Pour réaliser un de ses fantasmes, le Maître a ordonné à Niti de lui organiser une rencontre avec une escort-girl dont il serait le client. Quelques jours plus tard, elle a tout réglé. Il ne lui reste plus qu’à vivre cette expérience et, comme convenu, raconter comment cela s’est passé.
Proposée le 27/09/2024 par chispat17
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Pour réaliser un de ses fantasmes, le Maître a ordonné à Niti de lui organiser une rencontre avec une escort-girl dont il serait le client. Quelques jours plus tard elle lui tend un post it sur lequel est indiqué le lieu et l’heure du rendez-vous. Tout est réglé, Il ne lui reste plus qu’à vivre cette expérience et raconter à son retour comment cela s’est passé.
Impatiente de savoir si la rencontre était à la hauteur de ses attentes, Niti propose à son Maître de prendre un moment pour qu'il lui raconte ce qu'il a vécu. Quand il est prêt, elle se love entre ses bras et le compte rendu commence:
« Il était 19 Heures, heure convenue que tu m’avais indiqué sur ton post it. Je me suis présenté à la porte et j’ai sonné. Elle m’a ouvert et m’a fait entrer. Elle s’est présentée comme étant Catherine et m’a demandé si j’étais bien Patrick, le client qu’elle attendait. Elle m’a guidé jusqu’au salon où je vis qu’elle avait installé sur la table basse des coupes à champagne et des petits canapés au saumon. Elle m’a proposé de m’assoir et s’est dirigée vers la cuisine pour y chercher une bouteille de champagne. Elle portait des talons et une robe légère qui accompagnait avec grâce ses mouvements. Elle est revenue avec la bouteille, l’a ouverte et s’est penchée pour remplir les verres. Le décolleté de sa robe s’est ouvert un peu et a laissé deviner ses seins. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Un parfum sensuel l’entourait comme un halo, elle était très appétissante ! Elle s’est installée dans un fauteuil face à moi en croisant les jambes
« Nous avons engagé la conversation et elle m’a demandé quels étaient mes gouts en matière de sexe. Je lui ai dit que c’était la première fois que je rencontrai une escort-girl et que d’habitude, je suis plutôt dominant. Elle me dit qu’il est parfois bon de changer de rôle et de se laisser faire. Nous avons trinqué et bu notre coupe de champagne. Elle s’est penchée à nouveau vers l’avant pour prendre un canapé et cette fois-ci j’ai pu voir ses seins à travers l’espace entre son cou et le haut de sa robe. Cette vision m’a troublé un peu et m’a donné envie d’en voir plus. Elle s’est relevée et elle est restée à côté de moi en me tendant le plat. J’en ai profité pour lui passer une main dans le bas du dos. Elle n’a rien dit. Je me suis aventuré en laissant la main glisser vers le bas pour effleurer ses fesses et caresser ses cuisses. Elle m’a regardé faire sans bouger. J’ai passé la main sous sa robe et je me suis rendu compte qu’elle n’avait pas de culotte.
"Ce sera pour vous plus tard" m’a-t elle dit.
Elle ajouta "Moi aussi, je suis curieuse".
Elle a posé le plat, s’est retournée vers moi, s’est mise à genoux et a ouvert la boucle de ma ceinture. Une fois le pantalon ouvert, j’ai soulevé les fesses pour l’aider à le baisser. Je portait un caleçon en matière satinée, douce comme de la soie. Elle a posé ses mains sur mon sexe qu’elle caressa à travers le tissu. Son geste était gracieux et doux. Je commençai à bander. Elle s’est penchée en avant laissant son décolleté bailler généreusement pour dévoiler ses seins dont je vis l’extrémité. Elle déposa un baiser sensuel sur la bosse bien visible entre mes jambes. Elle saisit mon caleçon au niveau de la ceinture et le baissa avec lenteur. Elle libéra ma queue et découvrit mon piercing (j’ai un petit anneau qui traverse la peau de mon prépuce). La voyant un peu surprise, je lui expliqué que l’anneau ne provoquait aucune douleur et qu’au contraire cela augmentait les sensations ressenties lors de la fellation et de la pénétration. Rassurée, elle se saisit de ma queue et se caressa la joue avec. Estimant certainement que mon érection était suffisante, elle découvrit doucement mon gland pour le décalotter complètement. Elle tendit la langue et en posa l’extrémité au niveau du frein. Elle lécha cet endroit délicat avec beaucoup de douceur. Puis elle positionna ma queue devant ses lèvres et nos regards se sont croisés au moment où mon gland disparaissait dans sa bouche. »
Tout en écoutant attentivement le récit de son Maître, Niti lui avait ouvert le pantalon, plongé la main dans son boxer et sorti sa queue dont elle caressait la hampe. Il est plutôt content de cette initiative, mais reste imperturbable et continue à raconter son aventure:
« J’ai passé de longues minutes à savourer tout ce que Catherine faisait subir à ma queue. Sa bouche était chaude, sa langue agile et douce. Elle l’a promenée sur tout mon sexe, en connaissait les zones sensibles, s’appliquait à me faire découvrir des sensations nouvelles dont elle a le secret. A plusieurs reprises elle me goba complètement pour me faire une gorge profonde. Je sentais alors ma queue complètement enveloppée par sa bouche et le bout de mon gland toucher son arrière gorge. A d’autres moments elle me recalottait et me mordillait le prépuce ou passait sa langue entre lui et le gland. Mon piercing qui l’avait surprise au début était devenu un jouet pour elle. Elle s’amusait à le lécher, à l’aspirer, à le prendre entre les dents, à le titiller du bout de la langue. Elle déployait tout un art de la fellation sans jamais faire de mouvement masturbatoire, ce qui me mettait à l’abri d’une éjaculation dont je ne voulais pas pour l’instant. »
Pendant qu'il parlait, Niti avait pris la queue de son Maître en bouche pour reproduire scrupuleusement ce qu'elle entendait.
Bien que surpris, il poursuit son exposé:
« Toutes ces gâteries nous avaient données soif. Elle nous resservit du champagne et vida sa coupe avec délectation. Elle empoigna sa robe et l’enleva en la faisant passer par-dessus la tête. Entièrement nue, elle s’approchait de moi, enjambait mon fauteuil et se cambrait vers l’avant pour me tendre son pubis. Je n’ai pas résisté à l’invitation et posai mes lèvres sur le capuchon de son clitoris. Jamais on ne m’avait demandé un cunnilingus de cette manière, mais j’acceptai cette proposition et passai ma langue sur sa chatte épilée. Sa peau était douce et son parfum lui donnait une saveur sucrée un peu enivrante. Je me suis régalé de ce sexe que je léchais avec précautions. Je sentais parfaitement son clitoris rouler sous ma langue comme un petit bouton dont j’imaginais soulager les démangeaisons. J’ai levé les yeux et je vis qu’elle se caressait doucement les seins. Cela m’a encouragé à continuer à explorer sa chatte et, passant entre ses lèvres je senti sur ma langue un goût un peu salé. Elle mouillait et j’en était la cause. En principe, une escort-girl ne se soucie que du plaisir de son client et, du coup, j’étais fier de constater qu’elle n’était pas insensible à mon étreinte. Je me régalais avec cette rosée un peu salée quand j’ai senti son bassin se frotter imperceptiblement contre ma bouche. Comme j’avais toujours mon T shirt, elle me l’enleva sans ménagement et reprit le balancement de son bassin sur ma bouche en se cramponnant au dossier du fauteuil. La pression de son sexe sur mes lèvres s’est faite plus insistante au point où j’ai préféré rentrer ma langue pour qu’elle profite de la sensation un peu piquante de ma barbe. Ses mouvements s’accélérèrent progressivement, puis elle se figea, accroupie sur mon visage, la respiration bloquée, donnant l’impression que le temps se suspendait pour elle. Etait-elle en train de jouir ? Je ne le saurais jamais…»
Niti avait relâché la queue de son Maître. Elle a maintenant les mains serrées entre ses cuisses et écoute attentivement la suite de l’histoire:
« En reprenant son souffle, elle s’est écartée de ma bouche, s’est relevée, a pris ma queue en main, la recouvrit avec un préservatif et la fit entrer dans sa chatte. Elle était tellement mouillée que je l’ai pénétrée sans difficulté. J’ai senti que mon piercing était, lui aussi, à l’intérieur de son vagin. L’endroit était chaud et doux.
- "Bienvenue dans ma chatte, Patrick. Je vous avais dit qu’elle serait à vous" me dit-elle avec une certaine malice dans le regard.
Sans bouger le bassin, elle se pencha vers la table basse, remplit à nouveau nos verres et m’invitait à trinquer avec elle. Le champagne frais était délicieux. Tout en finissant son verre, elle passa sa main sur mes bourses et les caressa tendrement. Leur peau fine se rétracta sous l’effet des effleurements qu’elle leur faisait subir. Alors qu’elle prenait mes testicules dans le creux de sa main, je la senti contracter les muscles de son vagin autour de ma queue. Le rythme était lent et la sensation délicieuse.»
« Elle reposa son verre vide, mouilla un doigt avec sa salive, passa entre mes cuisses et le posa sur mon anus en me demandant :
- "Je peux ? "
- "Vous pouvez essayer, je vous dirais s’il faut arrêter"
Comprenant que je n’avais pas l’habitude d’une telle pratique, elle se leva, prit mes cuisses et les souleva jusqu’à ce que mes genoux arrivent au contact de ma poitrine. Elle prit mes mains et les posa derrière mes genoux, me faisant comprendre que je devais tenir cette pose impudique. Elle s’agenouilla devant mes fesses, les écarta des deux mains et posa sa langue sur mon petit trou. Le contact était doux et contrastait avec la violence avec laquelle elle m’avait fait prendre cette posture indécente. Après avoir largement léché l’endroit pour le lubrifier, elle posa à nouveau son doigt et appuya doucement, mais fermement. J’essayais de me détendre, mais le réflexe qui défend l’entrée prenait le dessus. Elle s’en rendit compte et arrêta sa progression. Elle leva la tête, aspirait ma queue et la prit en bouche. Je ne bandait pas, mais j’ai trouvé son initiative bienveillante. Avec sa langue, elle fit rouler ma queue dans sa bouche, ce qui occupa mon esprit. Je ne me suis pas rendu compte que le doigt inquisiteur avait repris sa route et qu’il était maintenant au contact de ce que je pense être ma prostate. En véritable professionnelle, elle exerçait une pression très douce qui m’a fait découvrir des sensations complètement nouvelles. Elle a délaissé ma queue pour me permettre de concentrer toute mon attention sur ce qui se passait dans mon cul. Ceci ne l’empêcha pas de poser des baisers sur mon périnée, mes fesses, mes bourses avec une sensualité rassurante qui a permis à mon cerveau de lâcher prise et d’apprécier ce que son doigt était en train de me faire subir. Le rythme de la pression qu’elle exerçait sur ma prostate était très irrégulier, parfois lent, parfois plus rapide mais toujours léger. Je me suis laissé aller et je reconnais que cette expérience était très troublante. »
« Quand elle a sorti son doigt, je suis revenu sur terre. Nous avons convenu de nous retrouver à la salle de bain pour prendre une douche ensemble. C’est elle qui a pris le pommeau en main et géré la température de l’eau. Après m’avoir bien mouillé, elle prit un peu de gel douche dans le creux de la main et me savonna généreusement. En passant sur mes bourses et ma queue, elle m'a fait à nouveau bander. Elle s'est rapprochée de moi et nous avons collé nos corps l’un contre l’autre en entamant un mouvement lancinant, comme si nous dansions un slow sensuel. Ses seins me caressaient la poitrine, ses mains parcouraient mon dos et mes fesses. J’ai posé les miennes sur ses hanches tandis que ma queue dressée se frottait contre son pubis. Elle m'a remis un préservatif, s’est retournée et m’a présenté ses fesses. Elle passa la main entre ses jambes, agrippa ma queue et la posa à l’entrée de son vagin. D’un petit mouvement du bassin, je la pénétrais pour la deuxième fois. Ma queue glissait en elle sans problème. Je posais mes mains sur ses hanches et m’agitais dans sa chatte toujours aussi accueillante. Pour la première fois de la soirée, je l’entendis pousser des petits cris rythmés par mes coups de rein. Je ne voulais pas jouir tout de suite et je lui proposais de retourner dans le salon. »
« Rincés, séchés et nus, nous nous sommes retrouvés tous les deux au salon. Je l’ai installée dans son fauteuil, pris un coussin pour me mettre à genoux devant elle. A mon tour, je la renversais en écartant ses cuisses, ce qui découvrit son sexe dont j’avais encore envie. Je passais la langue sur sa vulve, me relevais et posais ma queue protégée sur ses petites lèvres entre ouvertes. Comme aspirée, ma queue glissa en elle et retrouvait sa place, bien au chaud dans sa chatte. Cette fois-ci je comptais bien en profiter jusqu’à l’orgasme. Elle se laissa faire et s’attendait à recevoir mon éjaculation. Celle-ci ne tarda pas et c’est en m’enfonçant au plus profond de son ventre que je libérais mon sperme tout chaud. Elle avait fermé les yeux pendant que j’éjaculais et son visage s'illuminait d’un sourire exprimant sa joie de satisfaire son client. »
« Rhabillé et comblé je demandais à Catherine ce qu’elle pensait de cette soirée. Elle me dit avoir passé un bon moment. Elle avoua avoir été un peu inquiète en découvrant mon piercing, mais que celui-ci est un accessoire amusant. Elle a aimé jouer avec lui et surtout elle lui a trouvé un avantage lors de la pénétration. Lorsqu’elle s’est assise sur moi, elle dit ne pas l’avoir vraiment senti mais dans la position du missionnaire il a titillé agréablement l’entrée de son vagin. C’est surtout quand je l’ai prise sous la douche en levrette, qu’il a stimulé son point G, sensation qu’elle ne connaissait qu’avec des sextoys comportant des petits picots. »
"Voila, tu sais tout." dit son Maître a Niti.
Elle sort alors la main qu'elle avait mise dans sa culotte et pose ses doigts sur les lèvres de son Maître. Ils étaient mouillés et avaient ce petit goût musqué typique du plaisir féminin.
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