LA QUEUE DE CHEVAL

Niti la soumise découvre progressivement les fantasmes de son Maître. Elle lui offre son corps et va connaitre des sensations inédites avec les nombreux accessoires mis à la disposition de Maître. Une queue de cheval fait partie de cette panoplie.

Proposée le 22/08/2024 par chispat17

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

LA QUEUE DE CHEVAL

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Niti a rendez-vous avec son Maître qui lui a donné ses instructions avant de commencer. Elle a préparé la chambre en installant à côté du lit tous les accessoires qu’elle souhaite voir utilisés lors de cette soirée. Elle se déshabille entièrement, ne gardant sur elle que son collier. Elle se présente alors à son Maître et lui dit « Maitre je suis à vous ». Celui-ci lui dicte alors les règles qu’il souhaite voir appliquées. « Tu m'appellera "Maitre" chaque fois que tu t’adresseras à moi.?Moi je t'appellerai "ma soumise" ou un autre mot de soumission.?« Tu devras faire tout ce que je te demanderai sans poser de question ni faire de commentaires. Tu peux t’adresser à moi avec des mots crus. Tu me donneras tes impressions après notre jeu ».
« Es-tu d’accord de respecter ces règles ? »
« Oui Maître »?« Dans ce cas, emmène-moi à la salle de bain et donnes moi une douche » commande le Maître.

Niti prend son Maître par la main et se dirige vers la salle de bain.?Elle s’arrête devant la porte de la douche et le déshabille. ?Lorsqu’il est entièrement nu, elle prend le pommeau de douche pour en faire sortir de l’eau pas trop chaude puis convie son Maître à entrer dans la douche.

Consciencieusement, elle arrose toutes les parties de son corps, puis arrête l’eau et elle se savonne abondamment les mains. Le Maître attend immobile. Niti commence à savonner ses épaules, puis son dos et ses fesses. Ses mains agiles et douces se glissent entre les fesses et l’une d’elle atteint le petit trou qui se cache à cet endroit. Un doigt s’aventure jusqu’à l’entrée mais ne va pas au-delà du seuil marqué par un muscle puissant qui rend la progression impossible. Le doigt n’insiste pas, mais reste là où il s’est posé et savonne généreusement tout ce qui l’entoure.
L’autre main fait le tour et rejoint la première en effleurant le sexe du Maître. Le doigt déjà en place s’éloigne pour être remplacé par le nouveau venu. Dans cette position les bourses du Maître sont maintenant bien installées dans la paume de la main de Niti. Elle en profite pour passer devant le Maître et se saisir de son sexe. Elle le savonne en un mouvement de va et vient. Le prépuce qui recouvrait le gland recule un peu plus à chaque mouvement. La queue du Maître se gonfle et durcit au fur et à mesure que Niti le décalotte. Voyant qu’elle donne du plaisir à son Maître, Niti ralenti le geste, le rend plus sensuel et le transforme en caresse.

Comme le Maître a défendu à sa soumise de le faire jouir sans qu’il n’en ai donné l’ordre, par prudence Niti reprend le savonnage en s’occupant du torse et de l’abdomen de son Maître. Puis vient le moment du rinçage. Niti passe le jet de la douche sur le dos, les fesses et accompagne l’eau qui dégouline le long des cuisses et des jambes. Elle passe devant, arrose le torse puis descend le jet jusqu’au sexe encore dressé. Elle le débarrasse de toute trace de savon en insistant sur les bourses, sur le pubis, le long de la verge et sur le gland décalotté.

Niti coupe l’arrivée d’eau et se saisit d’une serviette de bain. Elle emballe son Maître dans la serviette et le sèche. Elle se sèche à son tour.?
Ils se retrouvent tous les deux dans la chambre. Il l’installe au bord du lit.
« Maître, je suis à vous, attachez-moi et prenez-moi" » dit Niti en se mettant à genoux
Elle met ses mains dans le dos que le Maître attache avec les menottes.
Le maître se place alors devant Niti et lui dit "j'ai envie d'entrer"
". Maitre, ma bouche vous appartient." Répond Niti

Elle ouvre la bouche pour laisser la queue de son Maître y prendre place puis ses lèvres se referment sur elle. Sans ouvrir la bouche, la langue de Niti entame des petits mouvements autour de la queue pour la stimuler et la faire grandir. Quand le sexe du Maître est bien gonflé, elle s’avance pour l’enfoncer au plus profond de la gorge et tient la position aussi longtemps que possible. En se retirant elle lèche la salive qui s’est déposée sur le gland pour que celui-ci soit propre. Puis elle reprend la queue en bouche et entame un va et vient précis qui permet à ses les lèvres fermées de stimuler la couronne du gland.
Sentant l’orgasme proche, le Maître sort de la bouche de Niti et lui ordonne de se retourner. Elle s’exécute, se penche en avant pour montrer ses fesses. Elle est là, les mains attachées dans le dos, nue et offerte dans une pose dont l’indécence en fait toute la beauté.

Le Maître la redresse et lui met un bandeau sur les yeux. Elle ne voit plus rien, seuls les sons renvoyés par les murs de la pièce lui permettent de percevoir vaguement ses mouvements. Le Maître la regarde longuement ainsi, nue et vulnérable.

Il s’approche d’elle et fait glisser sa verge dure sur son épaule pour qu’elle sente dans quel état d’excitation il se trouve.
Le Maître regarde alors autour de lui et découvre tous les accessoires préparés par Niti étalés sur le lit. Il y a là plusieurs martinets, une roue dentée, une cravache, une tapette et un plug avec une queue de cheval. Il saisit le plug, l’enduit de gel et demande à Niti de se pencher vers l’avant. L’anus de Niti est maintenant bien dégagé, il faut le préparer à recevoir son hôte. Le Maître s’agenouille, approche son visage et passe sa langue humide sur le petit trou. Niti ne bouge pas. Le Maître pose le plug contre l’orifice convoité et lui transmet une légère pression qui indique à Niti qu’elle va devoir accepter un corps étranger dans cette partie très intime. La pression se fait plus insistante. Le plug se fraye un passage et s’enfonce doucement. Niti ne bouge toujours pas. Il faut que le Maître force un peu pour que le diamètre le plus important du plug franchisse les derniers centimètres avant d’être comme avalé par l’anus de Niti.

Niti est toujours à genoux, les mains dans le dos, penchée en avant avec une queue de cheval entre les fesses. Cette image inspire le Maître qui choisit la cravache parmi les accessoires à sa disposition.
Il pose le cuir de la cravache sur le bas du dos de Niti , puis il le fait descendre en suivant alternativement le contour de ses fesses. L’extrémité de la cravache termine son cheminement en passant entre ses cuisses pour effleurer son sexe.

Le Maître tapote doucement les grandes lèvres de Niti qui écarte un peu plus les jambes pour faciliter le passage de la cravache. Après ces quelques tapes, le Maître décide de rougir les fesses offertes de sa soumise. Un premier coup de cravache fait sursauter Niti qui ne s’y attendait pas. Le cuir laisse une légère trace rouge sur le galbe de la fesse qui vient d’être frappée. Un second coup s’abat sur l’autre fesse. Niti qui attendait cette symétrie encaisse ce coup beaucoup plus facilement que le premier. Pour apaiser le feu provoqué par la cravache, le Maître passe une main apaisante et douce sur les zones rougies.

C’est maintenant au tour du martinet d’entrer en action. Le Maître fait tournoyer les lanières à quelques centimètres de la peau de Niti qui peut ressentir le courant d’air quelles génèrent. Puis le tournoiement cesse avant que les lanières ne l’aient atteinte. Que va-t-il se passer se demande-t-elle ? Elle va rester ainsi quelques petites minutes avant que le martinet s’abatte à plusieurs reprises sur le bas de son dos, ses fesses et ses cuisses. C’est fort, mais ce n’est pas douloureux. Le Maître dose la puissance des coups qui tombent avec un rythme soutenu et n’épargnent pas le moindre centimètre de peau disponible entre les reins et les genoux de sa soumise. Pour estimer le résultat du traitement infligé, le Maître pose à nouveau ses mains sur les fesses de Niti. Elles sont beaucoup plus chaudes que lors du premier passage. Estimant qu’une pause était méritée, il laisse alors doucement glisser les lanières du martinet sur la peau devenue écarlate.
« Dis-moi ma soumise, cela te fait-il du bien ? »
« Je suis à vous, Maître, faites de moi ce que vous voulez ».
La main du Maître frappe avec vigueur une fesse de Niti
« Tu n’as pas répondu à ma question, cela te fait-il du bien ? »
« Vous me donnez beaucoup de plaisir, Maître »
« En veux-tu encore ? »
« Oui Maître »
« Alors relève-toi »

Le Maître aide Niti à se relever car elle est toujours menottée et porte un bandeau sur les yeux. Une fois debout, il l’installe dos au mur. Il recule de deux pas et la contemple. Son regard s’attarde sur son collier, ses seins, ses mamelons, son pubis épilé, la queue de cheval qu’il devine entre ses cuisses….Comme il a toujours le martinet en main et qu’il se trouve à la bonne distance, Il lève le bras et fait claquer les lanières de cuir sur la poitrine de Niti. Une fois par la gauche. Une fois par la droite. Niti bombe le torse et lève la tête pour offrir ses seins aux coups de martinet. Ses mamelons durcissent à vue d’œil et incitent le Maître à continuer encore et encore.

Quand les coups cessent, Niti sent la main de son Maître se poser sur son ventre puis descendre jusqu’à son sexe. La pression exercée par cette main est ferme mais douce. Immobile, elle épouse parfaitement le pubis et les grandes lèvres. Cette main posée là est certes apaisante mais elle réveille en même temps une sensation étrange. Niti veut aller au-devant de cette sensation et bouge son bassin d’avant en arrière pour se frotter sur cette main. La sensation se transforme alors en désir, celui d’allumer la mèche qui déclenchera un feu d’artifice dans son ventre. Le doigt du Maître qui s’insinue doucement entre ses lèvres au gré de leurs mouvements accélère le processus. Le moment espéré arrive…il est là ! Pendant quelques secondes Niti retient son souffle car la tempête de plaisir née dans son ventre envahi tout le reste de son corps.
« Je jouis…. Maître !» Lâche-t-elle entre deux soupirs.

En retrouvant ses esprits Niti sent que la main qui lui a donné du plaisir est toujours là. Ce contact lui donne de l’énergie et la rassure en même temps. Elle a confiance dans son Maître et elle est prête à continuer à être sa soumise.

Le Maître se saisit du collier de Niti. Elle se relève et se laisse conduire. Elle sent ses genoux entrer en contact avec du bois dur. Elle reconnait le bord du lit. Le Maître empoigne la nuque de Niti pour l’obliger à se baisser. Elle se met à genoux, penche le buste vers l’avant et s’allonge sur le lit. Le Maître la contemple. Il aime ce corps offert, les fesses tendues, la vulve exposée à son regard. Il se met à genoux derrière Niti et frotte sa queue dans l’entre jambe de Niti. Elle attend sagement qu’il décide de la suite qu’il compte donner à ce contact. Va-t-il enlever la queue de cheval et prendre sa place ? Va-t-il utiliser les autres accessoires mis à sa disposition par sa soumise ?
Niti sent que cette position excite son Maître car la queue qui chemine entre ses cuisses est de plus en plus dure.
« Tu es belle, ma soumise. J’ai bien envie de te remplir, qu’en penses-tu ? ».
« Je n’attends que cela, Maître. Faites-vous plaisir ».

Le Maître se décide alors de laisser sa queue entrer avec lenteur dans le sexe de sa soumise. Le plug est toujours en place. Niti sent son bas ventre se remplir progressivement. La queue du Maître se glisse complètement en elle.
Il soulève le crin du plug et le pose délicatement sur le dos de Niti. Le crin est doux. A cette douceur vient s’ajouter tout à coup une sensation de frisson tout le long de son dos. Le Maître a ramassé la roue dentée sans qu’elle s’en soit aperçue et il la laisse rouler de part et d’autre de sa colonne vertébrale. Toujours planté en elle, il mélange les sensations sur le dos de Niti puis il lâche la roue, empoigne ses fesses et entame en elle un va et vient lent et continu. Sa queue est plaquée contre les parois intérieures de sa soumise. Ce contact très agréable le fait basculer et il jouit longuement dans Niti qui sent chacun des spasmes de l’orgasme de son Maître au plus profond d’elle.

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