Il n 'y a pas de mal à ça

Pas besoin de faire de longs discours pour dire si tu éprouves ou non de l'attirance pour les garçons. Si tu es troublé de sentir un homme te désirer, si ça te fait bander, alors pas de doute: tu en es. Et alors?

Proposée le 1/08/2024 par Sacha

Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

En fait, je n'ai jamais compris pourquoi on en fait toute une histoire, vu que franchement il n'y a pas de mal à ça. Ça, je veux dire les histoires entre mecs, le sexe entre hommes consentants. J'avoue bien aimer aussi la différence d'âge, lui plus mûr que moi.

Si tu trouves bien avec un autre homme, tout se fait le plus naturellement du monde, et il serait bien dommage de s'en priver.

Quand il m'invita chez lui, le lendemain d'une visite commune dans un musée, on a d'abord passé un bon moment à discuter de choses et d'autres. La discussion revenait souvent sur le désir et l'attirance entre hommes, et si elle est toujours réciproque ou non.

Je sentais bien que la réponse qu'il attendait, ce n'était pas que des mots. Mais bien plus, que je me mette nu devant lui, que je m'exhibe, que j'offre et livre mon corps tout entier à ses caresses.

Il fait dire que la veille, lors de la visite d'un musée d'antiquités, j'ai pu voir en sa charmante compagnie des sculptures grecques antiques avec pas mal d'éphèbes nus en compagnie d'hommes d'âge mûrs, leurs amants. Il m'expliqua qu'à l'époque, vers la fin de l'âge de bronze, c'était considéré comme honteux pour un garçon de bonne naissance de n'avoir pas encore trouvé d'amant.

Je me suis alors senti visé.

Sur les vases antiques, pas mal de garçons avaient une érection. J'étais troublé.

Revenant sur notre visite au musée de la veille, il me demanda ce que j'avais alors éprouvé. Ne pouvant lui cacher mon trouble, je lui dis que cela m'avait excité. Et que notre conversation ne faisait qu'augmenter mon trouble.

C'est alors qu'il m'a dit:
- Montre moi.

Je n'ai pas hésité à exhiber ma queue, qui bandait ferme. Mon sexe en érection disait tout. En plus, je m'étais entièrement épilé le matin, et ça l'excitait ce spectacle, il pouvait fantasmer que j'étais impubère.

Il se saisit de ma queue, me décalotta pour libérer mon gland turgescent, et fit lentement coulisser mon sexe dans sa main puis dans sa bouche.

J'étais aux anges. Mais il a mis fin à ses attouchements et à sa fellation lorsqu'il a sentir que j'allais venir.

Nous n'avons pas tardé à nous retrouver tous les deux à batifoler nus sur son lit. Nous nous sommes enlacés dans des étreintes fougeuses, comme deux hommes peuvent le faire, nos queues se mêlaient, se frottaient l'une contre l'autre, elles aussi s'enlaçaient, et ne se quittaient que pour mieux se retrouver. Et à chaque fois que nos queues se retrouvaient au contact l'une de l'autre, nous bandions encore plus.

Moi, j'étais plutôt passif, à moins qu'il ne faille dire passive. Je me laissais faire. Il a longuement caressé mon dos, puis mes fesses, bien rebondies, en s'attardait sur ma raie. D'elles-mêmes, mes fesses s'écartaient, lui disant oui, pour qu'il me comble. Il sentait bien que j'étais en rut, comme une femelle en chaleur.

Ses doigts experts firent se dilater et se contracter mon œil de bronze, mon petit trou du cul, avant qu'enfin je puisse sentir son gland venir s'y aboucher. Il m'a sauté, et j'ai joui de me faire enculer.

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