Initié par un curé

À l'époque des révisions, le curé que nous avions comme maître me proposa de m'aider, et ses cours particuliers furent en effet très particuliers, vu qu'il m'a appris à ... dire oui à mon corps, et au sien aussi. Jusqu'à l'extase.

Proposée le 23/05/2024 par Sacha

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Thème: Masturbation
Personnages: HH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

C'est fou comme le désir de plaire et le plaisir de se sentir attirant peuvent détourner un jeune homme du droit chemin. Surtout quand il a eu la chance de se sentir un peu gay. Je veux dire tout simplement: d'être attiré par les garçons. Et de sentir aussi parfois l'attirance que des garçons ou des hommes mûrs ont pu éprouver pour lui.

À quoi le sent-on? On se sait différent, plus riche aussi, de pouvoir désirer s'accoupler avec un homme. Qu'il vous prenne, par derrière s'il le souhaite, mais qu'il vous prenne corps et âme, qu'il bande en vous faisant bander, qu'il vous vous fasse sentir à quel point vous lui semblez désirable, qu'il flatte votre croupe et honore votre petit trou. Qu'il vous caresse partout, qu'il vous aime.

C'est ce qui m'est arrivé, et ce fut ma chance. Comme j'étais interne dans un collège privé, il se trouve que mon premier amant fut un curé.

Le soir, il m'invitait parfois dans sa chambre, à l'époque des examens, pour m'aider dans mes révisions. Sa chambre ne recevait jamais la lumière du jour, il n'y avait que la faible lumière électrique, et donc une sorte de pénombre.

Il était assis à son bureau, et moi sur le canapé. Lorsque tel ou tel point m'échappait dans le programme de révision, il venait volontiers s'asseoir à côté de moi sur le canapé, pour m'aider, me réconforter, me consoler.

En privé, il me demandait aussi parfois si j'avais besoin de me confesser, et si je me touchais souvent.

N'étant pas sûr de bien comprendre, je lui ai demandé ce qu'il entendait par là. Il m'a répondu: "Tu sais, mon petit, et entre hommes on se comprend, c'est normal, à partir d'un certain âge, que ça vous démange un peu là où j'pense, alors on se frotte, on se la caresse, et après ça on dort bien. T'inquiète, à moi aussi ça m'arrive. Il n'y a rien d'mal à ça". Puis il me demanda si j'étais pubère.

Comme, une fois de plus, je ne comprenais pas le sens de la question posée, j'ai manifesté mon incompréhension.

- "Écoute, je vais te montrer. Comme ça tu comprendras. Tu n'as qu'à baisser ton pantalon. Oui, ton slip aussi. T'inquiète, personne va nous voir, et comme ça tu sauras où t'en es dans ta croissance.".

Je me suis exécuté. Docilement. Il a vu qu'un début de poils pubiens ornaient mon sexe. Il a voulu savoir si tout allait bien pour moi, a palpé mes couilles, mes testicules comme il disait, puis ma verge. C'était, me disait-il, un examen purement médical, et dans mon intérêt. Il a décalotté ma vergé, puis l'a prise en main pour voir si ça coulissait bien. Puis il m'a dit: "Au point oû en en est, allez, montre moi tes fesses. Je te dirai si tout est normal". Je ne me suis pas fait prier. Il me déclara que mes fesses étaient une œuvre d'art, les caressa et les embrassa, ce qui ne manquait pas de me faire bander. Surtout quand il promenait ses doigts dans ma raie, et alors j'avais tendance à écarter les fesses. J'ai même cru sentir un doigt s'attarder sur ou dans mon petit trou, j'étais troublé, j'ai la .émoore qui flamche.

- "Tu es un grand garçon, tu bandes".

Ça coulissait très bien. Mais le plaisir m'envahit assez vite de me sentir ainsi branlé. "Tu vois, me dit-il, tu bandes très bien, c'est bon signe. On est fait pour s'entendre:.

Il avait alors défait sa braguette et baissé son pantalon, sa verge était à l'air, bandant au ciel, qu'il me demanda de toucher, puis de faire coulisser, de bas en haut, sans changer d'axe, tout en me disant: "Tu vois, on est pareils".

Je n'en pouvais plus, j'allais gicler. Et j'ai giclé, répandant mon écume sur sa soutane, tandis qu'à son tour il a joui ma main n'ayant pas lâché son sexe.

Mes révisions ont eu du bon.

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