Ma femme s'offrant à un autre

Rosa ne m'a jamais déçu. Lorsque se fit sentir le besoin de pimenter notre relation, elle n'hésita pas à s'offrir à un autre, et ce fut un bonheur pour elle comme pour moi.

Proposée le 30/05/2025 par Sacha

Thème: Homme dominé
Personnages: FHH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Rosa, ainsi s'appelait-elle, je l'ai connue le jour de ses vingt ans. Après avoir été mon étudiante durant deux ans, Rosa décida un jour de se donner à moi, alors âgé de 35 ans. De m'offrir sa vulve.

Rosa ne m'avait évidemment pas attendu pour connaître les plaisirs et les joies du sexe. Elle aimait bien jouer les prudes pour tromper son monde, mais elle était déjà experte en la matière. Elle savait y faire, et connaissait toutes les positions, du 69 à la levrette.

Rosa, la bien nommée, était une rose qui m'offrit son parfum le jour qu'elle se dénuda pour moi, vulve offerte à mes caresses et à mes baisers, lèvres gonflées de désir et frémissantes. Elle m'offrait, en toute simplicité, son abricot, elle m'offrait sa chatte.

Cette intense relation érotique a duré trois ans. Elle m'a vite fait savoir qu'elle adorait être léchée, me faisant savoir par là à la fois la richesse de son passé avec ses ex et ce qu'elle attendait de moi . Je me suis volontiers exécuté, afin de satisfaire la femelle en rut que j'avais la chance de connaître

Avant, pendant ou après l'amour, il lui arrivait de me dire: "j'adore baiser", sans préciser avec qui, et j'avoue que cette déclaration m'excitait au plus haut point. Parfois même, elle se demandait si au fond elle n'était pas nympho, tant elle aimait ça.

Au bout de trois ans, nos relations érotiques étaient toujours aussi intenses. Mais j'ai bien senti que le désir de les pimenter était partagé. Oui. Mais comment?

Pour la sentir toujours aussi désirable, je l'ai imaginée désirée par d'autres. Ce qui était le cas. Mais aussi baisant avec un autre, puis revenant à moi. Et je lui ai suggéré cette option. Elle s'est d'abord récriée, tout en me disant que ma suggestion lui semblait "aphrodidiaque". Donc un non qui voulait dire oui.

J'ai insisté sur le fait qu'il s'agissait seulement d'aiguisrr le désir et de ranimer la flamme, bref, de sauver notre couple . Ce qu'elle fit de bon cœur, et animée des meilleures intentions.

Au fond, l'idée ne semblait pas lui déplaire tant que ça: elle pourrait se faire un mec sans me perdre pour autant. Baiser ailleurs et me retrouver. Elle proposa le scénario suivant: elle sortirait en discothèque un de ces soirs, puis se collerait à un mec et lui offrirait ses charmes à l'hôtel. Elle me disait même qu'elle avait hâte de s'éclater avec un autre.

Chose dite, chose faite.

Elle rapplique vers 8 heures fu matin, la bouche en cœur et le cul à l'air. Visiblement comblée par son aventure. Elle m'avoua avoir commencé à mouiller dès le premier baiser langoureux sur la piste de danse, tandis qu'il lui pelotait les fesses. Et leurs ébats torrides. leur coït, leurs orgasmes.

Tout cela m'excitait au plus haut point, rien que l'idée d'imaginer ma compagne offrant ses charmes, ses seins, sa vulve et son cul à un inconnu. Elle en devenait pour moi encore plus désirable. Me chevauchant, elle offrit ses seins à ma vue, qu'un autre venait de peloter. J'ai joui quand elle m'a appelé son cocu.

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