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L'éducation de Pierre (Chapitre 9)

Ça y est, c'est fait ! la première soirée coquine de Petit Pierre s'est bien déroulée. Les invités sont partis et Pierre va recevoir les félicitations de sa professeure. Une étonnante récompense l'attend.

Proposée le 21/05/2024 par Lolo67

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Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


De retour au salon, je sentis ma chérie beaucoup plus détendue qu’en début de soirée. Elle pouvait maintenant souffler un peu. Petit Pierre avait tenu sa promesse, il s’était bien comporté, elle était fière de lui et elle se devait aussi d’admettre que sa méthode de dressage était effectivement la bonne.

- Comment as-tu vécu ta première soirée coquine, gamin ?
- C’était très instructif, madame. Répondit Pierre.
Un peu frustrant quand même de ne pas avoir été autorisé à participer.
- Tu aurais voulu jouer avec elle aussi ? l’interrogea-t-elle ironiquement.
- Oh oui, elle est jolie même si elle n’a pas de seins. J’aime pas les gros seins et surtout comme vous elle n’a pas de poils et j’aime pas les poils non plus.
Cette dernière réflexion fit franchement sourire Chantal d’autant que Pierre affichait toujours une sacrée érection.
- Aurais-tu une envie particulière avant de rentrer ?
- Le harnais me serre un peu madame et comme vous m’avez ordonné de ne rien vous cacher, je dois vous dire que j’aimerai bien avoir enfin un vrai rapport sexuel.
- Ainsi, tu t’estimes prêt ? demanda Chantal sérieusement.
- Oui, même si je suis conscient que je ne serai pas au top la première fois.

Après quelques secondes de réflexion, Chantal lui énonça sa décision.
- Tu as été très sage ce soir, presque parfait je dirais, même dans ta tenue. J’ai pourtant bien cru, un moment, que tu allais déraper, mais tu as su te ressaisir à temps. C’est bien.
Ceci dit, elle marqua une pause avant de poursuivre.
- Il te reste en effet encore beaucoup de choses à apprendre Pierre et je resterai ta professeure jusqu’à ce que je décide si tu es apte à te conduire correctement avec une femme ou pas. Si c’est le cas, ce jour-là, je te laisserai partir et nous ne nous reverrons plus.
En attendant ce moment, les seuls rapports sexuels que tu auras seront avec moi et tu ne baiserais aucune autre fille. Cela te convient-il Petit Pierre ?

Ce dernier resta bouche bée, sans totalement réaliser ce qu’il avait entendu.
Il mit bien 10 secondes à comprendre le cadeau que lui faisait sa professeure. La gorge sèche il arriva à peine à articuler un « Oui madame ».

Reprenant ses esprits, il demanda.
- Et Laurent, comment il va le prendre ?
- Ne t’inquiète pas pour lui. Ça fait bien longtemps que nous avons appris à faire la différence entre baiser et « faire l’amour » comme tu dis.
Ce soir, je l’ai vu se faire sucer par Valérie et crois-tu que je l’ai mal pris ? Non, j’étais même très contente qu’il prenne son pied lui aussi. Tu vois ?
- Oui je comprends mais c’est quand même bizarre.
- Cela s’appelle de l’ouverture d’esprit. Laurent m’a déjà vue me faire sauter par d’autres hommes et il sait très bien que je ne tromperai jamais.

Si son cerveau mettait du temps à assimiler cette leçon, sa queue, elle, avait compris ce qui allait suivre. Elle était au garde-à-vous, visiblement dure comme de l’acier.
Chantal se tourna vers moi :
- Tu peux rester mon chéri, si tu le souhaites me proposa-t-elle.
- Avec plaisir, répondis-je en prenant place dans le fauteuil, en face d’eux.
J’étais très excité à l’idée de ressentir, tout comme Gilbert lorsqu’il regarde sa petite blonde jouer avec un étranger, les mêmes sensations en contemplant Chantal en train de dépuceler le jeune homme.
Ma queue à l’air, j’éprouvais déjà les prémices d’une nouvelle bandaison.
Décidément, ce gamin avait également des effets bénéfiques sur ma libido. A 50 ans passés, les rapports sexuels répétés ne sont pas si fréquents.

Chantal s’agenouilla devant lui et commença à lui retirer son harnais. Une fois la bite libérée, elle la flatta quelques instants comme on le fait avec l’encolure d’un bon chien pour le féliciter d’avoir sagement obéi.
Les caresses appliquées d’abord sur la hampe dressée se dirigèrent ensuite vers le superbe sac qui contenait les précieuses boules du gamin. Bien grosses, elles paraissaient effectivement lourdes du sperme accumulé au cours de la semaine passée.
- Tu as bandé toute la soirée et tu es encore bien raide, c’est bien, je te félicite. Je pense que le harnais était une bonne idée. Je te le remettrai plus souvent dorénavant.
Viens, asseyons-nous, nous l’avons bien mérité après ce tout temps passé debout à observer la petite putain de Gilbert en train de se faire remplir.

Elle saisit la bite du jeune homme d’une main et le conduisit jusqu’au canapé comme elle l’aurait fait avec une laisse.
- Alors dis-moi, comme ça tu n’aimes ni les poils ni les gros seins ?
Docile, Pierre se laissa faire.
- Non madame les poils empêchent de tout voir et je préfère les petits seins bien fermes.
- Pour ce qui est de la vue, tu n’as pas tort en effet mais tu constateras également que les jeux de langues sont également bien plus agréables lorsqu’une chatte ou une queue sont glabres.
Et mes seins, sont-ils suffisamment fermes à ton gout ? demanda-t-elle retirant son haut.
- Oh oui madame, ils sont parfaits. On dirait que vous avez 16 ans.
- Allez ! N’exagère quand même pas, j’aurai 50 ans très bientôt, viens plutôt me les lécher. Tu verras que leurs bouts deviennent plus durs encore quand on s’occupe d’eux

Sans attendre Petit Pierre approcha sa langue du premier mamelon qu’il se mit aussitôt à téter comme un enfant. De sa main libre il caressa doucement le second, ce qui occasionna un gémissement de satisfaction de ma belle dès qu’il se mit à le pétrir plus franchement. Elle se laissa faire de longues minutes avant de reprendre l’initiative.

- Donne-moi ta belle queue, j’ai envie de te sucer.
Pierre se leva, Chantal toujours assise sur le canapé, et se laissa avaler par la gorge de ma chérie.
Le calibre proposé par le gamin eut pour effet une production abondante de salive de la part de Chantal qui guidait son élève en le tenant pas les bourses.
Sa technique éprouvée maintes fois sur moi consistait à tenir fermement le scrotum entre le pouce et l’index à la base de la queue tout en exerçant une légère traction vers le bas, les boules se trouvant comprimées au creux de sa main. C’était sa manière à elle d’indiquer à son partenaire qu’elle était maîtresse de la situation. Ainsi, elle contrôlait à la fois la hauteur idéale, l’angle de pénétration de la bite et le rythme du bassin, tout en maîtrisant l’excitation du mâle.

Encore une fois, Pierre se laissait guider tout en profitant de l’expertise de sa maîtresse. Son dernier petit secret, elle le tenait de Marie Anne. Grande spécialiste des fellations, cette dernière lui avait expliqué que pour sucer correctement une queue, il convenait, en premier lieu, de bien positionner la langue.

Sa technique éprouvée maintes fois sur moi consistait à tenir fermement le scrotum entre le pouce et l’index à la base de la queue tout en exerçant une légère traction vers le bas, les boules se trouvant comprimées au creux de sa main. C’était sa manière à elle d’indiquer à son partenaire qu’elle était maîtresse de la situation. Ainsi, elle contrôlait à la fois la hauteur idéale, l’angle de pénétration de la bite et le rythme du bassin, tout en maîtrisant l’excitation du mâle.

Encore une fois, Pierre se laissait guider tout en profitant de l’expertise de sa maîtresse. Son dernier petit secret, elle le tenait de Marie Anne. Grande spécialiste des fellations, cette dernière lui avait expliqué que pour sucer correctement une queue, il convenait, en premier lieu, de bien positionner la langue.
Pour cela, elle devait tirer la langue le plus loin possible avant de prendre la bite en bouche de manière à ce la langue fasse office de coussin. J’avais bénéficié maintes fois de cette méthode qui permettait de gagner encore quelques centimètres au fond de la gorge. En usant de cette technique, Chantal parvenait à présent à lécher les couilles de son partenaire du bout de la langue tout en avalant entièrement sa queue. Elle bavait abondamment et sa salive gluante coulait sur son menton avant d’atterrir sur le carrelage.

Après quelques minutes de ce traitement Chantal déclara.
- Maintenant, lèche-moi la chatte et continue de te branler pour rester bien dur.
- Pierre sortit de la torpeur dans laquelle il s’était laisser entrainer et se mit à genoux entre les cuisses ouvertes de sa professeure.
- Allez ! vas-y petit cochon.
Il ne perdit pas une seconde avant de se mettre à laper doucement les grandes lèvres de ma chérie.
- Ecarte-moi bien et bouffe moi, ordonna-t-elle à présent très excitée.
De ses deux mains, il sépara délicatement les grandes lèvres pour que sa langue puisse accéder aux petites et surtout au clitoris.
Ce petit bout de chair était ultrasensible chez Chantal et elle se mit aussitôt à remuer les hanches en décrivant des 8 avec son bassin.
- Oui ! Vas-y comme ça, bouffe-moi plus fort.

N’ayant plus besoin de ses mains à présent, Pierre astiquait son membre consciencieusement tout en se régalant des odeurs et de la mouille qui suintait du sexe de ma chérie.
A un moment, alors qu’il reprenait son souffle il manifesta son contentement.
- Vous êtes bonne, j’adore votre goût.
Chantal, à qui ce commentaire avait particulièrement plu, ne put s’empêcher de répondre.
- Ne t’arrête pas petit cochon et fais-moi jouir !
Le cunnilingus se poursuivit encore quelques minutes jusqu’à ce qu’elle lâche totalement prise et qu’elle se répande sur la langue du gamin. Un flot de cyprine inonda alors la bouche de ce dernier, surpris de ce qui venait de se produire. Il réalisa qu’il venait, pour la première fois, d’offrir un orgasme à une femme.

Chantal, anéantie par cette explosion fulgurante au niveau de son bas-ventre, resta quelques instants inerte, épuisée par ses efforts.
Visiblement, elle aussi avait été surprise par l’intensité de cet orgasme qu’elle avait pourtant tenté de retarder le plus possible.
- Tu m’as tuée gamin, articula-telle péniblement après avoir repris son souffle.
Maintenant, à toi de prendre ton pied.
Puis, s’adressant à moi :
- Mon chéri, tu peux donner une capote à Pierre, s’il te plait ?
Ayant anticipé sa demande j’avais déjà récupéré une petite pochette contenant la protection de latex demandée et la tendis au gamin.
- Tu sais comment ça marche lui demandais-je avec un sourire en coin ?
- Bien sûr Laurent me répondit-il avec l’assurance du mec pas très rassuré justement.
- Décalotte bien le gland et enfile le en pinçant bien le réservoir puis déroule-le sur ta queue jusqu’à la base en chassant les éventuelles bulles d’air. Je te dis ça mais tu dois surement être habitué lui conseillai-je avec ironie.
Finalement le gamin réussit à enfiler son préservatif relativement vite alors que Chantal s’impatientait déjà.
- Baise-moi !
Elle approcha ses fesses du bord du canapé et les cuisses jours bien ouvertes, elle l’invita à positionner sa queue devant son ouverture intime.
- Viens !
A genoux devant elle, la queue de Pierre se trouvait à la bonne hauteur.
Chantal la prit en main, orienta le gland vers son entrée intime et se mit à se servir de l’engin comme d’un gode, le faisant aller et venir entre ses grandes lèvres.
La cyprine servant de lubrifiant naturel, la queue du gamin en était toute luisante.
Sans se l’introduire en entier, Chantal imprimait le rythme qui lui convenait pour exciter son clitoris.
La couleur rosée de ses joues indiquait que l’orage commençait à monter dans son bas-ventre et elle accélérait maintenant franchement l’allure.
Libérant la queue de sa main elle ordonna :
- Bourre-moi maintenant !
Petit Pierre ne se le fit pas dire deux, fois, il agrippa les hanches de la blonde et se mit à la pilonner en conservant le rythme qu’elle lui avait imposé.
- Vas-y gamin l’encouragea-t-elle ! Ne t’arrête pas !
Putain que c’est bon !
Chantal qui avait toujours un langage châtié, se lâchait totalement lors de ce type d’exercices.
- Continue ! Je sens tes couilles qui frappent contre mon cul, j’adore ça.

S’adressant à moi :
- Il va jusqu’au fond le salop, je sens son gland qui frappe contre mon utérus. Quel pied !
Devant le spectacle de ma belle se faisant démonter par le gamin, je prenais également beaucoup de plaisir. Ma queue était bien dure et je m’astiquais comme un ado devant un film porno. Mais là le film se déroulait en live devant moi.

Le pubis du jeune homme frottait sur le clitoris de ma belle accentuant les sensations qu’elle éprouvait. Chaque coup de boutoir infligé par le gamin soulevait un « oui ! » de satisfaction de la part de Chantal.

Son deuxième orgasme s’annonçait dévastateur cette fois.
Il y a quelques années, j’avais assisté à sa première baise avec un black et je revivais le même instant aujourd’hui. Elle qui s’était souvent désolée d’être trop étroite du vagin semblait avoir oublié ce qu’elle considérait comme handicap et il était évident qu’elle appréciait le moment.

Au bout de cinq bonnes minutes de ce traitement et sentant l’orgasme arriver inexorablement elle encouragea une dernière fois le gamin.
- Vas-y, donne-moi tout ! je veux que tu me remplisses la chatte avec tout ton foutre.
Gicle pour moi, vide-toi !
Recevant ces consignes comme un ordre donné par sa maîtresse, Petit Pierre déchargea dans le ventre de sa professeure sans cesser de la regarder au fond des yeux comme s’il voulait s’assurer qu’il avait bien travaillé et qu’elle était contente de lui.

Il mit quelques instants avant de réaliser qu’il venait de baiser une vraie femme pour la première fois.
Chantal était maintenant inerte sur le canapé Pierre toujours entre ses cuisses, ne voulant pas se retirer pour profiter encore davantage de ce moment unique. Il venait de perdre son pucelage et entrait dans le monde des adultes.
La respiration revenue à la normale, Chantal lui dit doucement :
- Tu peux te retirer maintenant mais vas-y doucement, c’est toujours un peu douloureux pour moi à chaque fois. Je ne sais pas pourquoi c’est toujours ainsi.
Petit Pierre, ne voulant surtout pas blesser sa maîtresse, prit tout son temps pour sortir son membre de sa chatte.

Si la capote pendait au bout de sa queue, lestée d’une bonne quantité de sperm., il avait à peine débandé, c’était incroyable.
Chantal ne perdit pas une miette de cet étonnant moment.
- Eh bien dis donc ! On dirait que tu as encore de la ressource mais pour moi c’est suffisant pour ce soir.
Après qu’il eut retiré sa capote, Chantal lui dit simplement d’y faire un nœud et de la jeter à la poubelle de la cuisine.

Elle attendit qu’il reparaisse à nouveau dans le salon pour me demander :
- Et toi mon chéri, comment as-tu trouvé le spectacle ?
- J’ai adoré, j’ai aussi lâché une sacrée quantité de jus, quasiment à l’instant même où tu jouissais. Il y a si longtemps que je n’avais pas déchargé deux fois au cours de la même soirée, j’ai l’impression de retrouver mon adolescence.
- C’est vrai que tu avais déjà giclé dans la bouche de Valérie tout l’heure, réalisa Chantal. Tu tiens une sacrée forme en ce moment, c’est incroyable !
- Oui, visiblement mais là je pense que mes couilles sont totalement vides contrairement à celles de notre jeune ami, fis-je en désignant Pierre de la tête.

Souhaitant abréger cette discussion devant Pierre, Chantal remarqua qu’il était quasiment minuit.
- Il faut que tu rentres Pierre, ton père risque de s’inquiéter.
Comme à chacune de ses visites mais peut-être encore plus cette fois, Pierre se dirigea à regret vers la salle de bain pour se changer et retrouver sa tenue de jeune ado.

En ressortant, il remercia Chantal pour le merveilleux cadeau qu’elle venait de lui faire.
- Je rêvais de perdre mon pucelage avec vous madame, lui confie-t-il solennellement.
Chantal qui ne voulut pas poursuivre sur un ton aussi grave lui répondit d’un air enjoué.
- Ravie que ça t’ait plu, tu m’as bien faite jouir même s’il y a encore quelques détails à perfectionner.

Entendant ces « presque » compliments, le gamin laissa transparaître un petit sourire de fierté.
- Mais rappelle-toi, tu m’appartiens, reprit-elle.
Alors, ne t’avise pas de tremper ton sexe ailleurs et les consignes restent d’actualité.
Pas de film porno et pas de branlette non autorisée.

Allez, file ! et soit prudent sur la route.
(A suivre)

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Monkokinou
Bravo à vous deux pour ces récits à quatre mains ! Vous m'avez permis de voyager dans le monde du fantasme au travers de chacun de vos écrits. Quel bonheur de découvrir l'histoire de petit Pierre et la sincérité avec laquelle vous vous dévouez à le faire grandir à vos côtés... Dommage que je n'ai plus 20 ans, j'aurais tant aimé être ce jeune élève finalement si docile... Vivement la suite de vos aventures que je ne manquerai pas de lire avec grand plaisir !
Posté le 10/10/2024

Lorenzo90
Bravo pour cette merveilleuse suite… à lire cette histoire, on aurait bien envie d’être à la place de se jeune homme ????????
Posté le 14/06/2024


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