J'étais retournée chercher des légumes chez le vieux fermier, je les payais un prix dérisoire. Mais, mon mari m'avait accompagnée. Il n'avait pas été content, de ne rien pouvoir tenter. Tu mérites une punition, dit-il. Je dépéri, de ne plus te baiser! Et quand tu reviendras ma punition sera terrible
Proposée le 27/05/2024 par Trixie
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
J'étais souvent retournée chercher des légumes chez le vieux fermier, il me les faisait payer un prix dérisoire. Mais chaque fois, soit mon mari m'avait accompagnée, ou le hangar était rempli de monde. Le vieil homme avait bien essayé de me tripoter discrètement mais je l'avais rabroué, plusieurs fois. Et puis Gérald et Maxime satisfaisaient mes désirs sexuels.
Il n'avait pas été très content, de ne rien pouvoir tenter. La dernière fois, il faisait franchement la gueule et m'avait presque arnaqué sur le prix des légumes. Il maugréait tout seul. Profitant d'un court instant ou nous étions seuls, et ne voulant pas le fâcher, car bien qu'il soit vieux, laid et ronchon, j'espérai encore profiter de son gros pénis, et du prix des légumes.
— Vous savez, j'ai adoré être attachée sur l'étal, et j'ai vraiment joui avec votre bite énorme, c'était super !
— Oui, mais tu mérites une punition de me délaisser ainsi ! Je dépéri, de ne plus te baiser ! Et lorsque tu reviendras toute seule ma vengeance sera terrible ! Je suis vraiment très frustré de ne plus baiser avec toi. Même s'il fait chaud, je vois que tu portes toujours ton porte-jarretelles, salope. Tu n'as pas de soutien-gorge ! Penche-toi que je puise voir tes seins.
Discrètement , je déboutonnai un bouton et je me penchai sur un étal.
— Ouai... ils sont toujours aussi beaux...bien sûr je ne peux pas les toucher...
— Ben non... dis-je en montrant mon époux du menton.
— Tu vas voir Salope, tu ne perds rien pour attendre... Tu n'imagines même pas ce que je vais te faire subir ! Regarde ma bite, tu me fais triquer comme un bouc, salope !
Marmonna-t-il entre ses dents. J' étais curieuse, je me demandai bien en quoi ma punition serait terrible. Je ne savais pas ce qu'il allait inventer. Ma curiosité était piquée. Venait-il de me donner un indice,en faisant allusion à un bouc ? Oui, c'était sûrement cela, me faire prendre par cet animal, il avait un troupeau caprin. Cette idée me fit rougir.
— Oui, me souffla-t-il, regarde ma queue, on dirait un vieux bouc en rut.
Sa bite tendait en effet son pantalon, mais il venait de faire encore allusion à cette bête.
Le reste de la journée cette pensée me trotta dansle tête.
La nuit suivante je fis un rêve, presque un cauchemar. Dans ce songe onirique, j'arrivai dans le hangar comme promis pour me faire punir, le vieil homme me sauta dessus, il m’entraîna vers le bâtiment des chèvres. Oui c'était ça la punition, mon ventre s'embrasa, jecapitulai.
Dans un coin près d'un pilier, il y avait une assez grosse botte de paille rectangulaire. Il y jeta dessus une couverture.
— Tu es bien venue pour que je te punisse ! Tu as juré de m'obéir, j'ai eu ta parole?
— Ou... Oui balbutiai-je... je vous l'ai promis.
— Alors déshabille toi ! Tu ne gardes que tes bas et ton porte-jarretelles, j'adore te voir ainsi...
— Voilà et ensuite ?
— Tu te couches sur cette botte de paille, c'est ça ainsi, approche tes fesses du bord, met bien des pieds sur le sol. Parfait ! Donne moi tes poignets...
Il me les lia avec une fine cordelette, les fit passer derrière ma tête et les attacha à un anneau fixé dans la poutre. Il se recula pour admirer le tableau. Allait-il encore me prendre et me sodomiser ainsi ? Cela m'excita..
— Écarte les cuisses, ma petite chérie, Je vais goûter ton foutre.
J'obéis, il se positionna entre mes jambes et sa langue partit explorer, ma chatte, ses caresses buccales ne tardèrent pas à me faire mouiller abondamment.
— Ouiiiii, c'est bon... gémis-je, continue,ouiiii
— C'est parfait...
Avec un verre il puisa dans un seau à côté, une lotion qu'il me versa sur les seins, sur le ventre et sur ma chatte.
— Ehhhhhhh ! Vous faites quoi !
— N'ai crainte, ce n'est qu'une solution saline... tu vas apprécier !
Il écarta mes grandes lèvres vaginales et en fit couler dans ma chatte.
— C'est quoi ce truc ?
— Voilà, tu es prête, attends je reviens.
Je l'entendis ouvrir la porte d'un box et le vit revenir tenant en laisse un immense bouc chamoisé au pelage et aux cornes magnifiques. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine, je gigotai en tous sens sur la paille, mais j'étais attachée... Il s'approcha lentement.
— Noooooonnn pas ça, pas ça...
— Nttttt , Nttttt.... rappelle toi tu as juré de faire tout ce que je voudrai... Calme toi, il est très doux... C'est un ami qui me l'a confié en pension... Il est bien dressé, il s'en sert pour tourner des clips pornos... Il est très propre ! Et très bien dressé, tu vas voir...
Il approcha l'animal, de ma poitrine. Celui-ci sentit le sel répandu et se mit à me lécher les seins.
Je n'osai pas trop bouger de peur qu'il me morde, rien de tel n'arriva et je me détendis petit à petit.
Le vieux fermier entoura de sel mon téton droit qui commençait à durcir et à s'étirer, le bouc l'aspira de ses babines, et le lécha avec gourmandise, puis le gauche eut droit au même traitement. Bien que mon ventre soit toujours noué par l’appréhension, je me décontractai lentement, cette caresse n'était pas du tout désagréable bien au contraire, mes tétons pointaient fièrement, sa barbiche me frottait la poitrine délicieusement. De petits gémissements de plaisir commencèrent à sortir d'entre mes lèvres.
— Salope on dirait que tu aimes ça ! Voyons voir plus bas...
Il tira sur la longe pour lui amener la tête sur mon pubis. La grosse langue me parcouru lentement le ventre. Instinctivement je refermai les jambes.
— Non.... laisse tes cuisses ouvertes, ou je t'attache les chevilles, je suis sur que tu vas aimer son cunnilingus...
En tremblant légèrement, je desserrai lentement mes cuisses, le museau du ruminant se faufila à la base de ma fente, qui ruisselait de lotion saline et mon foutre mélangé. J'avais soulevé ma tête et regardai le bouc fixement avec appréhension.
Il huma mon odeur, ses lèvres se retroussèrent, deux ou trois fois puis sa langue se mit à me lécher le monde vénus. Je frissonnai.
— Tu vois, je te l'ai dit, il est vraiment doux. Tu aimes ? Oh oui j'en ai l'impression... attends...
Avec deux doigts, il écarta mes grandes lèvres, la pointe de l'organe buccal de l'animal pénétra à l’intérieur de ma chatte, malgré moi je frissonnai de plaisir et gémis plus fort. Méfiante, je regardai toujours les mouvements de l'animal.
— Attends je vais bien dégager ton clitoris, voilà... il va le lécher
Les trois coups de langue râpeuse sur mon petit bouton rose me tirèrent un cri d'extase, je me tortillai sur la paille, ma respiration s'accéléra.
— Eh bien ma salope tu aimes ça ! Allez on va passer aux choses sérieuses ! Je suis persuadé que tu va prendre ton pied !
Il fit poser les deux pattes avant du bouc de chaque coté de moi. Ce n'était pas possible l'animal bandait. Il savait ce qui allait suivre. Je vis ses deux grosses couilles de 10 cm de haut et de 7 cm de large chacune, pendre dans son scrotum de 30 cm. Le vieux Louis prit délicatement le sexe assez conséquent, rigide et rose et frotta doucement le bout du pénis un gland de 5 cm, le long me ma fente ruisselante, il le faisait entrer petit à petit entre mes lèvres, le bouc docile se laissait faire. J'avais laissé retomber ma tête, qui maintenant dodelinait de droite à gauche sur la paille. Mon cœur battait le chamade, mon souffle était court... attendant la pénétration qui tardait à venir...
— Alors... tu veux qu'il te baise ?
— Ouuuuiiiiii, m'entendis-je répondre...
Il positionna le gland à l'entrée de mon orifice vaginal, la grosse tige flexible s'enfonça inexorablement en moi, l'animal donna un coup de rein et une énorme quantité de sperme déferla dans ma chatte.Je hurlai de jouissance. Il se retira.
— Ne bouge surtout pas, il n'a pas fini, il faut qu'il éjacule trois ou quatre fois, m'ordonna le vieux fermier, c'est la nature
J'étais tétanisé par la jouissance, quand il me pénétra à nouveau je levai le basin et enroulai mes jambes autour de son corps, son phallus bien enfoncé en moi il déversa encore et encore sa semence chaude... Au quatrième coït je criai à nouveau...Louis déversait son sperme a grand jet sur mes seins et j'ouvris les yeux... tremblante de jouissance.
— Que t'arrive-t-il, me demanda mon mari...réveille en sursaut tu es en sueur, tu viens de crier...
— Oh rien, un mauvais rêve.
— Mauvais ? Tu es sûre, regarde la tâche de foutre qu'il y a sous tes fesses... Tu devais sacrément aimer te faire baiserdanston rêve petite salope !
J'étais toute chamboulée, pas que le vieux Louis me fasse prendre par un bouc pour me châtier ! Ce qui ne me semblait pas normal c'est que je jouissais sous les assauts de l'animal ! Voila que je tombais dans la zoophilie !Je me rassurai ce n'était qu'un rêve... mais tu as aimé... salope !
Je décidai qu'à la prochaine occasion, je me laisserai punir, en espérant toutefois à ne pas avoir affaire au bouc, cela n'avait été qu'un rêve bien que très excitant ! Cette punition risquait n'être que de nature sexuelle, car il m'avait presque ordonné de raser entièrement mes poils pubiens, lors de l'appel téléphonique, ou il m'avait encore demandé expressément de venir le voir. Son énorme bite m'avait fait connaître le nirvana de la jouissance et j'étais curieuse du châtiment, alors j' ai obéi ! Je lui ai demandé si le mardi suivant je pouvais venir chercher des légumes et avoir ma punition, bien qu'il ne soit pas ouvert. Il s'empressa de me donner son accord et que ça tombait bien car ce jour là, il était tout seul à la ferme.
— Et tu sais que tu auras droit à une punition ! Tu feras tout ce que je demande ! Je te fais cadeau de mes légumes... Mais toi, tu ne me donnes plus rien, il y a une éternité que je ne t'ai pas touchée !!! On est bien d'accord précisa-t-il, j'ai ta parole ! Tu la mérites cette punition. Et n'oublie pas de te raser.
— Oui, oui, vous pourrez me punir... je ferai ce que vous voudrez... Mais comment me punirez-vous ?
— Tu verras bien bien... tu t'en souviendras ! Salope.
Je me demandais toujours en quoi consisterait cette punition « si terrible », cela attisait ma curiosité malsaine. J'étais presque prête à me faire baiser par le bouc ! Le jour dit, j'arrivai en milieu d'après midi devant le hangar. Il était derrière la fenêtre à guetter mon arrivée. L'ouverture surplombait le sol d'environ 1,5 mètre. Je me garai comme d'habitude, perpendiculairement à celle ou se trouvait le vieux, à environ deux mètres du mur, je distinguai parfaitement son visage.
J'ouvris en grand ma portière et pivotai sur mon siège me tournant vers lui, en restant assise les fesses posées sur le rebord du siège. Je me dis que j'allais d'abord l'exciter à mort, ma punition n'en serait peut-être que meilleure ! J'avais pris goût à me masturber lorsqu'on me regardait. Il m'épiait... il allait être servi.
Je jetai un coup d'œil aux alentours le parking et les abords étaient déserts. J'écartai doucement mes longues jambes gainées de noir. Bien qu'il fasse assez chaud, suivant ses désirs, j'avais mis des bas et un porte-jarretelles, sachant que cette lingerie excitait les hommes. J'ouvris ma jupe blanche sur mes cuisses, bien plus haut que les attaches des jarretières, mes mains montèrent sur la chair nue de mes cuisses vers le triangle transparent de mon string. Je l'écartai doucement dévoilant la fente de ma vulve, avec deux doigts je séparai mes lèvres pour qu'il puisse voir l'intérieur rose de mon Vagin. Mon majeur s'insinua y pénétra, je ne quittai pas des yeux le vieux à la fenêtre. Il sortit son énorme verge et commença à se masturber. Il me sembla voir bouger à la fenêtre du premier étage...
Je me soulevai, relevai ma jupe jusqu'à ma taille et ôtai mon string. Puis j'écartai largement les jambes offrant aux regards du vieux ma chatte béante. Je relevai doucement mon fin tee-shirt dont les bretelles se nouaient sur mes épaules. Mes deux seins soutenus par le demi-soutien gorge noir jaillirent. Les mamelons étaient déjà durs, je les saisis entre mes doigts et les fit rouler pour les ériger encore plus. Ils réagirent à la caresse et se dressèrent encore plus arrogamment. Il me semblait que des ombres se profilaient aux fenêtres supérieures, mais bon, je n'en étais pas sûre... cela faisait peut-être parti de la punition, me faire espionner par d'autres hommes. A cette idée une onde de chaleur me traversa le bas ventre, ma chatte s'humidifia.
A son expression, je vis que le vieux ne perdait pas une miette du spectacle.
Mes mains descendirent sur mon sexe, j'écartai à nouveau mes lèvres et entrai deux doigts dans ma vulve moite. Commençai de lents allers et retours tout en fixant la fenêtre. J' adjoignis un troisième doigt, je pensai à la grosse bite du vieux qui devait se tendre au maximum. Il devait se branler, j'entrai mes cinq doigts dans mon conduit vaginal. Maintenant je mouillai abondamment, ma main glissa petit à petit à l'intérieur de ma vulve qui se dilata de plus en plus. Car sachant que sûrement la punition serait énorme, un bon doigté faciliterait les grosses insertions. Tout en fixant le vieil homme dans les yeux, j'entrai la moitié de ma main à l'intérieur de mon sexe. Et commençai des va et vient. Le plaisir monta, de me savoir regardée ainsi, peut-être par plusieurs hommes.
Mais je ne voulus pas me faire jouir ainsi. Je stoppai, réajustai mes vêtements et grimpai les marches menant au hangar, je n'avais pas remis mon string.
Il m'attendait, il me bondit littéralement dessus, son énorme sexe en érection et ses testicules monstrueuses sortant de son pantalon. Il m'enlaça sauvagement se plaqua contre moi et ses lèvres se scellèrent sur les miennes. Sa langue força ma bouche, je le laissai faire, lui rendit son baiser, bien que son haleine ait des relents de vinasse. Il me prit la main, la mit sur son pénis, je commençai à le masturber doucement, puis plus rapidement. Il gémit de plaisir, et éjacula presque aussitôt dans ma main, le sperme chaud coula dans ma paume, il y en avait une quantité importante. Il me prit la main et me demanda de lécher le liquide poisseux répandu. Je m'exécutai, le lapant à petits de coups de langue et en l'avalant au fur et à mesure, en le regardant dans les yeux.
— Tu as l'air d'aimer mon sperme, petite salope, tu as l'air de te régaler. Tu as vu la quantité, il était temps que tu viennes ! Mes couilles allaient éclater !
— Ouuiiiii, je suis étonnée, ta semence a vraiment bon goût !
Puis je m'accroupis, saisis l'énorme hampe dans ma bouche et aspirai le sperme qui restait à l'intérieur du méat.
— J'ai bien aimé ton exhibition dans la voiture, mais il me semble que tu es venu chercher ta punition, petite garce ? Tu sais ce que m'as promis, tu le mérites, cela fait presque deux mois que je n'ai pas pu te toucher... et surtout te baiser. Tu te refusais à moi... Mais maintenant tu as une dette envers moi... n'est ce pas ?
— Oui... c'est vrai j'ai profité de vos légumes et je veux bien être punie, mais ce sont les circonstances qui...
— Bon, je m'en fou ! Nous allons passer aux choses sérieuses !!
La vision du bouc me pénétrant et éjaculant en moi me traversa l'esprit. J'étais curieuse de savoir ce qu'il me réservait. Il me releva, une de ses mains me caressa un sein, me pinça fortement le mamelon, tandis que l'autre passa sous ma jupe et il enfonça trois longs et gros doigts rugueux dans mon vagin trempé. Son pouce me caressa le clitoris.
— Ah tu m'as obéi tu t'es rasée. Mais tu mouilles, tu es une vrai petite garce... Tu aimes le sexe... hein ? Je te fais de l'effet avec ma grosse bite...
Mon gémissement de plaisir, le conforta dans ses dires. Il alla ensuite fermer à clef la porte du hangar, mit la clef dans sa poche. Il m’entraîna vers des escaliers et me demanda de les gravir devant lui. Nous n'allions pas vers l'étable !Je sentis son regard fouiller sous ma courte jupe. Il tenait toujours son sexe, flasque maintenant, à la main. En grimpant j'entendis des chuchotements à l'étage. Je ne m'étais pas trompée, il y avait bien des mecs.
Je débouchai sur une sorte de mezzanine, deux hommes refluèrent vers une grande pièce. Trois lits, une table, des chaises, une espèce de cuisinière à gaz, un évier, une armoire et un frigo l'équipaient. Il y avait aussi deux gars basanés qui me fixèrent intensément l'air éberlués. La lumière entrait à flot par deux grandes fenêtres. Je ne pus plus me défiler maintenant... en plus le hangar était fermé à clef. J'allais être punie ! Et je compris en quoi elle allait consister la punition, et la raison pour laquelle il m'avait demandé de me raser !
— Ceux sont mes saisonniers, me dit le vieux paysan. Ce sont des marocains, ils n'ont pas beaucoup de distraction. Je leur ai promis, en compensation de quelques heures supplémentaires, un petit extra...! Tu sais que tu dois m'obéir... c'est notre contrat ! Ils ont sûrement apprécié le spectacle que tu nous as offert dans ta voiture, on est juste à l'aplomb ici. Ils étaient aussi au balcon, pour voir que tu t'es régalée avec mon sperme... et je pense que ça fait au moins quatre mois qu'ils n'ont pas baisé ! Et de par leur religion ils aiment que les filles aient la chatte glabre... Je pense qu'ils vont se régaler...
Les deux hommes, avaient sorti leur pénis, les deux sexes circoncis, presque noirs, dardaient leurs glands nus vers le plafond. Ils se masturbaient doucement l'air hilare... en pensant à ce qui allait se passer... Les bites n'étaient pas énormes, mais d'une bonne taille.
J'allais être la proie de ces hommes sûrement affamés de sexe. A cette pensée je frissonnai. Sous l'effet de l'appréhension et d'une sorte de désir malsain, mes tétons se tendirent sous le mince tissu transparent de mon tee-shirt.
— Tu es une vraie salope... me disait une petite voix dans ma tête... Mais tu t’aies faite baiser par deux noirs, alors pourquoi pas deux arabes... et cela t'excites, ne te mens pas petite pute ! Regarde leurs bites, elles te plaisent, non ?
— Dis donc on dirait que ça te fait de l'effet, me dit le vieux en s'apercevant que les pointes turgescentes de mes tétons tendaient le tissu. Tu portes ton demi soutien gorge noir, petite garce ? Attends, on va leur laisser deviner tes mamelons !
Joignant le geste à la parole, il saisit à travers le tissu un téton dans sa bouche, il l'aspira. Déposa de la salive sur mon aréole et l'étala avec sa langue, pour bien imprégner le tissu transparent. Celui-ci se plaqua étroitement sur le mamelon, on vit distinctement sur mes aréoles les tubercules de Montgomery devenus saillants, du fait de l'excitation, sous la forme de petits nodules de coloration brun foncé. Il se recula pour juger de l'effet.
— Parfait, dit-il toujours aussi érectile tes tétons !
Il me fit avancer vers la lumière de la fenêtre, on aurait dit qu'on avait découpé un bout de tee-shirt et que mon téton sortait par le trou. De voir leurs regards fixant intensément mon sein, commença à m 'exciter sérieusement, de les voir se masturber plus vigoureusement aussi.
— Vous avez vu les gars... qui veut faire l'autre ?
Ils se bousculèrent presque, mais le plus grand celui qui avait l'air du chef, passa devant son copain. J'eus un petit recul quand il me saisit entre les lèvres, le second téton. Il l'aspira, le mordilla, puis il fit comme le fermier, il l'enduisit de salive, pour bien accroître la transparence du tissu. Cela dura un peu plus longtemps, ma poitrine se cambra sous la caresse. Il passa à l'autre et l'humecta à nouveau, tout en le mordillant.
—Allez laisse ton ami apprécier.
Le paysan, passa derrière moi, il me tira les bras vers l'arrière pour faire ressortir ma poitrine.
Les deux hommes s'approchèrent les yeux écarquillés, c'était très érotique, on apercevait même les petits points de chair de poule qui pigmentaient mes aréoles.
— Allez Ahmed, dénoue les bretelles !
Celui-ci s'exécuta
— Ben alors, dit le fermier, vous attendez que son tee-shirt se quitte tout seul ? Qui lui l'enlève ?
Le plus petit au regard chafouin s'approcha, il attrapa de chaque côté le vêtement léger et le tira lentement vers bas. On aurait dit que la caresse du tissu sur mes seins faisait encore augmenter la taille de mes tétons. Je poussai un gémissement de plaisir, lorsque mes deux pointes brunes gorgées de sang surgirent hors du tissu. Le paysan tira encore plus mes bras en arrière.
En voyant mes seins, soutenus par mon demi soutien gorge, le petit chafouin ne put résister, il plaqua sa bouche sur mon sein droit, tout et me pinçant le téton gauche. Il me mordilla assez fortement le bout du téton, cela me fit gémir de douleur, il n'avait jamais fait ça à une blonde, blanche de surcroît.
— Doucement, dit le fermier... ne lui fait pas mal ! Quitte le lui en plein. Allez qui ne lui a pas sucé les nichons ?
Il me prit les seins, comme pour les soupeser. Il les leur présenta.
— Putain ce qu'ils sont fermes, et que tes tétons sont durs... Tu aimes hein, qu'on te tripotes !
Effectivement ces succions, me donnèrent des frissons dans tout le corps, des gouttes de foutre tombèrent sur mes cuisses. J'aime énormément que l'on me caresse les seins et que l'on triture mes tétons, Maxime au boulot arrivait presque à me faire jouir rien qu'en me les malaxant. Ahmed fit subir à mes nichons le même traitement. Il se fit même plus hardi, en appuyant et frottant son sexe raide et dur à hauteur de mon pubis.
— Bon dit le paysan, assis tout le monde. Tu vas quitter ta jupe, ensuite on verra...
Il recommença lui aussi à bander. Sa verge était de loin la plus grosse et la plus grande. Il l'exhiba d'ailleurs fièrement.
— Allez, exécution fais moi bander...
Je ne sus pas trop comment m'y prendre, les deux maghrébins bandaient déjà énormément, ils se caressaient. Ils avaient tous enlevé leur pantalon. Je me mis en pleine lumière. Tout d'abord je relevai ma jupe pour leur laisser apercevoir les fermoirs de mon porte-jarretelles, et une bande de chair blanche au dessus de la limite des bas.
Ils savaient que je portais pas de culotte, puisqu'ils m'avaient vu enlever mon string dans la voiture.
Lentement ensuite, je la remontai encore, leur laissant apercevoir les lanières noires bien tendues, tranchant sur ma peau blanche, comme si j'allais découvrir mon mont de Venus bien rasé. Mais arrivée au début de ma fente, je la rabaissai. Ils émirent tous un grognement de frustration.
Je m'accroupis, et écartai lentement les jambes. La jupe remonta jusqu'en haut de mes cuisses.
Je leur laissai juste le temps de deviner ma fente béante et me remis debout.
Je lu dans leurs regards la frustration éprouvée. Puis roulant des hanches, je m'approchai du vieux paysan, attrapai sa grosse verge qui était encore flasque, la calottai et décalottai deux ou trois fois, pour la lui faire durcir, la caressai sur toute la longueur.
Lui tournant ensuite le dos, je lui demandai de me dégrafer mon soutien gorge et me sauvai. Le plaquant d'une main pour ne pas qu'il tombe, je me dirigeai vers Ahmed, me penchai et tout en enlevant le bout de tissu de mes seins, lui présentai mes tétons à hauteur de sa bouche, il se dépêcha d'en aspirer un goulûment. Tandis qu'il le suçait, mes mains se mirent à pétrir sa verge, il me sembla qu'elle s'étirait davantage, sa respiration s'accéléra, il renversa la tête mais j'arrêtai d'un seul coup, il grogna de mécontentement. Ce jeu m'excita, je mouillai de plus en plus. Je m'enlisai dans la luxure... rien ne pouvait m'arrêter...et cela me plut !
Leur tournant le dos, je défis sur mon côté droit la fermeture éclair de ma jupe. Je commençai à la descendre lentement sur mes cuisses. Je me penchai, mes fesses fermes s'offrirent à leurs regards. Leurs respirations se firent plus saccadées, toujours de dos j'enlevai gracieusement ma jupe. Me penchant légèrement en avant, perchée sur mes hauts talons, jambes légèrement entrouvertes. Je sentis leurs regards fouiller mon entre jambe, ou du foutre commençait à couler de mon vagin. Je me retournai, en ayant pris soin de tenir ma jupe devant ma chatte. Ils ne tenaient plus en place et s'agitaient sur leurs chaises.
— Allez Salope, montre leur que tu as rasé ta chatte pour eux... Ils aiment bien baiser les filles au sexe glabre... car tu as compris qu'ils allaient te baiser, salope… pour te punir !
Je laissai tomber le vêtement. Leurs yeux se mirent à briller. Bien campée sur mes talons, j'écartai les jambes. Mes mains partirent de mes genoux, s'arrêtèrent aux fermoirs des jarretières, comme si j'allai les ouvrir, puis elle continuèrent leur lente ascension. Caressèrent mon porte-jarretelles autour ma taille, le faisant claquer sur mon ventre.
— Les filles chez-vous n'ont pas ce genre de lingerie, leur dis-je en souriant ! Et ma chatte elle vous plaît ?
On entendit les mouches voler. Mes doigts s'arrêtèrent de chaque côté de ma fente, et j'en écartai les lèvres pour ouvrir mon orifice vaginal. Je dégageai ensuite mon clitoris de son petit capuchon et le titillai de mon index pour le faire durcir. Ma chatte était trempée. Avec l'index et le majeur, je pénétrai mon vagin, ressortis mes doigts ruisselants de foutre, les portai à ma bouche pour les sucer voluptueusement.
Je m'approchai du petit chafouin pervers qui s'appelait Ali. Tout en avançant, je me caressai les lanières du porte-jarretelles sur les cuisses en souriant. Lorsqu'il comprit que c'était lui que j'avais choisi, il se trémoussa sur sa chaise, se tenant la base de la bite à pleine main, il la pressait comme pour faire encore grandir la colonne qui s'érigeait vers le plafond. Ma vulve était plus que trempée maintenant, arrivée devant lui, je l'enjambai en lui tournant le dos, il m'attrapa aux hanches, positionnant son phallus à l'aplomb de mon orifice vaginal. Je fléchis les genoux, il grogna de plaisir... Je fis attention que seul son gland circoncis pénètre mes lèvres, et je me relevai d'un seul coup, lui fit subir une seconde fois la même opération... et m'écartai rapidement. Son gland luisait de mon foutre, lui aussi s'était rasé.
— Espèce de Salope... tu vas voir si je t'attrapes !
Mais je m'étais dégagée et étais tombée à genoux devant son copain. J'écartai rapidement ses jambes et positionnai sa bite entre mes seins. Je les pressai et fis subir à son sexe plusieurs va et vient entre mes nichons fermes. Je donnai trois coups de langue sur la pointe son gland.
Puis sans le prévenir, je changeai de partenaire pour saisir la bite de Ali dans ma bouche, quelques coups de langue sur son gland et sous son frein, il voulut me retenir mais je m'échappai. Leur frustration à tous grandissait.
— Bon ça suffit maintenant, tu t'es assez moquée de nous... tu l'auras voulu... Allez les gars attrapez la. dit le paysan.
Ils me bondirent tous les deux dessus et m'immobilisèrent, attendant les ordres. Je sentis leurs mains me parcourir le corps, je gigotai un peu en gloussant, pour les exciter.
— Bien, je sais tu aimes te faire baiser en étant attachée, tu me l'as encore dit l'autre jour ! Me dit le fermier.
— Nooonnn pas ça...
— N'oublie pas tu as promis de m'obéir !!
Il sorti une cordelette. Par vice, je cédai.
— Mettez la à plat ventre en travers du lit. Tu aimes te faire sodomiser aussi, attachez la ! Je l'encule ensuite ce sera votre tour, vous pourrez la baiser.
Il m'écarta les jambes, enfourna son énorme phallus dans ma vulve pour le lubrifier, cracha dans mon anus récupéra avec ses doigts du foutre dans mon vagin badigeonna mon trou intime et enfila son pénis, qu'il avait aussi enduit de mon liquide séminal. Il savait que j'acceptai son gros phallus, il l'enfila d'un seul coup sans s'arrêter. Les maghrébins regardèrent médusés cette énorme et lente pénétration avec des yeux effarés.
Ils furent encore plus étonnés lorsqu'il m'entendirent gémir de plaisir. J'accélérai la cadence, bougeant mon bassin d'avant en arrière, le vieux avait éjaculé tout à l'heure, il ne parut pas pressé. Un marocain se présenta devant moi, la bite tendue, il força mes lèvres de son gland circoncis. J'avalai petit à petit le sexe boursouflé, il m'attrapa la nuque et me martela sans ménagement le fond de la gorge. Cela ne dura pas trop longtemps. Il devait y avoir pas mal de temps qu'il n'avait pas baisé, il explosa d'un seul coup, éjacula une quantité impressionnante de sperme, je ne pus qu' avaler les giclées poisseuses. L' autre se masturbait pour entretenir son érection, attendant l'éjaculation de son patron pour pouvoir enfin profiter de moi.
Le paysan tarda à se libérer, je resserrai mes sphincters plusieurs fois, enserrant son gros rouleau de chair. Mes pressions eurent l'air de faire de l'effet, m'enserrant la taille, il expulsa sa semence avec un grand cri. Il se retira doucement continuant à éjaculer.
— Elle est à vous, mais pas trop fort... dit-il. Et toi je suis sûr que tu vas aimer... Salope !
Ahmed s'approcha, il me détacha les poignets, me mit sur le dos. Sa bouche se posa sur mes seins qu'il lécha longuement tour à tour. Agaçant les mamelons, avec ses dents, puis lentement sa bouche descendit sur mon ventre, ses mains passèrent sous les lanières de mon porte- jarretelles pour ouvrir mes jambes. Ses pouces écartèrent mes lèvres, du foutre ruisselait de ma chatte. Il le lécha, insinuant sa langue dans mon méat. Il aspira mon clitoris, le chatouilla avec son pouce.
— Tu aimes ça hein, petite salope blonde, tu aimes te faire baiser ! Ton nectar coule dans ma bouche. Tiens prends la bite d'un arabe...
Et il l'enfonça brutalement, heureusement que ma chatte était bien lubrifiée, elle glissa d'un seul coup jusqu'à la garde. Je me mis à gémir de contentement.
— Salope de blanche ! Je vois que tu les aimes les bites des arabes ! Je vais t'emplir avec mon sperme, tu vas aimer j'en suis sûr !
Il redoubla ses coups de boutoir, mes petits cris l'avaient amené au bord la jouissance. Il positionna alors sa verge à l'entrée de mon vagin, d'une main il écarta mes lèvres, de l'autre il me souleva la tête.
— Regarde, regarde mon sperme qui va couler dans ta chatte...
Son corps se mit à trembler, et il lâcha de grands jets chauds, et poisseux, du liquide translucide coula sur le pourtour et dans ma chatte bien lisse. Il éjacula énormément de sperme, puis il poussa sa semence au fond de mon vagin, avec sa bite. Cette mise en scène déclencha ma jouissance, mes parois vaginales enserrèrent son pénis. Il eut encore cinq ou six soubresauts et les couilles vides, il s'écroula sur moi, sa langue força mes lèvres, je lui rendis son baiser.
Je repris vite mes sens, car le petit pervers Ali, m'avait saisi et entraînée avec lui sur une chaise.
— Allez dit-il je vais faire comme le patron, je vais te sodomiser.
Il me fit mettre debout de dos, sa bite tendue en arc de cercle me chatouillait l'orifice anal, encore trempé du sperme du vieux paysan. M'attrapant aux hanches il me força à m'asseoir sur le pieux raidi.
— Oh putain, je n'avais jamais baisé un blanche et blonde, tiens, tiens petite Salope ... Putain il est bon ton cul... je crois que je vais t'enculer pendant une heure... Oh putain c'est bon, c'est bon...
Je crus chevaucher un cheval sauvage, mais il me tenait fermement aux hanches. Ahmed pas encore rassasié, s'approcha, il se mit à me caresser et sucer les seins.
Ce régime, m'excita à nouveau, je me laissai retomber lourdement sur la queue qui me sodomisait, pour la faire pénétrer le plus profondément possible. Puis ensuite je bougeai mon bassin d'avant en arrière... de mes deux mains j'offris mes seins à Ahmed debout devant moi...
— Allez, suce mes tétons, mordille les ! Ouuaaahhh, que c'est bon !!
Celui qui me sodomisait, se leva d'un seul coup, me pencha vers l'avant et avec un grand han, enfonça son sexe le plus profondément possible, je sentis les décharges de son éjaculation, il cria sa jouissance, lui non plus ne devait avoir baisé depuis longtemps. Lorsqu'il se retira du sperme se mit à couler de mon orifice anal.
Je criai mon plaisir. Le petit Ali lui aussi, m'avait amené à la jouissance, j'avais hurlé ma frénésie... Je m'étais laissée dominer par ce plaisir glauque octroyé par la perversité de la situation... Je gémis encore d'extase, ne pouvant au bout de toutes ces pénétrations ne presque plus contrôler mes sens. J'en voulais encore... Ahmed bandait à nouveau.
— Penche toi, Salope, j'ai encore envie de jouir !
J'étais encore dans les nimbes du plaisir dans lequel, la sodomie d'Ali m'avait plongée, lorsqu'il me pénétra à nouveau. Il ne fit pas beaucoup d'aller et retour, lorsqu'une nouvelle décharge électrique me fit crier à nouveau mon exaltation, mon vagin enserra le sexe qui me pourfendait et le maghrébin se vida en moi à nouveau, me laissant tremblante et pantelante de plaisir.
— Hé bien, Je croyais te punir en te faisant baiser par mes saisonniers, mais ce n'est pas le cas ! Tu es une vraie machine à plaisir !
Me dit le vieux paysan... Je levai les yeux et le regardai, il se branlait avec vigueur, sa grosse verge était raide à nouveau, prête à exploser. Il s'approcha de moi.
— Prends la dans ta bouche, Salope... avale, avale...
Son gland eut à peine le temps de rentrer dans ma bouche, qu'il éjacula pour la troisième fois de l'après midi.
J'étais vraiment honteuse d'avoir joui comme ça, avec trois hommes, du sperme dégoulinant de mes orifices, je ramassai mes affaires et me m'habillai.
— Je pense que tu ne resteras plus trois mois sans venir me voir... me dit le fermier. Ou alors tu aimes te faire punir ainsi... mais je crois que c'est le cas... Tu aimes vraiment ! Il faudra que je trouve autre chose la prochaine fois !
— Oui, pourquoi pas un bouc... ces paroles sortirent de ma bouche malgré moi... je regrettai aussitôt
— Quoi ? Petite salope tu voudrais te faire baiser par un bouc ?
— Heeuuuuu... nooonnn... c'était pour rire !
— Tu en es sûre, je n'ai pas de bouc, mais un poney si cela te tente...vraiment ! Mais, je voudrai bien te présenter mon fils... tu devrais l'apprécier lui aussi !
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