Initiation à l'amour entre garçonss

À peine âgé de 18 ans, j'eus la chance de rencontrer un homne un peu plus âgé qui me fit découvrir l'amour entre garçons. Notre amitié a pris ainsi une tournure qui n'était pas pour me déplaire. Au point que je suis devenu son amant.

Proposée le 27/12/2024 par Sacha

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

J'avais alors tout juste dix-huit ans, et lui quelques années de plus. Les garçons m'attiraient, j'avais hâte de faire l'amour avec un garçon. De frotter mon sexe contre le sien.

Au cours de notre amitié naissante il me confia être attiré par les garçons. J'ai alors ressenti un certain trouble, vu que c'était aussi mon cas, mais que je ne l'avais alors jamais avoué à personne. Ni à moi-même.

C'est qu'à l'époque j'avais encore du mal à m'avouer mes penchants, que moi aussi au fond j'en étais. Mais il m'arrivait de bander quand je me retrouvais seul avec lui sur son canapé, qu'il me faisait comprendre que je l'attirais, et que sa main s'égarait sur la bosse de mon pantalon signalant mon érection. Alors on se faisait des trucs, mais j'aurais bien aimé plus.

Moi, bien sûr, j'aurais bien voulu plus. Au moins une branlette. Au mieux une fellation, comme cela devait arriver. C'est arrivé, mais moi je voulais une étreinte charnelle, nu contre lui, et qu'il me prenne. Mon fantasme, c'était: moi en levrette, offrant mon cul à un homme qui me prendrait par derrière.

Bien sûr, il me disait aussi que c'était aussi à moi de prendre des initiatives, de ne pas me contenter de me laisser faire. De prendre sa queue en bouche pour lui faire une fellation. Ce que je fis.

Une fois on s'est fait un 69 sûr son canapé. C'était plus que délicieux, très érotique. On s'est bien sucés, sa queue dans ma bouche, la mienne dans la sienne. Mais j'en voulais plus : sentir sa bite au cul.

J'ai bien sûr fixé des límites, une amitié, d'accord, même un peu érotique, mais sans plus. Tout en rêvant de ce "plus" que stupidement je m'interdisais, tout en fantasmant là-dessus. Et la nuit je me branlais en rêvant à sa queue. Je m'imaginais faisant tendrement l'amour avec lui, nos deux queues frétillant et se trémoussant l'une contre l'autre, nos deux corps enlacés.


Sachant quelque chose de ses goûts qui le portaient vers les garçons, j'ai tout fait pour l'allumer. Certains soirs, quand il me retenait chez lui à dîner puis à dormir dans la chambre d'amis, je sortais de la douche cul nu et les parties à l'air, et j'ai cru comprendre que cela lui plaisait bien. Alors je me dandinais du cul, je me trémoussais, histoire de lui faire comprendre que la voie était libre. C'est qu'au fond je désirais être son amant.

C'est que je rêvais d'un homme s'occupant de mes fesses, comme moi des siennes, au point de vouloir m'enculer.

Au point qu'un soir il me fit le plaisir de me rejoindre au lit. C'était bon. Il caressa mes fesses, ce qui me mit dans un état pas possible. Et me demanda de les soulever pour attraper ma queue qui bandait ferme. J'étais donc en position de levrette, soumise, offerte à un mâle qui ne rêvait que de m'enfiler.

Sa queue était toute raide. J'avoue que je n'étais pas peu fier que la vue de mon cul, offert, puisse provoquer chez lui une telle érection.

On se branlait doucement mais sûrement l'un l'autre, et tendrement, et en sentant sa queue durcir encore dans ma main j'ai éprouvé le plaisir de nos amitiés particulières, entre hommes.

J'aimais sentir sa queue raide contre ma raie, puis son gland épouser mon œil de bronze, s'adaptant parfaitement à mon petit trou. Il est venu en moi, s'est enfoncé dans ma chatte. Nous avons giclé en même temps.

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