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Ma muse 1

Le début d'une longue série de prise de vue et d'exhibition de ma muse faite depuis plus de 30ans, çà va des premières photos qu'il fallait faire développer à la plage naturiste, cette première histoire est notre début de notre jeu érotique de muse et soumis. Nous essayerons de poster une photo .

Proposée le 11/08/2025 par kan7

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Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Mer, piscine, plage
Type: Histoire vraie


Les Années 90
Au début de notre rencontre, nous étions très jeune.
Je n’avais pas encore la notion de muse.
J’étais plutôt du genre possessif, à ne pas vouloir que les autres voient son intimité.
Pourtant, les photos de nos premières vacances prouvent que j’avais tort.
J’ai une photo de nous deux, moi en caleçon de bain, Christel en maillot une pièce bleu avec des petits motifs.
Bien échancré sur le bas( elle avait dû s’embêter à se raser pour qu’aucun poil ne dépasse sur le côté, elle était épilée style velue façon petit triangle juste à la limite du maillot, la norme de presque toutes les femmes de cette époque hormis les plus téméraires qui « faisait » le ticket de métro, un rasage rectangulaire), le décolleté normal du maillot cachait sa petite poitrine.
Je me souviens d’un maillot deux pièces vert brassière et culotte que nous avons retrouvé cet été et que tu as pu remettre.
Les maillots de ces années étaient le must pour nous garçons et voyeurs.
Les doublures n’étaient pas fameuses, dévoilant les tétons et les « bosquets » de ces demoiselles.
De mémoire, Christel a « subit » le dictat de son maillot, surtout quand elle avait un peu froid.
Ses petits tétons de l’époque tentaient de percer le haut, tandis que la toison de son sexe variait le tissu de son bas.
La mode était aussi à la jupe short, elle en avait une très belle turquoise.
Très courte aussi.
J’avais du mal avec les maillots à petites bretelles, je me disais que tout le monde voyait ses petits seins.
Maintenant, j’espère que certains en ont bien profités des transparences de ses maillots de bain.
C’est à cette époque que je voulais aller plus souvent à la piscine le vendredi soir (aussi, inconsciemment, pour m’exhiber dans les vestiaires communs).
Le déclic fût sûrement sur le toboggan du centre aquatique.
Les maillots deux pièces nous dévoilaient, mesdames, vos charmes par transparences et les élastiques étaient un peu limites.
Je comprends maintenant le nombre d’hommes près de la sortie du toboggan et dans le bassin à vagues lors de la tournée de vagues.
Il n’était pas rare d’avoir un incident de maillot.
Un sein sorti si ce n’était pas les deux,, une fesse dévoilée, le must du voyeur, la bonne époque.
Souvent, quand nous attendions notre tour, nous pouvions voir des fesses dont le maillot était plus près de la raie que dessus, des décolletés très ouverts que la propriétaire n’avait pas vu la largesse de notre vision.
Donc, je faisais souvent attention que cela n’arrive pas à Christel.
Et c’est là qu’en demandant à ma future muse de remonter son haut ( Sa réponse : ben quoi, c’est bon) que cet homme d’une quarantaine d’années accompagnant des enfants me regarda et me fit le signe « tu veux qu’elle mette un col roulé aussi ? ».
Il avait raison.
Son décolleté et la limite de ses mamelons sont beaucoup plus jolie que ceux d’une personne plus âgée.
J’aurais dû laisser faire comme certaines de son âge voire plus jeune qui se moquait de ce qu’elles pouvaient nous montrer.
Je pense que la partie basse de mon corps a pris le dessus sur le haut, ma verge voulait, déjà, exhiber notre muse.
Nous sommes allés souvent dans les piscines municipales.
Celle de notre ville, où je demandais à ma muse de se décaler dans le vestiaire femme quand elle était nue pour que je puisse mater du vestiaire homme au risque que d’autres la voient.
Au moment de la douche, moi restant dans le petit bain, Christel a la douche, lui demandant de rouler son maillot pour me montrer ses seins pendant qu’elle les lavait.
Le vrai déclencheur a été notre premier long séjour à Saint-Malo.
Nous avions pris un petit hôtel et passions nos après-midis à la plage.
Je lui avais acheté un maillot deux pièces triangles comme ceux de cet été.
Le topless ne lui était vraiment jamais venu à l’idée.
Et surtout que cela vienne de moi encore moins.
Lui le possessif, jaloux et pudique (frustré).
Ce fût la grande période de mes embêtements (les grosses érections qui une fois calmées laissaient ma verge avec son liquide d’excitation et cela se voyait comme quand vous laissez la dernière goutte apparaitre après avoir été aux WC.)
Les superbes grandes années où les femmes n’hésitaient pas à faire du monokini plus souvent, beaucoup plus que maintenant quoique cela revient.
Sur cette grande plage du sillon, nous en avions autour de nous, plus facile pour convaincre ?
NON.
Moi : « Tiens , les dames à côté sont les nénés à l’air, allez toi aussi !!! »
C : « euh non ça va pas la tête, t’es fou, jamais de la vie »
Ce n’était pas gagné, loin de là.
Il me fallait trouver une solution.
J’ai énormément ramé.
J’ai commencé quand elle était sur le ventre, à lui enlever le cordon de son haut pour lui éviter les marques .
Lui disais-je en bon menteur.
Le but était qu’elle oublie ce que j’avais fait et qu’elle se relève instinctivement et se retrouve les seins à l’air devant tout le monde.
Cela n’est jamais arrivé malheureusement.
Plusieurs fois quand elle me demandait de lui remettre, je refusais.
Elle arrivait à le nouer toute seule.
J’ai alors trouver un stratagème.
Moi : « Attends, je te mets de la crème ».
Christel allongée sur le dos se méfiait.
Je passais mes doigts sur sa peau doucement.
Je contournais ces fameux triangles.
Mais, j’activais mon plan diabolique.
Je décalais les bords vers les mamelons discrètement.
Les grands triangles devenaient un peu plus petits.
Ma muse ne disait rien et ne voyait rien ( elle avait fermé les yeux).
Je revenais à la charge et recommençais.
Je resserrais encore et faisais un mini triangle couvrant que ses petits tétons de l’époque (Elle avait un petit 90B et des petites aréoles, pas comme maintenant ils ont doublés de volumes et sa poitrine a pris une taille et un bonnet miam).
Nous sommes donc passés d’un grand triangle à un petit rectangle dévoilant la quasi-totalité de sa poitrine.
Seuls les tétons étaient cachés donc le maillot ne servait à rien.
C’était pour lui prouver qu’elle pouvait l’enlever et que cela ne changerait rien, à part son gêne peut-être.
Elle resta comme cela environ trente minutes, c’était plus érotique comme cela que topless.
Je soupçonne les voyeurs de l’époque et les maris envieux d’avoir bien maté la petite jeunette sexy cachant ses tétons plutôt que les femmes mûres topless.
Elle ouvrit ses yeux et vit mon œuvre.
C : « ça ne va pas, t’as fait quoi là »
Elle voulut le remettre, je la convainquis de rester ainsi.
Ma muse n’était pas tellement contente, et moi en érection dans mon petit slip de bain bien embêté.
Cela m’apprendra.
Elle se remit sur le dos.
Comme elle avait bougé un peu son maillot, je revenais à la charge .
Moi : « Attends, je le remets comme il était sinon tu vas avoir plusieurs marques ( petit diable) ».
Elle se laissa faire.
Sauf que cette fois-ci, je rapprochais le tissu non pas au bord de l’aréole mais au bord du téton.
Cela change tout.
La vision donnée n’était plus la même, le maillot n’était plus en forme de petit rectangle mais un petit cache téton.
Christel, sans le savoir, était très érotique aux yeux des voyeurs.
J’étais très fier d’elle, qui devenait à ce moment-là : MA MUSE.
Cela ne va pas arranger mes affaires « érectionnelles ».
Bien sûr, quand elle rouvrit les yeux :
« Mais t’es sérieux, je suis comme çà depuis le début ? »
Moi : « Oui et alors ? Tu vois, tu peux le retirer, tu ne cachais pas grand-chose et cela ne te gênait pas. »
C’était pour la partie haute.
Pour le bas, chaque fois qu’elle était sur le ventre et que je lui avais enlever le haut, je la crémais.
Et bien entendu, je voulais montrer ses (mes) fesses à tous.
Je lui rapprochais son maillot au plus près de sa raie.
Elle ronchonnait souvent, mais elle me laissait faire.
Le soir à l’hôtel, après la douche, elle venait dans la chambre nue.
Le spectacle était magnifique, le bronzage beau, les parties blanches se résumaient à des tétons, un bas devant échancré (j’avais réussi aussi à le resserrer un peu) et des fesses blanches mais moins qu’elles auraient dû être.
Pas de topless cette fois-ci, mais je ne désespérais pas.
Le lendemain, je revenais à la charge.
Je lui montrais les autres femmes et lui parlait de leurs seins que je trouvais moins beaux que les siens.
Je repris mon ouvrage de dévoilement discret des siens et de ses fesses.
Quand nous étions dans l’eau, nous nous amusions à nous couler.
Je ne manquais pas une occasion pour lui sortir un sein de son haut ou lui desserrer complétement.
Au moins, certains ont dû voir son sein ou attendaient qu’elle enlève son soutien-gorge qui ne tenait plus.
Quand j’étais derrière elle, je tirais sur sa culotte pour lui rentrer dans les fesses et lui faire un string.
C’était bien visible car nous avions de l’eau que jusqu’aux cuisses (elle me le fit aussi).
Au fil du temps de nos petites vacances, Christel me laissait faire avec son maillot de bain.
Vient la cerise sur le gâteau, un après-midi, alors qu’elle était sur le ventre et que son haut était dénoué, je lui demandais de se relever un petit peu.
Elle s’exécuta, je pris son haut.
Moi : « Maintenant, t’es embêtée, je ne te le rends pas nananère »
C : « ah bon, tant pis »
Moi : « et tu vas faire quoi après ? »
C : « tiens, ça ».
Elle se retourna et dévoila pour la toute première fois sa petite poitrine en public à la vue de toute la plage et de la corniche peuplée du sillon (très passante et avec une belle vue de haut de ses demoiselles seins nus sans se faire remarquer).
L’arroseur arrosé.
J’attendais cela depuis le début, et je fus surpris et très excité.
Ma chérie devient à ce moment-là réellement MA MUSE.
Elle couchée, petits seins aux tétons pointus, moi assis regardant autour de moi pour voir qui était en train de la mater.
Elle le fit que quelques fois jusqu’à la fin des vacances pour me faire plaisir (pas autant que nos dernières vacances).
Nous avons eu plusieurs petites vacances de ce style, mais très peu de topless.
Pas grave, ma muse est belle en bikini rapproché.
Ce n’était que le début de sa « carrière » de MUSE.

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