capote et le force à me nettoyer la bite, une fois terminer pour être sadique je verse l'entièreté de ma capote sur sa gueule de salope puis range mon matos en partant comme si de rien été. Je suis épuisé, je décide de rentrer chez moi en petite fouler. Ça y est la ville est réveillée, sur le chemin du retour je peux voir quelques regards lubrique se poser sur mon petit cul. Heureusement qu'ils se retournent, je l'ai pas travaillé pendant des mois pour rien, grâce à ces entraînements j'ai un cul de footballeur l'une de mes grandes fiertés. Arriver devant chez moi, je passe la grille me permettant d'entrer dans la cour des co-propriétaires, j'y crois quelques voisins très sympathique. Puis je pénètre dans le bâtiment puis prends l'ascenseur. J'entre la clef dans ma serrure et j'entre dans mon appartement…
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