Maxime et. la galerie de Madame Lariviere

suite au décès de Madame Lariviere, sa fille Clémence prend la direction de la galerie.Tout ne se passe pas comme prévu la fille est arrogante et hautaine Maxime commence a avoir sérieusement envie de tout changer dans son comportement.

Proposée le 8/07/2024 par THOR

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman

Je m'appelle Maxime 33 ans, je suis expert en art, fils d'un sculpteur et d'une peintre.
Mes parents sont décédés et je travail pour madame Lariviere propriétaire de la galerie du même nom à Paris. A l'age de 17 ans cette dame qui connaissait très bien mes parents et à leurs disparition, m'a embauché et formé au métier.

Sa disparition a été un choc pour moi, sa fille Clémence a repris la galerie, c'est une très belle jeune femme de 29 ans , nous étions ami étant adolescent. Elle est partie faire ses études a Londres et New York puis en Italie avant de venir seconder sa maman qui se battait contre un cancer .

Devenue la directrice de la galerie, elle est devenue hautaine et arrogante en succédant a sa mère.
Traitant le personnel comme de la merde, faisant souvent des erreurs qu'elle imputait aux autres.
Un Vendredi soir en rentrant à la galerie, elle m'appelle et me demande de venir dans son bureau.

Elle est vêtue d'une combinaison en soie bleue marine fermé par une fermeture éclair couleur or avec des escarpins de la même couleur.
C'est vrai qu'elle est bien gaulée, jolie petit cul et une belle paire de seins, dommage qu'elle soit conne.

« Maxime, vous avez fait une erreur de livraison en livrant deux toiles chez Maitre D qui n'en a acheté qu'une »
Une fois de plus, elle refile son erreur sur moi.
Je suis organisé, je sors mon classeur, lui montre le bordereau de commande émis par elle même avec sa signature.
Elle défend sa position en me mettant en cause.
La moutarde me monte au nez, je me lâche en lui disant ses quatre vérités.
«écoutez Clémence j'en ai marre de bosser avec vous, votre arrogance dépasse les bornes avec le personnel »
Je m'approche d'elle je suis plus grand d'au moins 15 centimètres, je la regarde fixement dans les yeux en lui disant :
« si vous aviez un mec je pense que ça ne vous ferai pas de mal »

Dans ma colère, je lui descend la fermeture éclair jusqu'au nombril pour découvrir une paire de seins dans un soutien gorge balconnet en satin rose pale.
Dans le même temps, j’attrape sa nuque et lui pose un baiser sur les lèvres.
Je me rend compte de ma connerie mais elle n'a pas dit un mot.
« bon j'irai demain chez maitre D reprendre la deuxième toile puisque j'ai fais une erreur »
Je tourne les talons et je m'en vais.

Le lendemain Samedi j'ai deux livraisons et je dois récupéré la toile chez maitre D.
Dans l’après midi je reçois un sms de Clémence, me disant ( Maxime en rentrant a la galerie merci de passer au bureau)
Je pense a deux choses ou elle me vire compte tenu de ce qui c'est passer la veille, ou elle va me les casser et me pourrir mon week-end puisque la galerie ferme le Dimanche et Lundi.

En arrivant a la galerie je vais direct au bureau pour en finir.
Clémence est vêtue d'une robe couleur ivoire entièrement boutonnée sur le devant avec un décolleté plongeant sur ses seins enfermés dans de la dentelle blanche, escarpin de la même couleur, collier or, cheveux en chignon.
Franchement elle est bandante comme femme.
« Maxime, je voulais m'excuser pour mon attitude hier »
alors là je tombe des nues …
« Maxime je reconnais que j'ai été odieuse mais tout le poids de la succession de la galerie sur mes épaules c'est lourd, je voudrais que tu me pardonne »

« parce que maintenant ont se tutoient comme quand nous étions ados »
« Maxime, vous enfin tu es mon seul repère maintenant que maman n'est plus là, je voudrais que ça se passe bien entre nous »
« écoute Clemence cela ne tiens qu'a vous enfin a toi pour que tout se passe bien »

« Maxime, je ferme la galerie et pour faire la paix je t'invite au restaurant »
« j'en serai ravi Clémence de repartir sur de bonne base »
« je réserve a la Licorne pour 20 heure retrouvons nous sur place »
« ok Clemence, garde cette tenue tu es vraiment très belle comme çà »
Je la vois rougir a mon compliment sur sa robe.

J'arrive en avance, j'ai mis mon costume Armani bleu marine, chemise blanche et cravate caviar.
Clemence arrive, même tenue mais les cheveux défait.
Elle me complimente sur ma tenue, je lui dis que je n'ai rien a envier sur sa beauté.
« champagne Maxime ? »
« ok patronne »
« Maxime arrête avec çà, ont a dit qu'on faisait la paix »
« dans d'autre circonstance, tu aurais mérité d’être puni »
« comment cela ? »
« je t'aurais mis une fessée pour te faire redescendre sur terre et te remettre dans le droit chemin »
« tu n'y pense pas sérieusement quand même Maxime »
« si, si et j'y aurais pris un grand plaisir »

Clémence est devenue toute rouge, elle n’arrête pas de croiser et décroiser ses jambes j'entend le bruit des bas qui frottes l'un contre l'autre.

« je n'aurai jamais accepté que tu fasse cela »
« mais la soirée ne fait que commencer Clémence »

Elle a failli s’étouffer avec le champagne.
Le diner est servi, j'envoi quelques piques sur sa vie de célibataire, je sens qu'elle se déride, elle devient plus a l'aise et coquine dans ses propos, l'alcool aidant.
Je propose un cognac avant de partir.

Elle va aux toilettes pour se refaire une beauté et vider sa vessie.
Je lui glisse a l'oreille :
«profite pour enlever ta culotte »
« non mais ça va pas Maxime »
« tant pis pour toi tu sera puni »
elle tourne les talons et part
de retour elle va régler la note mais je l'ai déjà fait
« Maxime j'avais dis que je t'invitais »
« tu m'offrira le dernier verre »

Dans le taxi, je l'embrasse dans le cou, pose ma main sur sa cuisse .
Pas de résistance majeur,l'alcool embrume son esprit.

Arrivé a son appartement, je suis obligé de mettre la clé dans la serrure, Clémence est parti dans ses pensés.
La porte fermé, je l'attrape et l'embrasse a pleine bouche, elle accepte mon baiser avec une langue molle.
Je déboutonne la robe de haut en bas, je découvre l'ensemble de dentelle blanche le porte jarretelle et les bas.

« Maxime, je ne sais pas si .. »
«  silence tu sais que tu es puni Clémence »
J’enlève définitivement la robe qui tombe au sol.
Elle est vraiment super bandante comme femme.
Je lui met une claque sur la fesse et dit
« alors se verre tu nous le sert »
« tu m'a fais mal a la fesse Max »
« ce n'est que le début »
« comment çà »

Elle arrive avec la bouteille de cognac et deux verres, je pose le tout sur la table basse.
Je l'attrape par les poignets, la bascule sur mes cuisses et commence a lui mettre des claques sur les fesses en douceur, puis plus insistantes.
« Max arrête çà tout de suite tu me fais mal »
« tu vois ce que c'est d’être arrogante, maintenant tu es plus docile quand tu es puni »

Je la retourne l'embrasse et commence a lui caresser les seins, le soutien gorge dégrafer, mes mains caresse ses seins magnifiques ont dirait deux pamplemousses.

« Clemence tu sais que ça fait des années que j'ai envie de toi et de te baiser, alors je vais rattraper le temps perdu ce soir »

Elle s'envoie un verre de cognac presque cul sec, elle va être pompette grave.
Elle commence a vaciller, ma main glisse dans sa culotte, mes doigts écartent la fente de sa bonbonnière, elle est toute mouillée la garce et elle se laisse faire.
Je la renverse dos sur la table, fais glisser la culotte, et commence de ma langue a suivre le sillon du bonheur .
Je la lèche, l'aspire, la bois, j'enfonce ma langue dans sa chatte bien détendue .
Son clitoris décalotté, ce bonbon acidulé va se faire martyriser de ma langue pendant que Clémence gémit de plus en plus.

J’enlève mon costard, le caleçon et a ce moment je me dis que la nuit va être longue.
J'attrape Clémence par les mollets que je posent sur mes épaules, j'enfile mon gland dans sa vulve trempé et pousse jusqu'au fond de sa grotte.
Sans de vraies réactions de sa part, je commence par des poussées prononcés de ma queue qui tape dans son utérus, Clémence réagi par des cris, je passe a la vitesse supérieur et je la défonce carrément, mes boules claques dans ses fesses, ses seins sont ballotés dans tout les sens sous mes assauts.
Clémence cri, hurle
« Max tu me baise ? »
« oui ma garce, je te puni »
« Max puni moi plus fort encore »

L'alcool fait son effet, je la retourne sur la table, son cul est encore rouge de mes claques, j'ai un peu honte d'avoir claquer d'aussi belles fesses.
Avec ses escarpins elle est juste a la bonne hauteur.
Je l'enfile sans préliminaire d'une traite en lui arrachant un cri de bête.
Sa chatte est grande ouverte de mon précédent assaut.
Je remet le couvert, je m’écrase dans ses fesses a chaque poussée la cadence est élevée, elle fini par jouir dans des spasmes de son corps.

« Maxime tu m'a baiser comme une vulgaire salope »
« mais tu es une salope Clémence »
Je fais claquer le porte jarretelle sur sa cuisse, ce qui la fait crier
Je l'a fait mettre a genoux devant moi
« suce moi Clémence »
« non Maxime pas çà »
Je l'attrape par les cheveux lui colle ma verge bien en vue, mon gland devant ses lèvres, je pousse, elle fini par céder.
Tenant sa crinière, je lui montre la cadence.
« tiens ma queue avec tes mains Clémence, comme ça tu me sentira venir »
Elle va pour se retirer en râlant mais je lui enfourne ma bite dans la bouche.
Je ne tiens plus, j’éjacule dans sa bouche, je la tiens fermement, je n'en fini pas de me vider, elle est au bord de l’étouffement, elle est obligé d'avaler.
Je me retire, ça coule encore sur le bord de ses lèvres, je la prend dans mes bras.
« c'est ou ta chambre ? »
sa tête dans mon cou
« a droite Max »

Je la pose sur le lit , enlève le porte jarretelle, les bas trempés par ses secrétions a l’intérieur des cuisses.
« Max j'ai soif donne moi de l'eau »
Je reviens avec un verre, pendant qu'elle boit, je lui caresse les seins, pince les bouts, les sucent, les lèchent, elle gémit.

« Max pourquoi tu m'as baiser aussi fort »
« pour te punir Clémence »
« ça y est j'ai été puni alors ? »
« pas encore »
Je m'adosse a la tête de lit, pose son visage sur mon ventre.
«  suce moi encore j'aime sentir tes lèvres sur mon gland et ta langue »
«  non Max, tu va encore me remplir la bouche »
« promis je ne me viderais pas dans ta bouche si tu me suce comme une déesse »
Clémence commence une fellation divine .
Je suis dur comme un morceau de bois, ma verge gorgée de sang a envie d'autre chose, je la met sur le ventre, glisse un oreiller sous son bassin, le cul bien en l'air je l'enfile et fait du trampoline dans ses fesses elle crie.
« alors cette punition te convient Clémence ? »
« oui Max, baise moi fort, encore plus fort, défonce moi, fait de moi ta chose pour cette nuit »
« parce que tu croit que ça va s’arrêter a cette nuit ma belle »
« mais Maxime ont baisent par ce que ont avaient envie c'est tout »
« tu crois ça Clémence, ton cul et ton corps son a moi désormais et tu va le crier »
« comment ça ? »
J’écrase ma bite bien au fond de tout mon poids.
« aaahhh aahhh  Maaaxx »
« crie moi que tu veut que je te prenne souvent et que ton cul m'appartient »
« Maax »
« alors petite salope j'attend »
nouveau défonçage de sa chatte en trois coups de ma queue
« oui oui Max prend moi fort je suis a toi »
« dis moi que tu aime et que tu m'aime »
« Max t'es un salop tu sais que j'aime quand tu me baise fort, je suis ta petite salope d'amour »
« j'ai pas entendu de je t'aime »
De nouveau ma queue défonce son vagin, j'en ai mal au gland tellement je suis excité.
« ouuiii je t'aimmmme continu a me prendre fort je vais jouir »

L'orgasme de Clémence est phénoménale dans des cris et des tremblements de tout son corps.
Je suis vautré sur son corps, elle est épuisé, je sort mon sexe de son ventre, entame des caresses dans sa fente et commence a tourner autour du petit trou ridé.

Aucune réaction du a la baise et a l'alcool .
Mon doigt pousse pour pénétrer ce coin de paradis en perdition.
Mon index fore son trou, le pénètre de mon doigt, ma salive aide a lubrifier, Clémence est dans un état second.

Je décide de la prendre pendant qu'elle est dans les vapes.
Je présente mon gland devant l'orifice ridé mais légèrement distendu, je pousse mon gland a l’intérieur, Clémence grogne, je progresse lentement jusqu'à la garde et attend que ses chairs m'acceptent.
Une fois au fond je commence mes vas et viens, ce qui réveille Clémence.
« maaiis Max tu es dans mon cuuul »
«  oui ma beauté, je t'ai dis que je te voulais entièrement et tout a moi »
« maais tu me sodomise »
«  oui chérie et je te promet de jouir dans tes reins »

Mes vas et viens intensifient leurs cadences, Clémence ne râlent plus, ne gémit plus, elle crie
« Max tu me déchire le cul, j'ai maall » « non encore continue baise moi le cul, tu l'a défloré alors va au bout »

Puisqu'elle insiste, je vais la prendre sans ménagement, son trou est ouvert lorsque je sors, je replonge dans cet aven de punition. Je sent son anus qui palpite avant qu'elle jouisse ce qui m’enserre la queue et me fais jouir a mon tour par grandes saccades de sperme au fond des ses reins.

« Max, j'ai jamais joui comme çà, tu m'as défloré le cul et tu sera le seul a m'avoir prise par derrière, j'ai senti ton jus au plus profond de moi »
« Clémence, tu as joui aussi fort parce que tu te sent aimer et tu sait ce que tu représente pour moi »
« Max j'ai mal partout, mais j'ai encore envie que tu m'aime fort, je vais prendre une douche et je reviens »

J'entend l'eau couler, j'ouvre la porte, dans la vapeur je m'introduit dans la douche, prend ses seins de mes deux mains, me colle a elle, mon sexe en érection de nouveau, je le place dans le sillon de ses fesses.
« Maxime, j'aime te sentir contre moi, quand tu me caresse, mais j'aime aussi quand tu me baise fort je sent que je t'appartiens je suis a toi ta chose »

J'appuie sur son dos, elle se penche, s'agrippe au mitigeur, je lui écarte les jambes et la pénètre.
L'eau est chaude, son vagin aussi, nos corps a l'unissons, je vais et viens dans son ventre dans des flics flocs d'eau et de pénétration.

Je la sent qui se tend, elle monte sur la pointe des pieds pour que la prenne plus profond.
«  Max vas y plus fort, baise moi bien »
Je la défonce dans les éclaboussures, elle joui, se met a genoux devant moi dos au mur, me suce jusqu'à ce que j’éclate dans sa bouche, elle m'avalera jusqu'à la dernière goutte.

A quatre heure du matin nous finirons par nous endormir.

A sept heure, je suis debout, je descend à la boulangerie chercher des croissants.
A mon retour elle dort allongé sur le dos les jambes écartées, l'idée arrive immédiatement a mon cerveau, je me déshabille, je m'allonge entre ses cuisses je lèche le sillon et son bourgeon pour son réveil.

Elle commence a gémir, j'insiste de ma langue pour l'ouvrir, le bonbon bien décalotté, ma langue mouille bien les grandes lèvres, je la bascule en position de PLS, enjambe sa cuisse et la pénètre.

« Maaaxx, j'ai encore le ventre en feu »
« je ne fais que raviver la braise qui est en toi mon amour »

Toute ma longueur entre et sort dans son puit d'amour.
Une fois bien réveiller, j’accélère la cadence de mes pénétrations.
« hon hon c'est bon, ooui ooui vas y je vais jouir Maxime »

Comme un soudard, je la défonce jusqu'à ce qu'elle jouisse dans un cri, le corps secoué de contraction j’éjaculerai au fond de son vagin par grandes giclées.
« çà c'est du réveil Max »
«  non chérie c'était le petit déjeuner comme ça tu a le ventre plein »

Après sa douche nous décidons de partir faire une virée en moto au bord de la Marne.
Son corps collé contre moi, dans le micro du casque Clémence me dit « je t'aime Max »
Elle se sert encore plus fort, caresse mon entre jambes.

« Clém arrête tu m'excite »
« j’espère bien que je t'excite mon amour »
« ça va mal finir Clémence »
« alors trouve un petit chemin et prend moi sur la moto j'ai envie »

premier chemin j’arrête la moto dans une clairière.
« Clém tu est insatiable »
«  c'est de ta faute Max fallait pas me faire l'amour toute la nuit et me baiser »

Je lui baisse le jeans sur les chevilles ainsi que son string, je la couche ventre sur la selle de la Triumph, la salive comme lubrifiant de mon sexe, je l'enfile d'une poussée alors qu'elle est toute mouillée.

« c'est çà que tu voulais ma petite salope d'amour »
« oui mon amour j'aime quand tu me prend fort et que je sent qu'ont ne fait plus qu'un »

La moto bouge sous mes coups de boutoirs dans les fesses de Clémence, j'ai décidé de lui faire comprendre qu'elle ne peut plus se passer de moi.
Je la fais crier en lui ravageant le ventre, mais je décide d'aller plus loin, mon pouce entre dans son anus et prépare le passage.
Copieusement défoncé, je change de trou.
« nooon Max ça fait mal putaiiinn t'es un salop »
« pourtant tu as aimer cette nuit et tu m'as dis que moi seul te prendrai par derrière »
« oui mais j'ai encore le cul en feu mon amour alors vas y doucement »
« mais t’inquiète ma petite salope d'amour je vais te prendre en douceur »

Je pousse en délicatesse mon gland, le petit trou se referme dessus et je m'enfile en douceur dans son conduit ma verge gorgée de sang prête a exploser.

« Max je la sent grosse »
« elle est rien qu'a toi ma chérie »
« promis juré Maxime, tu sera uniquement à moi »
« je te l'ai dis cette nuit, tu est mon amour pour toujours »
« alors fait moi voir que tu possède tout de moi »

Sitôt dit sitôt fait, le locomotive se met en marche dans son tunnel.
Je suis excité comme une bête en rut, mes pénétrations, deviennent plus puissante, mes mains écartant bien ses fesses pour faire place à ma queue.

Clémence crie, hurle dans la clairière.
Elle va subir un assaut comme jamais, son anus ne se referme plus lorsque je ressort pour plonger de nouveau dans ce trou béant.
« je suuis foolle, casse moi chéri je veux me souvenir de ce moment pour la vie, déchire moi, après tu réparera les dégâts »

Au moment ou elle crie d'un orgasme dévastateur pour son corps, je me vide les couilles dans ses reins sans commune mesure.

Je la sent vaciller des jambes, je la retient pour qu'elle ne s’écroule pas.
Je la prend dans mes bras, les larmes aux yeux elle me dit :
« Max mon amour jamais de la vie on ne m'a fait çà, tu m'a défoncé le cul comme un dingue et j'ai joui comme une folle plus jamais tu ne me quittera ? »
« c'est promis je te garde prêt de moi pour la vie mon amour »

Après quelques coups de kleenex pour éponger les surplus entre ses cuisses et sur mon sexe, Clémence a du mal a enjamber la moto et je peux la comprendre.
Enlacer a moi comme un boa, elle n’arrête pas de me dire dans le micro du casque qu'elle ne veut que moi, qu'elle m'aime plus que tout et pas que pour la baise juste pour l'amour que je lui porte.

Nous finirons dans une guinguette au bord de la Marne, pour une friture avant de retourner sur Paris.

Je vais prendre soin d'elle, dans le bain et au lit pour cicatriser de mes caresses mes assauts répétés sur et dans son corps.

La semaine suivante, je reçois chez moi un courrier à l’entête de la galerie.

Cette présente lettre m'informe que je suis promu directeur expert associé de la galerie Lariviere.
Je suis ravi que Clémence est compris l'amour que je lui porte.
Nous vivons désormais dans une ambiance qui a changer du tout au tout a la galerie.
Clémence et moi vivons ensemble dans la plus parfaite harmonie, d'amour charnel et d'entente.

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