Ma doctoresse est une spécialiste !

Tandis qu'elle m'examine le ventre, Véronique notre médecin généraliste, va me redonner toute la vigueur que je croyais perdue alors que ma femme se trouve juste à côté et ne se doute de rien !

Proposée le 21/03/2025 par sorggulp

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Bonne année docteur !" Lancais-je en claquant exceptionnellement la bise à notre chère docteur puisqu'il s'agissait d'une doctoresse. A l'occasion de ces vœu je me demandait Depuis combien nous étions patients chez Véronique ? Plus d'une vingtaine d'année, pensais je l'observant discrètement prendre place dernière son bureau. Malgré son âge, elle gardait un charme discret certainement lié a son assurance dans la vie.
Vous avez de la chance, j'ai pris toutes mes dispositions pour vous dit-elle en me souriant.
Chemisier laissant deviner un soutien-gorge de fine dentelle blanche, jupe classique assez ample descendant sous les genoux, chaussures noires, jambes gainées de collants/bas noirs, Véronique était de celles qui passaient dans un premier temps inaperçue mais qui ne laissaient rien au hasard.
Ses formes généreuses ne devaient laisser aucun homme indifférent et j'en faisais bien sûr partie.
Nous pouvions aborder tous les sujets tambours battants. Véronique avait toujours un avis très précis. J'aimais beaucoup discuter avec elle.
Pourquoi étais-je là en cette fin d'après-midi ?
Je m'étais plaint là semaine précédente de douleurs au ventre . Ma femme ayant déjà pris rendez-vous sur Doctolib pour une visite de routine me proposait de m'accompagner afin d'avoir l'avis de notre médecin généraliste.
Elle lui envoyait un mail pour la prévenir de ma présence.
C'est ainsi que nous nous retrouvions tous les trois dans l'officine de Véronique.
Un air de jazz créait une ambiance feutrée dans celle-ci.
Elle demanda à ma femme d'aller s'installer sur la table d'auscultation qui était dissimulée derrière un paravent en tissus. Je suivais du regard la doctoresse suivre ma femme. Sa jupe moulante mettaient parfaitement en valeur son généreux fessiers. Je ne pouvais résister à la déshabiller mentalement l'imaginant sans jupe. Un vrai bonheur pour tout homme normalement constitué !

Prise de tension, commentaire sur les derniers résultats d'analyse de sang. Rien à signaler pour ma femme.
C'était a mon tour .
Je passais à mon tour derrière le paravent.
"Vous avez mal au ventre de façon permanente ou par moment ? Me demandait elle alors que j'étais assis sur la table et qu'elle me demandait de relever la manche de ma chemise
On va commencer par vérifier votre tension " me dit Véronique en prenant mon bras droit pour le coincer entre son coude et sa hanche.
Tandis qu'elle pressait la poire, je sentais la chaleur de son corps se propager sur ma main. J'ouvrais celle-ci pour pour la poser complètement sur sa hanche. Véronique ne bronchait pas, regardant le petit écran de tension.
" je vais recommencer une nouvelle fois pour être sûre " dit-elle .
J'avais envie de jouer et caressais discrètement sa hanche . Pas de réaction.
" ça va le travail ?" Me demanda-t-elle en m'annonçant dans la foulée "13.8, votre tension est parfaite !
Tandis qu'elle libérait mon bras je laissais ma main glisser "involontairement "sur sa fesse . Véronique me lançait un regard complice alors que ma femme était plongée sur son téléphone portable.
"Coquin !" Me murmura t elle me faisant un clin d'œil.
"Bon ! Déshabillez vous et allongez vous sur la table que j ausculte ce ventre " me dit-elle en se plaçant sur le côté de la table d'auscultation.
Je m'exécutais, retirant ma chemise et ouvrant par la même occasion largement mon pantalon afin d'offrir mon bas-ventre au regard de Véronique. Elle ne semblait pas du tout étonnée de me voir ainsi alors que ce n'était absolument pas nécessaire.
Au contraire elle reluqua mon bas-ventre sans chercher à faire semblant.
Elle pressa du bout des doigts mon ventre a plusieurs endroits demandant à chaque fois si c'était douloureux.
Je sentais la chaleur de ses doigts parcourir mon ventre. Elle ne pouvait pas ignorer l'épilation intégrale de mon bas-ventre. Seule une petite bande de poils noir genre ticket de métro dépassait de mon slip. Je trouvais la situation de plus en plus excitante. Elle semblait perdue dans ses pensées en observant sa main glisser sur mon ventre. Elle me lança un regard gourmand. ses doigts effleuraient de plus en plus souvent le rebord de mon slip s'attardant sur le petit buisson de poils qu'elle tortillait délicatement du bout des doigts. La chaleur de ceux-ci me faisait frissonner de plaisir. L'air était de plus en plus chaud.
Tandis qu'elle continuais son examen, ma femme , toujours absorbée par une vidéo musicale sur son écran de téléphone balança :
Et si tu en profitais pour parler au docteur de tes problèmes d'érection ? "
Il était vrai que la routine avait sérieusement diminué mes envies avec ma femme depuis quelques temps.
Au moment où elle disait cela Véronique me fixait dans les yeux en posant sa main sur mon slip qui avait déjà pris pas mal de volume.

Et là ça fait mal ? Me demanda t elle en caressant mes couilles.
Je bredouillais un non en regardant la doctoresse d'un air effaré. Elle me fixait d'un air qui en disait long sur la suite. J'hallucinais tandis qu'elle expliquait à voix haute pour que ma femme entende les raisons pour lesquelles je pouvais rencontrer des problèmes d'érection

Parfois il suffit de sortir de la routine pour retrouver une bonne érection dit-elle alors qu'elle me caressait la queue au travers mon slip devenu soudainement trop petit.
Véronique cajola un instant le gland sorti du slip.
Ses doigts passaient sous l'élastique pour venir s'enrouler autour de ma queue.
De son autre main libre elle baissa mon slip.
Tout alla ensuite très vite.
Elle se passait la langue sur les lèvres tout en décalottant le gland turgescent. Je bandais comme un âne.
je plaquais ma main sur son cul pour ensuite la laisser glisser sur la cuisse. Arrivé au rebord de la jupe, je remontais ma main sous celle-ci, appréciant le galbe généreux de sa cuisse gainée de satin. Il fallait y aller très discrètement car le moindre bruit pourrait être fâcheux de conséquence
Je découvrais qu'elle portait des bas. Je caressais quelques instants là cuisse dénudée puis remontait encore.
Mes doigts se posaient sur sa culotte satinée. Ils glissaient sur sa vulve déjà gonflée d'excitation
Véronique écartait les jambes pour faciliter l'accès a son entrejambe.
Je tentais de passer sous la culotte. Véronique m'aidait a retirant prestement celle-ci. Elle me plaqua sa culotte en boule sur la bouche. Son odeur de femelle me rendit fou instantanément. Je caressais sa toison soyeuse quelques instants. Sa chatte était d'une douceur envoûtante. Véronique se tourna légèrement pour me faciliter l'accès a sa chatte. Mon majeur entra sans difficulté dans son fourreau soyeux . Véronique poussa un râle étouffé de plaisir. Heureusement, la musique couvrait nos ébats. Je triturais son clito qui n'attendais que ça. Un 2eme puis un 3eme doigts suivirent. Tout le corps de Véronique frissonnait sous mes doigts.
Véronique continuait malgré tout à parler à ma femme qui écoutait d'une oreille distraite sans quitter son téléphone des yeux.
Vous dormez bien ? Dit Véronique suffisamment fort pour que ma femme entende) en me branlant de plus en plus énergiquement.
Ah oui répondit elle. D'ailleurs il trouve toujours ce prétexte pour ne pas faire de câlin. Je trouve que mon mari n'a plus la forme d' avant balança t elle sans lever les yeux de son téléphone.
Je me ratatinais tandis que Véronique me regardait d'un air interrogateur.
C'est tout le temps ou ça va mieux pendant.t les vacances ? Demanda t-elle en observant ma queue coulisser dans sa main. Mes doigts s'activaient de plus en plus vite dans sa chatte détrempée. Je sentais son corps vibrer.
C'est mieux pendant les vacances répondit ma femme.


Il faut vous reposer un peu mon cher dit Véronique en me branlant de plus belle.
Je n'allais pas tenir longtemps à ce rythme
Sinon il y'a la petite pilule bleue me souffla elle en me faisant un sourire moqueur
Et ces tâches de rousseur vous les faites surveiller ? Demanda-t-elle en se penchant sur moi pour mieux les observer
Ma femme répondit une fois de plus à ma place .
Oui tous les ans
Sans même attendre sa réponse Véronique avait englouti ma queue jusqu'à la garde dans sa bouche tout en plaquant plus fort sa culotte sur la mienne. je suffoquais à la fin de plaisir et par manque d'air. L'odeur de sa culotte décuplait mon plaisir.
Je devenais fou en pensant à ma femme qui se trouvait juste derrière le paravent ! Véronique posa un pied sur une traverse de la table pour mieux sentir mes doigts fouiller sa chatte inondée de cyprine.
Je sentis les contractions de son vagin sur mes doigts. Elle tremblait de tout don corps puis étouffa un cri sans pour arrêter de me sucer. Pour couronner le tout, je jouissais au même moment.
Elle avala ma semence jusqu'à la dernière goutte sans faire un seul bruit.
La scène était surréaliste.
Je retirais mes doigts tout poisseux de sa chatte . Véronique les prit dans sa bouche et les lécha consciencieusement en me fixant dans les yeux.
Tout était allé très vite. J'avais l'impression d'avoir rêvé mais une goutte de sperme coulait sur le menton de Véronique.
Je le lui faisais remarquer silencieusement.
Elle ramena la goutte vers sa bouche et se lécha les lèvres en me regardant.
Elle essuya sa chatte avec sa culotte et la fourra dans la poché de mon pantalon puis
Elle remit de l'ordre dans sa tenue.

Vous pouvez vous rhabiller mon cher dit-elle en se dirigeant vers le bureau.
Rassurez vous il n'y a rien de grave . Ces douleurs vont disparaître dans quelques jours. Je vais tout de même vous prescrire un scanner abdominal. Revenez me voir des que vous avez les résultats.
Quant aux problèmes d'érection je pense que c'est lié au travail et à la fatigue accumulée . Essayez aussi d'apporter un peu de piment à votre relation sexuelle ça peut aussi fonctionner mais je ne suis pas une spécialiste en la matière dit-elle d'un air détaché.
Ma femme écoutait ses propos d'un air indifférent.
Je glissais discrètement une main dans ma poche. Je trouvais la boule de tissus à l'intérieur.
Véronique me fixait un rdv pour des examens plus "approfondis".

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