Histoire Erotique

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La Conférence

Il va assister à la conférence d'un ami. En avance à la maison de quartier, il croise la route d'une superbe jeune femme, dont il apprendra plus tard qu'elle se prénomme Karen. Ils se connaissent à peine mais elle lui fait des avances, à sa grande surprise...

Proposée le 3/09/2025 par jerome james b

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


LA CONFERENCE

Serge, c'est un pote à moi. Je le connais depuis longtemps. Il connaît ma famille. C'est un gars brillant, qui a énormément de passions, dont celle de l'histoire locale. J'ai trente ans, il en a soixante.
C'est grâce à lui que j'ai redécouvert le passé du quartier, un passé totalement disparu et oublié par les jeunes générations, dont je fais partie. Un quartier qui est apparu dans les années 30, quand de riches patrons ont décidé de créer des cimenteries. Il reste un ultime vertige d'une des cimenteries, aujourd'hui une friche.
Ces patrons ont été chercher des Espagnols qui travaillaient à la mine en leur promettant une vie meilleure en France. Ce qui n'a pas été le cas. Même si c'était un peu mieux.
Les générations sont passées...Et un jour, on était à la troisième génération, les cimenteries ont fermé.
Ce qui reste aujourd'hui de cette époque, ce sont des alignements de maisons toutes identiques, pas immenses, mais avec un réel charme, d'autant qu'elles ont été rénovées. Habitées aujourd'hui par des descendants d'ouvriers, ou d'autres personnes. C'est que les patrons faisaient construire de véritables cités pour les ouvriers, leur vendant les maisons pour une somme souvent dérisoire. D'un côté ils les exploitaient, de l'autre, il y avait une forme de générosité, qui demeurait malgré tout, et largement, du paternalisme.
La conférence, une première pour lui, adossée à un bouquin, était calée pour une fin de samedi après-midi. A la maison de quartier.
Une maison de quartier flambant neuve, une belle bâtisse avec beaucoup de vitrage, et une multiplicité de salles.
J'arrive toujours en avance, largement en avance même, une habitude. J'ai moins l'obsession de ne pas être en retard, que celle de louper quelque chose.
Il y avait un hall, quand on arrivait à la maison de quartier, un grand hall vitré, avec quelques sièges.
Elle était là quand j'ai poussé la grande porte vitrée. Installée sur un siège en plastique moulé, les jambes croisées, et elle parcourait je ne sais quoi sur son téléphone portable, comme pas mal de personnes le faisaient de nos jours.
J'ai été vraiment remué.
Il y avait en elle dix mille détails qui m'ont remué, touché, fasciné, arrêté. Et fait monter en moi, simplement du désir, le désir qu'on peut éprouver pour une femme.
Sans doute que le tout premier, ça a été ses jambes.
Elle avait des jambes pleines, bien dessinées, à l'image du reste de son corps.
Jambes soigneusement mises en valeur, et à la fois couvertes et dévoilées. Elle avait fait un assemblage très particulier, que je n'ai pas compris au premier abord. Elle avait un collant sombre, par dessus lequel elle avait mis des bas noirs, qui tenaient tout seuls, et lui arrivaient à mi-cuisses, et en complément, des bottines, verrouillées avec des fermetures-éclair sur le côté, avec des talons d'au moins dix centimètres. Un assemblage inédit pour moi, mais hautement sexy, d'autant qu'elle avait une jupe noire et courte, qui avait d'évidence remonté quand elle s'était assise, et qui dévoilait ses jambes très haut.
En passant devant elle, elle n'a même pas senti que je la regardais, elle était absorbée dans sa lecture. L'occasion et le moment pour moi de capturer d'autres détails. Sous la veste un débardeur noir, tendu par des seins eux aussi bien en forme. Une chevelure brune avec les pointes éclaircies de blond, qui descendait jusqu'aux épaules. Le visage imprécis, car elle était penchée pour lire.
Je me suis calé sur le siège sur sa droite troublé par sa beauté. Elle était assise, mais je la devinais assez grande. J'aimais les filles grandes, et avec des corps pleins.
Il y a eu un moment où elle a senti ma présence. Moi j'étais un rien mal à l'aise, partagé entre l'envie de la regarder, et une certaine gêne par rapport au trouble qu'elle m'inspirait, que je devinais assez évident. Et je ne voulais pas trop qu'elle s'en rende compte. Même si elle devait quand même savoir qu'elle troublait les hommes.
C'est fou, en tout cas, comme on est prompt, en tant qu'homme, à construire des scénarii. Je me voyais lui faire plein de choses...Une chimère en vrai, puisqu'on ne se connaissait même pas...Et je ne voyais vraiment pas comment on aurait pu se connecter. Pour le moment, nous étions dans deux mondes différents. Rien ne nous rapprochait.
Elle a relevé la tête. Me donnant l'occasion d'un premier regard sur son visage. Un joli visage, ovale, avec une bouche marquée d'un rouge sombre, sensuelle, et des yeux de myope, noisette, derrière ses verres. Elle avait indéniablement du charme.
Je pensais qu'elle allait me jeter un regard dur, l'air de me faire comprendre qu'elle avait senti mon regard sur elle et que je pouvais aller me faire voir, mais au contraire, j'ai eu droit à un sourire plein de chaleur.
— Bonjour...Je ne vous avais même pas entendu arriver. Avec ces maudits smartphones, on est totalement coupé de la réalité, et ce n'est pas une bonne chose...
— C'est pas grave.
— J'attends mon fils...Il y a un club d'échec dans la salle là-bas, et il finit dans trois-quarts d'heure...J'ai préféré rester plutôt que de repartir. On habite à l'autre bout de la ville.
— Vous ne venez pas pour la conférence, alors?
Elle m'a regardé avec surprise.
— Quelle conférence?
Je lui ai expliqué.
— Ah, ça doit être intéressant. (Elle a paru réfléchir quelques secondes...) Je vais rester...Je vais aller dire à mon fils qu'il me rejoigne dans la salle de conférences.
C'était la première fois que je venais. Elle connaissait les lieux mieux que moi. Elle est partie dans le couloir, me permettant de voir ses fesses bouger, libres, sous le tissu de la jupe. Elle n'avait pas de culotte. Un string?
Elle est revenue quelques instants plus tard. Un sourire. Cette fois, elle s'est posée sur le côté, face à moi. Jambes ouvertes. L'occasion pour moi de profiter un peu mieux de son intimité. La jupe ne s'était pas rallongée, et elle avait remonté quand elle s'était assise. La dévoilant jusqu'à son intimité. Et répondant à ma question. Dans son harnachement particulier, et décalé, là où certaines filles auraient mis une culotte et un collant ou des bas, elle, elle avait opté pour bas et collants, et donc elle n'avait pas jugé nécessaire de rajouter un slip en dessous. Et, sans le vouloir, elle m'offrait une vision très nette de sa petite chatte. Certains collants ont un parement qui masque plus ou moins le minou, là, ce n'était pas le cas, et je pouvais voir sa fente, dont sortaient deux bouts de lèvre copieux, mais aussi, ce qui m'a troublé encore plus, ça a été de voir une belle toison qui ornait son pubis, en accord avec la couleur de ses cheveux.
— Vous habitez dans le coin?
— Un peu plus haut, oui. Mais je ne connais pas l'histoire de ce quartier aussi bien que celui qui va en parler. Serge, c'est vraiment un expert.
— J'ai envie que vous mettiez les mains sous mon collant, et que vous me caressiez. Ça vous dit?
J'ai été totalement désarçonné. Je lui ai dit ce qu'elle aurait du et pu me dire si les rôles avaient été inversés et que je lui avais proposé: 'J'aimerais mettre mes mains sous votre collant.'
— Mais on se connaît à peine!
— Et alors, elle m'a répondu. Des fois, ça va très vite. Vous me plaisez, et je vois bien que je vous plais. Si ça peut vous travailler, je suis divorcée, et je vis seule avec mon fils. Vous voyez, vous ne prendrez pas la place de quelqu'un.
Elle a jeté un coup d’œil à son téléphone.
— La conférence démarre dans une demi-heure. On a encore le temps. Personne n'est là.
Juste devant nous, il y avait une porte. Les toilettes.
— Ça vous dit?
C'était elle qui avait la main. Je l'ai suivie à l'intérieur. Une sorte de mini-hall qui donnait sur trois portes. Femmes d'un côté, hommes de l'autre, et handicapés. Elle m'a tire du côté femmes. Un lavabo et deux cabines. Elle m'a poussé dans l'une d'entre elles, et a refermé derrière nous.
Ça s'est fait très naturellement. Je me suis posé sur le siège, dont le couvercle était fermé, et j'ai glissé mes mains sous sa jupe.
— Touche-moi, caresse-moi...Rien de plus...Ca fait trop longtemps qu'un homme ne m'a pas touchée.
Qu'une fille comme elle n'ait pas de partenaires ne me surprenait pas. C'était très difficile aujourd'hui d'avoir des contacts, de nouer des relations. Et Internet ne facilitait pas les choses, au contraire.
Je ne visais pas grand chose non plus. Je trouvais déjà incroyable et merveilleux qu'elle m'ait fait cette proposition alors que, il fallait bien le dire, on se connaissait à peine. Le plaisir ce n'était pas forcément rentrer sa queue dans un vagin. Ça pouvait être aussi, très simplement, avoir le corps d'une femme au bout des doigts. La chaleur de sa peau, sa douceur, ses formes.
Je suis parti vers l'arrière, demeurant d'abord sur ses jambes. Au tout premier contact, elle a poussé un petit soupir, comme si c'était ce qu'elle attendait, et depuis longtemps. Heureuse simplement de sentir mes mains sur elle, qu'elle devait trouvait chaudes, comme moi je percevais, à travers le contact doux et électrique du lycra, le brûlant de sa chair, qui est monté dans mes mains, mes avant-bras, puis tout mon corps. J'ai commencé à progresser le long de ses jambes, la caressant doucement. Arrivant enfin sur ses fesses. Elles étaient pleines, charnues, et rebondies. Je les ai massées à travers le nylon.
— Certaines filles ne ressentent rien quand on leur touche le cul. Moi, si. Caresse-moi bien. Tu peux mettre tes mains sous le collant, n'hésite pas...Et tu peux aussi venir dans ma raie. J'adore qu'on me caresse le sillon. J'ai très peu de tabous...Avec moi, les doigts, la langue et la queue, c'est partout.
C'était prometteur, aussi bien pour l'immédiat que pour plus tard. J'ai obéi. Il y avait une correspondance parfaite entre ses désirs et mes envies. Mes mains sont venues se poser sur les globes de ses fesses, un hommage involontaire à Jean-Luc Delarue, une peau douce, mais je ne doutais pas que sa peau était douce partout. Je les ai pétries, et, autant parce qu'elle me l'avait proposé que parce que j'en avais envie, réellement envie, j'ai glissé trois doigts dans sa fente, profonde, à la rencontre de la délicate peau au fond du sillon, que j'ai caressée, prenant contact aussi avec les plissements de sa muqueuse anale. Elle a gémi, m'a laissé faire, avant de me dire:
— Viens devant...Tu peux frotter ce que tu veux, tu peux aussi mettre tes doigts dedans. Ta queue ce sera pour plus tard.
J'ai laissé ma main gauche derrière, et ma main droite est venue devant.
— Hmmm...Bonne stratégie, elle a approuvé.
Ce que j'avais le plus envie de caresser, c'est sûr, c'était sa toison pubienne, taillée mais bien fournie. Ce n'était pas moi qui aurait demandé à une fille de se raser. Au contraire. Ça m'excitait terriblement, une fille avec un tapis de poils sur le pubis.
Et puis mes doigts ont naturellement glissé, plus bas. Je ne la touchais pas encore, mais je sentais bien la présence de cette fente, qui m'appelait, fente qui, ça aussi je le pressentais, sans même l'avoir touchée, évoluait au fil des minutes, des secondes même.
— Caresse-moi la fente...On n'a plus trop de temps...Je ne veux pas forcément jouir, mais au moins avoir un peu de plaisir.
J'étais un rien sidéré qu'une femme puisse se donner aussi rapidement, aussi facilement. Tous les jours, nous les hommes on pose notre regard sur des femmes qui nous plaisent, qui nous séduisent, sans penser jamais pouvoir les séduire. C'était une femme magnifique, et j'avais bien de la chance, j'en étais conscient, de pouvoir profiter de ce moment avec elle, même s'il n'y avait pas de suite.
Et effectivement, j'entendais des voix. Les gens arrivaient pour assister à la conférence. On risquait d'être surpris...Mais je crois bien qu'au final, on s'en fichait.
J'ai trouvé sa fente ouverte, toute humide, les chairs délicates, le renflement de son gland clitoridien en haut de ses chairs, et je l'ai caressée. Avec envie et sans doute maladresse, mais je ne devais pas être mauvais non plus car je l'ai sentie s'ouvrir plus et gémir. J'ai frotté, appuyant contre le poids de ses lèvres, et son gland clitoridien, dans un mouvement de haut en bas, et de bas en haut, dont j'ai senti qu'il lui donnait du plaisir. Je sentais bien aussi qu'elle avait envie de gémir, de crier, mais qu'elle se retenait, elle avait d'ailleurs entendu comme moi que quelqu'un venait de se glisser dans les toilettes, avait tenté d'ouvrir la porte de notre cabine avant de se glisser dans l'autre...Malgré tout elle avait envie d'aller un peu plus loin...Et moi aussi...Elle a tendu la main vers mon pantalon et elle s'est faufilée dedans pour sortir ma queue...
— Ben dis donc, je te fais envie...Tu es énorme...
— Difficile de ne pas avoir envie de toi...
— J'ai envie de te caresser, mais j'ai peur que tu jouisses...
Elle s'est contredite sur le champ, faisant aller et venir sa main le long de ma tige, qui a été agitée par des spasmes de plaisir. Elle est venue faire coulisser la pulpe de son index sur mon gland, lubrifié par le liquide pré-sementiel qui coulait de moi. Je continuais mon mouvement, allant et venant le long de sa fente, sentant que ses lèvres se gonflaient, tout comme son gland clitoridien...Elle s'est tendue, cambrée, s'est mordue les lèvres pour ne pas crier, et le jaillissement de liquide que j'ai senti au bout de mes doigts a bien été l'aveu et l'évidence de sa jouissance.
A côté la personne venait de quitter la cabine. La jeune femme a baissé son collant, et épongé avec du papier les écoulements de liquide le long de ses jambes. Elle a remonté le collant. Il était temps de partir.
On a agi sans se concerter, mais ça c'est fait tout seul. Elle est partie la première, et je suis sorti cinq minutes après. Il n'y avait personne dans les toilettes, le fait que l'ensemble soit mixte ne pouvait que faciliter les choses.
Elle discutait déjà avec quelqu'un. Moi, j'ai aperçu Serge, et je suis parti avec lui.
Il y avait pas mal de monde. Mais c'était que Serge connaissait pas mal de personnes, qu'il avait fait de la promo pour son intervention.
Petit à petit, on a glissé dans l'immense salle de conférences. Je pensais qu'elle se placerait ailleurs qu'à côté de moi et pourtant elle est bien venue s'asseoir à côté de moi. Ça a d'ailleurs été miraculeux, parce que la salle s'est remplie très vite et les places ont été très chères.
J'avais un cahier pour prendre des notes...Ca a été à la fois soft et chaud, comme une promesse de ce qui allait, ou de ce qui pourrait venir par la suite. Assise à côté de moi, elle s'est collée contre moi, me faisant sentir le poids et la chaleur de son corps. Une sensation forte et enivrante. Elle m'a dit:
— J'ai négocié avec une copine, qui ramène son fils et le mien des échecs et le garde pour la soirée. On a quartier libre.
— J'habite juste à côté. Ça te dit de venir chez moi?
— On aura pas trop à attendre comme ça. J'ai très envie. J'ai la chatte toute ouverte et toute humide.
C'est pendant la conférence, et pendant que je prenais des notes, qu'elle a glissé la main jusqu'à moi et qu'elle a frôlé ma queue toute dure. Elle m'a soufflé:
— Tu n'as pas débandé...J'ai envie que tu me remplisses et que tu me fouilles bien, après...
J'ai senti un regard sur moi. J'ai levé les yeux. Une femme d'un âge certain, située devant, sur notre gauche, avait surpris ce moment de complicité très intime. Elle m'a jeté un regard de haine, la haine d'une femme qui, elle, n'avait plus ça et savait qu'elle n'aurait plus ça.
Et oui, il fallait en profiter, quand c'était encore possible.
A la fin de la conférence, j'ai voulu échanger quelques paroles avec Serge, mais il était très entouré. J'ai soufflé à celle dont je venais d'apprendre qu'elle se prénommait Karen:
— On y va.
On avait très envie l'un comme l'autre. Le genre d'envie qui vous tenaille et que l'on n'épuise qu'avec l'acte. Elle est montée dans ma voiture. Le temps que je mette le contact, elle s'était calée dans une position censée m'aguicher...Et qui y réussissait parfaitement. Elle s'est tournée vers moi, soit de trois-quarts, et a ouvert ses gambettes autant que cela lui était possible. Une jambe collée contre la porte, l'autre contre le dossier du siège. Elle ne pouvait pas être plus ouverte. J'avais sous les yeux le renflement de son sexe, ouvert autant par l'excitation que par la position, la vision d'un intérieur rose, de chairs humides qui avaient trempé le fond du collant sur une large part, faisant le lycra tout luisant. Pour compléter le tableau et me donner encore plus envie, si c'était possible, elle a planté ses doigts en elle, en les glissant sous les collants, et elle s'est ouverte encore plus.
— Tu pourras venir là, bien sûr, mais aussi juste en dessous.
Elle s'est redressée. Heureusement d'ailleurs, parce qu'il y avait du monde qui arrivait.
Je suis sorti du grand parking, je me suis engagé sur le rond-point, la troisième voie, celle qui partait vers une colline. Le long d'une route toute neuve, il y avait une série de maisons blanches, construites en série, guère originales, mais toutes récentes. C'était là que je vivais.
Il y a eu un moment un rien particulier. Quand je suis descendu, le premier, attrapant les clefs de la maison, et qu'au passage, j'ai débloqué la portière. Elle est descendue, j'avais déjà pris du recul, je l'ai regardée descendre en cherchant la bonne clef, et à la voir se déplier, je me suis dit qu'elle était magnifique...Et que je l'avais déjà oublié.
Parfois, il y a un temps, quand on invite quelqu'un chez soi, où il y a un blanc, du vide que l'on remplit, même si l'on sait où on veut et où on va en arriver. Là, ça n'a pas été le cas. J'ai glissé sur le canapé, elle s'est penchée sur moi, m'a défait, en mettant à nu une queue en pleine érection, longue et dure, et elle a roulé sa jupe à sa taille, avant de poser ses doigts là où la couture du collant passait, tout près de son minou. Elle a tiré sans ménagement, avec le résultat que le lycra s'est déchiré. Elle a bien tiré, donnant ainsi accès à une bonne partie de chair, son sexe jusqu'au pubis, ses aines, un bout de cuisse. Son sexe était à point pour que je me glisse dedans. Il ne manquait qu'une chose pour qu'on s'accomplisse, mais elle l'avait pris dans sa main, je ne m'en étais pas rendu compte. Elle a déchiré l'emballage d'aluminium et a dégagé la rondelle de plastique luisante, enduite de lubrifiant. Elle l'a posée sur mon gland dilaté, et a fait descendre le préservatif le long de ma queue d'un seul mouvement, fluide, le latex achevant sa course quasiment à la racine de mon membre. La suite s'imposait, et on en avait autant envie l'un que l'autre. Elle est descendue sur moi, essayant de viser bien pour que sa chatte et ma queue s'ajustent. Elle a posé sa paume contre ma queue pour la réorienter, et c'est rentré tout seul. J'ai senti la suavité extrême de sa muqueuse intime autour de moi, aussi chaude que douce, une caresse que rien au monde ne pouvait remplacer, un premier mouvement quand elle est descendue sur moi, sa vulve me prenant jusqu'à la racine. Elle est restée posée sur moi, me soufflant:
— Ça fait trop longtemps que je n'ai pas eu de queue dans le ventre. C'est tellement bon. Comment vivre sans ça?
J'aurais pu répondre la même chose. Comment vivre sans une muqueuse de femme autour de sa queue...
Elle a fait glisser sa veste, passer son débardeur par dessus ses épaules. Elle n'avait pas de soutien-gorge, j'aurais pu le deviner à la manière dont ses seins tendaient le tissu. Fermes, avec de larges aréoles, et des tétons qui se sont allongés sous mes yeux, dressés, ils semblaient se tendre vers moi. Je me suis penché vers elle, et j'ai pris un téton dans ma bouche, la bouche envahie par sa dureté, comme son sexe l'était par la mienne. Elle a gémi quand je l'ai agacé de la langue. Je l'ai senti s'étirer, et je me suis dit que je n'étais pas si mauvais que ça pour donner du plaisir à une femme. Le téton s'est allongé de manière substantielle, avant que je ne passe à l'autre.
Pendant que je le suçais, elle a commencé à donner des coups de bassin très lents pour caresser ma queue.
On s'est partagés le travail. Elle allant et venant sur ma queue, moi donnant des coups de reins pour la fouiller mieux quand elle s'immobilisait. Le plaisir était là, bien présent, et je n'aurais certainement pas imaginé, quand mon regard s'était posé sur elle, en pénétrant dans le hall de la maison de quartier, qu'on se rapprocherait aussi vite, pour des moments aussi intenses...
Ca a fait un bruit visqueux quand elle s'est soulevée, s'arrachant de ma queue, qui m'est apparue différente, remise à nu, métamorphosée, plus longue, plus épaisse, gorgée de sang. Le latex dégoulinait littéralement de ses sécrétions intimes. Son sexe ruisselait, très ouvert, et ses lèvres avaient atteint une épaisseur et une consistance qu'elles n'avaient pas au début, très longues et très charnues.
— Viens, j'ai envie qu'on aille sur un lit, et qu'on change de position.
Pas besoin de chercher bien loin, la porte de la chambre était entrouverte. Elle est passée devant moi, sa croupe lourde comme une offrande sous mes yeux, croupe qu'elle m'a offerte intégralement quelques secondes plus tard, quand elle a basculé sur le lit, à moitié nue, mais avec encore sur elle ce qui avait accroché mon regard, le collant, bien que déchiré au niveau du ventre, ses bas et ses bottines aux talons fins. A quatre pattes, son visage tourné vers moi, elle était irrésistible. Ses yeux disaient son envie de sexe, tout comme son visage, son corps, dont on sentait bien qu'il était totalement offert. Et, au cas où j'en aurais douté, elle a ajouté:
— Tu peux mettre ta queue où tu veux. J'aime me faire prendre de différentes manières, je n'ai aucun tabou.
Je me suis approché d'elle, en transes. Il y a des moments qui donnent du sens à son existence, des moments qu'on n'oublie pas. Je vivais un de ces moments. J'ai glissé ma verge dilatée dans sa vulve béante, qui dégoulinait de ses liquides intimes, qui coulaient sur sa chair, en même temps que je glissais un œil sur sa croupe pleine, ouverte sur les plissements de son anus. J'avais envie de me glisser là, et clairement, elle en avait envie aussi...
Je l'ai fouillée, me dissolvant dans le plaisir, la faisant gémir, avant de retirer ma queue pour remonter plus haut. Le latex dégoulinait de ses sécrétions vaginales, et je me suis dit que ça lubrifierait bien ma pénétration anale. A voir l'ouverture de son sexe, et celle de son anus, si étroite...Pourtant, quand j'ai posé mon gland contre sa muqueuse et que j'ai appuyé, c'est rentré tout seul. D'évidence, elle aimait se faire prendre par là. Je suis rentré en elle, et le long gémissement qu'elle a poussé n'était pas un gémissement de douleur, mais bien de plaisir. J'ai été aussi loin que je pouvais, et je me suis mis à bouger en elle.
Là où j'ai vraiment eu une preuve de son plaisir, ça a été quand elle a lâché un premier jet, copieux, et épais, de sécrétions, qui est venu tremper le couvre-lit. Suivi par d'autres, à mesure que je la fouillais...Elle criait et elle éjaculait, et elle a crié et éjaculé plus fort quand elle a enfin joui. J'étais à bout moi aussi, je suis sorti d'elle, et j'ai craché, un de mes nombreux fantasmes, ma semence sur ses fesses.
Vous vous demandez sans doute ce qui s'est passé par la suite ? Un simple coup d'un soir, comme ça arrive souvent, ou quelque chose de plus élaboré ?
Déjà, la soirée s'est prolongée en nuit. On a fait et refait l'amour. Elle est partie au matin, après le petit déjeuner. On a échangés nos numéros, mais, pour être franc, je ne pensais absolument pas qu'elle me rappellerait.
Et effectivement, dans les jours qui ont suivi, je n'ai pas eu de nouvelles.
Je n'attendais pas grand chose, et puis j'avais de bons souvenirs de ces moments.
C'était déjà beaucoup.
Et puis, une semaine jour pour jour, le samedi matin, un SMS.
J'ai pris le temps de réfléchir, m'écrivait-elle. J'avais envie de te revoir, mais je ne tenais pas à me précipiter. Ça a été un tort que j'ai eu de par le passé. Finalement, au bout d'une semaine, la réponse, c'est oui. J'ai bien envie de te revoir.
Et pour bien me confirmer que c'était le cas, elle avait accompagné son SMS de photos qu'elle avait prises d'elle sans équivoque. Elle avait fait une série simple, mais qui m'a tourneboulé, mis dans tous mes états, et que j'ai regardée et regardée longtemps, des centaines de fois, où elle était nue, mais accessoirisée, allongée sur un lit, avec une paire de cuissardes, un collier de perles, un soutien-gorge et rien d'autre.
On s'est revus l'après-midi.
Et encore et encore...

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