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Gare routière

Ils se connaissent depuis plusieurs années, collègues, voisins et amis. Il n'a pas osé penser qu'elle puisse être intéressée par lui. Pourtant un jour, tout bascule autour d'un voyage et d'une gare routière.

Proposée le 11/03/2025 par jerome james b

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Ascenseur
Type: Fantasme


GARE ROUTIERE

Je me suis garé sur le grand parking. 22 heures. La nuit était là. Les gens étaient, pour la plupart, chez eux, sauf pour quelques personnes qui se baladaient, sortaient le chien, prenaient l'air avant d'aller se coucher.
Moi j'étais là pour une autre raison. A côté du grand parking, quasiment vide, sur lequel j'étais garé, il y avait le long ruban d'une gare routière. Plusieurs cages de verre, trois arrêts.
A 22 heures 13, un bus arrivait de M..., qui avait pris des passagers en bout d'une ligne de train.
J'ai attrapé mon téléphone et re-regardé les photos qu'elle m'avait envoyées.
Je m'attendais à tout sauf à ça.
Elle venait de passer deux semaines en Bretagne, et je l'avais déposée à la gare routière deux semaines plus tôt.
Elizabeth et moi on se connaissait depuis cinq ans maintenant. On avait travaillé ensemble comme conseillers à une agence de formation régionale pendant deux ans. On était un dizaine et j'avais sympathisé avec elle plus qu'avec d'autres. C'était une fille simple, pas du tout maniérée, intelligente, qui abordait les choses avec beaucoup de logique et d’honnêteté. Quelqu'un qui avait énormément de valeur.
On avait découvert un jour qu'elle et moi nous habitions dans le même quartier, en se croisant à l'épicerie. Elle m'avait proposé de l'accompagner chez elle pour boire un café, une fois nos courses finies, me faisant découvrir un bel appartement dans un immeuble rénové, et j'en avais fait de même deux ou trois semaines plus tard.
J'avais quitté l'agence pour un poste intéressant au Conseil Départemental, mais on était toujours en contact. Ca s'était fait comme ça...On s'entendait bien, simplement, elle et moi, on s'appelait, on se voyait, on faisait des sorties ensemble, on se rendait aussi des services.
Je crois qu'on ne se posait pas de questions, ou plutôt qu'on avait fait le choix de ne pas s'en poser concernant la nature réelle de nos relations. On profitait de cette entente entre nous, plutôt rare, simplement.
Difficile pourtant d'oublier que, et à quel point Elizabeth était une fille splendide. Elle était très grande, avec des formes voluptueuses, des seins, des hanches, des fesses, difficile de ne pas s'en rendre compte, d'autant qu'elle portait toujours des tenues très serrées, ou révélatrices. Elle avait un très joli visage, des traits fins, visage encadré par de magnifiques cheveux roux, longs, épais et soyeux.
Il y avait d'ailleurs des moments qui ne manquaient pas de me rappeler qu'elle était une femme.
Une fois par exemple où j'étais passé la chercher pour aller au théâtre. La porte de son appartement n'était pas fermée. J'avais hésité, et puis je l'avais poussée.
Une fois dans le living, j'avais entendu de petits gémissements. J'avais naïvement cru qu'elle pleurait. Par instinct, je m'étais redressé, et j'avais avancé jusqu'à la pièce dont les gémissements semblaient venir. La porte était entrouverte. C'était sa chambre à coucher.
Allongée sur le lit, elle se masturbait. Comme on devait sortir, elle se préparait d'évidence. Avait-elle eu une envie soudaine de se masturber? S'était-elle dit qu'elle avait du temps, et qu'elle pouvait se donner du plaisir? Elle portait un haut, en l'occurence un sweat-shirt, j'avais regretté que ce soit le cas, car il masquait une poitrine dont j'aimais les formes, et que j'aurais apprécié de voir nue. Le bas par contre était totalement exposé, et j'avais un aperçu impeccable de ses jambes et de son ventre. Bon ses jambes, je les avais déjà vues quand elle portait robe ou jupe. Je ne pouvais pas en dire autant de son intimité. Un sexe de fille, orné d'un triangle roux qui confirmait, si on pouvait en douter, qu'elle était bien rousse, un triangle roux soyeux, épais, taillé juste ce qu'il fallait, ouvert d'excitation sur des muqueuses toutes roses, et cette main qui tournait sur elle, dans un mouvement circulaire, sur ses chairs, frottant ses lèvres et un gland clitoridien que, même d'ici, je voyais tout décalotté. Elle se donnait du plaisir, et quand j'étais arrivé, elle était proche de l'orgasme. Elle s'est tendue, elle a crié, il y a eu des jets de liquide qui sont sortis d'elle...Et je me suis vite éclipsé. Je suis ressorti dans le couloir, j'ai attendu deux, trois minutes, pour taper à la porte. Elle est venue m'ouvrir. Elle portait un caleçon noir moulant, celui qui était posé sur le lit, avec une petite culotte blanche à côté, et qu'elle avait passé.
En y réfléchissant bien, d'ailleurs, c'était à partir de ce moment que je l'avais aperçue de plus en plus à poil, ou alors je n'avais pas su voir avant sa nudité. Un sein qui sortait d'un décolleté, une jupe qui se redressait alors qu'elle cherchait un papier, pliée en deux au dessus d'une table, dévoilant qu'elle portait un collant et pas de slip dessous, un collant dont le lycra laissait voir deux fesses bien rondes et le renflement de sa vulve, entre ses cuisses.
Et donc, il y avait eu ce moment où elle m'avait demandé si, sa voiture en réparation, je pouvais la déposer à la gare routière. J'avais dit oui.
J'étais passé la chercher sur le coup de 11 heures 30. Le bus était à midi pile. Elle s'était habillée pour le voyage, mais même ainsi, elle était ultra-sexy. Pantalon noir moulant, blouson de cuir sous lequel elle avait un bustier décolleté qui laissait la moitié de ses seins bien ronds et bien charnus à nu. Elle resplendissait. Comme toujours.
— Tu viens me récupérer dans deux semaines?
— Si je suis libre, oui.
— Je rentre sur le coup de 22 heures.
— Alors, sans problème. Tu peux compter sur moi.
— Je le sais que je peux compter sur toi.
Il y avait eu quelque chose de lourd dans son regard auquel je n'avais pas su donner de sens. Et puis elle était descendue de voiture et elle s'était éloignée.
Pendant ces quinze jours, elle m'a envoyé plein de SMS vraiment sympas. Des photos de la Bretagne...Des lieux magnifiques...
Et puis ce dernier jour, à partir de 11 heures, le basculement.
Un message:
Tu fais énormément pour moi, depuis des années...Pendant ce séjour, j'ai AUSSI pris des photos intimes. Je te les balance heure après heure, comme un compte à rebours en attendant mon retour et nos retrouvailles. Profites-en bien. C'est ma manière de te dire merci.
Elle avait commencé par une salve de 5 photos. J'en avais pris plein les mirettes...Et j'avais été vraiment surpris. Je ne voyais pas Elizabeth aussi...Sexuée...Aussi capable de provocation.
La première, un selfie, était vraiment soft par rapport au reste. Elle me dédiait un baiser, ou elle dédiait un baiser à la caméra.
Sur la deuxième, elle avait baissé son corsage, quel qu’il soit, et m'offrait la première vision de ses seins nus. J'ai pensé enfin... Ils étaient ce que leurs formes promettaient sous les tissus. Charnus, bien fermes, avec de belles aréoles roses, et des tétons durs.
Sur les photos suivantes, elle portait une jolie robe bleue pale qu'elle avait retroussée.
Pour la troisième, elle était apparemment à quatre pattes, sur un divan, elle avait relevé la robe et photographié ses fesses, un plan serré, et un plan plus large qui laissait aussi voir ses cuisses et son sexe entre ses cuisses.
Les deux derniers clichés laissaient voir Elizabeth assise dans un fauteuil. Elle avait du poser la caméra sur un trépied. Sur le premier elle était entièrement enveloppée par la robe, sur le second, elle avait retroussé la robe jusqu'à son nombril, et son sexe, une fente dont sortaient deux bouts de lèvre était visible et offert.
J'ai eu la seconde salve une heure plus tard. Le premier cliché, c'était une continuation de la photo précédente, elle était seins nus, et elle remontait un sein, en léchant le téton. Sur l'autre, elle avait remonté une jambe, sur le côté, et glissé ses deux index dans son sexe pour l'ouvrir et laisser voir son intérieur.
Tu vois que je peux faire preuve d'audace, disait le commentaire.
C'était effectivement le cas. Sur ces photos-là, elle était quasi totalement nue, avec juste une paire de bas et des escarpins à talons aiguille. L'occasion de la découvrir ou redécouvrir sous tous ses angles.
Elle avait à la main un gros gode blanc, qui représentait, imitation réaliste, moulage peut-être comme ça se faisait à une époque, une queue bien épaisse, également pourvue d'une grosse paire de couilles.
Le gode prenait pour ainsi dire vie sur les clichés suivants, dans des positions plus troublantes les unes que les autres. Entré dans sa bouche, entre ses seins qu'elle refermait sur lui, avant qu'on glisse sur nettement plus audacieux. Très audacieux même. Le gode avait un socle adhésif qui permettait de le fixer, sur le sol, ou contre un mur. Elle avait fait une série de clichés dans chaque position et elle m'en balançait toutes les demi-heures, prélude à nos retrouvailles. Accroupie, au-dessus de gode. Celui-ci appuyé contre ses lèvres, sur le premier cliché, quelques centimètres avalés sur le second, la moitié, et enfin quasi totalement en elle. Troublant. Quoi qu'il se passe entre nous, ces clichés, j'allais soigneusement les garder. Je me branlerais cent fois en les regardant, sans jamais me lasser.
Sur la dernière série, la plus excitante pour moi, parce que je ne l'aurais même pas imaginée, elle avait collé le gode contre un mur, et elle s'était mise à quatre pattes, dans cette position qui fait tellement fantasmer les hommes. Et elle avait construit une série, une story, où le gode, d'abord loin d'elle, venait effleurer ses lèvres, et rentrait en elle. Visage tourné vers la caméra, avec un plaisir feint ou réel.
Le dernier cliché était arrivé à 15 heures 30, avec un message
Avec un gode, il y a du plaisir. Mais rien ne vaut une vraie queue, bien dure et bien chaude pour se faire fouiller.
Tout était dit.
Je suis revenu en arrière. Repassant les trois ans de notre relation. J'avais toujours été convaincu qu'Elizabeth ne souhaitait rien d'autre qu'une relation amicale. Elle m'avait dit une fois: 'Le problème c'est que le sexe parasite tôt ou tard une relation entre homme et femme qu'on voudrait pure. Mon rêve c'est une simple amitié, sans aucune pensée parasite.'
Pour moi ces paroles avaient valeur de profession de foi. Ou alors avait-elle évolué depuis...Difficile de savoir ce que les autres pensent...
Je m'étais toujours efforcé de chasser ces pensées qui avaient à voir avec le désir...
Et là, je me trouvais au pied du mur.
Avec deux options. Soit Elizabeth voulait me faire marcher, soit elle était franche et elle avait le souhait qu'on aille plus loin.
Tout ce que j'avais pu refouler comme envies remontait en moi. Ces nombreux moments de désir que j'avais pu repousser.
Quelque chose allait-il se passer entre nous? Ou bien resterions-nous simplement amis? En tout cas, ses messages n'allaient pas dans ce sens...
Bah, j'étais fataliste...Se passerait ce qui devait se passer.
Et donc, j'étais dans la voiture, sur le parking, sur le coup de 22 heures. Dans mon axe de vue, un parc, la rue et un peu plus loin un rond point et une amorce sur trois autres rues, des immeubles sur ma droite, masquant la gare, et sur ma gauche, une rue de pavillons, avec au milieu un restaurant pas encore fermé, avec une annonce de néon rouge.
Et juste derrière moi la gare routière avec trois bus. Là où elle devait arriver d'ici quelques minutes.
J'étais ressorti après être rentré chez moi en début de soirée, et j'avais gardé le survêtement que j'avais passé, avec en plus un pull par dessus. J'avais une énorme érection, à la fois en repensant aux images de la journée ou à d'autres images capturées auparavant, et je me suis dit que j'aurais du mettre un pantalon qui aurait mieux contenu la chose...Ou pas...Il me resterait comme ressource vraiment partielle de descendre bien bas mon pull. De toute façon, devais-je avoir honte de mon érection, alors qu'elle m'avait envoyé des photos où elle s'offrait d'une manière vraiment absolue...
22 heures 06...Je suis descendu de la voiture et je suis parti vers la gare routière...Avec en moi un mélange d'envie et de tension...Je redoutais que nos retrouvailles se passent mal.
Le bus était apparemment en avance. Je venais de me poser près de la cage de verre quand j'ai aperçu le bus qui tournait et arrivait vers moi.
L'intérieur était éclairé et je l'ai aperçue. Elle s'est dressée et a avancé vers la sortie. Elle avait un sac de voyage et elle était toujours aussi belle. Un blouson de cuir ouvert sur un T-shirt noir, tendu par sa poitrine lourde, un caleçon noir très serré soulignant ses hanches, ses cuisses, un dessin impeccable. Le caleçon était pris juste après le genou par des bottes rouges luisantes à talons aiguille.
Ma verge qui avait perdu quelques centimètres s'est redressée pour se coller contre mon ventre, gorgée de sang, dure jusqu'à en être douloureuse.
Elle a descendu les trois marches et s'est retrouvée sur l'asphalte, à mon niveau.
Elle m'a fait un immense sourire. Et s'est penchée vers moi.
Pour un message sans ambiguïté, sa bouche est venue chercher la mienne, nos lèvres se sont effleurées, pour un baiser long, puis elle a glissé sa langue à l'intérieur, à la recherche de la mienne, pour la frotter. J'ai répondu à sa caresse et on a prolongé notre baiser.
Quand elle a enfin reculé son visage, elle m'a dit:
— J'avais envie qu'on aille plus loin depuis trop longtemps...Je me suis dit que ça ne pouvait pas durer...Je voulais te montrer que je suis une femme...
— Ca, tu as bien réussi. Allez viens, on y va.
Le bus est reparti et on a traversé pour aller en direction de ma voiture. Elle a posé son sac à l'arrière, s'est glissée à l'intérieur. Je me suis mis au volant. Elle ne m'a pas laissé le temps de démarrer. Sa main, chaude, non, brûlante, est venue soulever mon pull et s'est collée contre ma queue.
— Ben dis donc, je vois que tu as envie.
Et elle s'est mise à me caresser à travers le tissu...C'était...Très bon...D'autant plus que je l'avais longtemps attendu...Je me suis mis à gémir...Elle caressait bien. Mais j'étais bien convaincu qu'elle faisait tout très bien sur le plan du sexe.
— Tu crois pas que...
— On peut commencer ici, elle a répondu en tirant sur mon pantalon de survêtement puis mon caleçon pour mettre ma queue à nu...Tu as une belle queue, et j'ai envie d'en profiter. J'ai trop attendu...Ca fait vraiment trop longtemps que j'ai envie.
Et elle s'est mise à caresser ma queue de sa langue, qui, souple, habile et rapide, a tourné sur moi. Elle a commencé par mon gland, tournant dessus, une partie sensible. Du liquide, gras et épais, s'est mis à couler de mon méat, qu'elle a lapé, descendant le long de ma tige, venant effleurer mes couilles, mais remontant régulièrement pour laper ce jaillissement régulier.
Elle s'est finalement dégagée, remontant mon caleçon et mon pantalon.
— Viens, on va chez moi. On pourra aller plus loin, et ce sera plus confortable.
Le temps que j'attrape ma clef de voiture, elle s'est laissée aller dans son siège, puis soulevée pour faire descendre le caleçon jusqu'à ses genoux. Dessous, elle n'avait pas le moindre soupçon de petite culotte, et j'ai pu admirer ce sexe déjà aperçu à plusieurs reprises autrefois, et dans la journée sur les clichés. Lèvres sorties, toutes gonflées, chairs luisantes de ses liquides intimes qui coulaient d'elle, sexe entrouvert sur une muqueuse offerte.
— Regarde bien, je t'offre mon sexe. Tout mon corps aussi, d'ailleurs.
Elle habitait un peu plus loin, un bel appartement en centre ville, lumineux. Le temps du trajet, j'ai eu un œil sur la route, un autre sur elle, qui se masturbait de bon cœur, heureuse de s'exhiber et excitée en pensant au plaisir qu'elle allait avoir une fois qu'on serait chez elle. C'était ce genre de moment où on est totalement tendu dans et vers un moment de sexe dont on a rêvé, qu'on a espéré et qui vient enfin.
Un immeuble de cinq étages, avec trois appartements par étage, et un ascenseur. Elle s'est reculottée pour faire les quelques pas qui nous ont amenés à l'entrée de l'immeuble, puis à l'ascenseur. On est parti dans celui-ci, qu'elle a bloqué alors qu'on commençait à monter.
— J'ai toujours eu envie de me faire baiser dans un ascenseur...C'est le moment de voir si c'est agréable...
— Si une vieille veut le prendre pour descendre balader son chien...
— Elle prendra l'escalier, ne t'en fais pas...
Elle a glissé sa main dans son sac à main et en a retiré un préservatif dans son emballage d'aluminium. Du sexe pendant ses vacances ou alors se baladait-elle en permanence avec des préservatifs sur elle? Il y avait pas mal de questions que je pouvais me poser la concernant, que je ne m'étais pas posées, que j'aurais du me poser, et que je pourrais continuer à me poser...
Elle est tombée à genoux devant moi, m'a mis de nouveau à nu, a soupiré:
— Oh mon Dieu, que tu as une belle queue! Mais pourquoi on n'a pas baisé plus tôt? Enfin, on va rattraper le temps perdu.
Elle a déchiré l'emballage du préservatif pour en sortir la rondelle de latex qu'elle a posé sur mon gland dilaté, avant de faire glisser celle-ci le long de ma queue. Le plastique s'est arrêté quasiment à la racine de ma queue.
Elle s'est reculée contre la paroi de l'ascenseur, a descendu son caleçon, m'offrant sa nudité que j'ai prise de plein fouet. Il me faudrait du temps avant d'être blasé. Elle a levé sa jambe gauche et l'a amenée sur le côté pour s'ouvrir mieux et me permettre de la pénétrer, se faisant plus béante encore qu'elle ne l'était à cause de son excitation. Je me suis approché. Nos bouches se sont accrochées pour ne plus se lâcher, pendant qu'elle attrapait ma queue et la guidait vers sa vulve. Nos sexes ont fait contact, elle m'a mis en elle, et je n'ai plus eu qu'à pousser pour remplir la gaine chaude, brûlante même, dont l'enveloppement m'a mis dans tous mes états, tout comme l'a mis dans tous ses états de sentir ma queue la remplir et la caresser.
On s'est bouffés la bouche, pendant que je faisais aller et venir ma queue dans la gaine de son sexe.
On était coupés de tout dans cette cage d'ascenseur. Ensemble et à la recherche du plaisir.
— Je crois que je suis entrain de jouir!!!
Au cas où j'en aurais douté, deux secondes plus tard elle a poussé des cris, en même temps qu'elle crachait des jets copieux de liquide autour de ma queue.
En contractant ses muscles vaginaux, elle a éjecté ma queue d'elle. Le latex était couvert de ses sécrétions, et ma queue, à force de caresses et d'excitation, s'était encore plus dilatée.
— Viens, j'ai envie que tu me baises à la maison maintenant.
Elle a remonté mon pantalon. La queue encore enveloppée de latex, mais elle allait resservir bientôt, je l'ai laissée redémarrer l'ascenseur. Un court trajet pour arriver jusqu'à l'appart.
On avait envie l'un comme l'autre, et on n'aurait trouvé de l'apaisement que quand cette envie serait enfin satisfaite, au moins provisoirement. D'autant plus envie, sans doute, qu'elle attendait quelque chose qui ne venait pas, et que moi j'avais refoulé une envie de l'autre que je pensais impossible à explorer.
Cet appartement, que je connaissais si bien, prenait une tout autre dimension, et il a pris une autre dimension quand elle a carrément enlevé son caleçon, et nue à partir de la taille, elle a basculé sur le divan, s'offrant à quatre pattes, sa croupe ultra charnue tendue vers moi, ouverte par sa position, laissant entrevoir les plissements de son anus, et cette vulve toute gonflée, ruisselante de ses jus les plus intimes. A ce moment, il n'y avait plus de mots entre nous, simplement l'envie, l'envie qui balayait tout. Elle a tourné la tête vers moi, et dans son regard il y avait à la fois cette envie immense, et un simple cri: 'Viens!'.
Et je suis venu sur elle, la verge toujours encapotée. J'ai glissé dans son sexe. Un autre axe, un autre plaisir. Je l'ai fouillée, elle a gémi. Avoir ce sexe autour du mien, cette gaine chaude, bien humide, qui m'avait pris et me caressait, c'était un plaisir...Immense...
Il y a eu un moment, un tournant, quand elle m'a dit:
— J'ai envie que tu me sodomises...J'adore me faire prendre par là...Malheureusement, ça fait très longtemps que ça n'a pas été le cas.
Quand on vous met certaines idées dans la tête...Difficile de les chasser...J'ai continué de bouger dans sa vulve, mais si j'avais pu je serais remonté directement plus haut. Je voulais lui montrer que je n'en avais pas une envie furieuse, alors que c'était bien le cas.
Elle m'a soufflé:
— N'attends pas...Encule-moi.
Plus de raison d'attendre, alors. J'étais énorme en sortant de sa chatte, d'excitation et d'une envie pas encore assouvie. Le latex ruisselait de ses jets intimes. Ma queue a glissé vers le haut, quelques centimètres de chair à remonter, pour se retrouver dans le creux de son anus, contre ses plissements.
J'ai commencé à appuyer pour rentrer en elle, avant de me dire que j'allais peut-être, même si c'était son souhait, lui faire mal. Mais j'ai glissé en elle d'une manière aussi fluide que j'avais pu pénétrer dans son vagin, ce qui m'a un peu déstabilisé. Une autre manière de faire l'amour, un plaisir fort de sentir autour de ma queue un conduit serré, une caresse plus étroite, mais aussi de la sentir réagir d'une manière plus intense. Elle a eu un plaisir très intense et en même temps, elle s'est totalement abandonnée. On était loin de l'idée que la sodomie était une contrainte pour les femmes...Elle s'est totalement abandonnée à un plaisir dont j'ai bien senti qu'il était intense. Je l'ai fouillée, et plus je la fouillais, plus elle avait du plaisir, corps démantelé, gémissant, tremblant, se liquéfiant, et pas seulement parce que ses liquides intimes ruisselaient d'elle, le long de ses jambes, et sur le divan. Elle a amené ses doigts sur sa vulve dilatée à l'extrême, tout autant que l'était ma queue, et s'est masturbée fébrilement, à la recherche d'encore plus de plaisir.
Et puis elle s'est mise à jouir, secouée par des spasmes, éjaculant des jets copieux d'un liquide blanc. Le divan en aurait vu des vertes et des pas mures ce soir...
Moi je n'avais pas encore joui. Elle s'est retournée, a arraché le préservatif de sur ma queue et elle s'est mise à me masturber vivement, la bouche ouverte devant mon gland dilaté. Je crois bien que c'est ça qui m'a fait jouir. La voir bouche ouverte et penser que j'allais la remplir de semence. Quelques secondes plus tard, un premier jet de sperme, aussi crémeux que ceux qu'elle avait crachés, a atterri dans son palais. Les suivants se sont répartis entre sa cavité buccale et ses joues.
On s'est écroulés sur le divan, emmêlés, vidés de notre énergie, mais heureux tout autant que surpris d'en être là. D'avoir basculé sur une relation autre avec tout ce qu'elle impliquait.
— Tu restes pour la nuit?
Elle a attrapé ma queue, qui avait un rien débandé, et l'a masturbée, me faisant redevenir très dur.
— Bon, on a encore de quoi faire.
Elle s'est levée, et elle est partie vers sa chambre, là où je l'avais vue se caresser il y avait pas mal de temps de cela, sans avoir osé espérer qu'un jour elle et moi on s'y retrouverait, et que, si peut-être, elle se masturberait devant moi pour m'exciter, on s'y unirait dans le plaisir.
Ses fesses pleines dansaient devant moi. J'ai suivi sa silhouette parfaite.
Comme un signe d'une nuit qui serait positive, une goutte de cyprine a passé la limite de ses lèvres pour venir marquer l'intérieur de sa cuisse.
La nuit serait à nous. Et ensuite? On verrait.

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