La suite de mon initiation raconté à travers mon journal intime.
Proposée le 12/10/2016 par orcanda
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Lundi.
Je suis bien décidé a dire à Henri, que c'est la première, mais aussi la dernière fois.
Henri frappe à la porte et rentre.
Il veut un café.
J'ose à peine le regarder.
Il discute de tout et de rien comme si de rien n'était.
On fait la conversation comme deux amis et il repart comme il était venu.
Je ne sais plus quoi pensé.
La journée se passe tranquillement, course, bronzage, shopping.
Je rentre, cinq minutes après, Henri tape à la fenêtre et me dit de venir téléphoner.
J'hésite, mais Alain ne comprendrait pas que je n'appelle pas et maintenant, je ne peux plus rien lui dire.
Je monte, Henri a mit une chaise à côté de la cheminée.
Je veux composer le numéro.
« Tu n'oublies pas quelque chose »
« Non, pourquoi »
« Enlèves ta robe avant de téléphoner »
« Ah, non, il n'en est pas question. »
Paf...
Je viens de me prendre une gifle.
Je me masse la joue, toute éberluée et sans voix.
D'un ton très sec.
«Quand je te demande quelque chose, tu le fais, t'as compris, alors, enlèves ta robe. »
Je suis comme un robot et je fais passer ma robe au dessus de ma tête.
Heureusement, j'ai gardé mon slip de bain.
«Téléphone »
Je suis debout face à Henri qui me regarde sans me toucher.
Je parle avec Alain.
Henri me caresse tout le corps et m'embrasse dans le cou, puis, sa main s'infiltre entre mon slip et mes fesses qu'il malaxe délicatement.
Il tire sur celui-ci pour le faire descendre, j'essaye de résister, mais, je cède pour ne pas le déchiré.
Henri en a profité pour insérer sa main sur ma chatte qu'il pelote et prendre possession de mon clitoris.
Je mouille abondamment et j'écarte les cuisses pour mieux recevoir les caresses.
Je n'ai plus de pudeur, c'est mon bas ventre qui commande maintenant.
Henri me fait asseoir sur le bord de la chaise, cuisses bien ouvertes et plonge sa tête entre mes jambes.
Il roule mon clitoris entre sa langue et ses dents, l'aspire, le suce, le mord, il passe sa langue sur mes grandes lèvres, puis, il met sa langue dans mon vagin, je coule de plus en plus, j'ai les fesses trempé et je vois que ça lui coule le long du menton.
Il reprend mon clitoris, me le branle, il se sert de sa bouche comme d'une main.
Des bouffées de chaleur monte de mon ventre, je vais jouir.
Savoir Alain au téléphone, qui ne se doute de rien, amplifie mon désir.
Je ne peux pas crier, alors, je me mords les lèvres.
L'orgasme est fulgurant, dévastateur, je n'ai encore jamais connu une telle jouissance.
Il y a maintenant une mini flaque au pied de la chaise.
Ma mouille.
Je reprends mes esprits, recommence a parler à Alain.
Henri me lève de ma chaise, m'appuie ma main sur le rebord de la cheminée, me penche en avant, écarte mes grandes lèvres et rentre son sexe qui bande très dure dans ma vulve.
Il me laboure par de violant coup de rein, au plus profond de mon orifice vaginal, je suis une fontaine qui n'arrête pas de couler.
Une nouvelle vague de chaleur monte le long de mon corps, je sens que je vais jouir de nouveau.
Mon orgasme est encore plus fort que le premier.
Je pousse un cri et lâche le combiné.
Je récupère difficilement, je panique un peu, je reprend le combiné, Alain se pose des questions au bout du fil et demande ce qui c'est passé.
«Je me suis mordu la langue, en suçant un bonbon, mais ça va maintenant »
Un moment d'hésitation, il me croit.
Ouf, j'ai eu peur quelques instants.
Henri toujours planté profondément au fond de mon vagin, rigole doucement.
Il recommence, mon vagin coulisse le long de sa verge, il m'agrandit le trou avec sa queue, tout en rentrant en plus deux doigts dans ma chatte.
Henri, ce raidit et ce vide au fond de mon trou, je sens son liquide chaud m'envahir, c'est tellement bon que j'ai de nouveau un mini orgasme.
Il se retire, je sens ma mouille mélangé au sperme coulé de ma chatte, Henri récupère le tout et m'enduit les seins avec.
Je raccroche le téléphone.
«Toi ma chéri, avec ton volcan entre les cuisses, tu es faite pour jouir et donner du plaisir aux hommes. »
«Salaud. »
«Pourquoi ma chéri, tu n'as pas pris ton plaisir peut être ? »
«Si, mais, cela me fait peur, tu pourrais être mon grand père. »
«L'âge ne compte pas, seul ta jouissance compte. Il faut que tu apprennes a connaître ton corps, que tu profites de ce que la nature t'as donné et tu es gâté de ce côté là. »
«Mais, Henri, il y a des limites. »
«Non, laisse tomber ton éducation, tes tabous, laisse s'éveiller tes sens. Tu dois t'épanouir pour arriver à ta maturité sexuelle, afin d'atteindre des plaisirs insoupçonnées. »
«C'est pas bien ce que l'on fait. »
«Rien n'est mal. Si tu aimes, tu le fais, maintenant va prendre une douche et récupérer. »
Il m'embrasse d'un long baiser et je redescends dans mes appartements.
Je plane, il faut que je me reprenne.
Nuit, très difficile.
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Commentaires de l'histoire :
Turgescent
Toujours excitant ! Même si je sens plus un côté imaginaire à la situation qui évolue.
Posté le 7/10/2023
Antigonos
Une agréable suite qui se lit avec deux yeux et une main...
Posté le 28/09/2020
Aziz
J'admire votre courage en ce temps la! Et j'espere bien que vous avez bien suivi les conseils de se sage "Henri"!
Posté le 16/10/2016
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