Lui, mon homme, aurait bien fait de moi, un homme aussi, sa femelle. Ce que j'ai fini par accepter. Il m'a donc fallu me déguiser, jouer la femme, me mettre en levrette, mais je ne regrette rien.
Proposée le 23/05/2024 par Sacha
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Thème: Jeu érotique
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Avec mon homme on a fait plein de trucs ensemble. Je dis "mon homme" parce que c'est mon partenaire régulier, celui qui m'encule le plus souvent, mais pas le seul. Surtout pas ! Sinon, plus d'érotisme. Nous nous accordons quelques libertés, lui et moi, soit baiser ailleurs. Et cela ne fait que renforcer le désir et l'intensité de nos relations érotiques, entre hommes. On baise d'autant mieux qu'on sait que l'autre baise aussi ailleurs.
Mon homme est un quadra porté sur les relations avec de jeunes éphèbes. Et ça tombe bien, vu que je viens d'avoir vingt ans. Et qu'il a très bien su me déniaiser, puceau que j'étais de toute relation entre mecs. Les garçons depuis toujours m'attiraient, mais j'attendais qu'un homme m'initie aux plaisirs de Sodome, bref, me déflore.
Depuis qu'on se connaît, d'abord amicalement, même si cela a vite viré aux amitiés particulières, il m'a vite fait comprendre que quelque chose de spécial ne t'aiderait pas à se nouer entre nous quand nous serons cul et chemise.
Et nos fantasmes se rejoignaient: j'étais sa chérie, sa femelle, c'est ainsi que devais chaque fois le séduire avant nos ébats torrides. Je devais être sa putain, céder à son désir de me prendre tout entière. De me prendre passive.
Comme chez ces shemales resplendissantes de féminité, aux seins bien galbés, dont on finit par découvrir qu'elles ont aussi entre les jambes une belle queue, et qui bande.
C'était ça ou rien. Il voulait me baiser, me demandait si j'avais envie de baiser, de m'envoyer en l'air avec lui, et bien sûr que j'avais toujours envie de baiser, de m'envoyer en l'air avec lui.
Je devais donc me déguiser en femme pour qu'il veuille bien honorer mon cul, avec sous-tif, string et porte-jarretelles. Sans oublier le rouge à lèvres.
C'est seulement au dernier moment, quand les choses étaient déjà bien avancées, qu'il découvrait que "sa chérie" avait aussi entre les jambes une belle queue, en érection, ce qui le mettait au comble de l'excitation. :Mais c'elle qu'elle bande, ma petite salope !!
Je devais donc me mettre en levrettre, cul bien à l'air. Alors il s'attardait sur ma croupe et ma chatte, comme il disait, caresses et baisers à n'en plus finir. Il me lâchait le pourtour anal et le fion. J'étais pour lui une bonne meuf à sauter, à enculer.
Bref, c'était mon homme, et moi j'étais sa femelle consentante. Le summum, pour lui, c'était de découvrir, ou faire mine de découvrir, que sa / son partenaire avait aussi une queue qui bandait ferme.
C'est alors qu'il me prenait. Il avait bien doigté et embrassé mon petit trou, ma "vulve" comme il disait, qui se dilatait et se contractait au gré de ses caresses et de ses baisers.
Son sexe bandait sur ma raie, délicieusement, avant que son gland ne s'abouche à ma petite vulve, et s'enfonce là où mon cul l'appelait.
Moi, je n'en pouvais plus de dandiner du cul, tant la sensation de sa queue dans ma raie m'avait rendu folle, J'étais tout entier ouvert et offert au sexe qui venait alors me combler en me pénétrant.
J'aimais faire l'amour avec lui, quand il lui prenait envie de me baiser. L'amour entre hommes m'a toujours excité au plus haut point, avec lui comme avec d'autres amants. Il n'y a rien de mieux, ni de plus jouissif, que de faire bander un homme qui sait aussi vous faire bander, de se frotter contre lui, de jouir ensemble.
Je lui offrais mon cul, il l'honorait en me prenant en levrette, puis vint le feu d'artifice, quand nos orgasmes ont conclu la fête de notre accouplement.
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