Madame Lemaitre est piégée par un film sue ses ébats amoureux et cela va lui couter sa vertu. Elle va devoir céder aux désirs pervers de son maitre chanteur
Proposée le 6/06/2024 par rouillip
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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
La DRH ne porte pas de culotte
A la suite de cette réunion « semi-professionnelle » avec madame Lemaitre je jubilais du petit piège que je lui avait infligé. En effet pendant qu’elle était à genoux face au mur, culotte baissée et mains sur la tête j’avais installé mon portable pour filmer toute la scène. Elle n’avait rien vu car elle était face au mur et ensuite envahi par le désir elle n’avait rien remarqué. Cela me donnait un avantage sur elle et je comptais bien en profiter.
Un soir je frappais donc à la porte de madame Lemaitre sous un prétexte futile
DENISE : Entrez Pierre asseyez-vous
PIERRE : Merci madame
DENISE : que voulez-vous
PIERRE : Je voulais vous parler de l’autre soir
DENISE : C’est une histoire classée et il n’y a pas à y revenir
PIERRE : Si justement j’ai une information importante
DENISE : Sans objet !
PIERRE : C’est que toute le scène a été filmée
Le visage de madame Lemaitre passa du rose au blanc puis au rouge
DENISE : Comment ?
PIERRE : Pendant que vous tourniez le dos, vous vous souvenez, j’ai installé mon téléphone
DENISE : C’est sordide, vous n’auriez pas du.
PIERRE : rassurez-vous, je n’ai pas l’intention de vous faire chanter, c’est juste un cher souvenir
DENISE : Que voulez-vous dire par Cher ? De toutes façons je n’ai pas autorité sur les augmentations
PIERRE : Madame, je vous en prie il n’est pas question d’argent
DENISE : Alors de quoi s’agit-il
PIERRE : Juste un petit moyen d’incitation à certains gentillesses
DENISE : Vous voulez dire que contre une petite gâterie vous me donneriez le film
PIERRE : Madame un tel souvenir ne se marchande pas, c’est trop personnel et j’y tiens
Elle avait repris des couleurs et un peu de son assurance. Sans doute ma promesse de ne pas divulguer ces images l’avait soulagé
PIERRE : Ne m’en voulez pas mais ce fut un tel moment de plaisir, ça justifie de dépasser les limites de la décence.
DENISE : Sommes toute vous voulez me sauter avec ce moyen de pression ?
PIERRE : Exactement, vous avez tout compris, vous trouvez que c’est mal ?
DENISE : Ma foi, je ne dit pas franchement non, mais croyez-vous qu’il faille ce vilain chantage pour arriver à vos fins. Vous pouviez le demander gentiment et je ne saurais rien vous le refuser
PIERRE : Si vous faites un petit effort je, vous promet de détruire le film, alors à ce soir 19 heurs
DENISE : Qu’appelez-vous un effort ?
PIERRE : Vous savez ce petit trou encore inexploré, j’aimerais le visiter
DENISE : Je vous vois venir petit cochon, vous voulez me sodomiser Vous êtes un spéléologue dans l’âme, alors pourquoi pas une petite expédition
PIERRE : Punitive ?
DENISE : Tais-toi idiot, à ce soir 19 heures. Toi en tenue d’explorateur et moi en hôtesse d’accueil
Je quittais la pièce, content de mon petit chantage et pressé de pénétrer dans cette caverne profonde. Pourtant je m’interrogeais. Avait-elle cédé à mon chantage par crainte pour sa réputation, était-ce un ultime désir de punition, une envie de sexe, ? Et que voulait-elle dire par : cette tenue d’hôtesse d’accueil.
Je peux vous dire que la journée passa lentement et que le concentration sur mon travail fut minimum.
Le soir, à 19 heures je frappais à la porte de son bureau. Pas e réponse. Je frappais encore , toujours rien. M’avait-elle posé un lapin ?
Je décidais de pousser la porte et la : Waooouh ! Elle était assise à son bureau, en culotte et porte jarretelles rouge vif, souriante, les cheveux défait
PIERRE : Ho ! c’est cela la tenue d’hôtesse
DENISE : Disons plutôt la tenue d’accueil !
Je fermais la porte derrière moi et restais un moment à la contempler. Je pensais : « la petite cochonne, elle s’est préparée à se faire défoncer, quelle pette salope ». Pourtant je n’aimes pas traiter un femme de salope parce qu’elle ont un désir de sexe, après tout ce n’est que des femmes qui n’ont pas oublié qu’elle était encore des femelles ! et les hommes aiment en profiter.
PIERRE : j’adore ces dessous rouge flamboyant, ils te vont à ravir. Mais ne penses pas qu’ils vont protéger ton intimité.
DENISE : toute barrière est faite pour être forcée, et ce sera le trophée du vainqueur !
PIERRE : Ce sera ma médaille d’or ?
DENISE : Si tu gagnes !
Je me promis bien de gagner le cocotiers. Elle se leva. Quel plaisir de voir ce long corps se déplier et révéler les charmes de sa petite poitrine, ses longues jambes surmontées d’une culotte cramoisie (peut-être moins que mon visage qui la matait). Elle s’avança à petits pas et me dis
DENISE : Je me remet en tes mains, prend moi, et fait de moi une femme d’expérience
PIERRE : tu veux donc te soumettre à cette épreuve
DENISE : Prête à tout
Elle m’embrassa avec fougue, ses lèvres se mêlaient au mienne, nos langues faisait de l’escrime, et nos mains n’étaient pas en reste. Je palpais ses fesses avec un enthousiasme de débutant, C’était bien agréable, elle flattait mon sexe avec ardeur. Je trouvais cela plutôt bon
PIERRE : tu te souviens pourquoi on est là
DENISE : Je crois que tu as des projets
PIERRE : nous avons des projets et il faut bien se lancer
DENISE : Je crois que je suis prête à te satisfaire, Messieurs les employés tirez les premiers !
J’ entrepris de la chauffer un peu. Je glissait ma main dans sa culotte, caressait un instant son clitoris, puis glissais dans son entre-jambes pour accéder à son petit trou. Je flattais sa rondelle du bout des doigts, la caressais, tournais autour en attendant ses réactions
DENISE : C’est doux, c’est cela se faire sodomiser
PIERRE : Ce n’est que le début, les préliminaires
DENISE : Cela se présente bien, continue !
Je mouillais mon doigts et commençais des manœuvres de pénétration. J’écartais délicatement les lèvres de son orifice, essayais d’y glisser un doigt. Ce vilain petit trou voulais me résister. Je poussais un peu plus fort et enfonçais légèrement mon doigt dans son orifice intime
DENISE : Qu’est-ce que tu fais ?
PIERRE : Je me fraye un chemin vers le paradis
DENISE : Vas-y doucement, j’ai un peu peur
PIERRE : ne t’inquiètes pas
Je la sentais inquiète, elle était comme un enfant devant le médecin qui va lui faire une piqure. Je forçais un peu et mon doigts ouvrit un peu sa rondelle
DENISE : Je sens que tu rentres
J’enfonçais un peu plus mon doigts
DENISE : Tu y est presque, je te sens en moi. C’est agréable
Je commençais des vat et viens dans son cul qui était maintenant assez bien lubrifié
DENISE : Ca y est tu m’encules
PIERRE : Ce n’est que mon doigts qui te chatouilles, ça m’excite
DENISE : c’est agréable, je le sens bien, il vat et viens librement
PIERRE : c’est que tu es une bonne pute au cul bien ouvert et accueillant
DENISE : J’aime quand tu me traites de pute
Je commençais à glisser deux doigts dans son trou et j’y parvint sans trop de difficulté
DENISE : Dis donc tu exagère mon petit trou n’en peut plus
PIERRE : Attends, ce n’est pas fini, tu n’as pas encore pris ma bite
DENISE : Ca va me faire mal
Je ne répondis pas, mais je présentais ma queue au bord de son anus. Je poussais un peu pourvoir sa réaction
DENISE : Oups, qu’est-ce que tu fais
PIERRE : Je commence à t’enculer ma salope
Je poussais un peu plus fort, mais sa rondelle résistait. Je ne voulais pas la forcer pour ne pas lui faire du mal
DENISE : je sens que tu rentres petit à petit
Je forçais un peu et la rondelle commença à céder
DENISE : tu me fais mal, retires-toi
PIERRE : Pas question tu dois passer à la casserole, es-tu une pute oui ou non ? ,
DENISE : Oui je suis ta pute et tu me baise
PIERRE : Mais je veux bien te baiser et pour cela je dois te préparer
Je commençais alors à lui embrasser le cul, passer ma langue sur sa rondelle, la glisser doucement dans le trou pour le lubrifier et le détendre. Un peu de gel lubrifiant pour une bonne glisse ! Elle semblait adorer
DENISE : Putain c’est bon quand tu me suces le trou, ça me fait tout chose et je me sens sans résistance
Je faisais aller ma langue le long de sa raie, je m’attardais surtout sur l’orifice à ouvrir
C’est vrai, je sentais son cul se détendre, être prêt à accepter la pénétration. Je baissais sa culotte sous ses fesses pour être plus à l’aise. Elle était tendue, frémissante
DENISE : Ca y est tu vas me prendre
Je ne répondis pas pour laisser durer le suspense. J’avais une envie folle de la défoncer, mais je préférais me retenir
DENISE : Viens vite je suis inquiète, j’ai peur d’avoir mal
En réponse je posais le bout de ma queue sur son trou et exerçais une légère pression. La rondelle céda un petit peu
DENISE : Je sens ta bite dure, tu rentres ?
Je poussais un peu plus fort, mais la rondelle ne cédait pas
DENISE : Tu m’encules comme une salope, j’ai honte de ce que tu me fais faire.
Encore un petit effort et la rondelle s’ouvrit. Pas très grand, juste pour le bout du gland. Denise était très excitée
DENISE : Ca y est, tu me déflore, je sens ta bite en moi
D’un coup de rein je forçais la rondelle à céder et mon membre s’enfonça en elle comme un pieux. Denise poussa un cri
DENISE : AaaaaH !, Aie ! Oooops !
PIERRE : Tu as eu mal ?
DENISE : Oui un peu, mais comme j’aime ta queue en moi, c’est chaud
Je commençais doucement des vat et viens dans son cul. C’était bon, elle ronronnait comme une chatte que l’on caresse
DENISE : Oui, encore, encule moi bien, je suis une pute et je mérite ça !
J’accélérais le mouvement, véritablement je lui défonçait le cul à grand coups de boutoir
DENISE : Encore, plus fort, tu me rends folle, baise-moi, baise-moi !
J’explosais littéralement en elle avec un grognement rauque
DENISE : Oui, c’est bon, inonde -moi
Je me retirais et je la pris dans mes bras pour l’embrasser
DENISE : Tu m’as bien tronché, quel plaisir
PIERRE : Tu as aimé
DENISE : Ho ! oui, c’est un plaisir total, on se sent envahi par une onde de jouissance, un tsunami de bonheur. C’est un plaisir nouveau pour moi
PIERRE : On pourra y revenir si tu le veux
DENISE : Que oui !
PIERRE : Ai-je le droit à mon trophée
DENISE : Quel trophée
PIERRE ; La culotte !
DENISE : je crois que oui
Dit-elle en retirant sa petite culotte rouge et en me la tendant comme une gentille dame qui laisserai son foulard à son chevalier
PIERRE : Merci gente dame, je porterais vos couleurs dans mes batailles
DENISE : Doucement Pierre ne va pas galvauder ce trophée avec d’autres femmes
PIERRE : Non ceci restera entre nous, le plus beau souvenir de mes conquêtes
Et dans ma tête je me disais : « De toutes façons il me reste le film, meilleur garant de mon emprise sur madame Lemaitre »
Elle s’était rhabillée et je la voyais s’éloigner son sac à la main et pensais « moi seul sait que notre DRH ne porte pas de culotte »
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Commentaires de l'histoire :
Euterpe
Ce serait encore mieux sans toutes ces fautes d'orthographe.
Posté le 19/06/2024
Anonyme
Humm j’ai adoré cette suite et j’imagine bien un troisième volet avec le salarié piégé à son tour ????????????
Posté le 10/06/2024
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