Fantasme 2 : masturbation féminine dans notre lit

Journée maussade, grise mine, je traine la patte toute la soirée. Je ne me rends même pas compte que les enfants sont absents en cette soirée de juillet... Un bruit étrange attire mon attention. Je t’envoie un message pour savoir si tu entends toi aussi ces bruits. Tu me réponds que oui...

Proposée le 7/05/2024 par coupledu85

Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Fantasme 2
Journée maussade, grise mine, je traine la patte toute la soirée. Je ne me rends même pas compte que les enfants sont absents en cette soirée de juillet. Comme d’habitude, nous sommes devant Netflix. Comme d’habitude, rien ne se passe pendant la séance, pourtant cette série est plus chaude que d’habitude. Je tente pourtant quelques approches, en vain. L’histoire se déroule en Espagne, en été sans doute, une jeune femme s’immisce avec son homme dans un club. Ils prennent un mojito autour d’une table basse. Ils observent les couples et autres à fleurter, à se caresser et à s’éclipser dans une ambiance rassurante. Je ne devine pas que ton corps est en ébullition, je pense simplement que la soirée va se terminer sans galipettes.
Vient le moment où tu me dis que tu vas te coucher, tu ranges minette dans le garage, viens m’embrasser et refermes la porte derrière toi. Comme d’habitude, je zappe et je regarde un documentaire musical sur Arté. Je pense à autre chose, même si je reste excité par le contenu de ce que j’ai vu.
Un bruit étrange attire mon attention. Je baisse le son, je cherche vers la chaudière, la cuisine. Rien. Je me rallonge. Quelques instants, et ça recommence, je me dis que ça vient de dehors.
Je t’envoie un message pour savoir si tu entends toi aussi ces bruits. Tu me réponds que oui, et que tu en es la responsable. Je te questionne alors, et tu me dis que je n’ai pas le droit de te toucher. Je suis intrigué et au moment de me lever tu m’appelles avec le WhatsApp vidéo. J’ai l’impression de visionner un shoot type boudoir, ambiance tamisée, draps chiffonnés, mais c’est bien toi, tu te filmes à l’aide du miroir. Je te vois presque nue, tes mains parcourent ton corps des épaules jusqu’à la pointe de tes seins. Tu les saisis, j’ai l’impression que ton 90 B est passé à un bonnet au dessus, puis une main s’engouffre sur ton bas ventre, tu écartes les jambes pour me laisser apprécier le spectacle. Tu arrêtes la vidéo et tu me précises que je peux venir mais que je dois m’installer sur le pouf au pied du lit pour regarder.
J’obtempère, tous mes sens sont éveillés. Je m’assois donc face au lit, je n’ai qu’une petite serviette autour de la taille. J’ai déjà très chaud.
Tu es adossée contre la tête de lit, confortablement reposée à l’aide d’un coussin dans le bas du dos. Tu me fais signe de rester à ma place... de ne rien dire... et de te contempler. Tu es intégralement nue, les jambes fléchies, écartées, tu suces tes doigts qui arrivent sur le flanc de tes seins pour les faire remonter et se toucher. Tes tétons sont gonflés, tes deux mains malaxent ta poitrine alors que tes jambes s’agitent. Elles s’écartent et se resserrent. Tu te cambres, tes fesses se soulèvent. J’aperçois ta vulve déjà grande ouverte, ton bouton, et tes quelques poils pubiens soigneusement taillés. Ta main droite se rapproche lentement de ton sexe et tu y fais pénétrer ton majeur suivi de ton annulaire. La dextérité de tes doigts rapides te fait expirer des échos sourds. Ils entrent et sortent avec adresse. Tes phalanges fléchies et tendues creusent dans ton orifice et l’élargissent. De ma position, je me délecte du spectacle offert à mes yeux. Mon sexe gonflant libère ma serviette qui tombe de part et d’autre. Tu me refais signe que je ne dois rien faire ! Mes mains sont privées d’action, pourtant ma verge est en érection et s’agite seule.
Ta main gauche se faufile sous l’oreille, duquel tu en ressors un nouveau gode, plus gros que le précédent. Tout en me fixant du regard et en vérifiant que je n’entreprends rien, tu glisses l’énorme engin entre tes cuisses. Ta respiration s’accélère au même rythme que les allers et retours. Tu t’allonges, tes jambes se plient dans le vide au plus près de moi. Les petits cris discrets, retenus laissent place à de la jouissance non maitrisée. La cadence infernale que tu imposes te font monter en puissance et inversement, il n’y a plus de temps, plus d’espace, tu es en transe. De ma position, tes mollets qui m’effleurent m’excitent tout aussi, je suis en communion avec ton excitation, je te regarde et je jouie dans mes pensées. J’ai l’impression d’être dans ton corps et de vibrer, je perçois toutes les couleurs de tes sensations. Cela fait au moins dix minutes que je te vois te masturber devant moi, et ça me plait. La dernière fois que tu t’es touchée, ou plutôt que j’en ai eu connaissance, j’étais loin, très loin de toi. Je ne pouvais que m’imaginer la scène érotique se jouant dans mon lit. Je reste là à te contempler comme convenu et je dois dire que je raffole de cette situation. Il n’y a plus aucun contrôle, pas un seul instant de silence, je ne t’ai sans doute jamais vu dans cet état et je prends mon pied.
Pourtant, comme toute bonne chose, la fin approche, ton bassin se soulève, le gode reste enfoncé au plus profond de ton corps, un cri de jouissance qui explose se fait entendre. Puis plus rien. Tu restes allongée, la tête sur le coussin. Pas besoin de me demander si j’ai apprécié, mon sourire en dit long. Je profite de ces quelques minutes de plénitude, je regarde ma femme épanouie et ce corps que je vénère tous les jours. Je voudrais que le temps s’arrête et que je puisse te regarder là, nue devant moi.
Merci pour ce moment partagé, d’exploration des sens. Je te renverrai la pareille.
Ton homme
03/05/2023

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