Anne-Sophie est cadre dans le territorial et elle aime le sexe. Frustrée, elle fait appel à un partenaire tarifé qu'elle rencontre la nuit, alors qu'elle rode au volant d'une grosse cylindrée dans la ville.
Proposée le 11/07/2025 par jerome james b
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme
CADRE SUPERIEUR, VOITURE ET SEXE partie 1
1
Noire et luxueuse, la voiture glissait dans la nuit, la peinture laquée de sa carrosserie accrochant tous les points de lumière. Elle suivait un rythme totalement irrégulier, parfois lente, parfois au contraire accrochant les plus hautes vitesses sur des avenues qui à cette heure de la nuit, quasiment 23 heures, étaient quasiment désertes.
La voiture était souple et puissante, et sa conductrice la maîtrisait parfaitement. Si par hasard il y avait un obstacle, un autre véhicule, un piéton, elle les contournait sans problème. Même si elle violait allégrement les limitations de vitesse.
Il l'attendait debout à un arrêt de bus. A cette heure-ci, il n'y avait plus de bus, le dernier était passé sur le coup de vingt heures, ici, même si la ville était grande, on était dans une ville de province.
Gabriel avait vingt-deux ans, il était très grand, près de deux mètres, plutôt beau garçon, il faisait énormément de sport, ce qui lui donnait un corps souple et musclé. Il était étudiant en droit, avec l'envie de devenir avocat, et, depuis deux ans, parce qu'il était issu d'un milieu modeste, et qu'il avait désespérément besoin d'argent pour continuer ses études, il se prostituait. Il en avait eu l'idée après que dans un bar, une femme d'une cinquantaine d'années, hyper séduisante, une brune immense, l'ait abordé et lui ait proposé de l'argent pour des rapports sexuels. Il avait été très surpris, parce que, pour lui, ceux qui avaient besoin de prostitués et de prostituées étaient des exclus de la société, marqués par la disgrace, et ce n'était clairement pas le cas de cette femme. Elle était magnifique, un beau visage encadré par une belle crinière noire, un corps tout en forme, que soulignait une robe noire courte et collante, les jambes gainées de nylon, prises juste en dessous du genou par des bottes noires à talon aiguille.
Il avait eu par la suite, puisqu'il l'avait revue plusieurs fois, une vision partielle de ses motivations. C'était une femme qui travaillait beaucoup, PDG d'une petite entreprise dans le domaine des énergies renouvelables, elle n'avait pas vraiment de temps pour draguer de la manière la plus classique qui soit. Elle avait été en couple plusieurs fois, et ça ne s'était pas très bien passé. Elle avait décidé de passer à des rapports tarifés. Du sexe, du plaisir, après avoir payé, sans rien d'affectif. Elle achetait quelque chose, un service, lui donner du plaisir, qu'elle pouvait reconduire si ça s'était bien passé.
Et cette première fois, ça avait été très vite pour Gabriel. Elle l'avait entraîné sur le parking. Un moment entre chien et loup, où la lumière baissait. Elle avait une belle BM...Elle avait plongé, alors qu'ils approchaient du véhicule, une main dans son grand sac à main, et elle en avait tiré un préservatif enveloppé d'argent, qu'elle lui avait tendu. Elle avait débloqué le véhicule avec sa clef et s'était glissée sur le siège arrière dans une position sans équivoque. A quatre pattes, en retroussant sa robe. Dessous elle avait un collant entièrement transparent sous lequel elle n'avait pas de culotte. Encore sous la surprise, il avait été emporté par le désir. Pouvoir profiter d'une aussi belle femme qu'elle, et en plus avoir de l'argent...Ca avait orienté les mois à venir.
— Baisse mon collant et viens en moi. Dans ma chatte d'abord et ensuite dans mon cul.
Elle avait une croupe pleine, très charnue, que sa position ouvrait sur sa muqueuse anale et ses multiples plissements, et entre ses cuisses, une grosse moule dont sortaient ses lèvres. Même dans l'obscurité, il pouvait voir son sexe s'ouvrir et ses parties intimes s'imbiber de sécrétions qui rendaient sa chair luisante. La queue raide de désir il s'était approché d'elle. Le visage tourné vers lui, mais sans sourire, elle attendait qu'il la pénètre. Il glissa vers elle, venant appuyer contre les lèvres épaisses et dégoulinantes avant de glisser en elle, jusqu'à ce que son gland vienne cogner contre son utérus. Elle poussa une sorte de soupir qui ressemblait au bruit d'un pneu qui se dégonfle.
Les sensations furent tout de suite très fortes. Ca faisait quelques temps, que, trop préoccupé par sa survie et ses études, il n'avait plus eu de rapport avec une femme. La chaleur et la douceur d'un sexe de femme autour de sa queue...C'était...Tellement bon...Mais il se doutait bien que vu la manière dont la femme exprimait son plaisir, c'était aussi du plaisir à l'état pur pour elle. Corps frémissant, poussant des gémissements...Elle ruisselait autour de la queue plantée en elle, arrosant leurs chairs...
— Maintenant que ta queue est bien lubrifiée, encule-moi...Mais n'aie pas peur...J'ai l'habitude et tu ne me feras pas mal.
Glisser dans son sexe l'avait bien dilaté. Il était énorme. Et pourtant, une fois son gland appuyé contre la muqueuse anale de la belle brune, sa queue avait glissé dedans comme dans du beurre. Un moment différent, un autre contact, mais un plaisir aussi fort. Gabriel se dit que finalement, c'était bien d'être payé pour prendre du plaisir...
Il se dit qu'il devait absolument retenir son plaisir. Et qu'elle jouisse d'abord. Une vague inquiétude tourna autour de lui, mais la chance, le sort...fut de son côté. Elle se mit soudain à jouir, agitée par des spasmes, criant son plaisir avec un manque de discrétion absolu et éjaculant autour de sa queue. Il y avait quelque chose de très fort dans cette jouissance, qui l'emporta, le faisant exploser lui aussi.
Les cuisses trempées par une crème blanche qui ressemblait à du sperme, elle se redressa, rajusta son collant, la tête encore dans son orgasme, et se glissa hors du véhicule. Elle revint à son sac à main, le fouilla et lui tendit plus d'argent qu'il n'aurait pensé en avoir. Elle ajouta:
— Donne-moi ton numéro. Tu m'as bien baisée. J'ai envie de te revoir.
Il s'exécuta. Elle le rentra dans la mémoire de son téléphone.
Il savait qu'il lui devait beaucoup. D'abord parce qu'elle lui avait donné des sommes coquettes, qui lui avaient permis de surmonter ses problèmes financiers de l'époque, parce qu'elle l'avait régulièrement appelé, lui fournissant un apport régulier, mais aussi parce qu'il aimait ces rapports sexuels intenses. Il aimait le manque d'hypocrisie de la situation, Ils se rencontraient, quelque part, jamais chez elle, dans une chambre d'hôtel, à l'extérieur, et c'était du sexe immédiat, intense et cru, et même s'il s'était construit à travers ces moments de sexe, quelque chose d'intense s'était développé entre eux.
C'était elle qui lui avait suggéré, et il n'avait compris si c'était une boutade, ou un conseil plus sérieux, de s'inscrire sur un site.
Ce qu'il avait fait.
Assez ironiquement, il avait remarqué que les femmes qui le contactaient avaient quasiment toutes le même profil. Elles avançaient en âge, la quarantaine, la cinquantaine, et elles n'avaient rien dans leur vie qui les comble. Choix professionnels, vie affective inexistante...Elles étaient souvent hyper-attirantes...Comme quoi...Les relations tarifées n'étaient pas réservées aux cabossés de la vie.
La voiture ralentit. C'était la première fois qu'il rencontrait cette nouvelle cliente. Il se demandait toujours, à chaque fois, à quoi s'attendre. Jusqu'à présent, alors qu'il était prêt au pire, il n'avait jamais été déçu. Il avait rencontré des femmes attirantes, avec qui ça s'était plutôt bien passé, et, leur soif de sexe avait été une garantie de moments de plaisir, au-delà de l'échange transactionnel. Il leur avait donné le plaisir attendu, mais en avait aussi eu en retour.
La voiture s'arrêta à sa hauteur. Ca lui était déjà arrivé que quelqu'un s'arrête, pas forcément une femme, hors transaction. Depuis il demandait une preuve, sous forme d'un numéro de téléphone au premier instant.
L'habitacle était éclairé. Il distingua une fille blonde, un début de quarantaine, très maquillée, en tailleur. Un visage rond. Elle lui fit un sourire. Elle brandit un morceau de carton sur lequel elle avait inscrit son numéro de portable. Ça matchait avec celui qu'il avait.
Elle défit le bouton qui fermait sa veste de tailleur et l'écarta. Dessous, elle n'avait rien, et outre sa peau nue, elle lui présenta une superbe paire de seins, fermes, charnus et tendus. Des seins qui n'étaient sans doute pas naturels mais indéniablement excitants, dont elle lui avait envoyé des photos à plusieurs reprises, ainsi que du reste de son anatomie. Il avait souvent remarqué que, alors que ses clientes étaient et auraient du être dans une position de domination, elles reproduisaient souvent des schémas qui laissaient penser que l'égalité homme/femme n'était pas pour demain. C'étaient elles qui auraient du demander des photos...Elles en envoyaient à la place.
Des seins indéniablement refaits, mais hyper appétissants.
Comme le reste de sa personne. Elle lui avait envoyé des photos d'elle dans une sorte de jeu de piste, sans lui dévoiler ni son visage, ni l'ensemble de sa personne, elle était vraiment désirable.
D'ailleurs, il n'y avait eu jusqu'à présent aucune cliente qui soit repoussante. Par contre une grande concentration de femme entre 35 et 50 ans, dont il devinait le sort, quand elles n'en parlaient pas.
Elles avaient beaucoup, sinon tout pour elles, mais elles étaient soient totalement prises par leur travail, soit dans une relation qui ne les satisfaisait pas, négligées par leur partenaire. On était loin du cliché qui met en scène le client d'un sexe tarifé qui, affligé par la nature, est dans une détresse affective totale. Elles étaient belles, intelligentes, avec souvent de beaux métiers.
Il contourna le véhicule et s'approcha. Elle fit descendre la vitre, seins toujours nus. Elle se bascula en arrière pour le laisser admirer le reste de ses charmes, bien réels. La jupe du tailleur était très courte et qui plus est fendue. Des bas stay-up soulignait leur galbe impeccable, bas qui se prolongeaient jusqu'à mi-cuisse, où ils prenaient sa chair avec un élastique d'une dentelle travaillée. Elle avait des bottes noires, luisantes, à talons aiguille, qui montaient quasiment jusqu'au genou, et une absence de slip, bien visible, quand elle était ainsi basculée, qui lui permettait de voir très nettement sa chatte, dont il avait déjà profité sur des photos. Une belle fente, entrouverte sur un intérieur rose dont émergeaient deux belles lèvres bien développées et une toison qui couvrait son pubis, bien taillée, mais épaisse.
Elle se redressa et vint mettre ses seins à la fenêtre. Une entrée en matière. Dans les premiers temps, Gabriel craignait toujours de louper ce début, de ne pas être à la hauteur, mais ça lui était passé. Aujourd'hui, il avait acquis une expérience suffisante pour se sentir à l'aise. Faire preuve d'habileté et d'imagination. Etre redemandé par ses clientes était la preuve qu'il n'était pas si mauvais que ça.
Il se pencha et vint balader sa langue sur le sein, avant d'envelopper un téton en pleine croissance et de le caresser de la langue. Il était bien épais et bien long, et on aurait dit qu'il n'allait pas cesser de s'allonger. Il lui remplissait la bouche. La brune gémit. Elle avait glissé sa main entre ses cuisses et elle se masturbait pour accompagner la caresse. Il la sentait très en manque et pleine d'envies. Il bascula sur l'autre téton. Une manière d'équilibrer les choses...Et de lui donner un maximum de plaisir. C'était sa mission ultime.
— Ah, tu me fais du bien! Je suis en manque de sexe.
Ce n'était pas quelque chose de nouveau. Elle le lui avait clairement écrit dans ses messages, sous des formes souvent peu catholiques. J'ai envie d'une grosse queue bien dure, j'ai envie de me faire baiser, je suis très en manque.
Il érigea bien les deux tétons, pendant qu'elle se frottait, d'un mouvement de haut en bas et de bas en haut, qui suivait la ligne de l'ouverture de son sexe. Elle ruisselait d'un liquide poisseux, qui coulait sur ses chairs, et venait faire luire le cuir du siège, et trempait sa main. Il alla d'un téton à l'autre, avant qu'elle ne dise:
— Donne-moi ta queue.
Gabriel se redressa. Ils étaient le long de l'avenue, il n'y avait même pas de place de stationnement, mais ce n'était pas vraiment un problème. La nuit personne ne respectait aucune règle.
Peut-être parce qu'elle lisait dans ses pensées, elle ajouta :
— On ira se caler ailleurs, mais pour le moment, j'ai envie de profiter de ta queue.
Elle tenait aussi à le défaire. Avec une expression gourmande, elle le déboutonna, et elle mit à nu. Gabriel était en pleine érection, et il lut dans son regard la joie, simple joie d'avoir devant elle une queue en pleine érection, charnue, longue, bien décalottée.
Rien n'aurait pu l'empêcher de plonger sur la queue offerte. Elle amena sa langue sur la chair congestionnée, et se mit à la parcourir. C'était très bon, et Gabriel se mit à couler, un liquide pré-séminal qu'elle lapa avec avidité, venant à la source du méat.
— Viens, monte, on va aller un peu plus loin.
La queue encore à nu, il contourna le véhicule pour venir se caler sur le siège passager. Le véhicule était quasiment neuf, un kilométrage limité, il sentait encore la voiture neuve. Il était sans doute peu utilisé. Elle redémarra, se lança sur l'avenue déserte, une main sur le volant, l'autre accrochée à sa queue, qu'elle masturbait doucement, sa main arrosée par le liquide pré-séminal comme elle avait été trempée avant par ses jus intimes. Elle ne le repoussa pas quand il glissa sa main sur sa cuisse, et vint caresser le nylon. Une sensation qu'il aimait toujours, vraiment excitante, cette de la texture des bas, mariée à la chaleur qui montait de la chair enveloppée. Elle ne le repoussa pas quand il arriva à la lisière du bas, et passa sur la chair nue, brûlante.
— Tu peux tout me faire. Tu peux mettre tes mains, tes doigts, ta langue et ta queue partout. C'est justement parce qu'aucun homme ne m'a rien fait ces derniers temps que j'ai fait appel à quelqu'un comme toi.
Même s'il était payé, et donc théoriquement avec des clientes qui n'étaient pas formidables, Gabriel avait eu la chance jusqu'à présent d'avoir à faire à des filles qui lui avaient inspiré du désir, ce qui avait plutôt facilité les choses. Il redoutait de tomber sur une femme qui soit repoussante...Sa main glissa autour de sa cuisse, puis remonta dans l'aine, avant de rentrer en contact avec le sexe ouvert et tout mouillé. Il sentit le poids des lèvres et du gland clitoridien contre sa paume, frottant, la faisant gémir.
— Ah c'est bon!!! Je n'ai pas baisé depuis trois mois...J'avais envie d'une main d'homme, d'une queue d'homme...Je me branle, mais ce n'est pas suffisant.
Gabriel eut envie de lui demander si elle ne pouvait pas trouver un partenaire autour d'elle. Mais il se tut. Il savait que la question était complexe, et les relations faciles pour de nombreuses raisons. En tout cas, pour le moment, elle ruisselait de plaisir, tellement abondante qu'on aurait dit qu'elle se faisait pipi dessus, et tout en continuant de le masturber.
Elle ralentit et braqua sur la droite. Il y avait un grand parking devant le stade, qui était pour le moment totalement désert. Elle ralentit doucement et coupa le contact avant de lui dire:
— Viens me lécher la chatte...Pour moi la combinaison parfaite c'est une langue sur ma chatte et après une queue dedans, mais les derniers hommes avec qui je suis sorti ont pas voulu me lécher. Je paye et j'ai ce que je veux.
Il contourna le véhicule et vint s'accroupir devant l'habitacle, la portière grande ouverte. Basculée en arrière, elle amena sa jambe gauche sur le tableau de bord. De cette manière elle était aussi offerte qu'on pouvait l'être. La position, son excitation, faisaient qu'elle était bien ouverte, offrant au regard tout ce qui faisait d'elle une femme. Rien de caché. Gabriel repensa à son adolescence, quand il désespérait d'avoir une copine, et qu'il se branlait en regardant du porno, rongé de ne pas pouvoir profiter de ce qui faisait et fait un corps de femme. Fasciné par ces formes typiquement féminines, par leurs seins...Et leurs chattes dont il observait les moindres détails sur des photos, sans oser espérer un jour les voir, les caresser...Et puis les choses avaient changé...Et cette femme magnifique lui offrait son sexe, dont il pouvait disposer. Sexe dont la vision lui rappelait qu'il n'avait rien eu, jusqu'au désespoir, et que rien n'était jamais acquis.
Il plongea sur elle, avec le désir de lui donner du plaisir...Mais aussi d'en profiter.
Il savait que le sexe d'une femme était hyper-sensible, et qu'on avait aujourd'hui une meilleure connaissance de l'anatomie féminine. En particulier du fait que le clitoris couvrait l'ensemble du sexe féminin et n'était pas seulement ce petit bout de chair qui émergeait. Et que toute caresse, sur l'ensemble de la zone, avait un impact immédiat, et très fort.
Et ce fut par zone qu'il progressa, d'une langue souple et habile. Il vint frotter les lèvres, bien développées par l'excitation, allongées, fines et plus du tout repliées sur elle-mêmes comme c'était le cas cinq minutes plus tôt, arrosées par le jus intime de la femme, qui coulait à présent avec plus d'abondance, une abondance démultipliée dans les minutes qui suivirent. Il remonta sur le gland clitoridien, fin mais très long, qui s'était décalotté tout seul, et qui pointait, dont la longueur était terriblement troublante. Il le frotta de la langue. Elle poussa un long gémissement. Il l'enveloppa de la bouche et le suça comme il aurait sucé une queue. Elle se mit à gémir, plus fort, pour finalement crier.
— Je suis entrain de jouir !
Gabriel fut éclaboussé par des éjaculations crémeuses...Il était bon pour se changer en rentrant chez lui. Pourtant, il continua de sucer le gland clitoridien. Une des raisons pour lesquelles ses clientes l'appréciaient autant, c'était sans doute qu'il ne s’arrêtait pas, et continuait de leur donner du plaisir même quand elles avaient joui...Il leur permettait d'aller plus loin. Et elles le rappelaient peut-être pour cela...Il y eut une pause, puis elle se remit à jouir, le corps secoué par les orgasmes.
— Mets ta queue dans ma chatte maintenant! C'est maintenant que je la veux, tu as compris!
Gabriel avait bien repéré la boite de préservatifs dans l'un des espaces pour vider ses clefs, même s'il en avait toujours avec lui. Il en attrapa une, emballée, déchira sur le côté l'emballage métallique, et lui tendit. Il savait que les femmes aimaient bien faire glisser une capote sur la queue de leur partenaire. Ca leur donnait le sentiment d'être les maîtresses du jeu. Elle, comme l'avaient fait d'autres clientes avant, déchira l'alu sur tout le long et sortit une rondelle de latex enduite de lubrifiant, qu'elle vint poser sur le gland dilaté, avant de le faire coulisser quasiment jusqu'à la racine de la queue. Puis elle se bascula en arrière à nouveau, l'invitant à la pénétrer.
Il l'avait constaté depuis qu'il faisait l'amour très souvent, les positions les plus classiques étaient souvent les plus agréables, mais aussi les plus demandées. Il vint au dessus d'elle, et la pénétra en missionnaire. Son gland vint appuyer contre les lèvres de la MILF, obstacle aussi doux que chaud, et tout humide en prime. Il ne rentra pas en elle immédiatement, mais la frotta, autant pour son plaisir que pour le sien. Elle gémit sans retenue. Elle avait ce qu'elle voulait, ce pour quoi elle avait payé, du plaisir, pour oublier tout ce qui la tourmentait le reste du temps, et qui se dissolvait pour un moment.
Et puis il glissa en elle, lentement, aussi lentement qu'il le pouvait. Sans doute, ils suivirent le même parcours, il y eut un moment du flou, et puis le contact de la chair de l'autre, caressant leurs chairs intimes, ultra-sensibles, fit exploser le plaisir en eux. Une pénétration, c'était sans doute ce qu'il y a avait de plus basique, sans fioritures, mais c'était très fort, pour Gabriel de sentir la gaine de son sexe autour de lui, pour elle cette queue qui venait caresser ses parois ultra-sensibles.
— Continue comme ça...Très lentement...C'est vraiment bon...
Il prit son temps pour arriver au fond de son sexe, son gland venant taper contre son utérus...Avant de se mettre à bouger en elle. Plus lentement ou plus vite...Le visage de la MILF et ses expressions disaient son plaisir. Elle finit par lui dire:
— On change de position, s'il te plaît...J'ai envie d'être au-dessus de toi. Je veux chevaucher ta queue.
Il l'attrapa par les hanches, s'efforçant de ne pas faire sortir sa queue d'elle, et la souleva, glissant à sa place. Le volant était un obstacle, ils auraient été mieux à la place du mort, ou derrière, mais faire l'amour c'était souvent dans des situations inconfortables, il en avait connu pas mal ces derniers temps, et il s'adaptait. Il se souvenait de la femme qui voulait faire l'amour dans un ascenseur bloqué...
Sa cliente, calée sur lui, se mit littéralement à danser sur sa queue, frottant sa verge tendue à son propre rythme, frénétique ou plus posé.
— Vivre sans queue...C'est difficile.
Elle ruisselait autour de son membre, inondant leurs chairs.
Gabriel avait bien remarqué que certaines femmes ne souhaitaient pas le ramener chez elles. Une manière de garder le secret sur une vie privée dont elles estimaient qu'il n'avait pas à la connaître. C'était un parking, la chambre d'hôtel. Une manière aussi de casser d'avec leur vie, leur routine, qui ne les satisfaisait pas.
Il ne fut pas vraiment surpris quand elle se souleva, faisant sortir la queue dilatée, et qui avait encore bien grossi depuis qu'elle était en elle, et qu'elle la posa contre sa muqueuse anale. Elle se fit descendre dessus. Elle se faisait sans doute sodomiser régulièrement, ou plutôt, elle se sodomisait avec des godes. Elle avait une muqueuse ultra-souple, il n'y avait même pas eu l'ombre d'une gêne, d'un blocage. A fréquenter ainsi les femmes, qui avec lui, et parce qu'elles payaient se permettaient de se laisser aller à tous leurs fantasmes, il avait découvert que les clichés pullulaient. En particulier celui selon lesquels les femmes n'aimaient pas se faire sodomiser.
Comme pour le confirmer, la brune dit:
— Oh, que c'est bon par le cul...Encore meilleur que par la chatte...
Gabriel ne pouvait pas ne pas apprécier le contact de cette muqueuse anale qui le serrait plus étroitement que ne l'avait fait la vulve de la femme. Il devait se retenir pour ne pas jouir, d'autant plus qu'il était fasciné par la vision du sexe que l'excitation et d'avoir été fouillé par sa queue faisaient tellement béant qu'il pouvait voir ses parois internes, bien roses, son utérus au fond, et son gland clitoridien gorgé de sang, très érigé. Sans doute parce qu'elle sentait l'orgasme arriver, elle avait entouré son gland et elle le masturbait comme un homme aurait masturbé une queue. Il fallait dire qu'il était assez épais pour ça. Assez long aussi.
Gabriel remarquait souvent que ses partenaires, frustrées la plupart du temps, avaient des orgasmes explosifs...Un contrecoup de l'absence d'une sexualité à deux. La masturbation ne remplaçait pas totalement le plaisir avec un homme. Une queue de plastique ne remplaçait pas une vraie queue.
Traversée par une série d'orgasmes, elle se mit à éjaculer des jets aussi copieux que blancs, en même temps qu'elle se tordait dans tous les sens en hurlant. Gabriel avait envie de se laisser aller à la jouissance, mais il se forçait à se retenir. Il devait jouir comme sa cliente l'attendait.
Il avait eu raison de se retenir. Elle se dégagea, remonta le latex souillé, dégageant une queue dont la dilatation extrême disait qu'il allait jouir très rapidement. Elle se pencha dessus et masturba vivement la queue tout en baladant sa langue sur le gland et la glissant dans le méat. C'était trop pour Gabriel, qui balança des jets copieux de semence, sans doute aussi abondants que ceux qui étaient sortis de la vulve de la femme.
Certaines clientes aimaient resserrer leur bouche autour de sa queue et boire son sperme, d'autres se faire éjaculer sur le visage, elle choisit une position médiane, gardant la bouche ouverte, mais sans glisser le gland dedans. Le sperme atterrit au hasard sur son visage, dans ses cheveux, et dans son palais.
Ils s'étaient rajustés quand elle lui proposa :
— Tu veux faire un tour de la ville en voiture? J'aime bien conduire la nuit, et partager ce plaisir.
Chez toutes ses clientes, il y avait toujours ce désir de ne pas rester sur du sexe, de partager autre chose. Il glissa à la place du mort, et attacha sa ceinture. Elle n'avait pas passé de slip, et, sa jupe haute, il avait une vue impeccable sur ses jambes gainées de nylon et sur son sexe nu, encore marqué par l'excitation, ouvert et mouillé. Ce fut alors qu'elle roulait qu'il comprit que conduire ainsi, à une certaine vitesse, l'excitait. Il l'observait du coin de l' oeil, troublé par sa féminité.
Elle reprit l'avenue, et accéléra.
— Tu n'as pas peur des obstacles imprévus?
— Je conduis très bien, je sais freiner ou contourner l'obstacle.
Il pensa qu'il suffisait d'une fois.
Il la laissa lui faire traverser la ville rapidement, d'avenue en rue, et de rue en avenue. Elle resta à la périphérie, dans les zones industrielles et commerciales, qui donnaient la liberté de conduire vite sans obstacles. Le risque aurait été nettement plus grand en centre ville. Elle n'était pas folle.
Elle finit par le ramener là où elle l'avait pris. Elle se tourna vers lui.
— J'aimerais te revoir.
C'était toujours curieux, parce que ses clientes, même si elles payaient, avaient toujours la crainte, si elles avaient envie de le revoir, que ce ne soit pas possible.
— Un SMS et on cadre un moment.
Ca parut la rassurer.
Il sortait du véhicule lorsqu'elle lui lança :
--Hé !
Il baissa les yeux sur elle. Elle avait ouvert les cuisses au maximum, et fiché ses doigts dans sa vulve, les écartant pour s'ouvrir autant qu'elle le pouvait, offrant son intérieur à son regard. Elle lui fit un clin d' oeil, puis reprit une position plus normale, appuya sur l'accélérateur, et disparut en quelques secondes.
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