Histoire Erotique

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Un Instant de Faiblesse.

Sylvie regarde ses filles qui jouissent de la vie en courant autour d’elle, joyeuses et insouciante nymphettes aux corps de rêves. Alors elle se dit qu’elle à réussie à faire des enfants magnifiques. Au détriment de sa propre vie, bien sûr, en oubliant qu’elle est femme, mais ce jour-là !!

Proposée le 27/09/2024 par maximilien7

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Thème: Première fois
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


 Je ne m’étais pas rendue compte du temps qui passe, les années ont courues avec leurs lots de traquât quotidiens. Alors un peu assommée par ce constat, je les regarde se chamailler, mes deux filles qui sont à la poursuite de Marc, un jeune voisin et ami de toujours, qui finira dans l’eau c’est inévitable. En les voyant courir ainsi, j’ai le cœur qui s’emballe, et pour cause, elles sont si belles et…., un peu…, comment dirais-je.., un peu…, disons que les quelques centimètre de tissus qui les recouvrent encore, dévoilent bien trop leurs corps de jeune femme pour l’une et de jeune fille pour l’autre. Je ne m’étais pas rendue compte de l’évolution de mes filles et de la sensualité qu’elles dégagent, pour la première fois cela me trouble .

Mais en parlant du jeune Marc qui effectivement vient d’atterrir dans la piscine, il faut dire que lui aussi n’est plus le petit et virevoltant garçonnet que nous avons accueilli il y a une bonne décennie. Lorsqu’il se dirige vers moi, totalement trempé dans son slip dégoulinant, je me rends compte en effet que le temps a passé, et mon regard en cet instant, plonge vers le centre d’intérêt commun à toute femme. Et là…, il se passe ce que je reconnais aussitôt, cette montée d’adrénaline, ce crépitement dans mon ventre que je tente de refouler aussitôt. Il balance un cul magnifique, agrémenté de deux belles cuisses musclées, embellies d’un pelage naissant, le voilà devenu un jeune étalon. Le sait-il seulement ?

Arielle, enserre d’un bras amical ses épaules dignes d’un apollon tout droit descendu d’une statue grecque. Des frissons parcourent instamment mon dos. Car l’image qui se présente est aguichante, le doute et la honte aussi de voir se fomenter dans mon esprit l’aventure sexuelle de ma chérie sauvagement pénétrée. Je l’imagine empalée sur le sexe érigé de celui qui en ce moment même, m’offre un aperçu désinvolte d’un membre arrogant, je devine là, une bite magnifique qui ne tient plus dans un maillot trop étriqué.
La question de sa puberté ne se pose plus, tant il reluque mon entre-jambe que j’expose évidemment, puisque étalée sur le transat.

Alors je tente de ne pas montrer ma gêne en croisant les jambes, mais en faisant cela, j’accrois une excitation sexuelle qui depuis quelques instants se fait ressentir. Je me rappelle d’un dicton chinois qui disait : ‘’l’action commence par les pensées’’. En vérité, je ne les contrôle déjà plus mes pensées, elles sont salaces, incestueuses, je me fais honte et pêche par la pensée. Une image s’impose, mon Arielle prise par Marc sous mes yeux, de la voir gémir sous le joug du mâle. Pire encore, je me verrais bien baiser sous ses yeux, pendant qu’elle se masturbe avec délectation en me voyant prise par derrière. Fantasme que tous cela bien sûr, percluse de vilenie et affublée d’une très mauvaise conscience je resserre un peu plus mes cuisses, car à l’évidence je mouille comme une folle. Impossible d’apaiser la chaufferette qui s’est soudain installée entre mes cuisses, et qui diffuse une subtile et sensuelle chaleur dans tout le bas-ventre.

Quand sonne mon portable, je reviens à la réalité, Marie à l’autre bout du fil aimerait inviter mes filles à passer le reste de l’après-midi avec elle dans un parc d’attraction du coin. Bientôt la voiture arrive et les filles s’en vont, me laissant seule avec le jeune loup, qui toujours aussi peu vêtu, vient s’allonger à côté de moi. Il revient aussitôt, ce désir de sexe qui imprègne mon esprit au point où j’en tremble, c’est une petite terreur qui s’immisce dans mon esprit, un subtil affolement des sens. Le fait d'être en tête à tête avec ce jeune premier qui, je le vois bien, doit éprouver la même chose que moi. Ses yeux brillent, il me fixe avec convoitise, et là…., entre ses jambes la chose s’est redressée d’une façon inquiétante, ors Marc ne s’en cache pas, sa main s’est engouffrée sous l’élastique du slip, et je le sais, il va falloir que je réagisse….

‘’Marc ! tu bande !!, et ça me met mal à l’aise….., de plus à l’évidence tu te caresse sous mes yeux, sans la moindre gêne, va faire ça ailleurs, je ne veux pas être témoin de tes onanismes !!’’

‘’ Oui, désolé, je n’y peux rien, mais plus je te regarde, plus j’ai cette envie qui monte ! J’ai envie de toi, on pourrait…, tu pourrais, enfin tu vois ?’’
‘’ Quoi ?, Mais..., tu te rends compte de ce que tu dis là ? Marc…. enfin je pourrai être ta mère, c’est indécent, mais toi à ma place !’ Tu n’as pas honte de parler de sexe avec moi ?, et surtout de cette façon-là  en me faisant ce genre de propositions, tu me prends pour une péripatéticienne?’’

‘’ Une quoi ? Oui, peut-être, que je devrais avoir honte, mais tu n’es pas ma mère, et ça fait longtemps que je j’ai envie de toi. Et pour tout dire Sylvie, je me masturbe souvent en pensant à toi, alors quand je te vois là, à côté de moi, tu comprends ?’’ une quoi , c’est quoi ça, une péripraticienne????

‘’Oh ! Ça suffit ! ‘’ tu crois que j’ai à savoir ce qui tu trafique chez toi ? Oui, Une péripatéticienne …. une pute, quoi !, oui, évidemment, j’apprécie que tu me parle de tes envies et que tu te masturbe, ça c’est de ton âge ! mais ça ne me regarde pas, mais que tu proposes de me sauter ça, ça dépasse tout, merde…... petit con…, si ta mère l’apprenait, tu te prendrais en raclée, même à ton âge. Tu me prends justement pour une pute, et ce rôle là, je n’aime pas trop qu’on me l’attribue, tu vois ? tu ne te rends pas compte ce que ça signifie pour une femme !

Je reste sans voix, lorsque d’un geste il fait glisser un membre fortement érigé hors du slip, et sans me quitter des yeux, masturbe cette verge avec délectation. L’image est incroyablement érotique et je la reçois comme un hommage, et dès cet instant je sais que je vais céder et me laisser convaincre de coucher avec lui, étrangement, cette image ne me révolte pas, bien au contraire, j’en reçois les codes avec délectations. Il fait cela avec la douceur d’une caresse, et ne me quitte jamais des yeux, le phallus va et vient dans sa main, flamboyant et raide, ce pic rougeoyant est une lubrique lueur d’espoir pour la femme délaissée que je suis. J’en ai envie aussi et il profites lâchement de la situation !

‘’tu te rends compte ce que ça signifie pour moi, merde…vas t’en ! rentre chez toi avant qu’il ne soit trop tard..’’

Et pourtant, je me lève d’un trait, le saisi par le poignet et nous courons vers la maison. Au bout du couloir, l’escalier nous conduit à l’étage, mais avant que je n’arrive au bout du chemin, mon slip de bain glisse le long de mes jambes et disparaît. Je tréssaille à la seule pensée de cette soudaine nudité et de l’image incandescente qu’elle doit projeter sur le petit agresseur qui court derrière moi. Puis on saisit ma jambe droite, je tombe au sol, le soutien-gorge est arraché et Marc me plaque au sol, je suis toute nue, moulue et aussitôt envahie par l’adolescent. Je me débat sans conviction contre cette lémure tentaculaire qui s’empare de moi, elle me traîne et m’écartèle, je lui délègue tous les droits afin qu’elle honore la femme que je suis encore.

‘’ Marc, attends ! Pas ici !! pas dans le couloir, s’il te plaît !! Marc….’’

Mes mots se perdent dans sa bouche, puis ses lèvres avalent mes seins, je sombre dans un délire sensuel. Plus bas, il se passe des choses innommables, mes cuisses s’écartent sans ménagement et je m’entends céder à la provocation !

‘’ Oui… ! oui Baise moi, Marc ! oui…..viens... pénètre moi vite…oui...mon dieu .’’

Mais il sait faire, bien plus que je ne le pensais, assis sur mon ventre il fait glisser entre mes mamelles un pénis dur comme un fer brûlant, puis il entre dans ma bouche, pour me faire goûter à la visqueuse coulée de sa jeunesse. Enfin, il m’écartèle et le cul collé aux carreaux froid de ce couloir, je suis harponnée, baisée sans ménagement, dans ma tête résonne le han….han…han des assauts et le clapotis des chairs qui me heurtent. Puis je ne distingue plus, entre la peur d’une arrivée impromptue, ou l’impatience et l’envie et cette montée vers les cieux que j’avais oubliée. Alors je supplie l’assaillant de ne pas s’arrêter, demande pardon de m’être donnée ainsi, et soudain….soudain, brutalement jaillit l’orgasme…. Une décharge forte et puissante, indéfinissable ! Survient alors ce bouillonnement intime, cette brûlure de l’âme qui me fait disparaître dans un tourbillon de cris et de larmes, je n’existe plus que par mon centre, ma vulve, mon sexe d’où jaillit toute pensée, d’où renaît l’être qui s’était endormis.

Marc, se tend comme un arc, il saisit mes cheveux et force l’ouverture, il me reste l’impression de le voir pénétrer entièrement ce vagin qui n’est plus qu’un trou béant, il s’engage alors une sorte de combat entre moi et lui, je tente de fuir en rampant, mais il arrive comme le chasseur qui traque la bête. Mon cul est frappé et j’aime cette prise de pouvoir qui anéantit mes instincts de défense, plusieurs fois je jouis aux impacts qui se propagent aux endroits sensibles d’un vagin hypertendu. Marc est féroce, virulent, je suis happée par la taille, mes cris sont inutiles, derrière moi je le sens qui s’arque boute, je suis pliée en deux comme une vulgaire putain, et cette bite enflammée se positionne entre mes fesses.

Non…! Non ! Marc ! non….pas ça…. je ne veux pas être sodomisé, alors je me débats sans vraiment être convaincante, et puis ma tête plonge vers les carreaux froids, je braille comme une damnée quand le serpent de chair percute le sphincter et entre en moi. La douleur lancinante s’estompe quand mon cul soudain s’enflamme, la fente vulvaire expulse des flots de cyprines qui jaillissent à l’instant ou se contracte l’orifice vaginal par une magistrale décharge des sens.

Une fois encore je monte au ciel, l’orgasme dépasse mes espérances les plus folles. Marc profite encore de l’ouverture d’un sexe largement gonflé et de longues minutes il me baise jusqu’à l‘épuisement, alors arrive le jet puissant, chaud, et apaisant. Plusieurs minutes passent avant que je ne retrouve mes esprits, et que je respire à nouveau. Marc s’est retiré et caresse mon ventre, entre mes cuisses coule un flot de sperme et je reviens à moi….le calme est revenu, le temps s'est arrêté, je tremble comme une feuille et longtemps..., longtemps, je reste étendue là, à même le sol en laissant les mains du jeune coq me parcourir sans discontinuer. Puis nous nous embrassons passionnément et quand il me prend la main, je l’accompagne docilement vers la salle de bain.
Les filles passent la porte avec leurs éternelle joie de vivre, le trouble de cet après-midi ne me quitte pas, Arielle me jette un regard interrogateur ;

‘’ Maman, qu’est-ce que tu as ? il s’est passé quelques choses, ou est Marc ?’’
‘’Il a dû rentrer, sa mère l’a fait appeler. Non chérie ! il n’y a rien, je suis un peu fatiguée’’

Elle sait que mon attitude, n’est pas normale, elle sent d’instinct ce qui s’est passé ici, inévitablement je rougis, et la honte me poursuit sans cesse. Mais dieu que c’était bon….. ! Arielle me prend dans ses bras, je baisse les yeux et le doute s’installe, aura-t-elle deviné ?
Elle est femme, et une femme ressent l’indicible, car l’amour laisse des traces qui se lisent dans nos yeux, elle sourie, caresse ma joue, je sais qu’elle a discerner par mes gestes et mes attitudes ce qui s’est passé pendant son absence...les mères aussi font des bêtises, quand leurs enfants leurs tournent un instant le dos !!

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