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Léo & Maëva

Premier chapitre des aventures sexuelles de Léo, baiseur insatiable au sexe colossal. Dans ce chapitre, Léo retrouve une vieille amie... Des retrouvailles très vite très intimes.

Proposée le 19/12/2025 par Eritoc

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Léo ajusta la couverture sur le clic-clac défoncé, bordant le tissu froissé afin de lui donner un semblant d'allure. Le téléphone vibra contre le bois de la table basse, un SMS illuminant l'écran : *"J'suis devant. Viens m'aider !"* Maëva. Deux ans sans la voir. Elle avait fait un tour d'Europe, vagabondant sans fin pour satisfaire sa faim de découverte. À peine de retour en France, elle avait demandé à Léo le gîte pour une dizaine de jour. Il avait accepté sans hésiter : c'était une excellente amie, elle lui avait beaucoup manqué. Il dévala les quatre étages, ses baskets claquant contre les marches en béton.


La pluie frappait le trottoir comme des aiguilles glacées quand il poussa la porte de l'immeuble. Maëva, écrasée sous une valise géante et trois sacs informes, grelottait sous son hoodie trop large, les cheveux plaqués sur son front. "Putain, t'as déménagé toute l'Europe ?" rigola-t-il en attrapant deux sacs. Elle le suivit en courant, ses Docs éclaboussant les flaques. Dans le hall étroit, elle lâcha ses affaires d'un coup et sauta sur lui, ses jambes de randonneuse enserrant sa taille comme un étau. Ils restèrent collés, trempés, sans un mot, le souffle court. Léo sentit presque ses côtes craquer sous l'étreinte. Quand elle descendit enfin, elle rejeta sa capuche, révélant un visage aussi magnifique que dans les souvenirs de son ami. La jeune femme avait encore changé de coupe de cheveux : elle avait le crâne rasé sur le côté droit, ses cheveux épais et ondulés retombant en cascade sur son front. Ses pommettes hautes et ciselées, presque sévères, étaient adoucies par la courbe pleine de sa bouche, généreuse et mobile, couverte d'un rouge à lèvres sombre. Son petit nez droit, légèrement retroussé à la pointe, lui confèrait une fragilité trompeuse. Il était orné d'un nouveau piercing au septum, un anneau rutilant. Ses yeux étaient immenses, légèrement écartés, sombres, et intenses. Ils sont surplombés de sourcils aussi épais qu'expressifs, eux aussi percés. Son superbe visage rayonnait de joie. "Ça fait si longtemps !" Sa voix résonna dans l'escalier vide.


Dans l'appartement, l'odeur de curry réchauffé se mêlait au chuintement de la douche. Maëva émergea du nuage de vapeur, vêtue d'un t-shirt trop grand qui lui tombait aux cuisses. Ses mollets saillants, sculpturaux, témoignaient des milliers de kilomètres parcourus. On pouvait aussi deviner ses cuisses épaisses et puissantes, presque choquantes au vu du gabarit de la trentenaire. Léo détourna les yeux prestement, lui tendant un verre de blanc. Ils mangèrent sur le clic-clac grinçant, les rires fusant entre les gorgées, les souvenirs de festivals et de nuits blanches remplissant la pièce. Un vinyle de jazz, offert par Maëva, comblait les rares silences. Deux bouteilles plus tard, allongés côte à côte, Maëva attrapa une mèche rebelle sur le crâne du jeune homme, qu'elle remit en place sans aucune gêne. "Alors ? Toujours le Don Juan du département ?" Ses doigts tatoués jouaient désormais avec ses cheveux, dans une pose de midinette caricaturale. Léo haussa les épaules, un sourire en coin. Il adorait baiser : c'était probablement son seul talent. "Moins qu'avant. Cinq par semaine, c'était épuisant." Elle glapit et faillit renverser son vin. "Cinq ?! T'es un serial baiseur !" Il rit, fier malgré tout. Léo détestait la fausse modestie.


Le silence s'installa, épais comme la nuit derrière les fenêtres. Le jazz s'était tut, leurs voix aussi. Seule l'orage se faisait entendre, lointain. Soudainement, Maëva roula contre lui, les joues rougit par l'alcool, son souffle chaud sur sa clavicule. "Je suis contente d'être là", murmura-t-elle. Léo ne répondit pas, étant peu à l'aise avec les discussions intimes. Quand ses pieds glacés se nichèrent contre les siens, il les réchauffa. Quand elle pressa ses seins fermes contre son bras, il sentit son cœur cogner contre sa peau, comme un oiseau pris au piège. Ils étaient petits, fermes, pointus. Léo, ennivré et rompu à l'exercice du flirt, tenta un baiser dans ses cheveux mouillés. Comme pour lui dire que lui aussi était ravi de la retrouver. Puis un autre, plus long, pour lui dire qu'il la voulait. Elle se redressa alors, son visage à un souffle du sien, ses yeux sombres agrandis, fixes. Il l'attira à lui sans hésiter.


Leurs bouches se retrouvèrent, un combat de langues sensuel, le piercing de Maëva caressant délicatement Léo. Ses mains à lui, expertes, parcoururent le corps faussement menu de son amie avec une avidité familière, trouvant des courbes musclées sous le coton. Elle gémit quand il pétrît ses petits seins en poire, le tissu tendu révélant ses mamelons durs. Il alla ensuite aggriper les fesses de la jeune femme avec appétit. Sans surprise, un cul rond, ferme, énorme. Il s'attarda un moment sur ce monument, tout en muscles et en galbe. Léo sentit son sexe gonfler paresseusement, pressant contre son jean. Quand elle glissa une main dans sa ceinture, il retint son souffle – jusqu’à ce que ses doigts fins rencontrent son pénis, d'une longueur qu'il savait impossible, déjà turgescent. Elle rompit le baiser, yeux écarquillés. "Putain, Léo..." murmura-t-elle, son pouce caressant le gland énorme avec appréhension. Un frisson lui parcourut l’échine. Léo adorait ce moment - ça n'était pas très modeste, mais il était plus que fier de sa bite... et à raison. Maëva défit sa braguette d’un geste vif, libérant son sexe qui se dressa, veiné et lourd, entre eux. On aurait dit un monstre ancestral sortant lentement d'un sommeil éternel. Hésitante, la jeune femme retira sa culotte et s'assit à califourchon sur lui. Leurs sexes nus se touchèrent enfin dans un frottement humide qui arracha un grognement à Maëva. Elle se cambra, frottant son clitoris contre sa base avec des mouvements de hanche saccadés. Ils se frottèrent ainsi durant quelques minutes, tout en douceur et en sensualité, alors que le sexe de Léo finissait de grossir. "Doucement," haleta-t-elle d'une voix inquiète quand il redressa sa queue en vue de la pénétrer. Il obtempéra, la faisant soudain basculer sur le dos pour enfouir son visage entre ses cuisses puissantes. Il cracha doucement sur sa chatte, et commença à embrasser cette dernière avec une précision diabolique. Sa langue traçait des cercles vicieux sur le clitoris gonflé tandis que deux doigts s’enfonçaient prudemment en elle. Elle geignit, ses mains s’agrippant à ses cheveux, ses muscles puissants tremblant sous l’assaut. Léo était un expert, et le corps entier de Maëva en témoignait, crispé de plaisir, des petits cris sensuels lui échappant. Quand l’orgasme la frappa, ce fut avec la violence d’une déflagration – son corps se raidit, arc-bouté, avant de s’effondrer dans un gémissement rauque.


Il la laissa reprendre son souffle, contemplant le spectacle : ses jambes encore agitées de soubresauts, la sueur luisant sur ses tatouages. Sa chatte, au pubis soigneusement taillé, semblait l'appeler. Il se rendit dans sa chambre, et revint avec une bouteille de lubrifiant. Il en étala une généreuse couche sur son membre colossal avec de lents aller-retours, avant d’en déposer sur le sexe béant de Maëva. "Respire," ordonna-t-il en lui écartant doucement les jambes.

Il empoigna son sexe lourd avec délicatesse, son gland glissant lentement sur le clitoris, puis sur les lèvres gonflée de son amie. On aurait dit qu'il maniait une imposante épée. Après l'avoir titillée quelques minutes, il la pénétra finalement – un lent enfoncement où chaque centimètre gagné était marqué par le grincement du clic-clac et les gémissements étouffés de Maëva. Elle regardait l'acte se produire sous ses yeux dans un mélange d'horreur et d'incrédulité. Il s’arrêta au tiers, commençant un va-et-vient mesuré, hypnotique. Il savait parfaitement quand s'arrêter, ayant appris à manier cette queue monstrueuse au fil des rencontres intimes. Maëva agrippa ses hanches, guidant maladroitement le rythme tandis qu’elle roulait des yeux révulsés. "Plus... vite..." supplia-t-elle finalement, ses ongles creusant les flancs de Léo, poussant occasionnellement un petit cri rauque. Il accéléra imperceptiblement, l’angle changé pour frôler le point sensible qui la fit se cambrer. Encore une fois d'une précision surnaturelle, Léo entama de petits cercles avec ses hanches, arrachant des frissons à sa partenaire. Leurs souffles se mêlaient, chauds et précipités. Il se laissa tomber sur elle, les fesses relevée pour éviter de s'enfoncer trop loin en elle. Il entama des allers-retours plus rapide, dans un subtile mélange de passion et de retenue. Quand elle atteignit son second orgasme, ce fut dans un cri strident qui sembla faire vibrer les murs – son vagin se contractant furieusement autour de lui, ses cuisses serrant ses reins avec une force surhumaine. Léo ralentit alors progressivement son mouvement, arrachant quelques gémissements supplémentaires à son amie. Il retira sa bite ruisselante avec une lenteur calculée, savourant son regard vitreux de satisfaction épuisée. La bite une fois sortie, pendant lourdement entre ses jambes, il jeta un oeil avide à la chatte de Maëva, béante et meurtrie. Il aurait pu continuer des heures... mais pas sans la blessee. Il s'allongea à ses côtés. Ils restèrent un long moment silencieux, la pluie couvrant à peine leurs souffles encore haletants.


Elle tourna enfin la tête vers lui, un sourire faible aux lèvres. "T’as... ruiné mes capacités locomotives," murmura-t-elle, sa voix ravagée. Il rit, passant une main dans ses cheveux mouillés. "Mission accomplie." Un frisson la parcourut soudain – l’air frais sur sa peau moite, la réalité reprenant ses droits. Elle se glissa à la hâte sous la couette, et enlassa les doigts de Léo de sa main encore tremblante. "Toi aussi tu m'as ruiné !" plaisanta-t-il en frôlant du bout des doigts les marques rouges qu'elle avait laissé sur ses hanches. Il allait se redresser lorsqu'elle secoua la tête, sérieuse. "Juste... reste." Sa main se resserra sur la sienne, fragile et ferme à la fois. Léo sentit une étrange douceur lui serrer la poitrine – inhabituelle, presque dérangeante. Il déposa un baiser sur sa tempe, son sexe lourdement affaissé contre sa cuisse. Son érection disparaissait lentement, sa queue restant toutefois d'une taille effrayante. La pluie recommençait à tambouriner contre les vitres, enveloppant leur silence d’une intimité nouvelle. Quelque chose avait changé dans l’air, presque palpable comme l’odeur du sexe et du lilas du savon de Maëva. Elle ferma les yeux, un soupir tremblant s’échappant d’elle. Léo resta immobile, observant le tremblement de ses cils sur ses joues encore rougies, la main toujours nichée dans la sienne. "Je savais que tu étais talentueux au vu de ton bodycount, mais si je m'attendais à ça ..!" Dit-elle en fixant d'un oeil rieur mais timide le membre désormais flasque de Léo. Il retrouvait enfin une taille à peu près normale. "De quoi tu parles ?" Répondit-il, feignant d'ignorer la monstrueuse évidence. "Oh ta gueule !" Dit elle en riant, se blotissant contre lui.

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