Match tinder

Blond, Brun, barbu, tatoué, grande, ronde… je swippais machinalement sans même lire les description qui se profilait devant moi sur l’application Moi qui voulais du renouveau... ce match tinder ne m'a pas déçu, loin de là, cette histoire me refais mouiller dès que j'y repense...

Proposée le 20/07/2024 par Vivi2345

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme

Blond, Brun, barbu, tatoué, grande, ronde… je swippais machinalement sans même lire les descriptions qui se profilaient devant moi sur l’application de rencontre et… il faut bien l’avouer… sans grande conviction, je ne cherchais pas le grand amour loin de là, juste… une expérience, qui diffère de ce que j’avais pu vivre auparavant. C’est alors en posant mon téléphone que ce dernier se mit à vibrer annonciateur d’une notitifaction… Tiens un match… et un message suit immédiatement:

“ Bonjour, ça va ?” mmmh, voilà qui est original…. ne serait ce pas le moment d’épier son profil avant de répondre ? Voyons ça… Pas de prénom juste un pseudo étrange mmmh bizarre, 4 photos d’accord brun comme j’aime, musicien oh, pas mal … ne recherche rien de précis, 28 ans… Bon jusque là ça passe…
“Hey ça va et toi ?”
"Ça va je suis contente de te parler…"
Et allons y pour le bal des banalités, des questions qui nous permettrait selon la sociabilité de faire connaissance alors que nous savons tout deux ce qui nous amène sur ce type d’application… travail, hobbies, passion, questions - réponses certaines blagues par ci par là et la conversation se fluidifie de minute en minute…. jusqu'à…
“Tu es libre demain soir ?”
Nous y voila, le fameux rendez vous tant attendu, celui qui va me faire descendre une bouteille de bière à moi toute seule tellement je serai anxieuse mais donnons le change, derrière mon téléphone il ne peut pas le savoir, je me sens puissante !
"Ça dépend, pourquoi faire? "
"Si je te donne une adresse, un étage ou aller que je te demande de porter ce que tu veux et de faire ce que je te dis sans poser de questions, tu le ferai…?"
… C’est clairement un truc de psychopathe sa question
“Tu comptes me mettre dans un coffre avant de me découper en morceau ???”
“Ahah non, je veux juste faire un truc différent cette fois, tu as le droit de refuser, je comprendrai, tu as le droit de donner l’adresse à des proches si ça te rassure, mais je vois bien que c’est pas une simple sorti au cinéma ou dans un parc qui te stimulera… Non, toi, il te faut un truc différent, un rendez-vous que tu ne vas pas et que tu ne veux pas oublier…”

Je relis le message plusieurs fois la bouche entre ouverte… le culot, l’audace du type, c’est dangereux, inconscient… et hyper excitant… et pourquoi me préciser que je peux porter ce que je voulais…
“c’est à dire “ portes ce que tu veux” tu comptes me l’enlever?”
“ça dépends, peut être… sûrement… alors tu veux ?”
Après avoir effacé pas loin de 5 messages de menaces, de craintes ou de questions je répondis juste…
“oui.”

C’est alors que je me retrouve là, devant une porte au 5 ème étages d’un immeuble du centre ville, mes jambes étaient encore mouillées par la pluie, qu’elle idée de porter une jupe courte par ce temps, et puis comment je cours avec mes bottines si c’est vraiment un psychopathe??? De toute façon je suis déjà là, attendant que le courage me vient à ma main pour sonner c’est alors au que je remarque un but de papier au bout d’une ficelle attachée à la poignée avec écrit “ Ouvres moi”... je souri à la référence d’Alice au pays des merveilles, mon film préféré dont je lui avais parler hier, je rentre dans l’appartement et vis seulement quelques bougies et un grand et large fauteuil en cuir noir au milieu de la pièce, il y avait personne… je m’approche du fauteuil et vit un bandeau pour les yeux dessus avec comme papier inscrit “ Portes moi” dessus… je m’assis et exécutais, craintive mais à la fois excité de ce qui peut se passer… Priver d’un sens je me mis alors à décoder l’odeur des bougies quand tout d'un coup, j'entendis des bruits de pas me faisant sursauter, mon cœur battait la chamade et mes jambes se collèrent l’une contre l'autre, je me mets à respirer plus fort sans qu’aucun son ne sorte de ma bouche, comme une proie ne voulant pas énerver son prédateur, je sens alors une main, grande et douce sur ma joue, j’eu un mouvement de recule dans un premier temps mais je pris vite plaisir à cette caresse affective, la main continua de descendre sur ma nuque puis plus bas...

“J’ai l’impression que tu pointes sous ton chemisier… je peux vérifier?”
Je fis oui de la tête avant de sentir des deux me masser le téton gauche, mon tanga se mouilla de plus en plus, j'étais tellement excité alors qui ne se passait encore pas grand chose… il se me à le pincés un peu plus fort ce qui me tirer un gémissement
“T’as l’air d’apprécier la douleur aussi… Est ce que je peux descendre plus bas ? Est ce que je peux sentir à quel point cette situation t'excite et même y goûter ?”

Mon hochement de tête était robotique tant la demande m’avait coupé le souffle et je ne tarda pas à sentir sa main me massant la cuisse, me pénétrant ma chair de plus en plus fort et en frôlant mon entrejambe déjà bien humide, ses doigts se mirent à passer sur mon dessous et je l'ai senti sourire à la vue de mon excitation, mon clito déjà bien gonflé se fit titiller à travers le tissu puis me pénétra brutalement avec ses doigts agiles et me les enfonça de plus en plus profonds dans mon antre, ma cyprine coulait entres mes cuisses et il accéléra encore et encore, mes ongles s’enfonçaient dans le fauteuil et je senti que j’allais pas tarder à exploser… Non pas comme ça… Pas maintenant
“Et moi je peux vérifier , si, toi aussi tu es excité ..?” ma voix était loin d’être pleine d’assurance mais cela à suffit pour qu’il retire ses doigts, enfin un moment de répit... il eu un bruit de succion ( il vient de lécher ses doigts là ..? ) et je l’entendis défaire son pantalon avant de réentendre des bruits de pas...
“Vérifie…Mais juste avec ta bouche.”

Il me passa son gland sur mes lèvres, je sorti alors ma langue afin de lécher le petit liquide qui s’en était échappé, je passa ma langue le long de son sex puis remonta jusques atteindre le sommet et le mettre dans ma bouche pour le sucer comme il faut , je l’a mit totalement dans ma bouche afin d’avoir un semblant d’indication sur sa taille et je l'entendit soupirer face à mes vas et viens, j’avais envie de le sucer encore plus fort, de le mettre au fond de ma gorge jusqu'à ce qu'il éjacule, qu’il asperge mon visage, ses gémissements m'encourage à le lécher plus rapidement, je le sentait de plus en plus dur dans ma bouche... avant qu’il se retire totalement, surement pour ne pas jouir… ce qui j’avoue, m’a fait esquissé un sourire de satisfaction, ce qui a vite était pris pour un affront à ses yeux
“Ca te fais rire ?”

Mon sourie fut vite disparu lorsque je l'ai senti m'attraper par la taille pour me mettre debout et me plaquer contre mur dos à lui en me maintenant par les poignets, il déchira ma culotte a une main et s’ inséra en moi d’un coup, son érection était si grande qu'elle me transcende entièrement, j' allaitais le corps bloqué sous son poids et le mur, je me trouvais impuissante face à ses assauts.
“T’es tellement bonne putain, je vais te baiser jusqu’à ce que ce que tu tiennes plus debout, jusqu’a te remplir totalement!”

Je me mordis la lèvre et senti ses mains agripper mes cheveux en même temps qui me pilonnait, mes jambes tremblaient tellement le plaisir lié à le douleur me plaisait, je me maintenais tant que je pouvais au mur pour rester debout mais mon corps avait des spasmes incontrôlables, il se mit a m'étrangler avec sa main gauche pendant que l’autre m’ agaçait le clito, j’en pouvais plus, mon orgasme allait être puissant et il le ressentais aussi
“Vas- y lâches toi, jouis pour moi vas-y”
Je me suis laisser aller à ces mots et envahir par une vague si forte que je perdis pieds , mon cri fut gutturale presque animale, il mit pas longtemps à me remplir de son sperme chaud comme promis après que j'ai jouis, je me laissa tomber sur lui de fatigue… totalement inconsciente...
A mon réveil, j'étais sur le fauteuil, le bandeau par terre, je regardais autour de moi et…personne…encore... je pris mes affaires et partie de ce lieu rempli de souvenirs lubriques plus intenses les uns que les autres… En marchant dans la rue mon téléphone vibre, un 06 inconnu… j’ouvris le message… et...
“ En fait, je m’appelle Théo”

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