Histoire Erotique

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Un dossier rendu en retard

Alice travaille pour un cabinet important de la ville. Elle finit tard au bureau ce soir, car elle est en retard pour rendre un dossier capital à son patron. Alors qu'elle vient de terminer l'appel d'offre, elle se rend compte qu'elle est seule dans les locaux avec son séduisant boss.

Proposée le 13/05/2025 par Léa4468

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Alice regarda l’heure en bas à droite sur ton écran. 21 :00. Il était déjà tard.
Elle fit bouger doucement sa tête pour soulager sa nuque. Cela faisait des heures qu’elle travaillait sur ce dossier. Romain son chef avait été clair : il voulait le dossier finalisé sur son bureau avant minuit.

C’était sa faute, elle avait pris du retard dans la récolte des données. Les enfants avaient été malades, son mari était en déplacement depuis 10 jours… Beaucoup d’imprévus, qui étaient intervenus en même temps que ce gros appel d’offre. Ce genre d’opportunité que le cabinet ne pouvait louper. Le genre d’opportunité qui pouvait lui valoir une promotion. Le succès du cabinet dépendait de la qualité des données et des recommandations de négociations qu’elle fournirait à Romain. Après ce ne serait que du théâtre. Un jeu de rôle entre grands chefs pour remporter le contrat juteux, à celui qui crierait le plus fort, à celui qui aurait la plus grosse, à celui qui pisserait le plus loin. Tout ce déballage, ce n’était pas son truc.

Alice préférait le travail de l’ombre. Elle avait toujours été discrète. Toujours (beaucoup trop ?) tournée vers les autres. Elle s’épanouissait en se sentant utile. Auprès de son mari, de ses enfants. Auprès de Romain. Ce soir les enfants étaient chez sa mère, pour qu’elle puisse totalement se concentrer à satisfaire Romain.

A cette pensée sa bouche esquissa un sourire timide. « Satisfaire Romain ».
Était-ce la fatigue ? L’absence prolongée de son mari ? L’approche de l’été ? Tout à coup il lui était impossible de se concentrer sur son travail. Elle sentit une bouffée de chaleur monter en elle.

Non. Stop. Ce n’était pas le moment. Pas maintenant. Il y avait trop d’enjeux.

Elle se remit à travailler, mais était contente de toucher à la fin du dossier. La concentration n’y était plus vraiment.

22H30, elle mit le point final et lança l’impression du rapport. Elle était dans les temps. Le soulagement la submergea, et tous ses muscles se détendirent. Elle se rendit alors compte qu’elle avait les jambes engourdies, et sacrément faim.

En attendant que l’impression se termine, elle partit à la salle de pause commune. Elle remarqua qu’il n’y avait plus qu’elle au bureau. Ses collègues étaient déjà rentrés, ils étaient même surement en train de dormir. Les chaises étaient relevées et les poubelles vides. La femme de ménage elle aussi avait fini son travail.

Elle était seule. Enfin … pas complètement. Alors qu’elle se servait une tasse de café, elle ressentie de nouveau cette bouffée de chaleur s’emparer d’elle.
« Arrête ça tout de suite Alice » s’ordonna-t-elle. Elle était mariée, elle était au travail. C’était inapproprié, et même carrément cliché. Mais… ses pensées la ramenaient à Romain, dans son bureau, tout au bout du couloir, si proche. Elle pouvait deviner ce quarantenaire en train de travailler sur son ordinateur. Un bel homme. Sportif, le teint hâlé. Il portait toujours de belles chemises cintrées, parfaitement repassées. Ses pantalons pincés ne laissaient pas de place au doute qu’il possédait des fesses magnifiques, et aussi un membre de taille conséquente.
Romain était un homme agréable à regarder. Contempler même. Alice aimait l’observer parler, réfléchir, rire, se déplacer. Elle s’était déjà plusieurs fois réveillée honteuse, au côté de son mari, sa culotte trempée des ébats torrides avec son patron dont elle avait rêvé.

Ses sens devinrent de plus en plus aiguisés. Elle avait de plus en plus chaud. Elle ouvrit un peu son chemisier, pour mieux respirer. Le frottement du tissu sur ses tétons les fit dresser immédiatement. Le contact de ses doigts sur sa peau lui donna la chair de poule. Elle sentait son sexe se gonfler d’excitation.

C’est à ce moment précis que Romain fit irruption dans la pièce. Il venait lui aussi se ravitailler en café car la nuit s’annonçait longue. Il la dévisagea, et elle crut voir son regard se poser de manière furtive sur son décolleté et la pointe de ses tétons dressés.

« C’est terminé Romain, le rapport est en impression. Tu l’auras d’ici 15 minutes sur ton bureau » annonça Alice, la voix légèrement tremblante. Elle observa aussitôt les épaules de Romain descendre d’un cran de soulagement. Son sourire charmeur s’imprima immédiatement sur ses lèvres. Il était vraiment beau. Elle sentait d’ici son parfum remplir la pièce, l’odeur de linge propre que dégageaient ses habits. Oui, elle n’était plus qu’une boule de sensations. A fleur de peau.

Romain la dévisageait. C’est sûr, paniqua-t-elle, il s’aperçoit de mon état ! Mais Romain se dirigeait déjà vers la sortie. « Je peux abuser en te demandant de me faire un résumé du dossier avant de partir ? Cela me fera gagner un peu de temps pour la négo de demain matin ».
« Pas de problème, je suis seule à la maison ce soir. Je peux rester le temps que tu veux ! » répondit Alice, qui se sentait coupable d’avoir rendu le dossier si tard.

Était-ce le fruit de son imagination ou avait-elle observé un léger haussement de sourcils et une lumière dans son regard, à l’énoncé du fait qu’elle était seule ? « Calme toi Alice. Rappelle-toi : Mariée. Les enfants. Patron. Garde la tête froide. ».

Mais c’était comme lutter contre un ouragan. Un ouragan d’hormones, de désirs. Elle sentait son sexe se contracter de joie à l’idée de se rendre dans le bureau de Romain. Il allait falloir qu’elle soit forte pour dissimuler son désir montant. Qu’est-ce que son parton penserait s’il devinait ses pensées ? Peut-on être virée pour le simple fait de fantasmer sur son boss ? Alice secoua la tête pour tenter de refroidir ses ardeurs. Elle jeta un œil à l’imprimante. Encore 5 bonnes minutes avant la fin de l’impression. Elle décida de se rendre aux toilettes pour femmes.

Une fois la porte fermée, elle se colla au mur en carrelage. La sensation de froid, censée l’apaiser, eu l’effet inverse. Le contraste avec son corps en surchauffe lui envoya une décharge de plaisir. Sa langue caressa ses lèvres. Sa respiration devient rapide et profonde. Elle sentit ses seins durs et gonflés. Son sexe appelait à être satisfait. Elle n’hésita pas longtemps avant de passer ses mains entre ses cuisses, de les faire remonter lentement jusqu’à sa petite culotte. Elle était déjà bien mouillée. Elle la retira et la laissa glisser au sol. Du bout des doigts, elle sentait son clitoris :il était gonflé et ultrasensible. Doucement, elle commença à se masturber. C’était si bon. Elle ferma les yeux en pensant à Romain. Elle imagina que c’étaient ses mains à lui qui la caressaient, de plus en plus intensément. Elle introduisit deux doigts dans son intimité et lâcha un râle de plaisir.

D’une main, elle jouait avec son bouton de plaisir, avec l’autre elle réalisait des vas et vient dans son vagin. Le plaisir montait. De plus en plus. Elle allait jouir… enfin !

C’est à ce moment que la porte s’ouvrit sur Romain.
Elle s’arrêta nette et le temps sembla mis en suspens. Romain était totalement surpris de la scène : Alice contre le mur, les mains dans son intimité, la jupe relevée et sa culotte en dentelle au sol. Sa collaboratrice avait le visage à la fois surpris, coupable, et la bouche encore ouverte de l’orgasme qui avait failli arriver à 2 secondes près. Romain se confondit en excuses, tout en bégayant et en sortant des toilettes. Il avait marmonné un truc du genre : « je ne te voyais plus, je me suis inquiété, je suis venu vérifier que tout allait bien ».

Alice n’arrivait pas à bouger. Trop surprise et honteuse de ce qui venait de se passer. Doucement, la porte se rouvrit, et Romain rentra dans les toilettes pour femme. Il avança doucement vers Alice. Son regard avait changé. Une lueur folle habitait ses yeux. Il se mordait la lèvre en la fixant. Arrivé à sa hauteur, il effleura son décolleté. Ses gestes étaient doux, lents, prudents. Surement attendait-il une confirmation de la jeune femme pour poursuivre plus loin ses explorations. Alice se liquéfia à son contact et perdit toute raison.

Elle posa ses lèvres dans son cou et huma son odeur. Elle agrippa ses hanches et plaqua son patron contre elle. Il n’en fallait pas plus à Romain comme invitation. Il souleva Alice et colla son sexe entre ses cuisses. Ils s’embrassaient à pleine bouche, et Romain fut surpris des prouesses d’Alice avec sa langue. Cela lui donnait envie d’en savoir plus. Il la reposa au sol, défit sa ceinture et ouvrit son pantalon. Il sortit son membre de son boxer et le présenta à sa collaboratrice. Il était beau. Il n’y avait pas d’autre adjectif pour le décrire. Alice n’eut plus qu’une obsession, l’avoir en bouche. Elle s’agenouilla et fit passer délicatement sa langue sur le sexe de Romain. Elle fit monter, descendre, rouler, tournoyer, virevolter sa langue sur le membre et le gland luisant de liquide pré séminal de Romain. Elle ne s’était jamais sentie aussi bien. Femme. Chienne. Désirable. Désirée. Puissante.
Tout en avalant son manche gonflé d’excitation, elle le regardait intensément. Un vrai regard de salope. Romain prenait un plaisir monstre, de la voir à genoux, avaler, sucer, lécher son sexe, encore et encore. Elle était douée… extrêmement douée… Par deux fois il failli éjaculer dans sa bouche, mais il réussit à se contenir. C’était trop bon, cela ne pouvait pas s’arrêter déjà. Peut-être qu’il n’y aurait pas de seconde chance. Autant profiter de cette baise de la manière la plus intense et longue possible. Il la releva, et l’embrassa à pleine bouche. Il aimait se gouter à travers elle… et il espérait qu’elle aimerait la réciproque.

Il lui enleva sa jupe, pour permettre des mouvements de jambes plus amples, et déposa Alice sur le rebord du lavabo. Elle s’adossa au miroir, et ouvrit grand ses cuisses, lui exposant sa chatte dans toute sa splendeur. Elle avait un regard qui en disait long : « à ton tour, ne me déçoit pas ». Elle semblait si sure d’elle dans cette pièce ! Romain se mit à la lécher, doucement, puis de plus en plus fort. Il plaquait sa langue en entier sur son sexe, de l’entrée de son vagin à son clitoris. Ses mouvements étaient réguliers, appuyés. Il se fiait à la respiration d’Alice, aux contractations de son sexe, à ses gémissements. Il introduisit doucement un doigt en elle, puis un autre, tout en continuant de la lécher. Bientôt un flot de cyprine se déversa sur sa langue et ses doigts.

Elle avait un goût fabuleux ! Il fallait qu’elle se goute. Il retira ses doigts et lui glissa en bouche. La coquine les lécha jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte de sa jouissance dessus.

Il lui aspirait ses belles lèvres, introduisait sa langue dans son vagin. Alice gémissait de plus en plus, ses jambes étaient prises de mouvements incontrôlés. « Baise moi » dit-elle soudain. Il n’en fallait pas plus à Romain. Il la retourna et pu ainsi observer son magnifique cul. Ses jupes serrées le laissaient deviner, mais il ne s’attendait pas à une telle merveille. Il ne put se retenir de la fesser.

Il se mordit l’intérieur de la joue en espérant ne pas avoir été trop loin, tout cela était soudain, ils ne se connaissaient pas ! Le jet de cyprine qui coula sur ses cuisses le rassura. Elle aima ça, beaucoup. Il s’amusa à jouer avec son cul d’une main, le malaxant encore et encore fermement. Avec les trois doigts de son autre main, il tapotait en rythme régulier sa chatte offerte. Alice maintenant criait de plaisir… et finit dans un orgasme explosif. Ce type d’orgasme long, intense, qui soulève votre corps comme un volcan, et vous coupe toute pensée du cerveau. Alice se sentait à la fois aveugle, et sujette à des hallucinations. Elle se sentait à la fois ivre d’adrénaline, et à la fois défaillir. Elle avait à la fois envie de stopper cet ébat trop intense, et à la fois envie de jouir encore et encore jusqu’à en tomber d’épuisement.
Il introduisit alors son sexe en elle, brutalement, profondément. Il lui attrapa les cheveux, pour relever son buste et approcher son oreille de sa bouche. « à tout moment je ralentis, ton plaisir est ma priorité ». Il ne reçut pour réponse qu’un râle de plaisir et des mouvements de hanches provocateurs de sa partenaire de jeux. Elle en réclamait encore plus. Alice ne maitrisait plus rien. Chaque centimètre carré de sa peau était en feu, chaque cellule de son corps ne pensait plus qu’à une chose « plus de plaisir ».

Alors Romain s’abandonna. Il lui saisit les hanches et la pénétra, encore, encore et encore. Alice croisa les jambes et contracta son sexe, pour rendre la pénétration plus serrée. Romain n’en revenait pas. Elle savait vraiment ce qu’elle faisait. Il allait jouir. Il accéléra encore le rythme, jusqu’à l’entendre jouir de nouveau. Alors il se retira et laissa son propre orgasme exploser. Il aspergea le cul et la chatte humide de la jeune femme de son sperme. Il le regarda avec satisfaction lui couler entre les cuisses.

Ils restèrent immobiles plusieurs minutes. Reprenant peu à peu leurs souffles et leurs esprits. Puis Romain pris du papier et essuya délicatement les cuisses, le cul et le sexe d’Alice. Ils se rhabillèrent, et partirent récupérer le dossier à l’imprimante, afin de débriefer sur les éléments à présenter au client le lendemain.

Les désirs et fantasmes étaient assouvis. La vie pouvait reprendre son cours. Comme avant. Normalement.

Jusqu’à la prochaine fois…

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