Voici la suite de mon aventure avec Julien, la découverte de mon corps, et surtout de ma sexualité.
Proposée le 26/10/2016 par Mélissa2
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: SM, bondage
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie
Après cette première rencontre avec Julien, autant dire que je vivais sur un petit nuage. Toutes les frustrations que je m’étais infligées faisaient surface mais il m’avait appris à soulager ses envies. Je me caressait souvent en pensant à lui. Il m’avait demandé de l’appeler à chaque fois, il voulait m’entendre gémir au téléphone, et, souvent, quand il le pouvait, il se masturbait avec moi. Cependant nous ne nous sommes pas revu tout de suite. Deux semaines se sont écoulées avant notre deuxième rendez vous. Cette fois, il vint me chercher.
J’entre dans sa voiture. Il me regarde d’un air ahuri.
Moi : Quoi ? C’est parce que je suis habillée en fille ?
J’avais économisé mes pourboires ses deux dernières semaines, pour pouvoir me commander une petite robe noire. Rien d’extravagant mais je voulais me sentir femme et surtout sexy. J’ai même pris le temps de passer chez l'esthéticienne pour me faire épiler intégralement.
Il se penche sur moi, un large sourire aux lèvres et m’embrasse.
Lui : Tu es sublime.
Évidemment il se passe quoi ? Bah oui … Je rougis ….
Il démarre la voiture et nous partons. Il ne prends pas le bon itinéraire pour allé chez lui. Alors je lui demande ou nous allons. Pour simple réponse, il pause sa main sur ma cuisse.
OK, pas de questions … Alors j’engage la conversation comme je peux, métro, boulot, dodo ….
Nous arrivons sur le parking d’un restaurant. Je souris en voyant le nom.
Moi : C’est le super chinois ?
Lui : Oui, je ne t’ai pas laisser le temps de manger correctement à ta faim l’autre soir.
Je souris largement en me disant « Oh que si ! Tu as largement apaisé ma faim, ou pas … »
Nous passons une très agréable soirée, le repas était copieux et vraiment excellent.
Il me propose d’aller chez lui, j’accepte avec plaisir évidemment, déjà toute excitée à cette idée.
Sur le chemin du retour, je ne résiste pas à la tentation de jouer l’allumeuse de service, je descends mon décolleté de manière la plus provocante que je peux. Caresse l’intérieur de mes cuisses tout en lui parlant de tout et de rien, prends des poses suggestives en écartant mes cuisses et en me cambrant….
Il me jette des regards furtifs tout en essayant de se concentrer sur la route. Il soupire bruyamment. J’adore l’effet que je lui fait.
Nous traversons une route de campagne, il fait nuit, d’un coup brusque, il tourne dans un chemin de terre entre deux champs et pile au bout de 200m. Il sort de la voiture en furie. Je ne comprends rien, j’ai peur d’avoir fait quelque chose de mal. Il fait le tour de la voiture ouvre ma portière, me saisit par le bras et me tire de mon siège. Je n’ai pas le temps de dire ouf, que je suis ventre contre le capot de la voiture. Il commence à défaire son pantalon, je comprends tout d’un coup et un tsunami d’excitation vient ravager mon corps tout entier.
Lui : Tu fais la maline ma p’tite, on va voir maintenant si tu l’assume. Écarte tes cuisses petite chienne.
Il ne m’a jamais appelé comme ça ! Ça me rend encore plus dingue ! J’écarte.
Il soulève le bas de ma robe sur mes hanches, baisse ma culotte et plonge directement son sexe en moi, au plus profond, me tenant par les hanches. Un râle rauque sort de sa gorge, et je me mets à geindre comme …. Une chienne ….
Il me donne des coups de rein puissant, s’agrippe à ma chair. Je ne peux rien faire d’autre que subir. Geindre et subir. Mon plaisir monte à grande vitesse, il doit l’entendre à mes cris. Il frappe ma cuisse à plusieurs reprise en m’insultant, m’ordonnant de lâcher prise. Il attrape mes cheveux , me tire vers l’arrière et continue à me pilonner, encore et encore, jusqu’à se que mes entrailles s’enflamment. Je jouis bruyamment, et il m’accompagne, je sens son sexe se tendre et déverser en moi tout son plaisir. Il me lâche et s’effondre sur moi. Je peine à reprendre mon souffle mais mon corps et mon esprit en demandent plus encore. Je pousse mes fesses sur lui. Il m’embrasse le cou.
Lui : Oui, tu en aura encore quand nous serons arrivés.
Nous nous relevons, je remet ma culotte à sa place. Je sens son sperme couler au fond, mon dieu que c’est bon ! Il m’embrasse et m’invite à reprendre place en voiture.
Il fait demi tour et nous reprenons la route.
Lui : J’ai l’impression que tu prends goût à te faire malmenée, je me trompe ?
Je me mords les lèvres. J’ai envie de répondre « Non non, je fais semblant » mais je ne crois pas que se soit le moment de plaisanter.
Moi : Tu as raison, j’adore ça …
Lui : C’est tout ?!
Aie aie aie …. On y arrive, il va falloir que je lui avoue mes fantasmes tordus …. La c’est sur, je ne le reverrai plus jamais.
Je prends une grande inspiration et lui déballe tout, enfin tout se qu’il ne savait pas encore. Mon enfance, mes déboires au lycée, et surtout, mes rêves. Les sensations que ceux là me procuraient, se qu’ils me procurent depuis quelques jours avec la découverte de la sexualité, mes envies …. Tout ….
Nous arrivons chez lui, je suis étonnée qu’il ne m’ai pas raccompagner chez moi.
Lui : C’est vraiment très intéressant et encourageant ça, ma p’tite.
Ah bon ? Je suis un sujet intéressant …. Il m’invite à entrer.
Je lui dis que je prendrais bien une douche, il me dit de faire comme chez moi. J’entre dans la salle de bain, un goût amer dans la bouche. Je pense qu’il ne va plus me toucher, qu’il va m’envoyer voir un psy. Je me déshabille. Je vois une grosse tâche blanche au fond de ma culotte. Son sperme. Je ne résiste pas à l’envie de sentir son odeur. Mon ventre se crispe de désir, je pose le bout de ma langue sur la tâche. Oh la la ! C’est bon !
Je l’entends marcher dans la pièce à côté, je n’ai pas envie qu’il m’attrape entrain de faire ça. Je met la culotte dans l’évier, la lave et la pose sur le radiateur. J’allume l’eau et me glisse dessous. Je prends son gel douche et commence à me savonner imaginant que se sont ses mains qui sont posées sur moi. Je me caresse les seins et pince mes tétons. Un vague de plaisir descends jusqu’à mon sexe et je gémis doucement.
Je suis violemment projetée contre le mur de la douche, j’ hurle de peur et de douleur quand ma tête percute le carrelage.
Lui : Ta gueule salope !
C’est Julien, il est entré sans que je ne l’entende. Mon corps entier se raidit à ses mots …. Et sa voix, se n’est pas la même, on dirait une bête. Je suis tétanisée mais en même temps complètement excitée. Il me tourne face à lui tout aussi violemment, je crie. Il me gifle.
Lui : Je t’ai dit de la fermer !
Je suis sonnée, son regard est sombre, mauvais. Je suis à lui, entièrement à lui.
Il pose sa main sur ma gorge et serre doucement. Avec son genou il écarte mes cuisses et plaque sa main libre sur mon sexe. Des milliers de sensations me traversent. Je ne suis plus rien. Il agite sa main sans pitié, m’étrangle plus fort. Enfonce ses doigts en moi et les secoue dans mon ventre. Cela dure a peine une minute et je me met à jouir comme jamais. Il continue encore et encore, je jouis de plus en plus fort. Je sens quelque chose d’ inhabituel se passer dans mon ventre. Comme des picotements plus fort encore que ma jouissance, ils descendent dans mon vagin et …. Je coule, un liquide chaud sort de moi, ou plutôt gicle de moi.
Il calme doucement ses mouvements et desserre ma gorge. Je manque de tomber, je suis d’un coup complètement épuisée. Il me caresse les cheveux, et me serre contre lui. Me lave et me rince. Nous sortons de la cabine, il m’emballe comme un sushis dans une serviette et me porte à son lit. J’essaye de réfléchir à ce qui vient de se passer, mon corps encore engourdis par toute ses nouvelles choses. Et je m’endors.
Quand je me réveille, je ne sais plus trop où je suis. Le réveil en face de moi indique 06h. Je me retourne et je vois le visage de Julien endormi. Tout me reviens d’un coup, le resto, la petite partie de jambes en l’air dans le champ, la douche …. J’ai soudainement très envie de lui ! Je pose ma main sur son torse, il respire doucement, il dort vraiment profondément. Je me risque à soulever le drap, je peux apercevoir, grâce à la lumière du réverbère qui traverse la fenêtre, son sexe au repos. Pourquoi cette partie de son anatomie me fascine-t-elle autant ? Je serre mes cuisses l’une contre l’autre, j’ai vraiment envie de lui.
Je glisse ma main sur son ventre, remonte sur sa hanche, sa cuisse et remonte vers sa hanche. Je me glisse sous les draps, pousse un peu sur son ventre pour qu’il se tourne sur le dos. J écarte ses cuisses doucement et viens me placer entre. J’ai une superbe vue sur son sexe et ses bourses, je n’ai qu’à me servir ! Je me penche, pose mon nez dessus et inspire, j’adore cette odeur, douce et prometteuse. Je sors ma langue et la pose sur ses bourses, je les lèche doucement. Julien remu, soupire, son sexe commence à changer d’aspect, à grossir. Je garde mes yeux ouvert et le fixe pour ne pas en perdre une miette.
Je remonte ma langue sur son sexe et fais le tour du gland, le lape. Sa respiration s’accélère et il pousse son bassin sur ma bouche. Je redescends avec ma langue le long de son sexe et reviens sur ses bourses. J’ai très envie de les avoir dans ma bouche elles aussi, mais elles me paraissent soudain énormes. Je les lèche , les embrasse. Julien passe sa main sous la couverture et me caresse les cheveux. Il respire fortement mais ne dit rien. J’ouvre la bouche et aspire une de ses bourse. Je joue doucement avec ma langue dessus. Julien se tends en gémissant. Je lâche la première et fait de même avec la deuxième. Mon bassin bouge sans que je ne puisse rien y faire, je suis surexcitée, je sens mes cuisses déjà mouillées. Je gémis la bouche pleine. Je le lâche et remonte sur son sexe. Le prend entre mes lèvres et l’aspire. Je le fais glisser dans ma bouche lentement, le plus loin possible, remonte, redescends, j’accélère. Il donne maintenant de lécher coup de bassin sur mon visage.
Lui : C’est bon ! …. Oh oui c’est bon ! Vas y !
J’ai l’impression qu’il est à ma merci. Et J’adore ça ! Je l’enfonce un peu plus dans ma bouche, son gland vient titiller l’entrée de ma gorge, j’ai un haut le cœur mais ça passe vite, je recommence. Il jette la couverture, attrape mon visage et m’empêche de bouger. En fait, non il est pas à ma merci. Mais maintenant je suis à la sienne. Il dirige mon visage, comme si j’étais un pantin, il me donne des coups de rein dans la bouche, j’ai l’impression que je vais étouffer, ça me rend encore plus dingue.
Ses mains se serrent dans mes cheveux, il continue de pénétrer ma bouche, ma gorge. Je dois être rouge comme une tomate, ma salive coule sur ses cuisses et le lit, ma gorge fait des bruits affreux. Son sexe se tend, il râle comme une bête, et enfin, se laisse allé au plaisir, il éjacule au fond de ma bouche. Je sens son plaisir arriver par grosses giclées sur ma langue. J’accueille ça comme la meilleure des choses qu’il pouvait me donner. Il ralenti ses mouvements, me lâche et se laisse tombé à bout de souffle. Je ressors son sexe de ma bouche doucement, il perle encore, j’avale son offrande et lèche la petite goutte sur son gland.
Je passe ma main sur ma bouche pour la sécher un peu et grimpe sur lui, chevauche son ventre et caresse son torse. Je me penche en lui disant « Bonjour » et l’embrasse. Il caresse mes cuisses, mes fesses, mon dos …..
Lui : Mais dit moi …. Tu es toute mouillée ….
Je me mords les lèvres et ondule doucement mon bassin sur son ventre. Le frottement me procure des sensations exquises.
Lui : Fais attention ma p’tite …. Tu sais se qui se passe quand tu me cherches ….
Moi : Oh que oui !
Je continue à me trémousser sur lui, je le regarde dans les yeux, me caresse les seins et le ventre. Son regard change, il devient sombre. Il saisit mes poignets, et me fais basculer dos sur le lit et vient sur moi. Je me cambre alors qu’il ne m’a pas encore touché.
Moi : Oh oui !
Lui : On va jouer autrement cette fois.
Je ne sais pas quoi répondre, ma tête tourne, ma respiration s’accélère, mon ventre se tord et je gémis rien qu’à ses mots.
Lui : Écoute moi bien, à partir de maintenant tu m’appelles Monsieur et tu me vouvoie. Tu dois avoir une confiance aveugle en moi. Peur, douleur et excitation sont liées, mais la confiance c’est la base de tout, sans ça, je ne peux rien te faire. Est-ce que tu as confiance en moi ?
Moi : Oui !
Il me pince le téton : Oui qui ?
Je grimace de douleur, je suis de plus en plus excitée.
Moi : Oui Monsieur, je vous fais entièrement confiance.
Lui, en me caressant les cheveux : C’est bien ma p’tite. Tu me dois obéissance, tu ne parles pas si je ne t’y invite pas. Les seuls sons que je veux entendre sont tes cris, de plaisir ou de douleur. Si tu me désobéis, tu auras une punition. C’est très simple, si tu veux que je m’arrête, tu dois crier mon prénom. Je vais y aller doucement aujourd’hui mais si il y a une chose que tu ne supporte pas, n’aime pas, ou si tu veux que ça s’arrête, tu crie « Julien ». D’accord ?
Moi : Oui Monsieur, c’est très clair !
Je me sens toute chose. Je ferais n’importe quoi pour lui et surtout, j’ai très envie de lui appartenir de la sorte !
Lui : Je vais me lever et chercher quelques accessoires, surtout tu ne bouge pas. OK ?
Moi : Oui Monsieur.
Lui : C’est bien ma p’tite.
Il se lève et ouvre la grande armoire de sa chambre. Je reste tel quel, ne bouge pas d’un millimètre, J’essaye d’écouter, je l’entends fouiller, ouvrir une grande tirette, j’entends qu’il sort quelque chose certainement d’un sac. Mon cœur bat à tout rompre. Je n’ai pas peur, je suis juste anxieuse. J’espère que je serais à la hauteur.
Il revient, pose des choses sur le lit.
Lui : Es tu d’accord que je t’attache ma p’tite ?
Moi : Oh oui Monsieur !
Il s’approche de moi et me dit de positionner mes bras, écartés le plus possible au niveau de la tête de lit. Il saisit un poignet et l’attache avec une corde au montant. Fait le tour du lit fait de même avec le deuxième. Je me sens vulnérable et J’adore ça.
Il fait pareil à mes chevilles, les liant au pied du lit. Puis il reste comme ça, à m’observer pendant se qui me semble être une éternité. Enfin il se rapproche et, restant debout il pose sa main sur mon sexe. Ma réaction est immédiate et instinctive, je pousse mon bassin sur lui.
Lui : Hummm ! Ta petite chatte est encore plus belle épilée, très appétissante, une vraie petite chatte de salope.
Je ferme les yeux et me cambre encore une fois à ses mots ….
Il retire sa main, à mon grand désespoir, et prend se qu’il à posé sur le lit. Je tourne la tête pour voir, c’est une cravache. Mais genre, pas un jouet, une vraie cravache d’équitation, avec une claquette en cuir.
Il penche la tête de côté.
Lui : Cela t’intrigue n’est ce pas ?
Moi : Oui Monsieur.
Il s’approche, et pose la cravache sur mon pied, la fait glisser sur mon mollet, mon genou, l’intérieur de ma cuisse. Il me donne une petite tape, ça claque légèrement. Ca picote un peu, je soupire. Il continue son avancée sur mon sexe, et « clac » il frappe un peu plus fort. Je sursaute de surprise, et lâche un petit cri, mélange de douleur, de plaisir, d’excitation.
Il est maintenant sur mon ventre, mes seins « clac »
Moi : Aaaahhhh !!
« Clac », l’autre sein.
Moi : Ouiiiiiiiiii !
Il me claque encore plusieurs fois, à des endroits différents, mon ventre, mes bras, mes hanches …. En préférant se situer tout de même sur mes seins et mon sexe. Mes seins son d’ailleurs rouges, mon sexe gonflé et sensible. Mes cris et ses coups, de plus en plus rapides et puissant. Chacun d’entre eux m’apportent douleur et plaisir. Mon corps est engourdis, ma tête voudrait que cela ne s’arrête pas. Je perds la notions du temps, de se qui m’entoure, j’appréhende mais attends presque impatiemment le prochain coup. Je ne suis plus qu’une boule de douleur, mais une douleur voulu, attendu, appréciée.
J’ai les yeux fermés, les cheveux et le front humides, la respiration courte. Il pose la cravache.
Lui : Hummmmm oui ma p’tite, je suis plus que fière de toi ! Tu es une bonne salope ! Maintenant je vais te baiser comme tu le mérite !
Encore une fois, je gémis à ses mots. Il libère mes jambes. Grimpe sur le lit et me masse tout le corps. Je sens ses doigts passer sur chaque impact, je délecte chaque sensation. Il pose sa bouche sur mes tetons, les lèche, les aspire, les mordille, m’arrache encore quelques cris.
Je sens son sexe, dur, chaud, énorme contre mon ventre, pousse mon bassin sur lui.
Il saisit son sexe et d’un coup brusque plonge en moi, mon corps se tends, ne s’attendant pas à cette montée monumentale de plaisir. La douleur m’a rendu plus sensible, le plaisir est décuplé. Il me pilonne sans pitié, je me met à gémir, hurler de plaisir.
Lui : Dis moi se que tu veux !
Moi : Je veux que vous me baisiez comme une salope Monsieur !
Il sourit, un sourire pervers et fier, il attrape mes jambes, les pause sur ses épaules, attrape mes hanches et me donne des coup de rein puissants et rapides, il se met à grogner. Je n’en peux plus, je suis complètement ailleurs, je sens mon plaisir grimpé à une vitesse folle, il m’ordonne de lâcher prise, de ne pas essayer de me contrôler, je me laisse donc aller, je suis secouée de spasmes j’ai l’impression que je vais exploser de l’intérieur. Je ressens les picotements que j’ai eu hier sous la douche. Mais ils sont encore plus impitoyables, je me laisse aller et jouis. Je me cramponne à mes liens et me déverse sur lui, hurle mon plaisir, encore et encore. Il se retire, le lit est trempée. Il se pose à genoux à côté de ma tête attrape mes cheveux et me tire vers lui pour que je l’avale. Je le prends entre mes lèvres, il guide mes vas et viens et se tends, il m’encourage, hurlant mon prénom et éjacule au fond de ma bouche.
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