Histoire Erotique

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Transformation, régression

Antoine, veuf depuis peu, avait pris la décision de s'installer chez sa belle-mère, Véronique. À l'extérieur, elle se présentait comme une femme charismatique, avec une grâce naturelle qui attirait les regards.. Cette dernière veut retrouver sa fille à travers lui. Elle le féminise, petit à petit.

Proposée le 6/03/2025 par vstorm

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Thème: Homme soumis
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Antoine, veuf depuis peu, avait pris la décision de s'installer chez sa belle-mère, Véronique. À l'extérieur, elle se présentait comme une femme charismatique, avec une grâce naturelle qui attirait les regards. Ses cheveux blonds, légèrement ondulés, tombaient en cascade sur ses épaules, laissant entrevoir une silhouette élancée, toujours vêtue de manière à mettre en valeur ses courbes. Mais derrière ce visage d'ange se cachait une femme aux intentions obscures, une manipulatrice dont les désirs profonds libéraient une atmosphère à la fois troublante et irrésistible.

Dès le premier soir, alors qu’Antoine déposait ses affaires dans la chambre d’amis, il sentit une tension palpable dans l’air. Véronique apparaissait dans l’embrasure de la porte, vêtue d’une robe légère qui épousait ses formes voluptueuses. Son regard, pétillant de malice, lui lança un défi silencieux. « Tu es chez moi maintenant, Antoine. Je compte bien prendre soin de toi », dit-elle d’un ton suave.

Antoine se laissa aller à une légère appréhension. La perte de sa femme était encore fraîche dans son esprit, et maintenant, il se retrouvait à vivre sous le même toit que cette femme captivante et troublante. Les jours passèrent, marqués par des moments à la fois délicats et dérangeants. Véronique semblait jouer avec lui, provoquant une régression de sa part, comme si elle désirait retrouver la naïveté d'une enfance perdue.

Chaque matin, Véronique le réveillait avec des petites attentions : un café parfait, des douceurs sucrées, et chaque geste semblait chargé d’une sensualité voilée. Elle s’attardait parfois un peu trop dans sa chambre, se penchant sur lui pour lui murmurer des secrets, son souffle chaud effleurant sa peau. Ces instants volés faisaient naître en lui un mélange de honte et de désir, une attraction dangereuse qu’il peinait à réprimer.

« Antoine, pourquoi ne pas redécouvrir l’insouciance de l’enfance ? » proposait elle un soir, en jouant avec une mèche de cheveux. « Regarde autour de toi, tout ici est fait pour s’amuser. Laisse moi te montrer comment vivre pleinement.

Les nuits devenaient de plus en plus chargées de leur tension non résolue. Les murs de la maison résonnaient des soupirs discrets d’Antoine, prisonnier d'un désir interdit. Véronique, à chaque occasion, trouvait un prétexte pour se rapprocher de lui, effleurant sa peau comme une caresse inavouable. Leurs échanges, teintés de sous-titres érotique, l’entraînaient davantage dans un tourbillon de sensations nouvelles mais coupables.

A chaque occupation de la salle de bains, Véronique en profitait pour se montrer nue.
Un jour qu’Antoine prend un bain, elle entre dans la salle de bains sous prétexte de nettoyage. Elle porte un tablier, sans rien en dessous.
'Tu veux que je frotte le dos, mon chéri ?'. Antoine, subjugué ne peut qu'acquiescer.
Au bout d'un moment de caresses sensuelles, elle enlève son tablier et dit que c'est à son tour.
Elle s'assied dans le bain, dos à Antoine . Pendant que ce dernier lui caresse le dos au gel douche, elle se recule jusqu'au point que la raie de ses fesses soit en contact avec l'érection d'Antoine et elle ronronne en se dandinant un peu. Très excité, Antoine s'enhardit à lui savonner les seins qu'elle a énormes. Il ne tarde pas à éjaculer.
'Ca s'est fait, je retourne à mon ménage' dit Véronique souriante en sortant du bain.

Un soir, lors d’un dîner devenu une ritournelle sensuelle, elle afficha un sourire énigmatique. « Et si on jouait à être enfants, juste ce soir ? Je vais te montrer quelque chose de spécial. » Elle l'entraîna vers la cave, un espace sombre et mystérieux où elle avait transformé une partie en un véritable terrain de jeu, parsemé de coussins et de lumières tamisées. Les murs tapissés de gravures érotiques anciennes.

Antoine, partagé entre l’excitation et la peur, la suivit. Quand ils entrèrent, Véronique lui mit un bandeau sur les yeux. « Fais moi confiance. Laisse toi aller. » Sa voix était douce, presque hypnotique. Il sentit ses mains le guider, doux frissons le long de sa colonne vertébrale.

La chaleur du lieu, mêlée à l'ambiance feutrée, éveilla ses sens. Véronique s'approcha et lui murmura à l'oreille, lui parlant de jeux de rencontres, de secrets partagés. Chaque mot escortait un frisson doux, dénudant des souvenirs d’enfance, tandis qu'une partie de lui était irrésistiblement attirée vers elle.

« Imagine que tu es ma petite fille , que je suis ta maman, et que nous devons redécouvrir le monde ensemble », chuchota-t-elle, sa voix suave enveloppant son esprit comme un nuage de soie. Ce fut suffisant pour éveiller en lui des pulsions longtemps réprimées. L’audace de Véronique fit naître un désir presque malsain, mais ô combien fascinant.

À mesure que les heures passaient, le jeu entre eux franchit toutes les limites. Véronique devint l’aiguillon de son imagination, oscillant entre douceur et provocation. Elle l'encouragea à exprimer ses désirs, à céder à cette partie enfantine qu'il avait enfouie au fond de son être. Les comportements innocents se mêlaient à des gestes de séduction. Un simple rire pouvait se transformer en un souffle haletant, l'apaisement se muant en tension insupportable.

Elle lui demande de se déshabiller entièrement. Et lui donne des vêtements , copie d'un ensemble de sa fille. Il y avait un soutien rembourré mais pas de petite culotte. Après avoir libéré ses seins, elle s'assied dans le canapé et lui demande de se coucher, la tête sur ses genoux.
Après quelques caresses à son corsage, elle lui donne le sein. L'envie devait être tellement forte qu'elle a quelques gouttes de lait.
Antoine se rend compte qu'elle a remonté sa jupette pour admirer son érection.

Le soir s’étira, et à travers le bandeau, Antoine ferma les yeux, plongeant dans des souvenirs éveillés par les caresses furtives de Véronique. Le mélange des rôles, la confusion entre l’enfance perdue et l’adulte frustré, l’immergèrent dans une transe où rien n’était réel, mais tout était permis.
'Tu auras droit à mes seins chaque fois que tu seras habillé en petite fille, et il faudra me raser tout ces poils. Les petites filles n'ont pas de poil'.

Véronique, experte manipulatrice, savait qu'elle était en train de tisser une toile autour d'Antoine. Elle observait chacune de ses réactions avec une satisfaction diabolique, savourant la manière dont il se laissait aller. À travers cet espace, elle ne cherchait pas seulement à satisfaire sa propre vanité narcissique ; elle désirait ardemment revivre cette connexion avec sa fille, supprimer la distance créée par le temps.

Les jours suivants, la dynamique ne fit que s'intensifier. Véronique continua de jouer avec l'esprit d'Antoine, renforçant son emprise sur lui. Chaque interaction devint une danse délicate entre innocence et désir animal. Chaque geste, chaque mot, la rapprochait un peu plus de son rêve étouffé — retrouver sa fille, non pas telle qu'elle était, mais sous la forme d’un homme déchiré par la tragédie, régressant lentement vers un état d'enfance transgenre.

Un matin, après une soirée particulièrement chargée d’émotions, où Véronique avait osé l'embrasser sur la bouche , Antoine se réveilla en réalisant qu'il était désormais prisonnier de ses propres sentiments. Rien n'était innocent dans cette relation, et pourtant, il se sentait étrangement vivant. L'idée de se libérer de cette emprise le terrifiait autant qu'elle l'excitait. Il était tiraillé entre la nécessité de fuir et la tentation de rester piégé dans ce labyrinthe sensuel de désirs refoulés.

Antoine, conscient de cela, réalisa que son destin était scellé tant qu'il demeurait sous ce même toit. Véronique ne pouvait pas rester simplement une belle-mère ; elle était à présent sa gardienne, son enchanteresse, combinant les désirs d'un passé perdu avec ceux d'une vie renouvelée, tout en érigeant lentement son âme.

Un après-midi, alors qu’il fouillait les vieux souvenirs de son épouse, il tomba sur une photographie de Véronique, jeune, avec sa fille. L'image le frappa. Elles étaient nues sur une plage. Il comprit alors l'obsession qui entourait Véronique. La recherche de la jeunesse, de l'insouciance, l'envoûtait et l'aliénait à la fois. Ce qu’elle voulait, c'était recréer des souvenirs, plonger dans une époque où sa maternité était intacte. Il proposa de faire un agrandissement de cette photo, pour la salle de jeux.
'Bien volontiers, et j'agrandirai d'autres photos qui devraient te plaire, presque toutes prises au Cap D’Agde où nous allions en vacances'.

Véronique lui offrit d'autres tenues de fille. Mais de plus en plus sexy et toujours sans culotte. Il finit par ne plus porter que cela.
Un jour il se rendit compte que ses seins poussaient. Il mis cela sur le compte de sa transformation vestimentaire. En réalité, Véronique lui faisait prendre un nouveau médicament qui développe la poitrine chez les hommes.

Les cinq photos arrivent par la poste, encadrées. Elles y étaient toujours à deux et nues. On y voyait des gestes osés vers les seins ou les chattes.
Je savais que mon épouse était bi, mais je n'aurai jamais imaginé cela.
Elles prirent bonne place dans notre salle de jeux. Véronique m’avoua un soir qu'elle avait eu à de nombreuses reprises des relations intimes avec sa fille. Parfois en trio avec une autre femme.

La vie continua ainsi, entre tensions érotiques et réalisations amères, où Antoine devint le jouet d'un désir insatiable, illuminé par la lumière crue d'une passion débridée. Dans la maison de Véronique, son chemin vers la régression était pavé de sensations interdites, un retour sur soi-même guidé par la main d’une femme qui ne voulait rien d’autre que de vivre à travers lui, fuyant la réalité et redécouvrant une enfance peut-être disparue à jamais.

Et dans ce jeu d'ombres et de lumières, chacun d'eux, à sa manière, trouva une forme de rédemption et de perdition, tandis que l’autre devenait le miroir d’un désir profondément humain.

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