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Bonne baise à la ferme

C'était dans une ferme du sud-ouest de la France. Mon ami toulousain m'avait invité à dîner et dormir à la ferme, chez sa mère. Mais j'étais loin d'imaginer que la nuit serait aussi torride.

Proposée le 20/07/2024 par Sacha

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Thème: Jeu érotique
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Mon ami plus âgé m'avait donc fait l'honneur de m'inviter chez sa mère, à la campagne, dans la ferme familiale.

C'est vrai qu'on avait déjà un peu fricoté ensemble, vu que avions en commun l'attirance pour les garçons, mais là les choses se sont un peu précisées.

On s'était déjà branlés mutuellement et fait quelques gâteries, genre se tâter les couilles, se lécher et se sucer la bite. Mais rien de plus. On s'était juste fait jouir en se branlant, queue contre queue, en mêlant nos spermes.

Qand je m'apprêtais à m'endormir dans la chambre d'ami de son appartement il n'était pas rare qu'une main amie et tendre vînt caresser langoureusement mes fesses, et on imagine la suite, quand je les écartais à sa demande et qu'il saisissait mon sexe en érection.

Mais rien de plus, en somme, que quelques services entre garçons, dont nous raffolions l'un et l'autre. Et quand il me branlait, j'étais aux anges. J'écaculais en poussant un cri de volupté.


Chez sa mère, il s'est permis de débarquer dans ma chambre à une heure déjà assez avancée de la nuit.

Était-ce dû à la situation, à un rêve érotique, à son arrivée imprévue? Toujours est-il que cette arrivée m'a plutôt excité. Il s'est vite déshabillé et, touchant mon sexe, a vu que je bandais ferme. Il faut dire que j'étais nu, ce qui lui a sans doute faciliité les choses..

Ce qui me plaisait bien et à vrai dire m'excitait dans cette situation, c'était le sentiment d'être à lui, de lui appartenir quand l'envie lui en prenait. Une fois je lui avais dit oui, en effet, on avait fait l'amour tous les deux, alors il considérait que j'étais à lui en toutes circonstances, et j'avoue que cela était loin de me déplaire, ce sentiment d'appartenir à un homme, vu que nous étions déjà, comme on dit, cul et chemise.

C'est vrai que dans nos étreintes on se sentait faits l'un pour l'autre. Et je n'était pas peu fier d'avoir pour partenaire presque officiellel un homme mûr qui, dans les moments d'intimité et parfois même devant des amis, m'appelait "ma biche". J'étais fier d'être sa biche, toujours réceptive, accueillante, ouverte à ses désirs.

Parlant de moi, il disait "mon amant" , et rien que ça me faisait bander, comme une histoire de cul officialisée, comme s'il disait: "ce mec, je m' le fais quand j' veux". Et c'était le cas: mes fesses étaient toujours prêtes à s'écarter pour que Monsieur m'encule.

Et ce qu'il a voulu ce soir là, c'est au fond consacrer dans la chair ce lien qui nous unissait.

Il m'a demandé de m'allonger sur le ventre en cambrant bien les fesses. Comme d'habitude il m'a longuement caressé mes fesses rebondies, s'attardant délicieusement dans la fente, me demandant aussi de lui confirmer que je lui appartenais en lui offrant mon cul. Ce que je fis bien volontiers.

Mon petit trou du cul était déjà bien dilaté pour accueillir sa queue, comme une ventouse, en plus il me l'avait très bien léché puis doigté.

Son gland s'est abouché à mon petit trou, donc là franchement j'étais à lui, son homme, sa femme, sa femelle ou comme on voudra dire, c'était moi en tout cas la chatte où sa bite s'enfilait, allant et venait à son rythme jusqu'à jouir en moi et me faire répandre ma semence.

J'étais donc bien son "mec", il m'appelait toujours et encore plus sa "biche" devant ses amis, et j'avoue que je ne demandais plus que ça, d'être le mec qu'il baisait, dont il disait devant moi en présence de ses amis que j'étais une passive, et que j'adorais quand il m'enculait. Ce qui n'était pas faux.

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