Depuis un certain temps, cet ami porté sur les garçons me disait régulièrement. "Alors, ma chérie ....". Je me prêtais au jeu, qui ne me déplaisait pas, sans pour autant répondre à ses avances ni être son amant. Mais je me suis pris au jeu, et le pouvoir des mots à fait qu'il est devenu mon amant.
Proposée le 20/07/2024 par Sacha
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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
"Alors, ma chérie ...": comme le titre ne l'annonce pas, il s'agit en fait d'une histoire entre mecs.
Il y a des mots, comme ça, qui ont un étrange pouvoir, celui de faire de vous quelqu'un que vous ne vouliez pas être, tout en l'étant déjà au fond sans vouloir vous l'avouer.
Dans mon cas personnel, quand j'avais 18 ans et lui 40, c'est comme ça que j'ai compris à quel point j'étais une honteuse, un homo refoulé, à quel point j'étais gay et aurais bien tort de m'en priver.
Mon ami ne cessait pas de me reluquer, tout en me faisant remarquer que j'avais quand même un côté assez féminin. Quand nous nous quittions, en fin de soirée, il me mettait les mains aux fesses. J'en frémissais d'aise, et il me disait alors que je devais sans doute être "une passive".
Lui ne se cachait pas d'avoir eu nombre d'aventures avec des garçons, souvent de mon âge, à qui ça avait bien plu, "alors pourquoi pas toi?", est-ce que j'allais continuer longtemps à "faire ma chochotte"?
Moi, je n'étais pas sans éprouver une certaine attirance pour les garçons, je dirais même une attirance certaine, mais que je ne m'avouais qu'à moitié. Quand il me disait que si, je protestais mollement, je disais que non pas du tout, et quand il me demanda si je m'étais souvent branlé avec des garçons, mon silence gêné lui fit comprendre que oui.
Des conversations de ce genre avaient le don de provoquer en moi une érection, tant ça m'excitait. Au point qu'un jour il plaqua sa main sur la bosse de mon pantalon en me disant: "Alors, ma grande ...?".
Je n'en pouvais plus de lui mentir sur mes véritables penchants, qu'il avait si bien devinés. Je lui ai avoué un jour, j'ai fini par lui avouer qu'en fait ça me titillait de penser au sexe entre hommes. Que ça me faisait bander.
C'est comme ça que je suis devenu sa chérie, au point d'en redemander.
Un jour, en fin d'aprés-midi après une longue marche en forêt, il m'a retenu à diner chez lui. Fourbus, nous avions beaucoup transpiré et une douche s'imposait, me dit-il, avant de passer à table. Promis juré, il allait bien me récurer partout sous la douche, en tout bien tout honneur, j'étais sa princesse.
J'avoue qu'un certain trouble me gagna à l'idée de me retrouver tout nu avec lui. Mais enfin il fallait bien que j'en passe par là. En même temps, ça me plaisait bien l'idée d'être dorlotté et chouchouté.
"Ça va ma biche?". Oui, l'eau était à la bonne température. Il m'a donc rejoint sous la douche, et je n'ai pas résisté au plaisir d'admirer son sexe, qui bandait.
Il m'a savonné amoureusement, on aurait dit des caresses. Pour donner le change il a commencé par la nuque, les aisselles, le dos. Puis j'ai cru comprendre que j'avais sans doute beaucoup transpiré des fesses, tant il s'y attardait, et même la raie, si intime, "faut qu'ce soit bien propre, cet endroit-là".
Et je ne sais pas pouquoi, tout en m'astiquant la raie des fesses, de l'autre main il pinçant mes tétons, ce qui avait le don de m'exciter au plus haut point.
Puis nous nous sommes retournés et, face à face, l'exploration reprit de plus belle. Sa queue était raide, et mon érection trahissait mon excitation. Prenant mon sexe en main, il le fit coulisser. J'aimais bien sentir la main d'un mâle me décalotter la verge.
Nos deux queues s'entendaient à merveille, fôlatrant l'une contre l'autre. J'adore. Il pelotait mes fesses.
Pour finir en beauté, il me pria de me retourner, de me couber vers l'avant en posant mes mains sur les rebords de la baignoire. Je me suis exécuté. Il a caressé mon pourtour anal, puis m'a doigté. Au fond, j'étais aussi fier qu'excité de lui offrir ainsi et de manière aussi obscène mon petit trou du cul, j'ai senti sa langue, puis un lubrifiant.
Ma rondelle encore vierge n'en pouvait plus d'attendre, je me dandinais et trémoussais du cul comme une gonzesse en chaleur que j'étais, ma rondelle se contractait et se dilatait, au rythme de ses caresses, en attendant son homme, en attendant la belle queue qui allait venir me pénétrer, m'enfiler, me combler, cette queue toute raide que, je n'ai pas osé le dire, j'avais bien léchée et sucée sous la douche, la queue de mon homme en train de devenir mon amant, par qui j'allais enfin être sauté.
C'est entré comme du beurre. Il m'a enfilé comme une reine. J'avais enfin une queue en moi, j'avais un amant qui se vanterait bientôt auprès de ses amis de m'avoir enculé, et je dirais que oui, qu'on avait fait l'amour lui et moi, et que j'étais à lui.
Il a déchargé en moi, tout en me branlant. Et quand ça l'a repris, il m'a dit: "Alors, ma chérie ...?".
Sa chérie était comblée, et en redemandait.
J'étais enfin dépucelé du cul, et maintenant, j'avais un mec.
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