Quand une fin de soirée entre collègues dérapent... L'alarme...beaucoup trop tôt pour le peu de temps de sommeil. Impossible de concilier repos avec cette soirée, c'était une évidence.
Proposée le 14/08/2024 par Butterflywingss
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
L'alarme...beaucoup trop tôt pour le peu de temps de sommeil.
Impossible de concilier repos avec cette soirée, c'était une évidence.
Dès l'apéritif, j'interpellais B.
Pourrais je squatter un bout de canapé si la soirée s'éternisait et que conduire ne devenait plus raisonnable?
Bien sûr me repondit elle.
Parmi tant de personnes présentes, nous échangeions quelques regards et sourires, des brins de conversation ensemble, occupés que nous étions à respectivement profiter de la soirée.
Nourriture et boissons passaient au milieu des convives, l'atmosphère se détendait,
les voix commencèrent a se faire plus fortes, les tons plus décontractés, les gestuelles moins rigides.
Une onde nous rapprochait avec B au fur et à mesure de la soirée, nos corps s'approchaient imperceptiblement lors de nos discussions, nos regards s'attardaient plus longuement dans les yeux de l'autre.
Une main venait effleurer une épaule, une hanche, dans le flux des va et viens de la foule.
Nos bouches s'approchaient de l'oreille de l'autre lors de nos conversations, et je percevais chez elle comme une effluve enivrante.
Mon regard s'attardait discrètement a deviner la forme de ses seins dont la naissance laissait entrevoir au travers de son chemisier sobre, une forme généreuse.
Collaborateurs dans le même milieu professionnel, Ils nous était arrivés avec B, au gré de soirées précédentes, de discuter de maniere grivoise et ouvertes de nos expériences et goûts sexuels.
Depuis, l'image que je me faisais de B est teintée d'une aura très érotique.
Apres avoir battu son plein, la soirée se terminait - non sans avoir danser quelques pas de rock.
Instants où nos regards furent plus insistants, nos corps d'une proximité complice.
Nous fûmes dans le dernier groupe à quitter la soirée, discrètement, B m'envoya un message afin que je la rejoigne a sa voiture.
Après un court trajet, nous arrivions chez elle.
Un dernier verre ? Me proposa t elle.
B nous servit un verre de vin afin que nous ayons l'occasion de trinquer une nouvelle fois.
Jeux de regards...
Pour accompagner nos verres, B servit une assiette de melons et fraises, restes d'un déjeuner vite expédié.
Les sujets de conversations, décousues, nous menaient à parler cinéma, musique ou livres étirant la soirée un peu plus longtemps encore.
Assis côte à cote dans le canapé, nos propos restaient d'un étonnant sérieux - faisant monter une tension corporelle palpable.
"Je te laisse la dernière"
B insista afin que je finisse l'ultime fruit.
Prenant la dernière fraise du bout de mes dents, et la regardant droit dans les yeux, ma posture offrait à B un appel au partage.
Les paumes de main sur mes joues, B attira ma bouche à elle, faisant fondre les derniers centimètres qui nous résistaient encore.
La digue retenant les passions céda à cet instant
Habilement la langue de B soutira le morceau de fraises restant, sa langue si proche venant chercher la mienne comme un appel aux désirs.
Chaud, humide, puissant, le baiser qui s'ensuivit gardait ce goût de fraises charnues, tout comme nos lèvres qui se faisaient l' écho d'un désir ardent.
"J'en avais une telle envie" soufflais je à
B, les joues rouges de notre chaleur partagée.
"Un verre d'eau?"
B se leva, alla chercher une bouteille d'eau.
Je me levais à mon tour, ouvris la fenêtre, humais l'air extérieur en quête de fraîcheur.
A son retour, B me tendit un verre d'eau, me fixant d'un regard que je ne lui connaissais pas.
"Moi aussi, j'en avais énormément envie" me dit B
"Entre autres" me decrocha t elle dans un sourire.
Debout l'un en face de l'autre, je la saisissais par les hanches pour l'attirer à moi et m'inclinais afin de reprendre le cours de notre baiser passionnel.
Nos corps, dès lors se cherchèrent, nos mains venant circonscrire les formes de nos corps.
Rapidement, nous nous aidions à tomber nos chemises...ainsi que son soutien gorge, le contact de nos peaux aimantées de désirs réchaufèrent encore l'atmosphère.
B calait sa bouche au creux de mon large torse, embrassant mes têtons, les mordillant légèrement, ce qui eut pour effet d'intensifier mon excitation déjà grande.
Ses magnifiques seins maintenant libérés venaient se presser contre mon torse, nos mains s'evertuant à dompter la peau de l'autre et ressentir les effets qu'elles procuraient à leurs contacts.
Ma bouche s'aventurait à la base de son cou, de sa nuque et de ses épaules.
Je ressentis l'indolence de son corps, désireux de s'abandonner à mes soins.
Je reculais B afin qu'elle s'assoit sur le canapé.
Agenouillé au sol, je continuais à embrasser son cou, mes mains descendant sur ses seins pour les caresser.
A mon contact, je les sentais se gorger de désirs, leur forme s'arrondir, les mamelons se durcir sous l'effet de mes doigts.
Ma bouche, en renfort, vint à la rencontre de ses délicieux monts.
Quand ma langue cessait un instant de s'en délecter, mon pouce et mon index venaient les titiller tour à tour, décuplant chez B un apparent plaisir.
La tête renversée, le regard transporté de plaisirs, B, alanguie, m'offrait son corps a embrasser.
Avancant ses fesses sur le bord de la banquette, B vint faire reposer ses pieds sur mes épaules en retroussant sa jupe.
Je couvrais maintenant l'intérieur de ses cuisses de mes baisers.
Son bassin tressautant sous ma bouche, les pieds de B prirent appui sur mes épaules afin que je libére son intimité du tissu qui la couvrait encore.
Les mains de B attiraient irrémédiablement ma bouche vers le fruit de ses plaisirs.
Moi qui en suis si friand, B s'offrait littéralement à moi.
De cette position si confortable pour elle et avenante pour moi, ma langue - profondément gourmande - se réjouissait d'explorer aussi intensément son intimité.
Ainsi livrée à moi, son désir de s'ennivrer de plaisir dans cette position était palpable.
Chaudes, humides, ma langue venait au contact de ses nymphes, que je recouvrais de baisers délicats.
Sa vulve, toute humidifiée, recevait ma bouche et ma langue joueuse qui tantôt agaçaient son clitoris, tantôt son capuchon,
alternant les sensations et leur rythme.
Ma langue gourmande passait de son vagin à son clitoris avec une application goulue, toute mon attention était portée sur les réactions de son corps et des signaux qu'il me renvoyait.
" Oh oui, oh oui" B de sa respiration saccadée m'encourageait à continuer de lui donner du plaisir ainsi.
Il ne m'en fallait pas plus pour comprendre que son corps m'appelait à davantage.
Mes lèvres venaient se refermer sur son clitoris, ma langue s'aventurait dans son vagin plus profondément.
Je ressentais tantôt la pression de ses cuisses autour de mon visage, tantôt ses talons qui s'enfonçaient dans mes épaules, une variation d'ondulations telle une danse de sources de plaisirs a encore faire grandir.
En état de cause, nous nous adonnions à des plaisirs communs.
Mains jointes au dessus de la tête, l'index de B venait par moment se mêler à ma bouche pour que nous jouions ensemble un duo de plaisirs.
"Attends un instant" - le regard de B s'intensifia d'un éclat coquin.
Elle otait maintenant sa jupe... pour plus de liberté pensais je.
B me prit par les épaules afin de m'allonger à plat dos sur son canapé.
Sa voix légèrement voilée me susurra avec un regard profond
"J'adore qu'on me lèche ainsi"
Dis avec ce changement de ton, je percevais chez B un désir grandissant, ce qui avait pour effet d'accroître le mien.
Ainsi positionné, B vint s'assoir sur ma bouche, y poser son sexe dans une quête de sensations encore plus grande.
Ses pieds reposaient au sol, ses mains installées sous ma nuque, j'étais livré a la danse frénétique de son bassin, ma bouche devenant l'objet de sa monte assurée.
Ma langue et mes lèvres, étaient entièrement dévouées à sa recherche de jouissance qu'elle exprimait d'une manière de plus en plus vocale.
Son souffle, ses petits cris arrivaient à mon oreille comme les témoins d'un plaisir grandissant.
B avait de moins en moins de retenue - telle une éruption de désirs et de plaisirs à consommer, elle chevauchait ma bouche avec détermination.
"Encore encore encore " ses mots sonnaient comme une escalade des sensations qu'elle éprouvait.
Entièrement soumis à elle désormais, B pressait ma bouche contre son vagin de longs instants, son bassin guidant ma bouche sur les zones de plaisirs qu'elle recherchait.
Je ressentais toute la tension à partir de son bas ventre, ses gémissements étaient de plus en plus sonores, ce qui me comblait d'excitation.
B s'agitait maintenant avec frénésie sur mon visage intensifiant son degrés de jouissance.
J'en étais désormais certain, B irait jusqu'au bout et voudrais jouir ainsi....
Et me revenait en tête un sujet que nous avions un jour sous entendu.
Délicatement, je saisissais ses fesses et plantais mon regard dans le sien.
"...sur ma bouche?" l'interrogeais je
Elle me répondit d'un sourire, vint placer une main pour ouvrir grand ses lèvres, de son autre main - son majeur et index - vinrent faire exploser son clitoris de plaisirs.
Une contraction, encore plus forte, un râle lancinant, B jouit au dessus de moi et se répandit au dessus de moi d'un abondant flot saccadé que je n'aurais pu soupçonner.
Nos sourires se répondirent dans un moment de partage complice.
La douche, la nuit furent le théâtre d'étreintes torrides - nos corps se fusionnant dans de nombreuses positions qui comblèrent nos désirs charnels.
L'alarme...beaucoup trop tôt pour le peu de temps de sommeil.
Au matin, B disparut sous le drap
Nue, elle remontait et descendait en continu le long de mon corps, le contact de ses seins de mon torse à mon sexe mettait déjà mes sens en éveil.
Sa bouche prenait le relais embrassant mon torse, mon ventre, mes hanches, testicules pour finir par mon sexe
Sa langue montait et descendait tout du long provoquant une belle érection.
Sa main se saisit de mon sexe et le masturbait lentement
Mon gland, apparent, recevait ses petits coups de langue.
B pressa de sa main mon sexe sur sa langue sortie.
Le prenant alternativement en bouche et jouant de son index et pouce sur mon gland, mon corps commençait à se contortionner sous l'effet du plaisir.
Sa main et sa langue accélérérent le mouvement.
Son regard cherchait le mien, heureuse de sentir mon corps tressauter sous ses effets coquins.
Je laissais ma tête partir en arrière, pour calmer mon souffle de plus en plus court.
"Je te veux encore"
B marqua une pause.
Mon sexe tendu, B m'escalada mon torse pour l'introduire délicatement en elle.
Elle s'installa sur moi faisant pénétrer intégralement mon sexe en elle et rejeta sa tête et ses cheveux en arrière.
Son fourreau chaud et humide m'accueillit pour une nouvelle partie de plaisirs.
En appui sur ses pieds, elle allait et venait en s'empallant jusqu'à la garde, son bassin menant un rythme de plus en plus effréné.
"Je vais jouir" ai je eu le temps de souffler...
Je sentis le vagin de B se resserrer autour mon sexe.
Mes abdominaux se contractaient, mon souffle coupé, je me répandais en elle - le corps repu de plaisirs.
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