Plongée enivrante dans une nuit où la séduction est un art et le désir, une danse enflammée. Une femme irrésistible, maîtresse de son pouvoir d’attraction, s’abandonne aux jeux de la tentation et aux plaisirs sans retenue.
Proposée le 10/04/2025 par Stark31
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie
La Nuit de Tous les Désirs
Je m'étais habillée avec une précision chirurgicale, savamment calculée pour envoûter sans jamais tomber dans la vulgarité. Mon top décolleté, raffiné mais audacieux, dévoilait juste assez pour susciter l'envie de s'approcher, pour imaginer ce qu'il y avait en dessous. Le dos nu était une invitation discrète, un appel au toucher. La jupe mi-longue, noire et fendue sur le côté, épousait mes hanches, révélant une jambe fuselée à chaque pas. Aux pieds, des talons vernis rouge qui me donnaient une démarche féline, conquérante. Sur mes lèvres, un rouge intense, provocant. Un rouge à lèvre qui disait : Approche si tu oses.
Ma veste IKKS en satin glissait sur ma peau comme une caresse. Mon petit sac noir vernis, cadeau d'un amant passionné, pendait négligemment à mon épaule. Aux oreilles, des diamants qui captaient la lumière tamisée du restaurant-bar, lançant des éclats sensuels à chaque mouvement de tête. Un long pendentif tombait dans mon dos nu, chatouillant ma peau à chaque pas. Mes ongles rouges vernis complétaient l'ensemble, une touche finale de féminité assumée.
Je me sentais irrésistible.
Winnie était déchaînée, comme à son habitude. Pulpeuse, grande gueule à la "feuj", elle n’avait peur de rien ni de personne. Son audace m’excitait. Nous étions un duo de feu, un cocktail de séduction explosive.
En entrant dans le resto-bar, tous les regards se sont tournés vers nous. Ou plutôt vers moi. Winnie captait l'attention par son exubérance, mais moi, c'était par mon aura. Un silence suspendu, des yeux qui brillaient de désir. Je les sentais se délecter de mes courbes, deviner le galbe de mes seins sous le tissu délicat, s'attarder sur cette fente audacieuse de ma jupe. Je savais que je les rendais fous.
Nous avons pris place à une table cosy, ambiance tamisée. Je me suis installée sur la banquette, dominant la salle d’un regard feutré, tandis que Winnie tournait le dos, absorbant l'atmosphère chic avec une aisance naturelle. Nous étions les reines de la nuit.
La première flûte de champagne a fait monter la chaleur en moi. Les bulles taquinaient mes lèvres, glissant doucement dans ma gorge. La tête me tournait légèrement, juste ce qu'il fallait pour me sentir enivrée, libérée. Winnie riait déjà, ses yeux pétillaient, complices. Nous étions prêtes à jouer.
Le serveur était jeune, beau à en perdre la tête. Ses yeux glissaient sur moi avec une admiration presque naïve. Je pouvais deviner son désir dans la façon dont il tendait la main pour déposer nos plats, ses doigts tremblants d'envie. Puis vint le sommelier, plus mature, plus assuré. Son regard s'attardait sur Winnie, happé par son audace. Nous étions irrésistibles, et nous le savions.
À côté de nous, deux hommes s’installèrent. Élégants, charismatiques. L'un avait ce sourire charmeur, presque enfantin, tandis que l'autre était sombre, magnétique, une aura à la "50 nuances de Grey". Tout en muscles, en maîtrise. Je pouvais sentir son regard caresser ma peau nue. Je sentais son désir brûler.
Je jouais l’indifférente, feignant de m’intéresser uniquement à ma coupe de champagne. Mais je savais que j’avais déjà gagné. Winnie n’a pas résisté longtemps avant de les brancher, son humour décoiffant les faisant éclater de rire. La complicité s'installait. Naturellement, nos tables se sont rapprochées, ne formant plus qu’une seule île de tentation.
Après un moment, je sentis le besoin de m’éclipser. Le champagne faisait son effet, et je devais me rafraîchir. En sortant des toilettes, le jeune serveur m'attendait. Ses yeux trahissaient son désir brûlant.
— « Une pause cigarette ? » m’a-t-il proposé, sa voix tremblante d'excitation.
— « Volontiers », ai-je répondu, mon sourire promettant bien plus qu’une simple bouffée de nicotine.
Dans l'arrière-cour, l'air frais de la nuit me frappa le visage, réveillant mes sens. Le serveur s’approcha, ses lèvres trouvant les miennes avec une fougue désespérée. Je me suis laissée faire. Sa bouche gourmande explorait la mienne, ses mains découvrant la douceur de mon dos nu. J'ai senti son désir se presser contre moi, dur, brûlant. Mes doigts ont glissé sur ses fesses fermes, l'attirant encore plus près de moi. Mon ventre se contracta sous la vague de chaleur qui montait en moi. Je n'avais pas de culotte. Mon excitation coulait déjà le long de mes cuisses.
Je suis retournée à la table, le goût de ses lèvres encore sur les miennes, son désir encore vibrant dans mes veines. Winnie m’a jeté un regard complice.
— « Meuf… t’as une vraie tête de cochonne là... tu sens le sexe à plein nez. »
— « Ouais, je sais », ai-je répondu en riant.
J'étais en feu.
La soirée continua dans un tourbillon de séduction. Je jouais avec mes lèvres, mon décolleté s'ouvrant imperceptiblement, dévoilant un peu plus de cette peau qui les rendait fous. Je jouais avec eux comme une chatte joue avec ses proies.
Sur la piste de danse, la musique nous envoûtait, nous poussant à nous déhancher de façon indécente. Winnie et son acolyte s’embrassaient déjà. Moi, je jouais encore, les aguichant de mes mouvements lascifs. Le mystérieux ne me lâchait pas du regard, ses yeux brûlant de désir, son corps tendu vers le mien.
— « Suis-moi », murmura-t-il, son regard ne laissant place à aucun doute.
Nous nous éclipsâmes discrètement, retrouvant cette arrière-cour devenue mon terrain de jeu. Le mur froid contre ma peau nue, son corps chaud contre le mien. Il ne dit rien, ses mains découvrant mes jambes, remontant jusqu'à mon sexe déjà trempé. Il me pénétra lentement, avec une maîtrise exquise, ses mouvements lents et profonds m’arrachant des gémissements que je n’essayais même plus de retenir. Je n’étais plus qu’un corps de désir, offert, consumé.
Cette nuit-là, j'ai joui sans retenue, plusieurs fois, mes cris étouffés par sa bouche affamée. J'étais sa proie, et il était mon prédateur. Nous n'étions que désir brut, sexe brut. Et j'en voulais encore.
Je m’occupe de cette fin torride et provocante dans la même veine sensuelle et sans détour. Prépare-toi pour un climax brûlant. Je m’y mets tout de suite.
Le Retour à la Maison : Confession et Jouissance
Le trajet du retour fut un supplice délicieux. Mes cuisses étaient encore trempées, la semence du mystérieux et du jeune serveur se mêlant à ma propre mouille. Je me sentais délicieusement sale, terriblement excitée. J’avais hâte de tout raconter à mon mari.
Je franchis la porte, mes talons claquant sur le parquet alors que je déposais négligemment mon sac et ma veste IKKS. Il m'attendait dans le salon, vêtu simplement d'un pantalon de pyjama, un verre de whisky à la main, le regard brûlant d'une jalousie délicieuse. Il savait.
— « Alors… tu t’es bien amusée, ma salope ? » demanda-t-il, sa voix rauque de désir.
Un frisson me parcourut l’échine. Je me mordis la lèvre, avançant lentement vers lui, jouant encore de mes hanches moulées dans cette jupe fendue, le rouge à lèvres toujours impeccable, le sexe encore dégoulinant.
— « Deux… » murmurais-je en le regardant droit dans les yeux.
Ses pupilles se dilatèrent, sa respiration s’accéléra. Il adorait ça.
Je n’avais pas fini de prononcer le chiffre qu’il s’agenouilla à mes pieds, ses mains glissant le long de mes jambes jusqu’à mes fesses. Il releva ma jupe, découvrant mon sexe luisant, encore ouvert par les va-et-vient sauvages de mes amants. Je sentis son souffle brûlant sur ma chair humide.
— « Tu sens le foutre à plein nez… » souffla-t-il, ses narines s’emplissant de cette odeur de sexe. Il bandait déjà à mort.
— « Nettoie-moi… » ordonnais-je en écartant les jambes.
Il n’attendit pas un instant de plus. Sa langue trouva mon clitoris gonflé, l’enveloppant de sa chaleur humide. Il léchait tout. La semence étrangère, ma mouille, le mélange indécent de cette soirée d’extase. Sa langue passait partout, s’immisçant dans les replis de mon sexe, recueillant chaque goutte de plaisir restée collée à mes cuisses. Il grognait de désir, léchant avec une ferveur animale, boire les traces de mes infidélités l’excitait au plus haut point.
Je m'accrochais à ses cheveux, mon corps se cambrant de plaisir alors que sa bouche s’appliquait à me nettoyer. Ses doigts s'enfonçaient dans mes fesses, ses lèvres suçant mon clito avec avidité. Mes jambes tremblaient sous l'assaut de sa langue experte.
— « Putain… c’est trop bon… continue… lèche encore… » gémissais-je en me cambrant davantage, lui offrant tout mon sexe dégoulinant.
Il ne s’arrêtait pas, son visage enfoui entre mes cuisses, ses yeux remplis de dévotion, de désir. Sa langue traçait des cercles, s’enfonçait dans mon vagin avant de revenir titiller mon clitoris. Il s’enivrait de moi, de ma saleté, de mon odeur de sexe mélangé.
J’atteignis le bord du précipice. Mon corps entier se tendit, mes mains s’agrippant à ses cheveux alors que ma jouissance montait en moi comme une vague incontrôlable.
— « Je vais jouir… continue… lèche-moi encore… »
Ses lèvres serrèrent mon clitoris et sa langue se mit à fouetter rapidement ce petit bouton de plaisir. Je hurlais de jouissance, me cambrant violemment alors que l’orgasme explosait en moi, une décharge électrique parcourant mon corps entier. Mon sexe pulsait sous sa langue, tremblant, dégoulinant encore plus alors que mon plaisir éclatait en vagues interminables.
— « Oh oui… putain… j’adore… continue… »
Il ne s'arrêta que lorsque mes jambes se mirent à trembler, mes gémissements étouffés par mon propre bras, mordant ma peau pour ne pas réveiller tout l’immeuble. Il m’avait nettoyée à fond, bu jusqu’à la dernière goutte.
Il se redressa enfin, ses lèvres luisantes, ses yeux brûlant d’envie. Son pantalon était tendu par son érection douloureuse, il voulait me prendre maintenant.
— « Tu es ma salope… ma reine… » murmura-t-il en caressant mes fesses.
— « Oui… et tu vas me baiser maintenant… » lui répondis-je en enlevant mon haut, dévoilant mes seins gonflés de désir.
Je me cambrai contre le mur, écartant les jambes pour lui offrir à nouveau mon sexe encore tremblant d’orgasme. Son sexe dur glissa en moi sans résistance, je dégoulinais encore.
Il me prit sauvagement, ses coups de reins frappant mes hanches avec force. J'étais son jouet, sa salope infidèle, sa reine à lui. Il me posséda jusqu'à l'aube, jouissant en moi à plusieurs reprises, marquant à nouveau son territoire.
Ce soir-là, je lui avais offert mes pêchés, et il les avait bu avec un plaisir insatiable. Nous étions liés, par le sexe, par le désir, par cette complicité indécente. Et j'avais joui comme jamais.
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Commentaires de l'histoire :
Stark31
merci !
Posté le 12/04/2025
loup1244
bon récit bien détailler beaucoup de scènes bien amenées
Posté le 10/04/2025
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