Pâtisseries orientales

Les douceurs, les sucreries, pouquoi pas entre hommes si ça fait du bien aux deux? C'est la découverte d'un pays à travers celle d'un corps masculin tant aimé.

Proposée le 29/03/2024 par Sacha

Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

J'ai toujours bien aimé les femmes, mais j'eus aussi la chance de rencontrer Khalil. En Tunisie.

Khalil était un ami proche, un ami cher. Pendant des mois on s'est vus, on s'est parlé. On buvait ensemble du thé à la menthe. On a fêté ensemble l'été de nos vingt ans sur une plage de Djerba.

Khalil était beau comme un dieu. Lors de nos conversations, il posait parfois sa main sur ma cuisse. Ça m'excitait au plus haut point. Et je faisais de même avec lui, je posais ma main sur sa cuisse. Une chaleur se dégageait, et je crois qu'alors nous bandions tous les deux.

Sous le soleil, nous étions amoureux. Nos corps s'appelaient follement l'un l'autre. Un désir très fort m'attachait et me rattachait à lui, qu'il semblait partager. Sa mère, chez qui il vivait, ne voyait pas d'un mauvais œil notre amitié, elle semblait même lui être plutôt favorable.

L'hospitalité qu'elle manifesta toujours à mon égard fit qu'un soir on m'invita à rester dormir. Elle s'excusa juste en disant que, faute de lits, je devrais partager la couche de Khalil, lequel, a-t-elle ajouté, n'avait rien contre. Bien au contraire.

Le grand jour était donc venu, où Khalil et moi allions passer une nuit ensemble, avec la bénédiction de sa mère. Et sa mère se doutait bien des désirs qu'une profonde amitié entre hommes pouvait éveiller.

Khalil et moi ne nous fîmes donc pas prier pour partager l e même lit, la nuit venue. Nous nous sommes allongés, nus tous les deux, dans son lit étroit. Seule la lune nous éclairait, dans un ciel parsemé d'étoiles. Nous avons poussé l'amitié jusqu'à nous serrer et enlacer, nus, l'un contre l'autre. L'attirance réciproque qui nous réunissait pouvait enfin se donner libre cours. Amis nous étions, si attachés l'un à l'autre qu'il nous fut naturel de devenir amants, amants d'une nuit, amants de mille et une nuits.

Nos lèvres firent ce serment en se joignant, un baiser fougueux salua ce rapprochement si sensuel. Nos langues se taquinaient et jouaient langoureusement l'une avec l'autre, tandis que nos queues se dressaient l'une contre l'autre, elles aussi fougueuses et amoureuses.

On se sentait délicieusement et voluptueusement bander l'un contre l'autre, amants enlacés à la faveur de la nuit, de la lune et des étoiles. Nos corps enfin se trouvaient, ou, promis l'un à l'autre depuis toujours, se retrouvaient. On s'aimait à la folie.

C'était mon homme, j'étais le sien, deux garçons enfin enlacés et amoureux. Je caressais son dos puis ses fesses tout en le sentant bander contre moi, ses fesses m'excitaient au plus haut point, il les cambrait pour se faire désirer, je ne résistais pas au plaisir de m'attarder dans sa fente, il écartait ses fesses. Il était à moi, et moi à lui, on était l'un pour l'autre. J'ai pris son zob dans ma bouche, puis j'ai glissé ma langue dans sa fente. On se fourrait en même temps un doigt dans le cul.
Qui allait prendre l'autre? Ça, c'est notre histoire, et au cours des mille et une nuits que nous avons partagées chacun était tour à tour la femelle consentante. On s'est pris, on s'est aimés, j'ai bu sa semence quand dans ma bouche son sexe entrait, nous avons joui ensemble, comme deux garçons qui, tout simplement, s'aimaient.

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